Elles étaient étincelantes, je pouvais voir mon reflet sur la céramique tellement celle-ci était propre. C’était sûrement la mission la plus facile et nul que j’ai eu à faire au cours de ma vie, mais les toilettes n’allaient certainement pas se laver tout seul. Je n’appréciais pas tellement ce genre de tâche, mais bon, c’était pour le village et en même temps, j’allais me faire quelques Ryos pour payer le loyer. Avec tous les produits ménagers que j’avais utilisés, ma tête tournait, j’avais peut-être exagéré sur la quantité à utiliser, mais je voulais réellement que tout soit propre. Ayant fait la toilette des femmes avant celle des hommes, quelque chose m’avait réellement surpris, le petit coin des hommes était plus propre que celui de la gent féminine.

Alors, que je rangeais les produits sur le chariot de concierge, un homme d’une cinquantaine d’années m’interpella avec un simple : Hey ! Il portait une longue barbe grise et avait très peu de cheveux, ceux résistant était tout simplement blanc. Jamais auparavant, je n’avais vu cet homme et pourtant, ce n’était pas la première que je venais au palais faire des tâches.

- Que puis-je faire pour vous monsieur ? Dis-je avec le sourire.

L’homme fronça les sourcils et répliqua aussitôt.

- C’est mon père qu’on appelle monsieur, je suis encore tout jeune et j’ai toutes mes dents. T’es supérieur m’envoie te dire que tu as un entraînement de prévus avec Aburame Mizuki, une Chûnin du village.

Quelque chose d’intéressant allait embellir ma journée, je ne m’attendais pas à subir un entraînement aujourd’hui et c’était pour le mieux. J’allais pouvoir améliorer mes connaissances en tant que Shinobi. Alors, que je partais vers le terrain d’entraînement, l’homme me regarda avec un sourire sadique et rajouta.

- Merci d’avoir nettoyé les toilettes, ne t’inquiète pas, je vais essayer de ne pas trop les salir ha ha ha !

C’était réellement méchant de sa part, moi qui venais de passer tout un avant-midi à m’efforcer de bien faire, voilà que lui en un instant allait tout salir. Il va falloir que j’y retourne après avoir rencontré la Chûnin en question.

Arrivé au terrain, je vis que j’étais le premier à être là, j’allais donc devoir attendre que l’Aburame sois là et nous commencions l’entraînement, j’étais réellement impatient.

Eternelle rivale des autres villages depuis le début de l’ère Shinobi, Konoha se démarque par sa douceur de vivre et ses habitants chaleureux. L'Histoire, cette ingrate, n'a retenu que les organisations criminelles, les déserteurs et les guerres, alors qu'on aurait aussi pu citer la volonté du feu et les gens qui se font tatouer à des endroits pas prévus pour. Mais bon, j’aime mon village, et c’est pour ça que je le quitte (boum, poésie dans ta face). Enfin, pas longtemps. Juste le temps de préparer deux-trois bricoles pour les montrer à des centaines de milliers de personnes, pour juger l’avenir de centaines de jeunes ninjas et peut-être être l’instigatrice de la future génération de shinobi du monde. Quoi ? C’est à la portée de tous, non ? Je veux dire : un chien avec un chapeau s’en sortirait tout aussi bien que moi !

Du coup, comme Miko pense que je suis à la polyvalence ce que Hôritsu est à la sympathie modeste et chaleureuse, elle continue de me faire assister à des réunions inutiles, occultant par mégarde (sans doute) de me convier à celles qui ont de l’intérêt, elle me donne encore les affaires quotidiennes à traiter et en plus, aujourd’hui, a eu la bonne idée de m’envoyer entraîner un Genin. Pleine d’espoir et de bon sens, je m’étais dit que c’était soit un de ceux qui partaient pour Suna, ou l’un de ceux dont on ne connaissait pas encore le sort final… Et non. Non, non. Juste un Genin qui restera à Konoha et qui n’a même pas pensé à s’inscrire à cet examen parce qu’il n’est pas ninja depuis longtemps. Très bien, soit. Mais toujours avec le sourire, je finirais tout ce que j’ai à faire après ma nuit de sommeil allant de 4H03 à 4H09. Merci Miko d’être une supérieure si douce et agréable.

Je pris tout de même mon affectation, sans me plaindre, et me dirigeai vers les terrains d’entraînement en lisant le parchemin. C’était de toute façon toujours aux terrains d’entraînement. Je rêve d’un jour où on m’écrira « Salut balai à chiottes ! Tu vas entraîner ce quidam dans les toilettes du Colisée. Bisous, bon courage, que la Force vous soit toujours favorable (ou un truc dans le genre) ». Kinzoku Yamiko ? Pourquoi est-ce qu’on m’envoie toujours faire des trucs improbables ? Genre « Olala, Mizuki, tu contrôles les insectes ? MAIS C’EST PARFAIT POUR ENTRAINER UN UTILISATEUR DU KINTON, allez hop hop hop ! ». Enfin bon, allons entraîner cette jeune pousse Konohajin. J’arrivai sur les lieux à l’heure pour apercevoir le jeune homme aux longs cheveux. Je m’approchai de lui en souriant. Je lui souris.

- Salut. Tu dois être Yamiko, je présume ? Moi c’est Mizuki. Enchantée de te rencontrer.

Bon, restait à déterminer quoi lui enseigner. La logique entre insectes et métal était assez éloignée, mais il y avait bien quelque chose qui pouvait convenir. En fin de compte, cette technique était tellement polyvalente qu’elle saurait être adaptée au kinton. Je posai mon sac contre un arbre et je me mis face à mon élève d’un jour.

- Le plus simple et le plus utile, je pense, est de t’enseigner les clones élémentaires. En métal, ils peuvent s’avérer très utiles.

J’exécutai rapidement quelques mudras pour faire apparaître deux clones de moi-même.

- Les clones élémentaires ne sont pas très résistants, mais ont le mérite de créer une diversion crédible. Ils sont aussi capables d’exécuter les techniques de leur affinité, et ont une caractéristique propre quand ils explosent. Regarde.

Je fis un mouvement de tête vers un de mes clones qui asséna un coup de poing dans le ventre du deuxième, plutôt léger mais qui le fit disparaître dans une nuée d’insectes qui foncèrent vers la cible et s’agrippèrent à elle, la faisant disparaître à son tour dans une nuée d’insectes qui ne fit rien par absence d’adversaire, mais qui revint vers moi pour rentrer à la maison.

- La première chose à déterminer est : que veux-tu que tes clones fassent avec ton kinton lorsqu’ils exploseront ?

J’observais et j’écoutais avec toute l’attention du monde ce que m’enseignait Aburame Mizuki, celle qui était le bras droit de notre chère Hokage. C’était un réel honneur de m’entraîner et d’apprendre auprès d’elle, peu d’élèves de Konoha avaient la chance de pouvoir prétendre d’apprendre auprès des meilleurs et j’en faisais partie. Elle me fit une démonstration de clone élémentaire, deux clones avaient apparu aussi vite qu’ils s’étaient détruits. Une chose que je devais admettre, les clones étaient utiles et une fois détruit, cela pouvait être dangereux pour un adversaire mal préparé. Ce que j’allais apprendre aujourd’hui, allait m’être utile tout le long de mon aventure en tant que shinobi.

Elle voulait que je détermine l’effet qu’aurait mes clones une fois qu’il serait détruit, ce n’était pas une question facile, il y avait tellement de possibilités et choisir entre elles n’étaient pas facile. Soudainement, une idée simple, mais efficace me vint en tête et je la partageais avec mon maître du moment. "Admettons qu’un adversaire détruise mes clones au corps-à-corps, serait-il possible que ces derniers explosent comme les vôtres et libèrent des shurikens qui irait dans tous les sens ? " Pour moi, c’était la meilleure chose à faire, si quelqu’un était assez idiot pour s’approcher, il allait recevoir des projectiles coupant comme des lames de rasoir.

Une question me tourmentait tout de même, un adversaire pouvait-il faire la différence entre mes clones et moi-même. " En plein combat, est-il possible que mon adversaire devine que ce soit un clone et que je sois ailleurs ou ce dernier est indétectable ? " Une question qui pouvait apparaitre idiote pour certain, mais je voulais m’assurer d’assimiler le moindre détail qui pouvait me sembler important lors d’un combat ou même d’infiltration.

Maintenant, il ne restait plus qu’à attendre les enseignements de Mizuki sur les clones. Je pus m’empêcher de penser aux toilettes que j’avais récurées plus tôt dans la journée et comment cela allait plus rapide de le faire avec des clones après avoir appris comment les utiliser ! Mon efficacité allait doubler, et même triplé s’il le fallait.

- Oui bien sûr, c’est d’ailleurs ce que je te conseillerais. L’efficacité en combat n’est pas toujours dans l’originalité. Les clones sont une alternative assez puissante en combat puisque ton adversaire sera obligé de les prendre en compte. L’explosion de shurikens pour un Kinzoku comme toi est une bonne idée. Cependant…

Je refis des mudras et fis réapparaitre un clone, duquel je m’éloignai un petit peu. Puis je lançai un kunaï en plein dans le ventre de mon clone d’insectes. Cependant, à la différence des deux précédents, les insectes libérés tournèrent quelques instants avant de se disperser et de revenir vers moi, non pas pour m’attaquer mais pour rentrer. Là était la principale limite des clones élémentaires.

- Il faut que tu sois bien conscient que le chakra que tes clones auront, et qui sera la base de la technique qui sera utilisée lors de la dissipation, n’est pas conséquent, sinon tu ne serais plus capable de te battre toi-même. Sans compter que parmi le chakra que tu injectes, le clone en lui-même en utilise. Il n’en reste que très peu à l’explosion, et les effets restent somme toute… Faibles. Ils sont cependant efficaces au corps à corps. Il te faudra injecter plus de chakra pour faire des dégâts supplémentaires lors de la disparition de ton clone. Mais ce n’est pas à l’ordre du jour.

Je lui souris, en me rapprochant une nouvelle fois de lui. J’avais assez parlé, l’heure était désormais à la pratique. La première chose que je lui appris, ce fut la succession des mudras nécessaires à la réalisation des clones élémentaires. Une suite très courte mais essentielle à connaître.

- Une fois que tu auras malaxé ton chakra, il faudra que tu te concentres pour libérer cinq flux de chakra équivalents de nature Kinton. Puis, tu feras en sorte de leur faire prendre ta forme, et c’est là que se complique la chose. Tu dois savoir faire un Bunshin, et tu dois être capable de manipuler ton chakra métal : à toi de réussir à combiner les deux et de façon concluante. Vas-y.

Je croisai les bras, le regardant faire. Peu de gens sont capables de réussir des clones parfaits, et personne ne réussit du premier coup. Mais le but des entraînements, c’était de permettre la réussite. Yamiko n’échouera pas, il trouvera plusieurs façons de ne pas réussir. Mais il avait l’air motivé : plus que certains autres élèves que j’ai eu à entraîner l’espace d’une journée. La vraie complication allait arriver une fois que ces cinq clones élémentaires seront formés : il faudra leur inculquer la technique d’explosion. Et ça, pour le coup…

J’eus quelque leçon sur l’aspect combat de la technique de clone, mais celle qui m’intéressait le plus parmi eux était celle sur la force de la déflagration lors de la disparition de l’un de mes clones. Le chakra qu’il contenait était moindre et donc les dégâts l’étaient aussi à leurs tours. C’était réellement une technique efficace, mais qui était limité par la quantité de chakra qu’on pouvait y consacrer. Probablement que plusieurs combats étaient gagnés par la quantité d’énergie investie dans ses clones et de la façon qu’on les utilise.

- C’est vraiment intéressant d’apprendre toutes ses informations pour de futur combat et ça relève beaucoup de réponses à mes questions sur les tactiques qu’on peut adopter, merci de prendre le temps pour m’enseigner tout cela.

Même si j’avais eu un cours sur l’utilisation 101 sur les clones, une question restait en suspens dans mon esprit. Le contrôle que nous avions sur nos clones se faisait-il à 100 % où il était indépendant lorsque invoquer. Ce n’était pas du tout la même technique que nous apprenions à l’académie, avant il fallait tout simplement invoquer un clone qui ne bougeait pas, c’était d’une facilité sans pareil.

- Une question me trotte tout de même dans la tête, lorsque j’utilise cette technique, j’ai le contrôle total sur l’agissement de mes clones ?

C’était maintenant l’heure de la pratique, les ordres étaient simple, concentré mon chakra métal en cinq flux différent, mais égaux et en faire un Bunshin, mais cette fois-ci avec mon élément particulier. Étant donné que pour moi mon don pour les métaux était inné, je maîtrisais presque parfaitement mon chakra de kinton, la partie plus difficile serait de la transférer dans mes clones sans que ce soit mon chakra naturel qui les matérialise.

Je me concentrais du mieux que je pouvais oubliant tout ce qui m’entourait et je joignis les mains pour composer les mudra nécessaire à l’accomplissement des clones. Une fois ceci fait, trois clones de métal apparaissaient dans un nuage de fumée, mais ceux-ci étaient gris comme du fer, raté. Il manquait encore un peu de pratique, mais le résultat n’allait pas tarder, du moins c’est ce que je croyais. Après au moins une quinzaine de fois, les premiers clones qui me copiaient étaient là devant moi, cinq beaux clones qui étaient ma copie parfaite. Je m’éloignai un peu en reculant, je créai une aiguille avec ma maîtrise et lançais sur l’un d’eux qui explosa en plusieurs kunais ce qui eut pour effet de détruire ceux restant.

- Je crois que je suis presque arrivé au résultat parfait, mais il me faut encore de la pratique pour maîtriser complètement cette technique, que me conseiller vous d’autre ?

Je ne sais pas si l’entraînement ne consistait qu’à n’apprendre que cette technique, mais j’étais prêt à d’autre défi ou continuer mon entraînement sur les Bunshins, c’était très instructif. Maintenant, je n’attendais plus que la réponse de mon sensei du jour.

- Tu peux me tutoyer, tu sais.

C’est à ce moment qu’on commence à se sentir vieille. Il y a deux étapes, en fait. Quand les jeunes commencent à te vouvoyer, tu sens déjà que la différence d’âge. La deuxième étape, la pire, c’est quand on commence à t’appeler « Madame ». C’est clairement le début de la fin.

- Concernant le contrôle des clones, c’est bien plus simple que ça. Tes clones, c’est toi. Et tu es tes clones. Non, tu ne les contrôles pas comme tu contrôles une marionnette. Mais ils font ce que tu aurais fait. Ils ont les mêmes idées que toi au même moment. Et ils agissent dans ce but, donc pas vraiment de problème. C’est aussi l’avantage de cette technique : une fois lancée, tu es sûr qu’elle fera pour le mieux et comme tu l’entends. Allez vas-y, montre-moi ce que tu sais faire.

Les clones élémentaires étaient bien plus simples que des Kage Bunshin pour des ninjas maîtrisant et leur élément, et le Bunshin ordinaire. La maîtrise n’est pas compliquée : tout est une question de dosage. La bonne dose de chakra au bon moment, pour en donner la forme que l’on souhaite. Une fois le déclic amorcé, la réalisation en est simple. Et ma vision des choses fut vite confirmée vu qu’il réussit assez rapidement à former des Bunshin que j’appellerais « mi –élémentaire ». Ils étaient faits en chakra Kinton, ils lui ressemblaient comme deux gouttes d’eau… mais l’explosion finale restait à travailler.

Assise contre un arbre à l’ombre, à le regarder, je me levai quand il se tourna vers moi et me dirigeai à ses côtés.

- Il te reste la partie la plus compliquée à maîtriser, en fait. Tu utilises bien trop de chakra pour un résultat qui n’est pas parfait. Tu donnes la bonne quantité pour faire les clones, mais tu en donnes un surplus pour l’effet final : or, c’est le même chakra qui doit s’occuper des deux. Quoiqu’il arrive, n’essaie pas de donner une quelconque résistance à ton clone : à ton niveau, ce serait de la dépense dérisoire. Le chakra matérialisé doit se concentrer sur la forme et sur l’effet, et sur rien d’autre. Ne dépense pas plus que nécessaire. Et dis-toi qu’une fois la forme obtenue, tu peux re-malaxer sans contrôler la forme : elle ne bougera plus. Vas-y, réessaye.

Je ne m’attendais pas à ce qu’il réussisse aujourd’hui. A vrai dire, l’apprentissage parfait d’une technique se fait sur plusieurs jours. Mais même avec ce surplus de chakra, son explosion finale n’est pas parfaite : elle est encore trop faible par rapport à ce qu’il pourrait faire. Ce que j’attendais de lui aujourd’hui, c’est le clone parfait et dans l’exécution, et dans l’explosion. La consommation optimale de chakra se régulera naturellement avec le temps…

L’entraînement devenait de plus en plus essoufflant, je n’avais pas une quantité illimitée de chakra et pour quelqu’un de mon niveau malgré mes talents, j’en avais utilisé plus qu’à le normal. Malgré tous les efforts que j’avais fourni la technique n’étaient pas encore parfaits et cela demanderait un autre gigantesque effort. La sueur me perlait sur le front et je haletais à cours d’énergie, mais j’allais puiser au fond de moi afin d’y trouver le courage nécessaire et réussir ce que Mizuki-sama me disait de faire.

- Pas de problème, je vais te tutoyer désormais, mais je vouvoyais seulement par formule de politesse, désolé si je t’ai blessée !

Je joignis une autre fois les mains en concentrant tout mon chakra d’une façon uniformisé afin que mes clones explosent autant qu’il le pouvait avec le chakra que je fournissais. L’effort demandé était extrêmement difficile, mais faisait de mon mieux. Peu après, on pouvait voir le résultat face à moi, le clone était beau et sans défaut, maintenant, il fallait passer au test de résistance et d’explosion. Je sortis un kunai de ma poche et l’envoya en plein torse sur mon Bunshin, celui-ci explosa, mais tous les shurikens retombèrent à ses pieds.

- Bordel, j’ai encore raté ! Pardon… C’est plus difficile que je le croyais ! Je suis à bout de souffle, je crois que je vais manger un peu avant de reprendre.

Je pris mon déjeuner qui était dans un sac posé sur un arbre au loin et l’ouvrit, il y avait un très plusieurs sandwichs et des oranges. Au fond du sac, il y avait aussi une tonne de bouteille d’eau pour ne pas faire une déshydratation, ça serait la façon la plus conne de tomber pour un shinobi.

- As-tu faim ? J’ai des sandwichs en trop, elles sont au poulet. Dis-je en lui sortant une bouteille d’eau et le repas que je déposais près d’elle.

Après avoir mangé à ma faim, je sentais mon énergie augmenter peu à peu, il n’y avait rien de mieux qu’un bon repas pour reprendre des forces. Je ne pris pas la peine d’attendre de digérer que je recommençais les exercices appris par l’Aburame. Je répétais les mouvements et mis la bonne dose de chakra à plusieurs reprises jusqu’à temps d’avoir un résultat satisfaisant à mes yeux, mais peut-être pas pour Mizuki.

- Alors, qu’en dis-tu de ces derniers clones ? Dis-je avec un énorme sourire.

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