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 Des secrets et des sceaux ~

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Konoha
Inuzuka Reiichi
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Message(#) Sujet: Des secrets et des sceaux ~ Des secrets et des sceaux ~ EmptyJeu 13 Nov 2014 - 2:48

Akurai, un sage homme que je connaissais depuis un moment maintenant.. Connaître, c'est un bien grand mot, on connaît des choses, ou du moins on le croit. Comment dire que l'on connaît les autres, même ses proches, si on a du mal à savoir qui on est, sans être sûre de vraiment emprunter le bon chemin. Cet homme, un Habashi, une personne de ma famille que je connaissais mais qu'en terme de durée, de temps était mon senseï mais aussi un guide, du moins il en endossait le rôle, car c'est tout qu'il faisait, comme les autres au final, jouer un rôle. Je ne pouvais pas le rencontrer de mon propre chef, c'est lui qui me contactait, qui décidait de réapparaître, et ce n'était pas pour me déplaire, même s'il n'y paraissait pas, j'aimais la surprise, quand elle était bonne. Malgré son âge, dont je n'étais plus certaine que ses motivations, il restait un ninja hors pair, maître de l'infiltration et de la dissimulation, ce qui expliquait peut être qu'on le vit jamais, qu'on ne puisse le voir que lorsqu'il en décide ainsi.

Ce fut une journée chaude, comme les autres, apaisée par la fraîcheur du soir, j'observais le soleil se coucher, ses couleurs orangées, douceâtres caressaient le désert s'étendant à perte de vue, un spectacle sublime mais au combien inutile dans le fond. Je quittai le QG du kakumeigun, comme d'habitude, parcourant toujours les mêmes rues et croisant toujours les mêmes visages. Je ne prêtais plus d'attention à la répétitivité de tout ça, ne ressentais plus la lassitude. L'idée de retrouver Tsuna me suffisait bien maintenant, malgré cette crainte persistante de le perdre, une amélioration dans ma vie cependant. Je marchais donc paisiblement, m'approchant peu à peu de ma destination quand au détour d'une rue un peu plus sombre qu'à l'ordinaire je fus interpellée, un ''zanshi'' faible, soufflé, presque inaudible mais que j'entendis pourtant. Le timbre de cette voix, si bas, m'était inconnu, qu'un étranger parle aussi bas, se cachant, dans un village ninja.. Je dégainai rapidement mon sabre en avançant dans la rue adjacente, étroite et sombre.

Aussitôt y avais je mis les pieds que je reçus un premier coup au bras, je senti l'engourdissement le gagner et bientôt je n'avais plus la force de tenir mon arme. Je fis un pas en arrière, comment un ninja pouvait il à la fois m'attaquer, et à la fois rester caché ?! Mais était ce un ninja, un homme ? Je revins dans la rue, scrutant, il n'y avait plus personne. Je tenais mon bras insensible, je ne pouvais employer que peu de techniques dans cet état. Une drôle de sensation m'atteignis, l'impuissance, ou la faiblesse. J'observais la ruelle, la rue principale, alternativement, encore. C'était étrange, pourquoi n'y avait il plus personne, un complot pour me tuer, ou m'assassiner ? Me détestait on autant, gênais je tant que.. Non, inutile de se poser la question, la paranoïa ne menait à rien. Je ramassai mon katana, surveillant qu'on ne m'attaque pas, et le pointait vers l'obscurité. Le sabre rouillé, émoussé, enfin, en piteux état pour faire simple tenait dans ma main gauche, tremblante, je me demandais si quelqu'un allait me rejoindre pour m'aider... question rhétorique. J'avançai de nouveau, plus lentement, et plus sûrement, prenant garde à l'ombre, ou du moins ce qui s'y trouvait, et quand la pointe de ma lame fut à distance de bras, la faible résonna de nouveau, mais plus clairement. Le frisson me parcourut, je reconnus cette voix, et celle là, je pouvais me venter de vraiment la connaître.

    « Seï Ruseï hein... il se fait vieux, il est solide, mais finira par se briser.. comme toi, Zanshi. »
    « A... Akuraï »


Il quitta sa place dans l'ombre impénétrable, d'ailleurs en y repensant, comment l'ombre pouvait elle etre si ténébreuse, si insondable ? Je commençais à comprendre, ou du moins, je le croyais. Mon maître, ainsi le nommais je, avait cette faculté à faire d'une de ses apparitions un grand spectacle. Mon rythme cardiaque ralentissait au fil des mots qui sortaient de sa bouche, d'un sens que ce soit lui et pas un autre me rassurait, mais d'un autre sa présence n'allait signifier qu'une chose, mon départ, et pour combien de temps ? Il n'avait pas changé d'un poil, les traits de son visage étaient toujours d'une dureté incroyable, jamais cela ne changerait, supposais je, les marques du temps sont quelques unes des marques indélébiles de la vie, comme les cicatrices le sont des combats, rappelant la victoire, la défaite et la pertes de ses proches. Je posai le regard sur mon arme, il n'avait pas tort. Je la rengainai.[/i]

    « Arrêtez ce genjutsu. »
    « Haha, tu as compris ça ? Bien, bien ! »


La rue retrouva toute sa clarté, toute sa beauté, quelle technique.. Je n'étais pas bien forte dans ce domaine, et ne le serai jamais, les illusions... Je ne devais pas avoir l'esprit assez fin pour ça, et pourtant je devrais apprendre à m'en défendre, il était si simple de s'y faire prendre.. Les visions que je pouvais provoquer n'atteignaient pas ce niveau bien que pouvant induire quelques effets déplaisants, enfin... peut importait. Les personnes me fixaient furtivement, m'observaient, et je saisis toute l'étrangeté de la scène, je devais discuter toute seule avec le vide, et j'avais retrouvé toute la sensibilité de mon bras.. Fort heureusement pour moi la honte ne tuait pas, mon ego en prenait juste un petit coup, je soupirai finalement, cela faisait longtemps. Puis je disparus dans la rue, histoire de ne pas éveiller de soupçons, on raconterait déjà que j'étais folle, parlant seule.. fichu Habashi. Devant lui, sans sourire, j'attendis ; aucuns signes d'affection ; il n'était pas un de ceux prenant part à mon bonheur, ou à son ''illusion''. Peu importe, chacun avait son but dans la vie, et sa place, lui c'était de m'enseigner, de m'aider à avancer et comprendre les choses qui m'échappaient. Le vieux comme je l'appelais, finit pas parler, rompant ainsi le court silence.

    « Tu te fais avoir trop facilement, gamine. Va falloir remédier à ça. »
    « Je suppose qu'on va ailleurs... »
    « Tu supposes bien. On fait comme la dernière fois. »
    « Oué, mais je dois quand même prévenir... »
    « Tu as des personnes à avertir que tu es avec un nukenin en dehors du village et que tu vas disparaître... je me demande ce que tu pourras bien dire à ton supèrieur, le Kazekage, pour justifier l'absence de la ''chef du kakumeigun''. »
    « Vous vous trompez.. Ce n'est pas le Kazekage que je vais avertir, mais Tsuna, si vous savez qui c'est. Et, je n'ai pas à me justifier. Nous y allons ? »


Il ne me répondit pas, je l'avais remis à sa place sans pour autant viser cet effet. Son regard m'indiqua simplement qu'il ne connaissait pas ce nom, et non ; une pièce rapportée comme on dit, un faux habashi, Ezio de son vrai nom. Les Ezio, il devait les connaître, à force de vivre dans ce désert, mais ce n'était pas le sujet, et je ne lui en parlerai pas, je préférais garder mon homme hors de mes histoires, ou au moins de celle ci, hors de portée de cet homme qui aujourd'hui d'un grand secours pouvait devenir dangereux, j'avais pus juger à plusieurs reprises de son expérience, mais aussi de sa puissance, une ombre au cœur de la nuit. Nous traversâmes alors la rue dans l'obscurité naissante, personne ne fit attention à ma personne, ni même à celui que suivais, pourtant à l'apparence suspecte, louche. Nous arrivâmes lentement au mur, je supposais que nous gagnions du temps sur le jour, pour profiter de la nuit. Il posa sa main sur le mur doré, celui ci ondula et se forma un tunnel. Je demandai à ce fantôme un petit instant, je déroulai un parchemin, y apposai ma signature sanglante, et appelai le plus petit des lézards, sous l’œil attentif de l'ancien.

    « Zanshiii... C'est qui lui ! »
    « ooh.. Kirido, c'est.. ce n'est personne. Veux tu rejoindre Tsuna, et lui dire que je pars en mission, cela risque de durer longtemps. »
    « En mission, hein ? Oué, moué.. bien, je vais faire ça. »
    « Je te remercie. »


Et il disparut.

    « En mission... tu peux dire cela ainsi, t'enseigner quelque chose relève même de la quête. Maintenant suis moi, tu perdras la vue à un moment donné, c'est autant pour ta sécurité que la mienne. »
    « Ha... vous supportez sera toujours un défi. On est quitte. »


Nous traversâmes le désert, la nuit, le froid. Comme il m'avait averti je perdis la vue, il me guida en me tenant avec fermeté la main, mes pieds quittèrent le sable pour atteindre la pierre, quelques heures après tout de même. Ce fut à peu de choses prés le même procédé que ces années avant, je ne savais pas où j'allais. J’espérais que la suite, ou du moins la fin ne serait pas à l'identique, enfin, je verrai bien. Et maintenant quelques minutes à la suite nous y fûmes, ce souterrain, cette cave que je connaissais, en partie, je n'en avais visité que trois pièces, celle ci la principale, une chambre spartiate, et une salle d’entraînement. Je soupirai une nouvelle fois devant cet endroit, un lieu chargé d'émotions pour moi, j'y avais appris et compris des choses insoupçonnables. Je savais qu'on ne commencerait pas l'entraînement dans la foulée, il me dirait d'aller dormir, et je m’exécuterais.

Le lendemain, réveillée, je le croisai, normalement. Nous nous retrouvâmes assis à la table, la longue table en bois par endroit brûlée, par d'autre craquelée ; autour de laquelle nous eûmes de longues discussions, oui, aussi abrupte pouvait il être, il demeurait d'une conversation utile. Cette fois il initia l'échange, il voulait où m'avait m'avait mené son travail, son enseignement.

    « As tu toujours autant de doutes sur le chemin que tu as choisi de suivre ? Parviens tu à manier les gênes de ta mère, et surtout, parviens tu à gérer tes émotions ? »
    « J'en ai moins, des doutes. Je réussi à manipuler l'eau aussi bien que Anka... Et mes émotions, et bien.. oui, je réagis moins violemment aux sentiments des autres. »
    « Tout est en chemin alors, cependant, veux tu me parler de tes doutes ? Ceux qui subsistent. »
    « Et bien.. je ne doute plus de mes capacités, je sais de quoi je suis capable, ce dont je suis incapable aussi. Je doute de l'avenir et du chemin que j'emprunte avec Suna, je veux dire, son dessin et son destin sont vraisemblablement la paix, mais... les shinobis seront toujours là pour initier de nouveaux conflits.. Je ne sais pas si je dois aider à atteindre la paix temporaire, ou la paix perpétuelle... »
    « La paix perpétuelle n'existe pas, la paix est éphémère, comme la vie ; quand les instigateurs de la paix seront morts, elle disparaîtra avec eux. Cependant faire en sorte que les shinobi ne soient est tout à fait possible, c'est un projet long à préparer et long à mettre en œuvre. Tuer tous les shinobis... »
    « Je n'éliminerai pas les shinobi... C'est la paix que je vise, par tout les moyens, certes, mais pas par la mort. »
    « Hum je vois.. Il y a bien d'autres façons de mettre un terme à la vie d'un shinobi, ou du moins, à sa voix. Le genjutsu, vois tu, est certainement la solution à tous les maux de ce monde ; il peut être le moins violent et le plus efficace. Mais.. Tu vaux rien dans ce domaine, tu es comme ton père.. Et tu n'as pas hérité ce don de ta mère, malheureusement. Cependant... Le fuinjutsu peut t'y aider, mais l'art des sceaux demande bien plus de maîtrise, de patience et de sérieux que tous les autres. Un sceau peut servir à tout et à rien... Comme ces techniques que emploies pour invoquer... des vêtements... » finit il sur un ton suintant l'exaspération.
    « Le fuinjutsu, ça ne sert qu'à... appeler des choses ou en contraindre d'autres.. C'est si... restreint. »
    « Ce n'est pas le fuinjutsu qui est étroit, mais ton esprit, jeune fille. Le nécromant emploi le fuinjutsu avec sa science pour relever le cadavre et le commander, lui sait seulement comment le faire et cela résulte de bien plus que la connaissance des sceaux ; mais le sceau comme il peut appeler l'objet, peut aussi le renvoyer, et l'absorber. D'ailleurs on ne scelle pas que des objets, mais des énergies aussi, physiques, spirituelles... En fait, tu peux tout sceller, tu peux tout faire. Absorber ta douleur, la renvoyer à ton ennemi, tu peux dérégler la circulation de son chakra, voir en annihiler la production.. »
    « Vous me dites que je peux... contrôler les personnes finalement. »
    « Un sceau à pour but de contrôler les choses, de modifier les choses... des les faire entrer dans ''ton'' moule, de les asservir... Le sceau est l'arme du tyran, il frappe durement, sans prévenir. »


La discussion continua encore une bonne heure, j'appris énormément sur les sceaux, de la théorie très alléchante, j'imaginais maintenant les choses différemment, et cette discussion finalement, en plus de m'enrichir, leva mes doutes quant à l'avenir. À toute phase théorique il y a une phase pratique, il était donc temps pour moins de m'exercer. Développer des jutsu me demandait un temps considérable, et mes séjours ici me permettaient de le faire sans que personne d'autre que le vieil Habashi ne le voient, ainsi tous mes secrets demeuraient et demeureraient intactes, et relevaient de la surprise, bonne, ou mauvaise selon la personne. Je trouvais cependant un défaut, et pas des moindres, à cet art. Pour être exploré il nécessite des cobayes ; des animaux peut être.. Ainsi lorsque que je me retrouvai dans la grande salle d'entraînement, une pièce toute de pierre recouverte des murs aux plafonds, je dus poser cette question. Contrôler les êtres vivants nécessitaient... des êtres vivants.

    « Sur quoi je m'entraîne ? Des animaux ? En avez vous ? »
    « Des animaux ? Hahaha.. Non ! Les animaux n'ont pas de conscience, et très peu jouissent d'une quelconque énergie spirituelle. Mais ne t’inquiète pas, j'ai ce qu'il te faut. Ce pays regorge de criminels pouvant très largement servir à l'expérimentation. Et comme je savais... enfin, j'ai ce qu'il faut. »


Il me quitta rapidement, j'entendis des portes claquer, grincer, puis il revint une dizaine de minutes après, précédé d'un homme ferré. Peut être les animaux n'avaient ils pas de conscience visible au premier coup d’œil, oui ils n'agissaient pas afin de causer du tort ou du bien, mais juste dans leur intérêt, ni plus, ni moins. Mais moi ? J'en étais dotée, et m'exercer sur un être humain, vivant, me posait grand problème, bien qu'il s'agissait d'un criminel, selon lui. Dans le pire des cas, mes sceaux ne visaient pas la mort de l'être, mais juste son contrôle partiel, ou total. Mais là un autre problème vint s'opposer à moi, je n'avais aucune base de technique de ce genre, je ne savais pas vraiment comment procéder. Alors je demandai à Akuraï de m'enseigner une seule technique, la plus faible ; il me fallait un exemple, quelque chose sur quoi me baser ! Sans rechigner, il m'expliqua l'existence d'un jutsu agissant sur l'âme de la personne, il m'expliqua que l'âme est bien plus que le cœur et les muscles qu'il irrigue, elle est le moteur de l'Homme mais aussi ce qui lui permet de choisir et de faire la différence entre bien et mal, il continua, m'apprenant qu'on contrôle l'être humain en contrôlant son âme. Priver l'être vivant d'âme c'est le priver de ses sentiments, le priver de sa volonté, et qui n'a pas de volonté, ne peut plus se battre, et irrémédiablement ne peut plus provoquer la guerre. Il fit la démonstration sur l'homme, un maigrichon défraîchi au regard noir. Il s'en approcha, et apposa sa main sur ce dernier, un cercle noir se forma, comme ceux me permettant d'appeler mes équipements. Les symboles, différents, se dessinèrent sur le torse du prisonnier, puis il extirpa quelque chose. J'ouvris grand les yeux moi qui n'étais jamais surprise de rien, là j'étais estomaquée. Cette aura, cette larme grisâtre, tirant vers le blanc, flottante.. Puis il la plaqua contre un parchemin portant le même sceau, elle fut... aspirée. L'homme resta debout, le regard vide. Le grisonnant senseï délia le brigand et recula de quelques pas, le maigrelet ne bougea pas un seul cil. C'était donc ça... l'âme.

    « Vous avez enfermés son âme dans ce parchemin ? »
    « Oui. C'est ça, exactement. Comme ça, ça parait d'une simplicité enfantine, mais ton adversaire doit être... immobile, complètement immobile. S'il bouge il peut t'arriver des choses pas forcément très agréables.. Mais, c'est une base. »
    « Et je peux sceller l'âme dans autre chose ? »
    « Bien sûr, tu peux sceller l'âme à l’intérieur même de son corps, cependant il s'agit d'une technique plus évoluée, que je t'enseignerai plus tard. Maintenant que tu as vue, que entendu tous ce que je pouvais te dire sur ce sujet, entraîne toi. »
    « Mais, il n'a plus d'âme... Il faudrait lui remettre, non ? »
    « Ha, non, on ne remet pas une âme, du moins on évite... Attend, je t'en amène un autre.. »


Rebelote, il partit et revint accompagné d'un autre homme, avec une longue chevelure noire, musclé, et bien plus grand que moi ou le vieux. J'approchai, et mis en pratique tous les savoirs accumulés ces derniers mois. Je ne prenais pas ce genre de jutsu à la légère, je jouais avec la vie directement, je manipulais le plus profond de l'humain, son âme et sa conscience. Ma main chaude sur son cœur, je fis le signe incantatoire, et se dessina le sceau, identique. Heureusement, me dis je, que je maîtrisais mon chakra à la perfection, ma sœur aurait eut vite fait de mal doser et d'emplir ses poumons d'eau. Je fis comme mon professeur, mais rien ne vint. Le grand gaillard m'observait, mais ne bougeait pas, peut être comprenait il qu'il valait mieux ne rien faire de stupide, peut être m'avait il reconnu, je ne pus dire, puis ça n'avait pas grande importance, j'aurais fini par le tuer un jour ou l'autre, s'il avait été un criminel. Plusieurs tentatives me furent nécessaires avant de parvenir à un essai concluant. Je commençais à comprendre le fonctionnement de cette technique du sceau d'esprit, mais il me faudrait encore de l'entraînement...
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