Certains sont leurs propres ennemies... [PV : Yukita E. Kami ~ Mission rang B]

Citation :: Les stars, ces personnalités imbues d'elles-mêmes, qui aiment à se satisfaire de choses bien superflues. Vous voyez, ce genre de choses ? Eh bien vous allez escorter un chanteur jusqu'à Tetsu No Kuni, sans qu'il n'arrive rien à ce narcissique pervers égocentrique. Votre plus grande difficulté sera de ne pas le tuer.

Le petit matin, comme d'habitude, je me suis préparé, j'ai mangé un petit quelque chose et j'ai rempli une petite montagne de papiers. La paperasserie, l'ennemie mortelle d'une journée et de la bonne humeur. Parfois, j'en oublie presque que je ne suis pas majeur, j'ai plus de responsabilités que certains adultes alors que je n'ai même pas seize ans. Il faut dire qu'entre mon unité et mon clan, je n'ai pas le temps de m'ennuyer, mais malgré tout cela je n'en reste pas moins une chuunin et une kunoichi et donc j'ai un autre type de responsabilité.

Cette vérité m'est rappelée par un simple pli délivré par un de mes hommes qui me l'apporte en main propre. Une mission de rang B ? J’imagine que la moindre rentrée d'argent et de prestige est bonne à prendre pour notre pays ? C'est étrange, le nom de la personne à escorter me dit quelque chose. J'interroge du regard le message faisant partie de mon clan, lui montre le nom et il me révèle qu'il s'agit d'une star montante, un chanteur ayant une certaine notoriété et qui a même eu le droit à les honneurs a Tetsu no kuni.

Bon, une mission d'escorte en somme, rien de particulier, enfin, c'était avant que je ne voie que j'ai fait tomber un papier. Une seconde lettre dans la première ? Bon, je vois que la calligraphie n'est pas la même et commence à la survoler pour voir à la fin la signature de l'acteur et... QUOI ?! IL EST SÉRIEUX ?! C'est quoi cette liste d'exigences ? Elle est plus longue que mon bras, littéralement ! Et écrit en petit en prime, pas de la grosse lettre à l'ancienne hein.

Je souffle, commence a lire et voies des choses plus aberrantes les unes quel es autres... Enfin soit, c'est mon travail et je vais devoir m’y plier. Un kimono court, à poitrine ouverte et avec...

"Ce truc existe vraiment ?"

L'air désolé, il me confirme que oui et c'est alors que j'observe ce qui doit être le record toute catégorie à la fois du mauvais goût et de la lingerie la plus légère jamais créer... Donc résumons, non seulement je vais devoir porter un kimono coupé de sorte à ce qui s'arrête a la limite de mon fessier qui sera apparent si je me courbe ne serrais ce qu'un peu, aussi fait de sorte que l'on vois une grande partie de ma poitrine a la limite de la décence, mais en plus avec des sous-vêtements qui ne méritent même pas ce qualificatif, la lingerie fine a au moins le bon goût d'être jolie, ça, c'est juste vulgaire... Foutu pervers... Je vais en entendre parler pendant longtemps quand les autres vont me voir comme ça.

Bon, je vais au point de rendez-vous avec mon coéquipier pour cette mission en portant une cape pour me couvrir, avant que je ne sois obligé de l'enlever et de me couvrir de honte. Tiens d'ailleurs, je le vois arriver alors que je viens de retirer mon rempart de tissus.

"Je suis Tsukiyo Kadoria Koémi, j'imagine que tu as aussi eu le droit à une liste ridicule d'exigence improbable ?"

J'ai presque autant, voir moins de tissus sur moi qu'une prostituée et je n'exagère pas du tout en disant ça. Je respire un bon coup, ce n'est qu'une mission... Le plus beau, c'est qu'on ne sait pas encore que notre protégé fait la grasse matinée et va arriver avec quatre heures de retard, temps pendant lequel je vais surement poireauté a l'entrer au vu de tout le monde dans une tenue qui dans d'autres circonstances me ferait certainement arrêter pour attentat à la pudeur. Ah ! Oui, comme si ça ne suffisait pas monsieur ne veux pas d'armes visible, heureusement que je suis une spécialiste en sceaux, sinon je serais réellement a poil, enfin en quelque sorte.

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Fidèle homme appartenant au pays du fer de coeur, pays de foudre par obligation. En temps qu'être divin, je ne pouvais percevoir les circonstances du monde actuel. Vivre dans un monde ou la paix n'était juste une vulgaire utopie oublier des gens. Vivre dans le chaos total, sans la moindre chance de rester sur des terres paisible. La paix, la vie, la nature tout allé disparaitre. D'un simple claquement de doigt, moi le fils de dieu ferait du monde shinobi un havre de paix.

Une mission d'escorte au pays du fer. Mon pays de naissance, mon pays de coeur. Passant toute mon enfance et adolescence en ces lieu, que j'affectionnais par dessus tout. Fier samouraï au bandeau de Kumo. L'ordre aujourd'hui était de faire équipe avec une jeune Konoichi du village pour amener ce qui d'après le papier, catalogué notre mission de " star ". Un chanteur à en lire le papier de la mission. Mais que viendrait faire un chanteur dans le pays du fer. Les habitants n'avaient que faire d'un homme hurlant des choses les plus inutiles dans un micro. Il allait être ravi de l'accueil des samouraïs.

Le lieu de rencontre, était au sentier perdu. Plus communément appelé les portes du village de la foudre. Nous étions obligé de passer par le sentier pour quitter ou entrer dans le village. Une sorte de protection contre les éléments inconnu voulant s'aventurer chez nous. Bien, ma tenu officiel, longue tunique noir avec sur ma tête la capuche. Celle ci me servait à me protéger du soleil et de la température très rude du village. Le climat ... putain horrible de vivre sous une tel chaleur constante tout au long de l'année. pas qu'il faisait si chaud, mais aillant pour habitude d'un climat plus froid, la transpirer en devenais insoutenable. Katana dans mon dos, fin mon parapluie, mon bâton attaché dans la diagonale de mon parapluie, je sortais de chez moi.

Il fallait faire équipe avec une fille, pourquoi pas, et d'autant plus que en ce moment niveau libido j'étais un peu à sec. Tirer un petit coup, ou à la limite un petit dîner, deux trois d'ose de testostérone et voila j'en serais que combler. Faut il encore que je sois à son goût, et qu'elle le soit aussi. Il faut aussi qu'il n'est pas peur des monstres caché dans le noir de mon calbute. Bref, une marche lente et voir très lente. Je regardais sur les cotés des jardins, histoire de ne pas venir les mains vide. Un petit bouquet de fleur histoire de marquer le ton d'entré.
Arrivant au niveau du sentier, je pouvais apercevoir une jeune demoiselle, vêtu d'une cape de ce que je pouvais voir. venant presque à ça hauteur, la fille faisait sauter sa toile pour laisse paraître son corps. J'étais rejoins quelque minute plus tard par notre objectif de la mission. Mon dieu ....

La tenu vestimentaire de cette jeune femme n'était pas du tout tolérable, et encore moins venant d'un homme voulant aller au pays du fer. Mon visage changeait rapidement d'expression, passant de la joie, à la fermeté la plus total. Main derrière mon dos, près à dégainer mon katana, je m'approchais de la jeune fille qui venait de ce présenter. Koémi. Jolie prénom, qui ne va pas en adéquation avec la tenu qu'elle arbore. Effectuant un mouvement rapide avec ma main, j'enlevais ma tunique noir, laissant alors mon kimono à l'air libre. Sans rien demander à Koémi, je lui enfiler histoire de la couvrir un peu.

" Il est impossible d'entrer dans Tetsu avec une tenu pareil très chère demoiselle. " tout en terminant ma phrase, offrant le bouquet de fleur à Koémi, je me retournais cet fois vers notre chanteur. " Toi par contre, encore une sorte de délire de ce genre, et je fais en sorte de te fourrer les yeux dans un endroit de ton corps ou la lumière n'apparaît jamais. Compris ? "

Moite, dégoulinante de transpiration avec un regard tout aussi lourd de perversité. Je pensais que ce n'était qu'un satyre comme les autres alors que mon coéquipier n'était pas encore là. Je n'avais pas réagi à cette main venue se coller droit sur mon postérieur... En fait même si j'avais sû que c'était lui, je n'aurais plus réagi, restant calme et inflexible malgré la tenue que je porte. Comment j'avais fait pour ne pas le reconnaitre ? Avouez qu'une célébrité entre son apparence courante et celle sur scène change beaucoup. Je ne sais pas trop à quoi il ressemble et encore moins dans ce cas-là. Laissant le porc profiter de sa prise en serrant les dents, il lâche celle-ci alors que Kami est maintenant présent.

Pervers, machiste qui aime rabaisser les femmes pour son seul et unique plaisir sadique. Enfin soit, une mission est une mission et je vais devoir faire avec. Maintenant que je porte ce manteau sur mes épaules comme un vigoureux rempart entre cette tenue incommodante et le monde extérieur. Je me sens mieux j'avoue, avoir aussi peu de tissus revient presque à être nue, non au moins la nudité à une connotation de pureté, là, c'est juste un concentré de vice et de fantasme masculin.

"Je[...]"
"SILENCE FEMME ! Nous ne vous avons pas permis de parler."

Je le haïs déjà, mais j'ai suffisamment de jugeote et de sang-froid pour ne pas le montrer. Bientôt, je sens que je vais devoir... Rectification, trente huitièmes dans la liste, faire la cuisine en ne portant qu'un tablier et rien en dessous... Enfin soit, si ne s’assurer que personne et moi la première, ne vienne l'égorger alors cela sera fait. Ce qui est drôle, c'est de voir la différence de regard entre les moments où il porte ses yeux sur moi où sur le samouraï. Il y a une pointe de respect et de jalousie qui se perd dans son narcissisme quand il regarde mon coéquipier... Pour lui, je sens par contre que je ne suis qu'un morceau de viande.

"Nous sommes clients, nous faisons ce que nous volons."

Puis il lève la tête avec un air de dédain, laissant sous-entendre qu'il est bien trop supérieur pour devoir faire ce genre d'explication qui est tout naturel. Il me lance un regard à la fois perfide et lourd de sens alors qu'il me fait signe de retirer le manteau. Je n'ai pas réellement le choix. J'obtempère non sans me forcer et rends son vêtement et le peu de regain de dignité que Yukita m'avait offerts. Autour, je pensais voir un tas de personnes en profiter pour se rincer l'œil. Mais le fait est que même s'ils le font un peu quand même, j'ai surtout l'impression que si on reste ici un kunai ou un shuriken pourrait "accidentellement" mettre une issue funeste à notre mission. En voyant un civil cracher ainsi sur la fierté d'une kunoichi de Kumo c'est aussi à eu qu'il manque de respect.

Le client remarque aussi la tournure des choses et commence à se diriger vers l'opposé du village caché toujours avec une vanité affirmée. Puis dans un faux geste de galanterie s'assure que je passe devant pour pouvoir observer mon derrière... Cette escorte va être longue, très longue.

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Fidèle homme appartenant au pays du fer de coeur, pays de foudre par obligation. En temps qu'être divin, je ne pouvais percevoir les circonstances du monde actuel. Vivre dans un monde ou la paix n'était juste une vulgaire utopie oublier des gens. Vivre dans le chaos total, sans la moindre chance de rester sur des terres paisible. La paix, la vie, la nature tout allé disparaitre. D'un simple claquement de doigt, moi le fils de dieu ferait du monde shinobi un havre de paix.

La rencontre avait été de plus tendu, entre moi même et la pseudo star ce croyant au dessus de tout. La façon de parler envers Koémi ainsi que son délire de vouloir à tout prix la mater. Lui il arriverait pas entier au point de son rendez vous si il continuait ainsi à vouloir ce prendre pour un dieu. Il pétait plus haut que son cul, et il fallait lui faire redescendre les pieds sur terre. Encore des mots plus haut que l'autre, qui me faisait faire circuler en un seul tour mon sang. La demoiselle avait semblé vouloir répondre à mes paroles, mais notre star l'en avait empêché. Lui il ne connaissait vraiment rien au respect, il fallait donc lui rappeler les bonnes manière dans notre monde. Puis moi en tant qu samourai, je ne pouvais pas laisser un homme parler ainsi à une jeune femme, d'autant plus que cette jeune femme, était membre du village caché de la foudre. " La prochaine fois, que tu monte le ton avec cette jeune femme, je te jure que tu ne vas pas entrer vivant à Tetsu ". Dis ais je avec un regard assez froid et très sérieux histoire qu'il comprenne que pour l'instant il poussait le bouchon trop loin.

C'est alors, que Koémi, n'avait que d'autre choix de refuser mon vêtement à cause de l'autre pecnot. Mais il en était rien, il serait impossible de faire le voyage avec une tenu aussi courte. Le pays du fer est très rude au niveau des tenus vestimentaire, tout était respectueux, et la dans notre cas, elle ne pourrait pas fouler le sol du pays vêtu comme ça. Quoi que l'autre boulet ne dise, cela serait ainsi. Koémi garderait ma veste pour lui couvrir les endroits assez féminin et personnel de son anatomie. " Koémi, je suis dans l'obligation d'insister, vous devez porter ceci sinon, nous allons avoir des problèmes une fois arrivé à destination. Si jamais l'autre brêle fait encore une réflexion, je m'en occuperais personnellement " .

L'homme d'ailleurs avait sans doute compris que je ne plaisantais pas. Mission ou pas mission, il y avait un minimum à ne pas franchir. La il était en train d'atteindre mes limites, et si il continuait, sa vie serait du passé. Comment un homme peut il manquer autant de respect envers la gente féminine. A part lui checker toute les deux secondes ses fesses ou ses seins, il ne faisait rien d'autre.

Au moment au la tension commençait à naître entre lui et moi, celui ci ce dirigeait vers l'extérieur du village en regardant et prenant soin de passer derrière Koémi. Cette fois, la goûte d'eau qui faisait déborder le vase. La haine commençait à m'envahir, mon autre moi, celui dont je connaissais l'existence sans trop m'en soucier, voulait prendre le relais. Mais si c'était le cas, l'individu serait bientôt mort. " Allons, arrêter votre mascarade monsieur, je commence sincèrement à perdre patience. Je vous mets en garde une dernière fois. La prochaine, je ferais en sorte que vos yeux soit dans un endroit ou la lumière ne passe jamais. Compris ? "

Il prend en compte ce qui a était dit. Pas pour agir comme il le faut, mais pour vérifier les possibilités et évaluer ses chances. Il est seul, face à deux shinobi, dont une qui est à sa merci et l'autre qui pourrait bien le tuer au premier croisement. Il retente un dernier truc pour voir s'il bluff, mais à voir sa tête ce n'est pas le cas. Face à n'importe quel shinobi expérimenté, il saurait que malgré les menaces jamais il n'oserait aller contre sa mission. Mais de toute évidence il n'a face à lui qu'une simple bleusaille qui va trop loin. La femelle a au moins compris sa place et ce qu'elle doit faire, zut ! Elle paraissait si docile pourquoi a-t-il fallu que ce gêneur soit aussi présent.

Ainsi il prend une décision, suite à un simple sourire et la tête bien haute, il rebrousse chemin et retourne vers le village caché...

"..."

Je ne sais pas trop quoi dire, les ordres sont les ordres, mais moi-même je ne suis pas sûre que mon sang-froid me permettra de le laisser survivre jusqu'à destination. Il rebrousse chemin et je suis à peu près sûre du résultat quand il va annoncer aux confiés de mission qu'il veut du personnel obéissant et qui ne le menace pas dés les premiers vingt mètres. J'observe les alentours... D'ici je peux apercevoir subtilement la surveillance de certains ninja de gardes. En fait si je n'avais pas travaillé avec eux pour savoir où ils se placent parfois il serait totalement invisible à mes yeux.

On ne peut plus rien faire, s'il l'attaque avec témoins sa vie va prendre une bien vilaine tournure et le client le sait très bien. Il se sent en sécurité tant qu'il est visible par des experts qui sauront maîtriser ce freluquet s'il ose s'attaquer à lui, haut grand et important mécène de la culture ! J'aimerais avoir le courage de l'arrêter, mais je risque d'aller trop loin trop vite et je n'ai pas la moindre envie de le faire au fond. Je le laisse avance, je mets le vêtement que Kami m'avait offert bien volonté maintenant que je sais à quoi m'en tenir. Le contact chaud du tissu me rassure alors que j'avance dans une direction bien singulière au vu de notre mission. Un échec si rapide... j'imagine que ça arrive à tout le monde et il vaut mieux cela plutôt que de finir avec le cadavre de celui-ci.

Je vous regarde du haut de mon siège de Divin. La miséricorde sera pour toi ton unique salut ♫

Je suis Yukita Eiko. Fidèle homme appartenant au pays du fer de coeur, pays de foudre par obligation. En temps qu'être divin, je ne pouvais percevoir les circonstances du monde actuel. Vivre dans un monde ou la paix n'était juste une vulgaire utopie oublier des gens. Vivre dans le chaos total, sans la moindre chance de rester sur des terres paisible. La paix, la vie, la nature tout allé disparaitre. D'un simple claquement de doigt, moi le fils de dieu ferait du monde shinobi un havre de paix.

Crétin, faible, honteux. L'homme venait de rebrousser chemin en direction du village de kumo. Foiré de type ce prenant pour ce qu'il n'était pas. Les délires de stars, les fantasmes qu'il pouvait avoir envers Koémi, et bien d'autre choses. Ceci me rendait vraiment de plus en plus nerveux, mais il ne fallait pas perdre son sang froid. Je m'engageais alors à rattraper l'homme en tendant mon bras pour agripper son épaule. D'une main de fer, en forçant pour qu'il sache que la maintenant je ne rigolais plus. Nous n'avions pas que ça à faire, et le chemin jusqu'à tetsu serait long si il agissait toute la route ainsi.

[-]Bon arrêté maintenant ! Nous avons une mission, et elle consiste à vous escorter vers le pays du fer. Stoppait votre comportement de gamin puéril, et fonctionné en homme un peu. Alors vous allez avancer dans cette direction sans faire le moindre problème. Je me suis bien fait comprendre ?

Le lachant, tout en le bousculant un peu vers l'avant pour qu'il suive cette fois le bon chemin. Celui non pas vers le village de kumo, mais vers le sentier perdu. Il nous faudrait quelque heure pour atteindre la frontière du village du fer, et à cette allure la, on en aurait pour au moins, deux jours. L'attitude de l'homme n'était pas à notre avantage, mais il fallait faire avec. Koémi avait enfilé ma tenu noir, la protégeant des regards pervers des gens autours de nous.

Il fallait paraître sur de nous face au haut gradé qui guetté notre petit manège. Il était hors de question de donner cette mission à d'autre ninja, sachant que nous étions largement capable d'exécuter ceci nous même. Suivant alors d'un pas lent dans le dos de notre star, je le suivais de très près histoire qu'il comprenne que ou il déciderait d'aller, je serais la.

Dans son immense mansuétude, il aurait accepté en superstar les excuses méritées de ce moins-que-rien. Lui aurait fait un petit sourire et ils seraient allés de l'avant. Mais non, encore une menace ! Cette fois-ci, ce fut la goutte d'eau ! Alors dans un ton tout à fait viril et avec ses cordes vocales expertes, il se met à braire !

"Garde !"

Immédiatement ils arrivent. La réaction ne se fait pas attendre même s'ils ont un instant d'incompréhension. Un civil de toute évidence, attaqué par un Kumojin ? Ils sont, tous les deux, séparés et on me lance, un regard pour me demander, ce qui se passe ici. J'hésite à répondre, je n'ai pas encore envie d'aggraver la situation en parlant sans y être convié et je vais avoir beaucoup de mal à le faire sans m'énerver, je pense.

"Et bien qu'attendez-vous pour leur dire ?!"

Comme ci c'était le moment de me donner la parole franchement. Bon, objectif et clair. Calme, la patience est mère de toutes les vertus.

"Ce civil est un V.I.P que nous devons escorter. Néanmoins suite à certains nombres de requêtes de sa part non apprécier par mon coéquipier et des menaces de celui-ci. Il souhaite retourner à l'intérieur du village."

La superstar a la mentalité d'un enfant de cinq ans se contente de souffle en levant la tête si haute qu'il fait presque un quatre-vingt-dix degrés avec son cou, a cette allure il pourrait presque se retourner. Deux des gardes finissent par prendre la situation en main.

"Nous allons vous ramener au bureau des missions, veuillez nous suivre."

Ils me font signe reconnaissant la conseillère de Kumo, ils préfèrent éviter de faire le moindre commentaire surtout en voyant que je porte le manteau de mon coéquipier et en repensant au fait qu'ils m'on vu dans la tenue précédente.

"Rentrons, toutes les missions ne sont pas réalisables ou réalistes."

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