Le clan Saibõgu, l’un des plus fier clan du désert, le plus avancé technologiquement parlant, évidemment, mais aussi celui dans lequel l’on dédie des bâtiment entier à la recherche, des laboratoires en passant par les ateliers de fabrication, ce que l’on peut trouver dans ce clan à une avance de plusieurs dizaine d’année sur les autres clans, et bien sur cela n’est pas fait pour faire redescendre l’égo des membres du clan. Nous connaissons notre potentiel et notre valeur pour le village du sable, ce qui nous a entre autre permis de prendre plusieurs grand bâtiment que l’on a pu dédier à la recherche, la fabrication et bien évidemment au test de tout notre matériel, aucun clan n’a été lésé dans la répartition des bâtiment, du moins pas que je le sache, mais le mien était celui qui en avait le plus besoin par rapport au autre qui n’étant composé pour la plus part que de shinobis n’ont besoin que de maison et de dojo....

Je travaillais dans mon atelier et j’essayais de créer une nouvelle arme qui un jour peut être viendrais renforcer mon équipement, il me fallait d’abord la terminer, en utilisant tout ce que j’avais ramené de voyage, des matériaux très rare que je ne pouvais me permettre de gaspiller bêtement, et puis il me fallait des calculs précis, des plans parfaits pour que mon chef d’oeuvre soit au niveau de mes espérances, à savoir exceptionnel ! Mais surtout vu le potentiel du projet sur lequel je travaillais il me faudrait encore augmenter mon niveau si je voulais espérer être capable d’un jour l’utilisé sans mourir sur le coup car mes réserves de chakra aurait atteint le seuil critique...

Mais comme cela n’arriverait pas tout de suite je pouvais me permettre de quitter un moment mon atelier et d’aller me détendre en faisant la meilleur chose qui soit, boire !
J’allais me rendre dans le bar du clan, un bar ou seul les membres du clan était autorisé et où l’on ne risquait pas de tomber sur un rustre du village et surtout, un endroit où le grade était la chose la moins importante ! Ici la seul chose qui comptait était ton intelligence, voire même ton génie. Car les plus respecté dans la clan n’était pas ceux qui avait le niveau junin ou supérieur, bien qu’il est une place importante. C’est avant tout les génie en mécanique, en armement ou n’importe quelle autre science du clan qui était les gens les plus important, d’ailleurs la chef du clan était la créatrice des plus grosses production du clan et c’était bien pour cette raison qu’elle était à cette place.

Dans ce bar donc, peut importe que tu n’es que le rang de Genin, le fait d’avoir voyager pendant 13 ans en ramenant au clan de nouveau matériaux, de nouvelle idée, de nouvelle arme, m’avait permis de me faire connaître un peu et je n’étais donc pas un parfaite inconnu pour tout le monde. Je pouvais sans problème tenir une conversation avec quelqu’un de respectable sans que l’on me rit au nez, et c’était la ma satisfaction, pour l’instant !
Je commandais un verre et une fois que je fus servie j’allais discuter mécanique avec deux autres hommes de mon âge qui n’étaient même pas des shinobis et qui étaient en train de travailler sur un projet incroyable !

Je pensais rester là à discuter pendant des heures, mais quelque chose ou plutôt quelqu’un vint perturber ma concentration à écouter ce que l’on me disait... La porte s’était ouverte, et l’on pouvait voir dans l’embrasure une demoiselle des plus charmantes faisait son apparition. C’était la première fois que je la voyais mais déjà j’espérais que ce ne soit pas la dernière. Surtout que je connaissais son appartenance au clan ce qui me réjouissait encore plus ! Il ne me restait plus qu’une chose à faire, lui parler. 
J’attendis qu’elle se trouve à une table pour aller la voir !

«Bonjour ! Je peux?»



En montrant la chaise, et sans même attendre une réponse je m’assis, ça faisait tellement gros pervers qui débarque, mais on s’en fout non ? Je pensais que dans ce clan l’on était au dessus de ce genre de considération. Je ne voulais que savoir qui elle était ! 



«Moi c’est Kyõshirõ mais tu peut m’appeler Kyõ.»



Lui dis-je en laissant échapper une grosse nappe de fumée après avoir tiré deux grosses tafs sur mes cigares.



«Et toi c’est quoi ton petit nom?»