Après avoir cherché des bonbons pour ce qui on appelle la ‘mascotte’ du Shukai, voilà maintenant qu’il fallait aller cherché un piaf en centre ville. J’ai l’impression d’être un homme à tout faire ahaha. Je devais passer au centre des missions pour rejoindre mon camarade Kirito, maintenant que j’ai déjà passé un peu de temps avec lui lors de ma magnifique performance de présentation devant notre senseï, au moins lors de cette mission j’allais en apprendre un peu plus sur ce beau blondin.

J’arrive au centre, Kirito m’attendait déjà et m’accoste avec son ‘kun’ comme à son habitude. Cela me fait sourire, puis je lui réponds de même en lui faisant un signe de la main.

« Oye Kirito-kun, ça va bien, il fait bien beaux pour un temps d’hiver, quoi de mieux pour bien aller ahaha, et toi la forme ? »

Il semblait mal à l’aise avec ma grande taille. En même temps je suis tellement grand cela doit être chiant pour lui de toujours devoir lever la tête ainsi. Je continue directement sur le sujet principal pour moi, que pensait-il de notre chef de groupe.

« Je ne savais pas que Yuki était aussi jeune ça m’a fait un choc de savoir que notre senseï tien un post si important à son âge. Elle doit être sacrement balèze. Enfin bref, t’en penses quoi toi de notre senseï ? En plus entre Samui, tu as jamais essayé quelque chose ? Ahahaha. »

C’est vrai qu’il est plutôt beau gosse, même si un peu maigrichon, je pense qu’il a quand même toute ses chances, et puis entre Samui, je me demande si la glace devient chaude.. Il faut que j’arrête de penser, cela en devient mauvais pour mon esprit mature.

Je lui propose également de faire route au centre ville afin de remplir l’objectif de notre mission le plus vite possible. Il fallait attraper un oiseau, ce qui voulait dire, le capturer en vie. Cela avait l’air galère car en général, lorsqu’on s’approche d’un piaf, il s’envole vite pour fuir. Bon celui-ci vole dans tous les sens du terme ahahah.

« Tu as une idée de comment l’attraper ? »

Nous voilà au centre ville, le piaf’ ne doit pas être loin, j’ouvre les yeux attentivement de partout, les bacs à fruits, les airs, bref.