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| | | Le commerçant est en route, rien ne l'arrêtera - Mission de rang C |  |
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 | | (#) Sujet: Le commerçant est en route, rien ne l'arrêtera - Mission de rang C Dim 17 Mai 2015 - 13:14 | |
| J'avais promis que je changerais de réveil, et pourtant, rien n'a changé, il est six heures tapantes, et le réveil sonne comme je l'avais programmé. Il m'avait suffit de rêvasser une mission avec risque de bagarre pour que ça soit exaucé, je vais vous lire le parchemin fournit.
"Un marchand demande protection alors que des bandits semblent s'annoncer dans le Nord du pays de la Terre. C'est donc de votre devoir que vous vous devez de protéger ceux-ci : individu comme communauté. A vous d'accompagner l'homme d'affaire dans un petit village depuis la capitale. Et faites attention à vos paires de fesses !"
Avouez-le, ça donne l'eau à la bouche. Une vraie mission de rang C, pas du secretariat à la noix. Je sens à plein nez le conflit, j'ai préparé mon arsenal pour lutter contre les racailles du nord. Un tshirt m'attendait, offert par ma voisine un jour plus tôt, un tshirt à l'odeur de ses pâtisserie, lui qui avait dû traîner dans son atelier de pâtisserie, le tshirt était floqué du logo des Jisestu. Je m'étais préparé au pire, un équipement digne de départ en guerre, en listé rapidement j'avais entassé sur ma table-basse mon équipement fétiche, dont plusieurs-poches contenants mon e-cola, ça ne change pas, mon Kusarigama fétiche, que j'ai associé à un large shuriken, et me voila fin prêt, enfin presque, il ne me restait qu'a nouer la chaîne du kusarigama à mon ceinturion et faire mon sac. Ma voisine, encore elle, au petit soin depuis la disparition de mes parents lors d'une des nombreuses guerres ayant touchés la région, elle m'avait préparée un sac de ses pâtisseries salés, comme sucrés, ceux-ci accompagnés de nombreux-post-its pour me redonner du courage en l'alliance des pays neutres, et surtout ne pas tout m'enfiler dès mon premier jour loin d'ici. Elle qui n'avait jamais eu la chance d'avoir des fils, la pauvre, j'imagine qu'elle me considère comme tel, à tout les coups, elle doit être fière de ma réussite dans l'encadrement ninja.
Mais c'est pas tout, à me lamenter sur mon sort, le temps passe le temps passe! Il est déjà 6h45, pour un rendez-vous à l'entrée à 7heures tapantes. À peine le pied dehors, je fus frappé par un doux souffle, une brise du matin mélangé à un épai brouillard presque banal dans la région. Je tâta mes poches, et prit la route vers l'entrée principale de Shozaichi. Le village n'était pas encore debout, seulement quelques commerçants sortis du lit pour honorer les livraisons, et remplir les stocks de leurs boutiques. Un dernier regard au quartier résidentielle des Jisestu, on refixe le bandeau frontal, synonyme d'appartenance au force militaire du pays, et me voilà en pleine course pour rejoindre les portes du village. Une première pour moi, je voulais faire bonne impression en arrivant en avance.
M'y voilà, les portes, beaucoup plus vivantes que le centre-ville. De nombreux ninjas étaient postés le long de notre muraille, en plein renforcement. Je n'avais plus qu'à attendre le commerçant ambulant. J'en ai d'ailleurs profité pour juger l'avancer du renforcement des murs, ainsi que le positionnement des gardes, quelques-uns qui m'avaient remarqués me salua d'un breve signe de la main, vu mon accoutrement, ils étaient facile de comprendre que je partais en mission. Les deux imposants shurikens, et la chaîne reliant ceux-ci me donnaient un style vraiment bad-ass. À le client pourra dormir sur ses deux oreilles, je vais botter le cul de ces gugus.
D'ailleurs, ça doit être lui. Un viellard se pointait à bord d'une charrette tractait par des chevaux, ça ne pouvait être que lui. Au fur-et-à-mesure de son avancé, les détails de son groupe fut meilleur, la brume qui me gênait juste que là. Une fois à ma porté, il sauta de son pied d'estale pour venir à quelques-centimètres de moi, pour correctement me juger:
"Tu dois être le ninja que le Shukaï envoie, tu n'es pas très vieux, j'espère que tu feras l'affaire." Encore assoupi, je n'ai pas osé répondre, il m'invita à monter sur sa charrette ou m'attendait une fille, sans-doute sa nièce. Bien plus âgé que moi, à l'oeil, je dirais quatre-cinq ans, vu ses formes déjà développés. Elle me tapa sur l'épaule quand je passa à ses côtés, sans-doute pour me saluer. Je m'installa à l'arrière et je dispatcha mon équipement dans un coin, nous y voilà. Ma première mission de rang C!
Dernière édition par Jisetsu Shiro le Jeu 30 Juil 2015 - 16:30, édité 1 fois |
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| | (#) Sujet: Re: Le commerçant est en route, rien ne l'arrêtera - Mission de rang C Mer 20 Mai 2015 - 16:06 | |
| C'est déjà l'heure du casse-croûte, le soleil est à son zénith, quoi de mieux pour casser la croûte? Un sandwich préparé par sa fille ou commander dans un bistro à craquer de bandits? Sans hésitation, je dirais le bistro, malheureusement j'y suis pas convié, un beau petit sandwich de sa fille, pour garder un oeil sur sa cargaison.
Voyons ce qu'ils mangent, eux, j'ai une vision parfaite grâce à une bai vitré construite pour donner l'eau à la bouche aux voyageurs. C'est pas du luxe, la moitié des clients ne sont là que pour picoler, et la plus-part regarder les marchandises transportés des commerçants qui sont arrêtés pour se remplir la bourse. J'ai peut-être pas d'expérience, mais j'ai remarqué quelques-groupes qui pensaient à sévir sur une cargaison, dont la notre, ma présence ne leur a fait ni chaud, ni froid, moi qui était tranquillement assit sur le toit du véhicule bas de gamme. Boaurff, toute façon, qu'ils viennent! Moi je les attendrais de pied ferme, eh-ouais.
On est presque arrivé au point stratégique des environs, une route étroite, le lieu idéal pour les pilleurs, eux qui peuvent mettre leurs plans à l'execution, l'espace étant moindre, et le plus souvent les commerçants sans défense. Vivement qu'on y soit, ça sera un vrai teste.
Suis-je de taille à lutter contre des pilleurs expérimentés?
J'espère bien, gamin. Son arrivée m'a donné froid dans le dos, je divaguais, et parler tout seul, elle m'a rejoint en désignant du doigt son père qui s'envoyait à la chaîne des litres et des litres d'alcool.
On est encore là pour longtemps, je peux te le dire.
Tu devrais peut-être le forcer à quitter les lieux? Qu'on passe les falaises avant dix-huit heures, j'aurais préféré affronter ces vilains en plein jour.
Laissons-lui encore une petite heure, ça nous laissera le temps d'apprendre à se connaître! J'aurais une confiance aveugle en toi quand j'aurais apprit à te connaître, ouais.
...
C'est des fleurs, et même des arbustes que je me suis lancé toute cette petite heure, le temps que le client ait finit de picoler. Au vu des détails qu'elle connait de moi, même s'ils ne sont pas tous vrais, et que j'ai évité ceux qui n'étaient pas très glorieux, elle peut dormir sur ses deux oreilles, j'escorterais son père jusqu'à Konohagakure s'il le faut... enfin, s'il me paye! Ou plutôt, s'il rapporte à mes supérieurs l'excellence de mes justus. Je n'avais pas quitté ma place, toujours dans les hauteurs du véhicule afin d'avoir une meilleure vue lorsqu'on y sera.
Les rayons du soleil dissipant les quelques-nuages présents, de cette journée ensoleillé, il était déjà seize heures, et l'escorte avançait depuis maintenant une heure dans le détroit, accompagné par les chants du client, toujours ivre mort. Je finalisé mon équipement, détachant ma chaîne de mon ceinturion, prêt au combat.
Tu vas l'a boucler le vieux!? Avait hurlé l'un des cinq hommes, installé bien plus haut, sans-doute les pilleurs en observation que j'avais remarqué plus tôt au restaurant. Le regard des deux protagonistes se tournaient vers moi, comme s'ils me demandaient d'enfin passer à l'attaque, et honorer le contrat de la mission. Frémissant d'envie d'enfin me mesurer à quelqu'un, je tapais du pied sur le paille me servant de plateforme, attendant l'attaque des hommes qui n'étaient pas décider à quitter leur pied d'estale, je ne fessais que d'étudier leur dégaine, bouillant comme la braise.
"L'un des hommes se décida enfin à passer à l'attaque, lui qui n'était vêtu que d'un sabre, notre ami, ni une ni deux s'empare du premier shuriken géant relié à sa chaîne, pour finir par l'encastrer au corps à corps. Une lutte féroce, mais l'armement de l'assaillant en piteuse état se brisa en deux, laissant le champ libre à Shiro pour l'attaquer de plein fouet. Attrapant son Shuriken à pleine main, il trancha de bas en haut le ventre de son adversaire désarmé, un tel coup si sanglant n'a fait que de mettre hors d'état de nuire le premier qui retombe du toit, inerte. Le visage recouvert d'une première couche de sang, avec sur la conscience la première victime du combat, il était fin prêt à affronter ces ennemis qui n'avaient pas l'air d'être de valeureux adversaires. Il excelle au corps-à-corps, comme à distance, ces futurs cibles n'avaient pas l'embarras du choix, l'un d'eux se décidèrent à se jeter de son pied d'estale, lançant quelques-kunaïs à l'aveugle. Sans grande diffuculté, notre ami de plus-en-plus sanglant dans le combat réussi à l'esquiver, pour finalement jeter son shuriken relier à sa chaîne, lui qui ira s'encastrer dans son épaule, échangeant un crie de douleur contre un sourire jusqu'aux oreilles de Shiro, prêt à mettre un terme au second combat. Le jeune ninja lâchera ces quelques-mots, prit d'une folie meurtrière qui ravivait ses clients qui seraient débarrassé des menaces.
DRAGON, BELIER, SERPENT: RAÏTON, LIEN POURFENDEUR!
Sa proie toujours en chute des quelques-mètres séparant le sol et ses compagnons, Shiro l'acheva d'une technique consistant à enduire sa chaîne de chakra raïton, pour électrifier complètement sa cible déjà amoché par le shuriken. Et déjà deux victimes dans ce combat devenant de plus en plus sanglant, les deux inertes, mouillée par la pluie qui avait mit une croix sur le doux soleil qui planait sur le champ de bataille. C'est du sang qui dégoulinait sur le visage de Shiro, toujours sur ses pattes après s'être lavé de ses deux premiers ennemis. Il en restait encore trois, pas prêt à engager le combat avec notre génin, meurtrier de leurs amis. Et pourtant il fallait bien, le loup n'allait faire preuve d'aucune pitié, encouragé par les cries inconscients de la fille du client, qui n'a maintenant plus qu'une confiance aveugle... Il s'avançait lentement vers sa dernière victime, bien plus âgé que lui, afin de récupérer son arme du jour. Le shuriken prouvait à lui seul le désastre de ce champ de bataille, et l'horreur des combats. Le shuriken était ensanglanté, et légèrement électrifié par le dernier justu usé par le génin.
Il reprit du mou sur la chaîne de son shuriken, pour l'avoir à portée de main. C'est un grand bol d'air qu'il prit avant de foncer sur ses trois dernières proies, qui semblaient bien plus difficile à abattre, comparé aux deux autres. Encouragé par les souffles d'encouragements incessant, il engaga le combat avec deux autres, au corps-à-corps, le dernier préférant s'esquiver au bain de sang qui s'annonçait. C'est un échange de coup sans grande réussite qui s'échangeait, Shiro était en difficulté, incapable de placer le moindre coup avec le Shuriken, contré par l'un des deux, plus préoccupé par la défense que l'attaque. Dominé par ses deux géants avec qui il combattait, le dernier prit son courage à deux mains pour se mêler à la fête qui s'annonçait, les pieds de nouveau sur terre.
Bien trop faible techniquement pour lutter contre ces trois brûtes, Shiro prit d'un bond une assez longue distance, balançant à l'aveuglette son shuriken dans le tas, un lancé qui fait mouche. Maintenant à bonne portée de ses assaillants, eux qui en profitaient pour reprendre leur souffle, Shiro quant-à-lui éveilla ses pupilles afin d'inverser la tendance, et enfin dominer les débats et mettre un terme à ce combat qui s'éternisait.
Ses yeux illuminés le champ de bataille improvisé, c'est un renouveau dans ce combat, des non-ninjas ne pourraient lutter contre un ninja au réaction amélioré. Après une petite pause quelques-secondes, suffisantes à Shiro pour réveiller son principal atout, il reprit part au combat en tirant sur la chaîne de son Shuriken, bien encré dans le sol, et pourtant, il revient à la vitesse d'un éclair, déchiquetant au passage le motel d'un des pilleurs. Quelques-signes qu'il n'a cette fois-ci par hurlé, le signe du rat, et du tigre. Tel un éclair, il reprit part dans le combat, sa vitesse considérablement augmentée, et son kinnegan éveillé. Il frappe une première-fois dans le dos d'un des trois, l'ouvrant bien correctement dans le bas du dos, pas le temps pour eux de se tourner, qu'un des trois se fessaient frapper au visage, le couchant, inerte. Le troisième des blessés étaient connus, maintenant, massacré d'un coup de shuriken au visage, qui lui ouvra la façade en deux, encore une scène sanglante provoqué par les coups du ninja. Tout n'est pas rose dans les combats. Le blessé n'a toujours pas touché le sol, les deux autres peuvent à peine se pitoyer sur le sort de leur collègue, que leur tour arrivera.
Shiro reprit une distance considérable, lançant à pleine balle son shuriken qui rase les jambes d'un des deux, lui qui était déjà amoché à ce niveau, il fait ensuite revenir le shuriken tel un boomerang, à une vitesse tel que l'ombre n'arrive plus à suivre. Le retour du shuriken offre le même sort à son collègue, laissant place à un concert d'hurlement, perdre ses jambes, c'est douloureux les garçons. C'est le moment de laisser le Kinnegan au repos, il t'aura pas servit à grand-chose, la vitesse a suffit, ils n'ont pas répondus à tes coups
C'est naïf de penser qu'un gamin n'est pas capable de tuer, lui a prouvé le contraire. À son âge on peut déjà faire preuve d'atrocité. Une telle violence était vraiment nécessaire? Dieu sait ce qu'ils auraient fait aux clients, la marchandise, et la fille? "
Le combat est bien terminé, qu'est-ce que j'ai fais? Qu'est-ce j'ai fait... On y va!
HRP: L'italique qui parle pendant le combat est sa "conscience", je ne me voyais pas parler avec Shiro. |
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