Songe d'une nuit d'été.

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La nuit lorsque les rues sont désertes, lorsque la lune est présente dans le ciel parsemé d'étoiles. Un chat, un vieux chat, au regard qui en disait long, au regard si intimidant et fiers, un félin au long poil blanc cicatrice à l’œil droit, quelques balafres sur le corps. De sa grosse corpulence se déplace avec plus d'habilité qu'un rapace au grès des lampadaires qui ramènent grâce à un peu de lumière une certaine chaleur sur les sentiers du village. A la recherche de ce qui lui servirait de repas le matou de sa rengaine si roublarde au son de ses pattes se prélasse vers ordures entassé au coin d'une allée. Sans fioriture il plonge dans les détritus par mégarde et par censure sachez qu'a l'issue de sa recherche, Non ! Il ne tombera pas sur un cubitus ! Sans arrêt trouvant une arrêtes d'un poisson qui n'était plus tout frais le dégustant tout en se léchant les babines, son butin du moment il le déchiquetterai de toutes ses dents. Par mégarde, sous un manque flagrant de jugement il avait baissé sa garde et c'est alors qu'un autre de son espèce voulu lui piquer ses quelques pièces...


Un combat eu lieu et tels de farouche escrimeurs les deux chats se livrèrent quelques escarmouches qui pour un homme ne ferait pas de mal à une mouche. Grâce à sa griffe si aiguisé il lui donna le coup de grâce. Celui qui régnait en maître sur le monde de la nuit pouvant à présent siéger sur son trône en vieux chêne afin de satisfaire ses ronronnement et ses envie de grasse matinée. Non loin de là alors que certains se trépassent de délicieuses. Là où les mures sentent la chaude pisse, entre quelque banc. Se trouvant assis à contempler l'idéal que forment les étoiles un homme certainement amoureux de la nuit simplement perdu dans ses pensées et fuyant la plupart du temps les bras de Morphée. Sans dessus dessous, il était saoul et sans un sous. Derrière le verre noir qui lui servait d'armure de guerre, il aimait tout simplement le visage que la Reine Nuit avait. Alors il la regardait sans sourciller sans se soucier des fous, des sorcier. Ensorcelé par la beauté enivrante de la créature qu'aucun Homme n'ai parvenue à capturer. Avant cela lui est sa bande de jobard, adepte de jeux de hasard avait misés tout ce qui leur appartenait sans une grande efficacité... Il fallait se l'avouer. Il dormirait cette nuit, et recommencerai le lendemain soir et le sur-lendemain s'il le fallait.


La détermination sans égale du mal dominant lui avait déjà fait perdre quelques ratiche et vus sa tête, personæ non gratta sur quelques affiches. Plus loin encore dans les profondeurs de ce monde, un homme au sabre, cigarette à la bouche se délectait de quelque gorgée de saké. Si doux est pourtant éphémère le goût de la victoire faisait partie de ceux qu'il préfère. Du fer forgée de sa lame pensée, confuse il suppliait que l'on lui rende sa muse. Celui qui jadis, abusait de la gentillesse de ceux qu'il rencontrait était bouleversé par quelques piqûres de méduse. Pour sûre c'est infimes morsures lui avaient causées pas mal de problèmes. Non il n'était pas ici question de douleur physique mais plutôt d'une fragilité mentale dont il n'avait pas l'habitude. Une nouvelle expérience qu'il n'aurait jamais voulut connaître il se demandait alors si jamais, n'était-il pas entrain de renaître. Tel un phénix sortant d'un air royale des rivières du Styx. Une ombre, d'outre tombe, fusant comme une bombe vers son regard perdu le rêveur d'un soir voyageant entre les cheminées du destin regardait ce qui se dressait devant lui sans dire un mot.

Shirudo venait tout juste de rentrer au village après avoir terminé sa mission. Les dirigeants n'avaient pas aimé le fait que notre héros avait laissé les deux voleurs en liberté, ils considéraient donc que la mission fut un échec. Il devait simplement ramener un élevage de bovins auprès de son propriétaire, chose qu'il a faite. Il devait également livrer les deux voleurs aux autorités, ce qu'il n'a pas fait.

Il considérait que les deux brigands n'avaient pas fait ça pour le plaisir, mais parce qu'il n'avait pas le choix, que leur survie en dépendait, vu qu'ils n'avaient absolument rien. S'il les avait livré aux autorités, les conséquences auraient été terribles pour les deux hommes, puisque la justice du village caché des nuages est très dure et intransigeante, considérant qu'il n'y a pas de place pour les concessions, sans quoi, son autorité s'effondrerait avec sa légitimité et ce serait l'anarchie.

Shirudo pensait que la justice devait être clémente, faire preuve d'empathie, être impartiale. Imaginons que le Raikage envoie des hommes afin de dépouiller un pauvre paysan de son bétail, comment aurait réagi cette fameuse "justice" ? Nous le savons tous, elle aurait cautionné l'acte. Shirudo s'est donc rendu compte que le terme "justice" n'était pas approprié pour qualifier cette instance, puisqu'elle ne vit que pour la pérennité du village caché de Kumo en jugeant et en éliminant les ennemis du pays de la foudre.

Le Samuraï ne comprenait pas pourquoi les êtres humains avaient un avis si différent d'un camp à l'autre. Pourquoi Kumo cautionnerait une attaque contre un village quelconque et contesterait une attaque à son encontre, alors que pourtant, le motif ne diffère pas ? C'est de là que découle la guerre, parce qu'on aime tellement sa patrie, que l'on est prêt à fermer les yeux sur ses crimes. Cet amour est si grand que l'on est prêt à donner sa vie pour elle en éliminant ses "ennemis", c'est de cette façon qu'il y eut tant de morts, que l'histoire du monde est si sanglante.

En ce qui le concernait, Shirudo n'était pas mû par l'amour de la patrie, du village, mais il oeuvrait plutôt pour la paix et la justice peu en faveur de qui elle tranche.

Shirudo marchait les mains dans les poches regardant le sol, il tirait dans un caillou grâce à son pied droit. Essayant de savoir si ses actions étaient conformes à son idéologie, s'il ne s'était pas trompé en agissant ainsi, il en arriva à la conclusion qu'il avait fait preuve de faiblesse, même si c'était un acte noble que peu de gens aurait fait, par peur d'être mal vu. Il essayait d'être son propre juge en variant les approches, les points de vue. C'est alors qu'il comprit qu'il ne pouvait, lui-même, déterminé s'il avait bien ou mal agi.

Plongé dans ses pensées, il continuait d'avancer. Par maladresse, il tira le caillou dans la jambe d'un homme. Il entendit le bruit de la collision du caillou puis leva lentement les yeux et vit la jambe d'un homme. Il leva les yeux puis vit un jeune homme qui fumait une cigarette avec une bouteille de saké. Il s'approcha alors de l'homme et s'excusa aussitôt.

"Haha... désolé, je n'ai pas fait exprès." - Dit-il en esquissant un large sourire, la main droite posée sur l'arrière de sa tête

S'excusant auprès du jeune homme, Shirudo s'approcha de lui esquissant un large sourire. Ce dernier tentait de détendre l'atmosphère qui pourrait être tendu de telle sorte que son confrère ne soit pas épris de colère. Il observait avec attention son visage, tentant de s'insinuer dans son cerveau, dans son coeur afin d'avoir un a priori sur la personnalité de l'individu à qui il avait affaire. Selon toute vraisemblance, l'adolescent avait affaire à une bonne personne, ce qui le réjouissait.

L'homme lui proposa gentiment de discuter ensemble, autour d'une coupe de saké. Shirudo accepta volontiers puis prit la coupe de saké et la tendit vers son interlocuteur pour que ce dernier le serve. L'alcool n'allait pas l'aider à résoudre ses problèmes, ni même l'aider à voir plus clair, mais l'alcool allait le libérer de toutes les camisoles de force, de tous ses complexes, toutes les barrières que notre Samuraï se dressait devant lui. Une fois le verre rempli, il s'assit sur le banc au côté de l'homme puis regarda le sol fixement en sirotant une gorgée de saké.

Néanmoins, il s'apprécia pas que son acolyte le prenait pour un gamin, alors qu'ils avaient quasiment le même âge. Il ne s'attarda pas sur ce détail puisque son interlocuteur lui demanda de lui conter son histoire, il en profita donc pour lui poser quelques questions. Il regarda le sol fixement, saisissant fermement sa coupe de saké.

"Tu viens du pays du fer toi aussi... Tu n'as pas l'impression d'être un étranger ?"

"Je suis différent des natifs de Kumo, je n'arrive pas à m'intégrer ici, car je ne possède pas la même philosophie." - Affirma-t-il avec mélancolie

Shirudo ne parvenait pas à faire la part des choses, il était complètement désemparé. Il prit alors une gorgée de saké. Sa conscience ne lui permettait pas d'éclaircir son esprit, elle ne lui permettait pas non plus d'identifier avec clarté la frontière entre le bien et le mal. Il espérait que cette rencontre soit providentielle et que son interlocuteur puisse l'aider à voir plus clair. A vrai dire, l'adolescent avait songé à quitter le village caché de Kumo, mais il n'avait pas les capacités pour pouvoir errer en solitaire. Il devait gagner en puissance ou bien avoir la certitude d'être protégé de tout malheur, ce qui n'était pas le cas.

"Je n'arrive pas à comprendre comment le pays du fer a pu être conquis si facilement par les Shinobi de Kumo..." - Dit-il avec frustration

La réponse ne s'est pas faite attendre et fut à la hauteur de ce qu'il espérait. Le jeune adolescent n'était donc pas le seul à penser ainsi, ce qui le rassurait beaucoup. Ils avaient à peu près la même philosophie, la même vision de la vie, ils étaient tout deux issus du même milieu, ils étaient en quelque sorte deux frères "éveillés". Tout deux avaient été accueillis comme il se devait par les Kumojins, mais cela ne suffisait pas à leur bonheur. Shirudo n'arrivait pas à trouver ce bonheur ici-même.

Le jeune Samuraï avait la même conception du Bushido que son confrère. Il savait, lui aussi, que le Bushido avait été inculqué à tous les Samuraï, mais qu'il variait d'un individu à l'autre en fonction du parcours de chacun. Par cette comparaison, son acolyte voulait peut-être dire qu'il était normal de se sentir différent des autres, mais que cela ne faisait pas d'eux, des étrangers. Il est clair que les deux hommes étaient issus du même milieu, qu'ils parvenaient à se comprendre l'un l'autre, puisqu'ils avaient tout deux vécu la même chose.

Ils avaient reçu la même éducation et ils pensaient donc de la même façon. Shirudo tendit ensuite sa coupe de saké pour que son interlocuteur lui serve de nouveau du saké.

Évidemment que ce monde est gouverné par une élite qui a mis en place un ordre qui l'avantageait, un ordre dont les dirigeants en tiraient profit. Le système a été façonné de telle sorte que ceux qui possèdent le pouvoir le conservent indéfiniment, de sorte qu'ils puissent faire ce qu'ils souhaitent sans être inquiétés. Ce sont les vainqueurs qui écrivent l'histoire et cette même histoire existe afin de légimitiser le système dans lequel on vit. L'histoire du monde Shinobi est faite de guerre, des siècles de guerre, et c'est au motif de ces guerres que l'on a créé trois, puis quatre grands villages. Chaque village est régi par une politique différente, fermée et xénophobe où suspicion, crainte et méfiance sont maîtres.

Le Bushido n'inculquait pas ce genre de pensée. La beauté de ce code permettait une très ample ouverture d'esprit ; contrairement à l'éducation donnée par les grandes nations. Cette fameuse éducation possédait alors une très grande influence sur le Bushido, ce qui conduisait inévitablement à l'annihilation de celui-ci. On pouvait alors parler, sans exagération, de la "mort du Bushido".

"C'est pour cette raison que je considère que le Bushido est mort, que notre chère nation est morte. Le Bushido, le principe de neutralité, tout a cédé sous l'influence des raclures qui dirigent le monde et qui se font la guerre sans arrêt."

Ses mots étaient durs, mais hélas vrais. Face à son incompréhension, Shirudo ne mâchait pas ses mots. Il considérait que les choses devaient être dites purement et simplement, qu'il était inutile de tergiverser, de s'illusionner. Il fallait simplement être réaliste et accepter la réalité.

"Je ne crois pas non plus qu'on soit exempt de tout reproche comme tu dis, mais nous ne faisons que subir les choix de nos ancêtres. On en serait pas arrivé là, s'ils avaient agi différemment. Je ne comprends pas toujours pas comment ils ont pu prendre cette décision, comment ils ont pu oser se prosterner sous l'impérialisme du Raikage."

Shirudo se posait tant de questions à ce sujet, tout cela le dépassait. Il n'arrivait pas à comprendre la stratégie de celui qui dirigeait le pays du fer au moment des négociations. Il était convaincu qu'il ne pourrait jamais comprendre son choix. Il était, en effet, temps de redorer le blason des Samuraï, de restaurer l'honneur des Samuraï par la libération du pays du fer, mais était-ce réellement envisageable ?

"Je pense comme toi, mais pour moi, il est trop tard. L'influence de Kumo est déjà très présente au sein des plus hautes sphères de ce qui était le pays du fer. Cette sphère subit la pression du lobby du village caché des nuages pour que les décisions prises soient dans leurs intérêts. Cela fait six ans que le pays du fer a été annexé, le pays s'est vu retirer son précieux héritage. Si nous voulions la libération du pays du fer, cela le conduira à une guerre civile, le pays sera déchiré par cette guerre qui durera longtemps. Kumo enverra des troupes en soutien, les renégats en profiteront pour semer la pagaille et les autres grandes nations pourraient se mêler au conflit. Cela pourrait nous mener à un conflit mondial. Sans compter que Shûkai pourrait également en profiter pour rallier le pays du fer à sa cause. Le pays sera alors divisé en plusieurs groupes et explosera face aux pressions extérieurs, ce sera l'anarchie."

Comme à son habitude, Shirudo préférait imaginer le pire des scénarios. Cela lui permettait de prendre sa décision en fonction de différents facteurs plus ou moins nombreux. Après avoir déterminé le pire des scénarios possible, il fallait donc choisir l'option la moins risquée et qui pourrait donc être la meilleure. Le jeune homme savait pertinemment qu'ils étaient trop jeunes pour savoir que faire, ils manquaient tout deux d'expérience. Ils assistaient, impuissants, à la descente aux enfers, à la décadence, au déclin, à la mort de leur très chère nation d'où ils étaient originaires.

"Je pense qu'il faudrait que l'un de nous deux devienne Raikage pour pouvoir accorder la libération au pays du fer pacifiquement, mais ce sera sûrement trop tard. C'est pour cette raison que je pense que..." - Il marqua une courte pause

"Le pays du fer est mort."

Ses mots étaient durs, mais il fallait être réaliste. Se leurrer n'allait pas résoudre le problème aussi complexe soit-il. Bien sûr, son raisonnement était faussé par l'ardeur de sa jeunesse et par son manque d'expérience, mais sa dialectique restait tout de même rationnelle, logique et il en était conscient. Il faut savoir que Shirudo avait une énorme confiance en soi, il était fermement convaincu qu'il avait l'habilité, la capacité à raisonner puisqu'il est logique, rationnel, compréhensif et surtout pourvu d'une grande sagesse. Néanmoins, ce problème est complexe puisqu'il s'agit de l'avenir d'un pays et de milliers d'êtres humains.

Il fallait donc prendre en compte de nombreux facteurs plus ou moins aggravants, sans compter, qu'il fallait également parer à toute situation, en prenant en compte certains facteurs contingents. Par ailleurs, le monde pourrait évoluer d'ici-là, ce qui rendait impossible la planification d'un plan à ce moment-là. Face à la perspicacité de son acolyte, Shirudo était convaincu que tout deux le savaient. Or, il se trouve que son interlocuteur était sûr de lui et sûr de ce qu'il affirmait. Ce dernier soulignait, néanmoins, des points importants, véridiques, mais surtout incertains. Il semblait bel et bien camper sur sa position.

"Tu n'as pas tort. Nous sommes peut-être natifs du pays du fer, mais nous nous battons pour ce village, nous mettons notre vie en jeu pour sa pérennité, pour sa survie, donc il est légitime que nous avons, nous aussi, nos chances de devenir Raikage. Tetsu no Kuni fait d'ores et déjà partie du pays de la foudre, ce qui signifie que nous aussi. Lorsque tu es Raikage, tu possèdes toutes les force du village sous ton aile, tu as l'emprise sur toute la puissance militaire du pays. Tu peux donc faire régner l'ordre et t'imposer sans grande difficulté."

Il était difficile de prévoir ce qui pourrait se passer si jamais un des natifs d'une des colonies du pays parvenaient à s'emparer du pouvoir. C'était un facteur contingent, mais sans doute, son confrère minimisait la puissance et l'autorité du Raikage et en parallèle, il minimisait la puissance des forces spéciales du village. Il n'y a aucun complot, quel qu'il soit, qui puisse déstabiliser le village, seulement si le Raikage est sage, intelligent et clairvoyant. Il tirait cela de son livre de poche qui lui avait énormément appris sur l'art de la guerre.

En effet, Shirudo considérait le légendaire Sun Tzu comme son modèle. Ce dernier avait écrit le fameux traité s'intitulant "L'Art de la guerre" stipulant qu'il fallait avoir un tour d'avance sur son ennemi dans toutes les circonstances. L'avantage avec cet ouvrage, c'est qu'il pouvait, à la fois, concerné les Shinobi, mais également, les dirigeants de tout types d'organisation ou même de village et pouvait également concerner tout type de société. Notre jeune Samuraï avait donc pleinement confiance en la puissance d'un Raikage parfaitement logique et intelligent, c'est pour cette raison qu'il possédait tant d'admiration pour le Godaime Raikage.

"Tu sous-estimes tout simplement la capacité des Kage. Tu souhaites que le Daimyo de Tetsu négocie un véritable contrat d'alliance ? Quel type d'alliance ? Une alliance militaire ? Ce serait contraire à nos valeurs. Tu veux la liberté de notre pays, mais ce même pays devra envoyer des troupes en cas de guerre ? Nous sommes neutres dans les conflits et nous ne prenons parti pour aucun camp. Crois-tu sincèrement que le Raikage nous accordera la liberté ? S'il le faisait, il faudrait lui faire une proposition alléchante. Je veux parler d'un soutien militaire en cas de conflit, par exemple et donc, le pays du fer ne sera plus jamais comme avant, puisqu'il se voulait impartial. Alors que si l'un de nous parvenait à prendre le pouvoir, non seulement, il pourrait rendre au pays tout son honneur, mais également ses valeurs, ses principes, ses lois, ses règles et sa mentalité. La liberté n'aurait pas de sens, si le pays devait dépendre de Kaminari no Kuni, ce serait donc une fausse liberté."

"Je ne sais pas si je m'impliquerais dans ton organisation, puisque nous ne sommes pas d'accord sur la façon de sauver le pays du fer. Je compte bien rester au village pour le moment et développer un réseau d'information et de communication sophistiqué de façon à savoir tout ce qui se passe dans le monde entier. On pourra communiquer, s'échanger des informations de cette façon. En attendant, j'y suis encore très loin. Cela ne doit surtout pas se faire savoir, nous ne nous connaissons pas, nous ne nous sommes jamais vus. Tachons de garder te garder contact."

Il se leva puis tendit sa main droite en direction de son acolyte. Il le regarda dans les yeux puis esquissa un sourire.

"Je suis Shirudo, ravi de faire ta connaissance Nitobe Shinsuke."

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