N'oubliez pas que vous pouvez voter toutes les deux heures sur les cinq Topsites pour le forum !
Rappel : Chaque RP doit au minimum faire 15 lignes, soit 1400 caractères espaces non compris minimum.
-29%
Le deal à ne pas rater :
PC portable – MEDION 15,6″ FHD Intel i7 – 16 Go / 512Go (CDAV : ...
499.99 € 699.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Des Samidares (perso PV)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Nukenin
Asshu Kaderik
Asshu Kaderik
Informations
Grade : Nukenin de rang S
Messages : 1607
Rang : S

Des Samidares (perso PV) Empty
Message(#) Sujet: Des Samidares (perso PV) Des Samidares (perso PV) EmptyDim 14 Oct 2012 - 13:59

Flash back
Pendant la guerre Clanique de Mizu No Kuni...
Une maisonnette en bordure de village de Mizu no Kuni sombrait dans une folie meurtrière. là, une macabre séance découlant d'une visite impromptu se déroulait, les lumières allumées montraient cette fois la présence de la mort et non de la vie. La pièce principale fut entachée de l'infamie et était habité de quatre personnes dont seulement trois réelles. Le cadavre d'un homme, un paysan jonchant le sol d'un salon, baignant dans une marre de sang était regardé par un Shinobi, assis sur ses talons et une dague à la main reposée sur l'une de ses cuisse tendis qu'une femme derrière lui était à genoux, se tenant la tête dans les cris de douleur. Un Samouraï en armure lourde, l'épée pointé au dessous du menton de la malheureuse se dressait debout devant elle en ne cessant de lui poser la même question avec insistance. Un cylindre lumineux collé au front de la jeune femme semblait répondre aux ordres de l'humain, son maître.....car il était débiteur de cette douleur.

-Ou est le bébé ?!

Criait le Samouraï dans un mélange de colère et de menace à la femme qui se tordant de douleur, gardait la tête s'agitant de gauche à droite. Les yeux du jeune mercenaire se fixaient alors en une tumultueuse concentration sur le cylindre qui s'en intensifiait ensuite singulièrement. Le Shinobi restant à sa posture initiale prit la parole d'un ton torve illustrant une arrogance fier mais contrôlé.

-Si elle savait quelque chose, elle l'aurait déjà dit....
-Dans ce cas....

Le Samouraï fit un geste de la main libre et le cylindre cessa son activité pour disparaître en un brouillard dispersé. Laissant la femme épuisée, transpirante, pleurante et suppliante de la laisser partir, ses larmes dévoilaient une anxiété dépassant l'entendement de sa raison et la rendant incapable de toute réflexions ou réactions, le samouraï leva alors le regard vers le Shinobi qui lui tournait le dos en lui adressant ses mots dans une demande si lourde de sous entendu qu'un enfant comprendrait leurs véritable sens.

-Elle est à toi...

Le Shinobi sourit un instant dans le coin de ses lèvres presque imperceptiblement, puis dans une fraction de seconde le mouvement invisible de sa dague alla se planter dans la nuque de la femme. Elle mourut sur le coup sans un bruit, sa tête se penchant vers l'arrière à l'impact laissa ses yeux grand ouvert et emplis de mort. Tout cela derrière lui qui n'avait même pas, prit la peine de se retourner pour la regarder mourir en continuant son sourire satisfait et malsain. En retirant sa dague la femme s'en étala au sol lourdement. Le Shinobi se leva alors avec lenteur et légèreté indolente pour se retourner, faisant face ainsi au Samouraï et toujours avec ce sourire bénin, cet air condescendant traduit également dans le ton qu'il prit.

-Si seulement vous étiez plus réfléchis et moins rustre, l'homme que vous avez tué aurait peut-être pu parler... Nous n'avons rien à ramener à mon clan maintenant, croyez-vous que les Dauï ont le droit aux échecs Messire Ishigo, Mercenaire des champs de labour.

Le samouraï s'offusqua aux remarques, mais démontra une certaine soumission cause de ses craintes cachés, pourrait-on supposer. Hors élevant sa voix il se défendit virilement et d'une grande conviction.

-Mon cylindre a fait son office, c'est pas ma faute si il n’a pas tenu le choc, et c'est toi qui l'a achevé !

Le Shinobi détourna son regard illustrant dès lors une réflexions borné et un moral effrité. Cherchant l'erreur et craignant le courroux de son échec en découvrant plus que jamais à l'autre son coté acariâtre.

-Je l'ai achevé car il n'y avait plus rien à en tirer. Il est forcément ici, dans cette maison, elle n'est pourtant pas grande.... il est obligé qu'il soit ici.

Le Samouraï haussa les épaules en fixant le Shinobi l'air dubitatif. Regardant ensuite toutes les pièces avec attention il prit la parole d'un timbre maussade.

-Avec le bouquant que nous avons fait il aurait dû pleurer au moins quelques secondes et il n'y a pas eu un son...

Le Shinobi crispa ses arcades sournoisement en prenant une intonation ferme, avec un faciès empli d'une étrange répugnance. Ce fut bien curieux d'ailleurs, mais c'était bien ce qu'il avait en tête ce qui le répugnait.

-Ce n'est pas un enfant comme les autres. Idiot. Serais-je là si ce n'était le cas.

Le Samouraï soupira grondement, mais n'osa reprendre son homologue. Le Shinobi tourna alors dans la pièce en soutenant son menton avec le poing tel un penseur en pleine réflexion. S'arrêtant dans sa marche il inclina sa tête jusqu'au possible vers l'arrière ses bras se relâchant, il tenu alors plus fermement sa dague.

-Je ne vois plus que cette solution....
-quelle solution ?

Le Shinobi prenant un appuis sauta vers l'arrière en atterrissant par la même sur le Samouraï qui s'en écrasa sous son poids. Les deux au sol le Shinobi sur son compagnon, il lui faisait un large sourire alors qu'il passait sa dague glissante sur le visage du guerrier qui avait les bras bloqué sous les pieds de son futur bourreau.

-Un hurlement plus démonstratif sera peut-être capable de le réveiller...

Corrélation avec ses idées macabre, il s'en suivit d'atroces hurlements de douleurs aigu qui durèrent plusieurs minutes. une inutilité fut de traduire un passage si désoeuvrant bien que le Shinobi y trouva enfin son compte et même un certain plaisir. Les cris cinglant d'un bébé pénétrant la pièce de son intérieur sonnant en même temps la fin du martyr du samouraï Ronin, qui en fut achevé dés les premiers pleurs du nourrisson.
Le Shinobi se releva alors, avec le visage et les mains maculés de sang qui se substituaient à un regard satisfait de sa propre ignominie.

-Mon petit soldat, enfin te voilà.

Flash back
Rencontre avec Saya Pendant la guerre Clanique de Mizu No Kuni...
Je me nomme Saya. Fille d'un éleveur de loup. Nous habitons mon père et moi juste au dessus de la forêt de la brume, un endroit difficile mais prompt à l'élevage de ces bêtes féroces que nous dressons, les loups.
Je ne suis qu'une paysanne, vie simple, statut simple et physique simple. Mais durant ces quatre dernières semaines ma vie prit un étrange chemin par la rencontre d'un homme étrange. Qui portait l'odeur du sang, et avait la voix douce comme un enfant.

Je marchais sur la descente d'une colline sous un soleil de plombs. Je devais préparer l'enclos prévu au sevrage qui se trouvait en bas de cette colline. Malgré le soleil à son zénith j'aperçus dans les altérations de la chaleur un homme, j'avais du mal à le discerner, avançant aussi lentement qu'un buffle au pas. Il tanguait comme un bateau manoeuvré par les vagues. Les yeux à moitié fermés et son visage comme son corps étaient couverts de bleu et d'écorchures plus ou moins graves. Je m'approchais curieuse de lui jusqu'à arriver à une distance de sécurité raisonnable.

-Vous allez bien ? lui ai-je dit hésitante.

Il releva la tête lentement ainsi que son buste qui était au début affaissé. Je découvris même si j'ai honte de le dire un si beau visage que j'en rougis. Malgré ses blessures, son regard fut ce qui m'a le plus troublé. Des yeux à la fois d'une douceur incroyable brisé par un regard froids et mélancolique. Un regard sondeur et pénétrant, quasiment hypnotique. On aurait pensé que tous les paradoxes se trouvaient dans ses yeux. J'y voyais la haine mélangée à l'amour, la colère mélangée à la sagesse, la peur au courage, comme si chaque émotions présentes étaient entravées par son inverse et vis-versa. Malgré ma gêne occasionnée par sa beauté je répétais ma question une nouvelle fois en évitant son regard.

-Vous êtes blessé vous savez ?

Il me fit un sourire en coin malsain pour orner les traits fins de son visage puis s'écroula au sol devant moi dans la poussière soulevée par l'impact de sa chute.
Je ne pouvais le laisser ainsi. Je pris sur moi de l'emmener chez mon père qui même après avoir rouspété parce que c'était un vagabond, a finit par me céder comme toujours. Que cet humain m'a paru étrange bien que je n'en eus jamais vu d'autre que mon père, ces petites oreilles pointu et ce regard, il était si différent. Je veillais deux jours durant. Parfois il parlait dans son sommeil. Mais je ne comprenais rien car il parlait une langue qui m'était inconnue. Ses nuits étaient très agitées et mon père du à un moment l'attacher au lit car cela devenait dangereux pour lui même. Il suppliait on ne sait qui ou quoi d'arrêter. Il pleurait, semblant hanté par un passé tumultueux.

Son réveil fut encore plus troublant que toutes les choses précédentes. Ses yeux se rouvrirent d'un coup, brillants d'une fureur que je ne pouvais mesurer et un grognement, que dis-je, un rugissement de colère retentit dans tout le domaine de mon père. C'était lui, qui rugissait ainsi, je portai ma main à la bouche ne sachant quoi faire, tétanisée tandis que mon père pénétra dans la pièce et me pris dans ses bras pour me protéger. L'homme déchira les lanières qui le gardaient prisonnier et bondit comme un chat enragé sur nous, comme si nous étions ses proies.

-Qui êtes vous ?! nous a-t-il crié d'une voix roque
-Ceux qui t'ont sauvé ! lui répondais-je de la même intonation.

Il porta la main à sa tête l'air surpris. Il nous regarda un long moment sans savoir que dire. Et retourna s'asseoir sur le lit quand sa fureur se consuma d'elle même.

-Fou que tu es, sort d'ici tout de suite ! Hurla mon père a l'homme qui le regarda l'air abattu.
-NON ! criai-je à mon tour. Il n'est pas encore rétabli.

Cela fait deux semaines qu'il vit parmi nous maintenant. Mon père a perdu sa méfiance car il nous aide comme il peut dans nos taches et se montre plus que gentil avec moi en particulier. Il me fait un peu peur mais d'un côté cet air fier et sur de lui, tout ce qu'il est, a quelque chose d'attirant. Alors que nous donnions de la viande aux loups lui qui n'était pas bavard voire quasiment muet m'adressa enfin la parole.

-Ce sont vraiment des animaux magnifiques...
-Oui, leurs noblesses et leurs courages font leurs réputations.

Il en fixa un en particulier, celui que mon père ne parvenait pas à dresser. Il était mis à l'écart des autres car il cherchait sans cesse à prendre le dessus sur la meute.

-Celui-ci est le meilleur de tous.
-Pourquoi ça ?
-Parce qu'il considère sa liberté et son honneur plus important que tout...

Il parlait en même temps qu'il fixait dans les yeux ce loup. Je ne puis le croire, mais ils semblaient se parler tous les deux, ce fut l'un des rares instants qui restera gravé dans ma mémoire.
C'est à ce moment que je connu enfin son nom.

-Je me nomme Teichirô. Dit-il aussi simplement qu'il pouvait le dire et moi ne sachant pas si il s'adressait au loup ou à moi.
-Je suis enchanté Teichirô. répondais-je timidement.

Il se retourna vers moi et me regarda toujours avec son air placide. Mais il y avait quelque chose de différent cette fois-ci. Quelque chose de sincère.

-Au début je ne suis resté que par nécessité. Mais Aujourd'hui, je reste parce que je me sens bien... Et si c'est le cas. C'est grâce à toi.

En finissant je me mis a rougir de plus belle. Il passa à coté de moi qui était aussi droite qu'un piquet et sortit de l'écurie.
Presque quatre semaines qu'il est parmi nous. Il désirait je pense en apprendre toujours plus sur ces loups. Car il passait de plus en plus de temps avec mon père et de moins en moins avec moi. J'étais jalouse je crois, pourquoi je ne le sais pas. Un soir, mon père lui rendit son armure et ses lames. Je suis sur d'avoir vu Teichirô pleurer quelques larmes tandis qu'il entourait de ses bras mon père de la même manière.
Il devait repartir le lendemain. Mon cœur était serré. Je voulais qu'il reste. Je me trouvais sur le porche assise sur un banc. En sortant de la maison il vint s'asseoir à côté de moi.

-Belle nuit n'est ce pas.. Mon maître d'arme me disait souvent que c'était les âmes glorieuse tomber au combat qui veillent sur nous depuis les étoiles.

Je ne pu me retenir plus longtemps. Je lui hurla dessus de toute ma tristesse et de ma douleur.

-Reste avec nous Teichi !

Quand je prononça le mot Teichi il ferma les yeux et baissa sa tête d'un regard triste.

-Je sais ce que tu ressens.. Si je reste, tôt ou tard, vous aurez des ennuis, grâce à vous, j'aurais pu vivre normalement quelques temps. Mais cela devait s'arrêter. Tu devras m'oublier car on ne se reverra probablement jamais. Nous sommes ce que nous sommes. Peu importe ce que l'on rêve ou désire vraiment. Nous finissons toujours par faire ce pourquoi nous sommes fait...

Sur ses mots il se leva et m'offrit un baiser sur la tête en me disant que je trouverais la voix qui est la mienne. Puis il partit se coucher.
Le lendemain il était déjà parti. La maison et le domaine me paraissait vide. Quand je partis donner à manger au loup. L' indressable n'était plus là. Je courus prévenir mon père. Et il me répondu tout simplement.

-J'en ai parlé avec lui, et je l'ai libérer...
-Où est-il partit ?!
-Vers la forêt...
-J'y vais !
-Si tu le suis n'espère jamais revenir ici tu entends ! Si tu le suis, tu mourras. C'est un shinobis, ils sont tous fou, ils feront de toi une soldat ! C'est cette vie là que tu veux !
-Avec lui j'accepterais toutes vies...Même la mort.

Le clan Samidare (début de la pluie d'été) est un clan maudit. C'est ainsi que les Samidare se dévoilent au monde. Le clan prend naissance à Mizu no Kuni. Bien avant l'avènement du village caché de la brume. Ce n'est pas un clan commun dans le sens ou, il fut créé de toute pièce pour une guerre. La guerre Clanique de Mizu no Kuni. En effet, l'une des factions prise dans ce conflit, manquant cruellement par le temps et les défaites d'hommes à envoyer sur les différents fronts, décida d'enlever ou d'acheter nombre d'enfants en bas âge, à fin de s'en servir comme cobaye. Le but étant de créer une nouvelle forme de pouvoir, pouvant leur donner l'avantage dans les différentes batailles à venir.
Ces enfants furent choisit sur un seul critère de départ. La maîtrise d'une affinité dite "de chaleur". Le Katon et le Raiton (la foudre émettant de forte chaleur) furent dont les seuls prérequis de départ. Cependant il y 'eu certaines exceptions. Des Enfants possédant des prédispositions pour le Yôton et Haïton furent également enlevés. Pendant environ une quinzaine d'années, ceux-ci furent entraînés dans le but de servir d'arme à la faction qui leur avait volé leur enfance. Les premières batailles aux quelles ils participèrent ne furent pas glorieuse. En effet, le pouvoir qui devait être incorporé aux corps de ces désormais adolescents n'était en aucun au cas point. Beaucoup seront mort avant même d'atteindre la forme ultime du Dojutsu recherché, et cela sans même savoir pourquoi ils combattaient.
Le procédé divergeait selon les cobaye. Le but étant de faire de la chaleur, une sorte de nature innée pour eux. Certains subirent des modifications génétique, par le croisement de différents sceaux plus ou moins ratés. Puis, par des greffes entre les différents enfants. Le but étant de prendre les meilleurs aptitudes de certains pour les mélanger à d'autres. Par ces expérimentations, les premières formes d'un Dojutsu furent découverte. La Faction appela cela le Jigokugan (oeil infernal). Oeil privant son utilisateur d'une vue normal, mais lui octroyant à mesure qu'il augmentait en puissance, d'une part une vision thermique d'une précision sans pareil, d'une autre un contrôle modéré de la chaleur pure. Bien qu'il y'eu au départ plusieurs niveau du Dojutsu, les mélangeset les greffes donnèrent à la fin un seul et unique Dojutsu. Cela se retourna alors contre la faction détentrice des possesseurs de ce pouvoir. En effet, les adolescents, sous l'impulsion d'un seul, se révoltèrent contre la faction qui les avait créé et les exterminèrent. Ce fait est inconnu de beaucoup, pour une époque ou l'archivage n'existait pas. Le Clan Samidare se disse-loqua et la plus part des survivants fuirent le pays de l'eau pour devenir des vagabonds. Des Nukenins. Des mercenaires. Se tenant ainsi pour la majorités d'entre eux loin des conflits entre les villages cachés. Nul d'entre eux n'aura de toute façon oublié cette époque sombre. L'enferment dans un labyrinthe ou les plus fort devaient tuer les plus faible. Les heures de torture pour les habitué à la douleurs. Les expériences médicale sans anesthésie. Ces hommes et femme d'aujourd'hui, aux yeux de sang, ont souvent le regard déshumanisé. Cherchant dans leurs vies la raison de leur présence dans ce monde.
Après le massacre de la faction qui les avait créé et leur fuite, ils demeurèrent caché de tous. Ce fut le temps de la chasse au Dojutsu. En effet, tous n'étaient pas égaux sur le niveau de maîtrise du pouvoir. Certain ne le possédait d'ailleurs même pas encore. Ils se pourchassèrent alors les un et les autres. Afin de se voler mutuellement leurs yeux infernaux et d'atteindre le stade ultime du Dojutsu par des greffes successives. Cela donna lieu à une étrange et sanglante sélection naturelle, débouchant sur la disparition des stade les plus bas du Dojutsu. De ce fait, hormis ceux qui possédèrent le stade le plus élevé dès la destruction de la faction belliqueuse, la plus part des Samidare se connaissent.
L'un d'eux, Samidare Teichirô, fut le premier à changer de cap. La différence étant qu'il parvint à acquérir seul le stade ultime du Dojutsu, alors qu'il était un membre éminent de Konoha. Ses actes dévoilèrent le pouvoir du Jigokugan au monde. Et ainsi, ses possesseurs, furent contraint de cesser de se cacher. Le clan demeurait Nukenin aux yeux du monde. Mais il ne pouvait plus ne pas se mêler des histoires de villages cachés. En effet, le Samidare désormais Senin fit trop de bruit et appela avec un autre des siens au rassemblement des possesseurs de la pupille écarlate. Pourquoi ? Parce que l'oeuvre du Senin fut mis à mal par un autre grand nom du monde Shinobi.
"Les hommes, nous avons voulu les sauvegarder, pourtant ils n'ont jamais cessé de nous traité comme des animaux, alors, devenons ce qu'ils voient. Des bêtes. Les hommes ne nous méritent pas." Une ère de haine débutaient. Les Samidare prenaient le chemin de la guerre contre les "hommes".
Revenir en haut Aller en bas
 

Des Samidares (perso PV)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Pour mon prochain perso
» Avatar pour mon petit perso
» Mission perso - Déblayer la voie
» Nouvelle - Pré-ellipse perso + avatar
» Valideurs Missions + Changement de perso

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Shinobi no Hattan :: Archives :: SnH Legacy :: Passé & Lettres :: Flashbacks-