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 L'usine aux cadavres et du sang sur mes mains [Rang B vs Rakurai]

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Azuko
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Message(#) Sujet: L'usine aux cadavres et du sang sur mes mains [Rang B vs Rakurai] L'usine aux cadavres et du sang sur mes mains [Rang B vs Rakurai] EmptyMar 5 Juin 2012 - 15:47

Spoiler:

Faire passer un innocent pour un criminel à sa place, ça c’est moche, mais ne me dérange vraiment pas du tout, surtout que la prime pour cette mission est des plus intéressante, le pactole qui m’attend à la sortie n’est pas des moindres, et depuis que j’ai déserté j’ai envie de mener la grande vie. Je viens tout juste de sortir de l’entrevue avec mon nouveau commanditaire, et je déplie rapidement l’enveloppe sous scellé, pour sortir les précisions sur l’ordre :

« Nous avons récemment liquidés plusieurs personnes qui refusaient de nous vendre leurs entreprises familiales, de manière à ce que la succession se passe mal et que nous récupérions les lambeaux de l’héritage pour une bouchée de pain. Malheureusement un de ces successeur résiste et nous tient tête encore mieux que ne le faisait son père. Après avoir réussi à le faire plus ou moins accuser de nos meurtres, nous avons réussis à corrompre les forces de l’ordre locales pour qu’elles ne s’en prennent pas à nous. Cependant nous craignons qu’il en arrive à des choix extrêmes, qui risqueraient de nous mettre en danger. Vous devrez donc détruire toute forme de preuves dans nos locaux, nous ferons alors passer ceci pour un vol que nous n’aurons aucun mal à mettre sur son dos. Cependant la police a trouvé malin de mettre des gardes autour de notre usine, ils la surveillent jour et nuit. Comprenez donc bien que si jamais vous vous faites attraper, nous nieront toute forme de liaison avec vous si jamais vous nous dénoncez et nous serions alors obligés de prendre des mesures fâcheuses pour nous tous… »


Un léger sourire apparait sur mon visage à la lecture de cette dernière phrase, comme si je pouvais me faire prendre par de simples policiers, moi, ex jônin de Kumo. Mais si par malheur cela m’arrivait, je n’hésiterais pas à les entrainer dans ma chute, ce genre de menace ne me fait pas peur, et surtout pas de la part d’une organisation qui se prétend toute puissante mais qui a tout de même recourt à une aide extérieure pour régler ses affaires internes…


Les montagnes de Tsuchi no kuni abandonnent lentement le voile rosé du crépuscule, pour se couvrir lentement de celui bien plus noir et sombre de la nuit troublante et dérangeante, là où toutes les peurs des hommes peuvent prendre vie. C’est dans cette ombre qui semble glisser le long de la pente des montagnes, que je progresse doucement vers la petite usine dans le creux de la vallée, bordant un torrent au fort courant provoqué par la première fonte des glaces du printemps. Bien qu’ayant quitté l’hiver depuis quelques temps déjà, le froid est encore bien ancré sur les bords de la montagne, comme s’il ne voulait laisser sa place à l’air plus doux et clément de la nouvelle saison.
Une fois au pied de la montagne l’obscurité est désormais totale, me permettant ainsi plus de liberté dans mes mouvements, couverts par le voile sombre de la nuit. J’approche de l’usine gardée par deux trois hommes, qui sont assis sous un abri de fortune jouant aux cartes, et faisant de temps à autres des rondes autour du bâtiment sans trop grande conviction. Si je veux faire passer tout ceci pour un vol, autant jouer le grand jeu jusqu’au bout alors, vous avez peur que je me fasse prendre ? Et bien je vais éliminer cette petite menace…

Les trois corps tombent inertes sur le sol, la nuque brisée d’un coup sec et avec une précision chirurgicale, le tout bien entendu sans un bruit, juste un silence d’or, presque pesant, et qui règne autour de cette usine, juste rompu par le bruit du torrent. J’enjambe les cadavres sans prendre la peine de les dissimuler, et me dirige vers la porte, toute en métal, pas très grande, mais surtout très lourde, je n’ai pas envie de passer des heures à m’acharner dessus en la forçant, ou même utiliser des parchemins explosifs pour la faire sauter, car dans les deux cas avec l’écho, ce sera toute la vallée qui sera mise au courant de ce qui se passe ici. J’appose alors un parchemin vierge sur celle-ci, et d’un simple mudra la fait disparaitre, ne laissant plus qu’un espace vide dans le mur, avec deux gonds vides, témoignant de l’ancienne existence de la porte. Seul le parchemin est encore là, il n’est plus vierges, des inscriptions le recouvre, signe qu’il possède quelque chose de scellé en lui : la porte.
Je le ramasse délicatement et me dirige dans l’entrée, où une odeur particulière m’envahit, une odeur très caractéristique et assez cru, si je puis dire. Je m’empresse d’allumer la lumière pour vérifier ce que fait cette usine et lorsque, les lampes irradient la salle d’un pâle halo de lumière c’est un spectacle bien glauque qui s’offre à moi, car je me trouve dans un abattoir. Au plafond des rails avec des crochets tiennent des carcasses de bœuf suspendu comme des lampions lors d’une grande soirée communale. Le sol est couvert d’un mélange, hétérogène à certains endroits, d’eau et de sang, comme le vin peu se mélanger au sake lors des orgies, et des tables métalliques se trouvent un peu partout avec des hachoirs de toutes sortes et des tripes encore sanguinolentes dont l’odeur fétide pouvait vous retourner le cœur, tels la nourriture trônant sur la table du festin. Mais le plus impressionnant, est sans aucun doute le tapis roulant central, clos par de hautes barrières, certainement là pour éviter que le bétail n’échappe à son triste sort, et qui menait tout droit à un grand portique d’où sortaient de nombreuses électrodes, qui devaient être la dernière choses que voyaient les pauvres bovins, comme une sorte de feu d’artifice, le final de cette grande fête…

Par pur plaisir acoustique, je décide de mettre en marche toute cette grande organisation, activant ainsi le tapis roulant, les rails et le tazer géant de cent-mille volts qui par fréquence régulière illumine la salle d’une magnifique gerbe bleue. Je travaillais donc pour un grand propriétaire terriens qui cherchait à avoir encore plus de bénéfice en rachetant les terrains de ses concurrents, pas totalement débile donc le pauvre… Après avoir contemplé ce spectacle son et lumière, je décide de me mettre en quête de ces fameux dossier, laissant toute la machinerie tourner dans le vide, pour mon plus grand bonheur glauque.


[hrp] bonne mission, que le meilleur gagne ^^, désolé de l'attente Smile [hrp]
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Azuko
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Message(#) Sujet: Re: L'usine aux cadavres et du sang sur mes mains [Rang B vs Rakurai] L'usine aux cadavres et du sang sur mes mains [Rang B vs Rakurai] EmptyMer 1 Aoû 2012 - 20:59

Plus d’une heure passée que les chaines métalliques rugissent dans un grincement sonore contre les larges engrenages à moitiés rouillés qui font vivre cette usine, et plus d’une heure que je ne trouve rien. Rien sur d’éventuels papiers compromettants, rien sur les meurtres, que des résumés sur les dernières réunions et autres dossier de comptes qui ne m’intéressent en aucune manière pour ma mission. Le centre administratif qui domine l’usine est désormais dans un état pitoyable, coffres renversés, feuilles éparpillées partout par terre et meubles entièrement ouverts. Au moins là il n’y aura aucun problème à faire passer mon intrusion pour un vol, cependant rien ne manquera à l’appel puisque rien n’est à voler…

-Est-ce ceci que vous recherchez ?

Faisant volte-face, surprise par cette présence à laquelle je ne m’attendais pas, je me trouve face à une personne de ma taille, c’est-à-dire pas très grande pour un homme, mais d’une carrure équivalente à deux fois la mienne, lourdement équipé, il a certainement dû se servir du bruit occasionné par l’usine pour que je n’entende pas le cliquetis de ses armes. Son visage rond sur lequel viennent se placer deux yeux d’un gris sombre, s’affabule d’un large sourire toutes dents dehors, lui donnant un aspect presque dérangeant, surtout avec son crâne rasé. Dans sa main droite il tient deux feuilles sur lesquelles sont écrites des choses dont j’ignore tout de l’objet mais que je n’ai pour le moment pas vues dans ma recherche. Alors qu’il était accoudé sur le seuil de la porte depuis le début, il se redresse doucement pour poser sa main libre sur ses hanches et me dire :

-Je dois admettre que vous m’avez grandement facilité la tâche, l’assassinat des gardes, l’allumage de l’usine et tout ce bazar mis dans cette pièce, il n’y aura aucun mal à vous faire passer pour celle qui a fait tout ceci, surtout avec cette lettre.

Lorsqu’il parla de lettre il sortit de sa poche, toujours avec sa main libre, une enveloppe légèrement froissée, et déjà ouverte qui contenait en son sein une feuille de papier simple. Jusque-là tout ce qui se passait ne me disait rien qui vaille et tous mes sens se trouvaient en alerte depuis le début de notre conversation. Son visage, son assurance et surtout son sourire me dérangent, et me font craindre le pire :

-Et que contient cette lettre ? Dis-je dans un aboiement agressif envers lui.

-Oh trois fois rien, me répondit-il, c’est simplement l’ordre de votre commanditaire actuellement en prison pour meurtre, qui vous demande de déposer ces deux fausses factures qui accusent ce groupe industriel d’avoir engagé des tueurs pour le faire passer coupable. Les autorités retrouveront l’intégralité de ces feuilles sur vous, qui, entre temps, serez morte des suites d’une chute en plein sur l’électrochoc géant. Bien sûr ils ne se douteront pas une seconde que ces papiers sont vrais et que la lettre est un faux, car la mise en scène leur conviendra parfaitement, surtout que l’assassinat des gardes rendra la rancœur qu’ils vous porteront encore plus grande et ainsi nous serons assurés que l’homme qui nous gêne finira par moisir en prison, voire mieux finira à l’échafaud.

Après son petit discours il se tait laissant le tintamarre mécanique combler le blanc sonore qu’il vient à peine de créer. Mes craintes étaient donc fondées, et me voilà aux prises avec un homme venu m’assassiner pour mieux faire passer la pilule auprès des autorités locales. Tombée dans le panneau comme une bleue, mais au moins celui-ci a eu la gentillesse de me renseigner sur ce qu’il comptait faire et de ne pas me tuer dans le dos. Peut-être se croit-il assez fort pour me battre de front, ce n’est que trop me sous-estimer, mais soit, je ne vais pas me plaindre. Mais une question me taraude tout de même, pourquoi ? Pourquoi m’assassiner alors que mon employeur a déjà les autorités dans sa poche, l’excuse de s’assurer que tous croiront à cette version ne tient pas debout, et il y a certainement une autre cause dont j’ignore encore tout. Mais plus le temps de réfléchir, je dois me débarrasser de lui et surtout me venger de ce piège que l’on m’a tendu, on ne me dupe pas impunément !
C’est alors qu’à la plus grande surprise de l’homme la feuille dans l’enveloppe et les deux autres relevés de comptes s’envolent dans les airs comme par enchantement pour atterrir dans ma main gauche, alors que ma main droite tient désormais mon Wakisachi dégainé et près à trancher tout ce que je voudrais. Un léger sourire se pose délicatement sur mes lèvre et d’un air assuré et calme je lui dis :

-Dommage que l’on ne vous ait pas renseigné sur le fait que j’étais une Hakushi, issue d’un clan qui a su après plusieurs années d’existence maitriser le papier sous toute ses formes, même quand il s’agit de paperasse administrative.

L’individu laisse échapper une grimace de mécontentement en voyant dans ma main toutes les preuves qu’il avait contre moi. Voilà que la situation s’inverse doucement en ma faveur, et cela ne fait que commencer. En effet en une fraction de secondes la fausse lettre disparaît dans une jolie flamme rouge, pour finir en cendres contre le sol, petits morceaux noirs volatiles qui sous l’effet d’un léger courant d’air s’envolent pour disparaitre dans l’usine :

-Excusez-moi, mais vous comprenez que ce papier ne m’arrange pas vraiment, par contre ces deux-là je les gardes précieusement, j’en ai besoin pour rendre justice, dis-je en les rangeant soigneusement dans ma sacoche.

L’homme à mes simples mots, entre alors dans une colère noire et se met brusquement à se jeter sur moi, un petit sabre en guise d’arme, il se prépare à m’assener un grand coup d’estoc dans le but de me trancher. Malheureusement il n’a certainement jamais appris qu’il ne fallait jamais se jeter à l’aveuglette sur un adversaire sans savoir un minimum ce qu’il valait. D’une simple esquive en me décalant légèrement, je l’abandonne à sa course qu’il continue et ce malgré le fait qu’il m’ait dépassé, entrainé par son élan. Je lui donne alors un grand coup du manche de mon sabre sur le dos, ce qui le propulse au travers de la baie vitrée qui domine l’usine et éclate en un grand fracas et une multitude de petits morceaux de verres qui retombent dans un bruit cristallin contre le sol. Je m’approche du bord pour voir où le petit homme a atterrit, laisse échapper un sourire en le voyant étendu contre le tapis roulant, incapable de se relever, coincé par son sabre qui s’est planté lame en bas sur son bras droit lui empêchant tout mouvement d’échappatoire, son bras gauche étant trop petit pour retirer la lame. Le voyant gigoter comme une pauvre bête prise au piège, il s’avance inexorablement vers les deux grandes électrodes, le condamnant au sort cruel de l’électrocution, comme une simple bête. Feignant la pitié sur mon visage, je descends d’un bond agile et le rejoint pour arriver à son niveau. Je regarde l’épée d’un regard amateur tandis que celui-ci geint dans un charabia incompréhensible perdu entre des cris de douleurs et des supplications de le libérer. D’un geste bref et cruel je plante alors mon wakisachi sans son autre bras valide ce qui lui fait arracher un cri de douleur couvert par le bruit de l’ensemble de la chaine d’abattage :

-Réponds à ma question, dis-je en approchant mon visage du sien, et je te libèrerais, soit franc et convainc moi sinon tu finiras au grill.

La sentence s’approche de manière rapide et il ne reste qu’une dizaine de mètre avant que je ne puisse plus rien obtenir de lui, je lui pose alors ma question :

-Pourquoi vouloir me doubler sur ce coup, puisque vous n’aviez même pas besoin de cela pour que votre concurrent finisse ses jours en prison ?

Voyant qu’il ne lui reste plus beaucoup de temps et surtout que me mentir ne lui servirait à rien, il se résout en quelques secondes à tout m’avouer espérant que dans ma grande clémence je le libère.

-En vous éliminant, on…on s’assurait qu’au final personne d’extérieur n’avait été mêlé à cette affaire. Cela nous permettais d’être sûr que ja…jamais personne ne dé…noncerais notre plan à qui que ce soit. En plus on récupérait la prii prime sur votre tête à Kumo.

Voilà donc la véritable raison de cette tentative stupide et stérile de me mettre hors de course. Pas bête, mais si Kumo n’avait pas réussi à m’avoir alors comment espéraient des amateurs en faire autant ? Laissant échapper un soupir désapprobateur, je récupère mon arme qui en sortant de la chair de l’avant-bras de l’homme, laisse sortir un jet de sang qui part à grande puissance de la plaie. Malheureusement pour lui j’avais coupé l’artère radiale…
Puis je me retourne et m’en vais laissant l’homme meurtris à sa triste destinée, tandis que dans un cri de désespoir il me lance :

-Vous m’aviez promis !

-Pourquoi devrais-je tenir parole envers ceux qui n’ont pas tenu la leur ?

Et tandis que je sors de l’usine un grand cri déchire l’air, un cri de douleur atroce qui se dissipe aussi rapidement qu’il était apparu, rapidement couvert par le crissement électrique avant que toute cette horlogerie mécanique ne reprenne son rythme normal, laissant tout de même échapper une odeur de cochon grillé anormale pour un abattoir bovin…



-Alors comme ça vous l’avez tué et placé tous les indices sur son corps ? Me demande d’un air satisfait le directeur de l’usine.

-Oui Monsieur le directeur, cette catin et morte comme vous l’avez souhaité, la police découvrira rapidement son cadavre et quand toute cette histoire sera réglée, ils nous verseront la moitié de la somme mise sur sa tête comme convenu.

C’est incroyable à quel point un simple Henge peut berner le premier venu, et puis comme ça je vais pouvoir récupérer ce qui m’est due, c’est-à-dire la récompense que celui qui est mort carbonisé devait récupérer pour m’avoir assassiné. Mais ma vengeance ne s’arrêtait pas ici, loin de là même :

-Parfait, me dit-il gardant son air satisfait, on ne peut que compter sur ses plus proches collaborateurs pour réussir à bien ce genre de chose. Comme promis voilà votre prime. Vous pouvez disposer désormais.

D’une simple courbette gracieuse, je me retire doucement du bureau où siège au centre assis sur un coussin l’homme qui régnait avec une main de fer son empire de mort. D’un sourire qu’il pourrait prendre pour une simple amabilité, c’est en fait un sourire de plaisir sadique que de l’avoir berné jusqu’au bout. En sortant par la porte coulissante traditionnelle toujours en reculant, je referme celle-ci avec calme et douceur pour me retourner et faire face au chef de la police locale. Surpris de me voir sous cette forme, il sursaute d’un coup et se reprend lorsque les traits de mon apparence normale de shinobi déchu du village caché de la foudre refont surface :

-Votre Henge est tellement bien réussi que j’ai cru avoir affaire avec un fantôme, me dit-il.

D’un geste du doigt placé sur mes lèvre je lui signale d’être plus discret ce qu’il fait volontiers en reprenant :

-Voici votre récompense pour nous avoir aidé à résoudre cette bien mystérieuse affaire, sans vous un innocent aurait pu finir pendu, maintenant si vous le voulez bien, nous avons un homme à arrêter…

Sans un mot je lui laisse la place de passer lui et ses hommes, et lorsqu’ils ouvrent la porte du grand bureau, je m’éclipse silencieusement toujours avec ce même sourire sur les lèvres, entendant au loin les phrases qui m’assurent que l’arrestation est en bonne voie…
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