Mission:

C’est une blague ?

Un concours de peinture… Sérieusement ? Eh. Vous n’allez quand même pas me dire que c’est vraiment ça la mission qu’on m’a donné ? Ah bah si. Et en plus, elle est de rang B. Non mais où va le monde… Je me le demande parfois.

Je peinais à voir, au travers de chaque ligne de cet ordre, le côté officiel de la mission. Personnellement, j’ai plus tendance à croire que l’on m’ait fait une farce. C’est la seule explication possible. Même le concours en lui-même semblait… débile. Ouais en fait, y a pas d’autres mots. C’est débile, et ça ne me donne strictement pas l’envie d’y aller. C’est limite une mission que l’on pourrait réserver à des élèves de l’académie… et encore. Le seul truc bien dans cette mission, c’est que nous sommes plutôt bien qualifiés pour la réussir. D’autant plus que, qui dit concours, dit récompense… Gagner le concours, et donc réussir la mission, ça fait deux récompenses. Hm hm… Je crois bien que ça ne va pas être si inintéressant que ça…

Et pour cette mission, j’allais être accompagné. Un autre membre du clan Hyô était de corvée mission de merde. Hyô Matawa. Etant Hyô moi-même, je le connaissais, bien que brièvement. Très brièvement. Je voyais très bien qui s’était, sans savoir pour autant trop de choses sur lui. Mis à part avec Jun, je n’ai jamais été très proche d’un quelconque membre du clan. Sauf mes parents, mais c’est une toute autre histoire. Il y a cependant quelque chose que je savais à son sujet : il semblerait qu'il soit la nouvelle recrue de Seitô. Ainsi donc, il aurait jugé bon de rajouter un second Hyô dans la team ? Allez savoir, à vrai dire, j'ai du mal à savoir ce qu'il a derrière la tête celui-là. Même si ça fait un bon bout de temps qu'on fait équipe, je le connais assez mal. Et je ne m'en portais que trop bien.

Il fallait donc que je m’en aille retrouver Matawa. Seulement, en route, quelqu’un vint me barrer la route. Un ANBU, toujours masqué. En silence, je le regardais faire. Il tenait une missive dans sa main droite, qu’il me tendit. Je pris le papier, et il disparut aussitôt. Qu’est-ce que cela pouvait bien dire ?

« À l’attention de Hyô Kôhei et de Hyô Matawa,

Nous avons omis de préciser quelque chose d’assez important concernant votre mission du jour. La récompense mise en jeu est de 222 222 Ryos, et devra être remise au village de Konoha pour financer nos prochains mouvements. Nous comptons donc sur votre victoire. »

Mais… Pourquoi tous ces 2 ? Et puis, c’est quoi cette somme exorbitante pour un simple concours ?? Malheureusement, il nous sera impossible d’en garder le moindre Ryo. Il faudra se contenter de la récompense de mission, tant pis. Moi en tout cas, je ne comprends pas comment ils ont fait pour oublier de préciser cela. C’est bête, car c’est notre objectif principal. Houla. Ils devaient être fatigués là-haut. En tout cas, l’encre du message s’en alla sous mon contrôle, pour que ce message ne puisse plus être lu.

J’avais envoyé l’une de mes créatures d’encre pour faire parvenir à mon compère Hyô un message, lui disant de me retrouver à midi devant les portes du village. Le village dans lequel on devait se rendre n’était pas très éloigné de Konoha, et commencerait dans la soirée. Seulement, je préfèrais être large. Arriver en retard ferait automatiquement échouer la mission. Si on pouvait l’éviter, je ne m’en porterais que trop bien.

Il n’y avait plus qu’à espérer qu’il ne soit pas en retard. J’aimerais ne pas commencer cette mission sur un mauvais point. C’est d’ailleurs pour ça que j’ai préféré prendre de la marge sur le temps. Hors de question de faire échouer la mission à cause d’un retard de mon partenaire. Enfin, pour l’instant, tout va bien. Il lui reste dix minutes encore.

Message:

C’est avec cette lettre que se confirma l’ordre de mission qu’il venait également de recevoir. Or, son partenaire avait été plus rapide que lui et lui avaient envoyé cette petite créature d’encre ailée afin de lui livrer l’endroit de leur rendez-vous. Se qui troubla le plus Matawa, se fut bien sûr l’appartenance à son propre clan, cela faisait quelque temps déjà que Seitô lui avait parlé de son plus vieux disciple, mais jamais il n’avait eu la chance de le rencontrer encore… Pourtant, se nom lui disait quelque chose, mais il était en réalité très peu probable qu’il ne l’ait déjà rencontrer, pas avec son passé désastreux.

Sur la route vers les gigantesques portes du village, le jeune Hyô crut bon de passer par deux endroits, le premier était inévitable puisqu’il s’agissait du repère, l’endroit où il vivait depuis peu avec son maitre et cet autre Hyô. Malheureusement il ne pouvait pas encore mettre de visage sur ce nom et bien qu’en arrivant dans la place il cria pour que Seitô apparaisse, celui-ci ne sembla pas être présent. Il s’équipa donc de son matériel de mission et repartie sans demander son reste vers sa deuxième destination. La maison de sa grand-mère.

Arrivé devant sa grande maison, un garde se présenta en demandant qui demandait la très réputé Hyô Fune, matriarche de 72 ans et membre mineure du conseil de Konoha. Bien sûr il ne s’était lui-même pas habitué à ce qu’elle soit une personnalité aussi grande au sain du village, mais qu’il en soit ainsi, elle était la mère de son père se qui faisait de lui le petit fils légitime de la vieille dame.

S’annonçant puis passant par un couloir couvert d’innombrable tableau magnifique, le jeune blondinet arriva enfin devant sa vieille mamie, avec les courbettes de respect habituel il se dépêchant de lui expliquer la raison de sa visite avant qu’elle ne lui offre des biscuits et du thé.

Sa réponse fut simple, mais encourageante pour Matawa. Hyô Kôhei était véritablement son cousin de sang. Fils de sa fille qui elle était la sœur de son propre père. Se qui signifiait donc qu’il n’était pas la branche la plus pure de la famille, mais cette question n’était qu’éphémère. À ses yeux à lui, il était tout simplement une nouvelle porte vers cette grande famille qu’il avait jusqu’ici trouvé peu attrayante.

Remerciant la matriarche de l famille, le jeune shinobi reprit son chemin jusqu’aux portes et arriva pile à l’heure. Heureusement pour lui son cousin ne fut pas très dur à trouver, il était seul devant les portes.

Arrivé à moins d’un mètre, Matawa se demanda quoi faire, ou bien quoi dire… C’était la première fois qu’il le rencontrait, mais il se sentait si proche de lui.

- Enchanté cousin, je suis Matawa ! alors, tu es près pour se concours ?!

J’étais plutôt curieux de voir arriver mon coéquipier. À vrai dire, depuis ces derniers jours, j’ai enchaîné les missions. Et, de ce fait, je ne suis quasiment pas rentré une seule fois. Bon là au moins, cette mission va me détendre. Elle est beaucoup plus simple. Mais ce qui m’intrigue, c’est que Seitô a recruté une nouvelle personne dans l’équipe Yose. Tel que je le connais, s’il l’a pris sous son aile, c’est que le jeu en valait largement la chandelle. Autrement dit, cette nouvelle recrue devait être prometteuse. D’autant plus que c’est un cousin à moi, du clan Hyô. C’est vraiment très intéressant. Je vais pouvoir me faire une petite idée de sa personne, avant que Seitô ne me le présente.

Et il arriva. Pile à l’heure. Un bon point. Le voilà donc…

Enchanté Matawa !

Je me levai, m’étant adossé contre un arbre en l’attendant.

Ce n’est pas ce qui m’enchante le plus, mais il va bien falloir. On a intérêt de ramener la récompense… Konoha en a besoin pour financer de nouveaux plans d’action, d’où l’importance de la mission. Il ne s’agit pas que de réconcilier notre village avec celui qui organise le concours.

Bon, dans un sens, on avait un avantage certain.

Y a pas plus qualifié que nous en tout cas pour cette mission.

Et c’est le cas de le dire. Notre appartenance au clan Hyô allait grandement nous aider dans cette mission. Dans le monde shinobi, nous n’avions pas d’égal en ce qui concerne cette pratique artistique. Je ne me fais pas trop de soucis à ce sujet. Si tout va bien, nous allons remporter ce concours haut la main, et repartir avec cette somme exorbitante qui a été mise en jeu.

On partit donc, en direction du village organisateur. Nous avions largement du temps devant nous, ce qui fait que nous n’étions pas obligés de s’y rendre à toute vitesse. Et même, ça nous permettait donc de faire un peu plus ample connaissance.

Alors comme ça, t’es la nouvelle recrue de Seitô ? J’imagine qu’il ne t’a pas ménagé, non ?

À vrai dire, j’étais curieux de savoir comment il en était venu à le recruter. En tout cas, j’imagine que ça n’a pas dû être de tout repos. S’il en a bavé, je compatis. Je sais bien que ce n’est pas le plus tendre des sensei. Je le connais depuis plusieurs années, et je sais très bien de quoi je parle. Mais malgré ça, depuis que je suis son élève, j’ai fait d’énormes progrès. Aussi bien sur le plan physique que sur le plan mental. Ce n’était pas simple, mais ça en valait largement le coup.

En tout cas, pour me faire ma propre idée, il allait avoir le droit à quelques tests de ma part.

Tout en entamant la marche, Kôhei commença à faire connaissance. Il avait un peu plus tôt parlé de financement pour le village, mais cette donnée n’était apparemment parvenue que jusqu’à ses oreilles à lui. Heureusement, ce détail n’impressionna pas beaucoup Matawa qui passa par dessus comme si de rien n’était.

- Seitô ? Et bien comment dire… Il est vrai que ses méthodes sont un peu extrêmes et oui j’en ai bavé un peu, mais étrangement ce n’est pas l’expérience la plus traumatisante de ma vie. Bien sûr, je ne suis pas fou, j’entends ce que tout le monde dit à son sujet, mais ne serions-nous pas que de simple villageois s’il ne nous avait pas testés ainsi ? Toi aussi tu as passé son test et t’es surement entrainé avec lui. Je le mettrai plus dans la case du senseï qui travail pour notre réussite.

Tous ses tests sont en fait un excellent moyen de nous former pour des missions diverses et puis se faire jeter en bas d’une montagne se n’est pas la mort… enfin, tant qu’on ne s’écrase pas en bas…

Bref, je l’aime bien, j’ai l’impression qu’avec lui je deviendrai plus fort et c’est tout ce qui m’importe.

Et toi ? Que penses-tu de lui ?

Tout allait bien sur la route, quand soudain un petit groupe apparut, tous habiller de combinaison de camouflage assez étrange pour ne pas insulter se magnifique travail de couture maison, il portait également des katanas en bandoulière sur leur dos et semblait être une dizaine, cependant ils n’avaient pas l’air très puissants. Que de simples bandits de route à peine assez forts pour rivaliser avec deux ninjas expérimenter comme eux.

- Qu’est-ce qu’on fait ? On a le temps de s’en occuper ou on les contourne simplement ?

Peut importait la réponse de son cousin aux yeux du jeune Hyô, car devant lui se n’était qu’un autre obstacle aussi insignifiant soit-il, mais une chose le dérangeait, pourquoi une troupe aussi nombreuse les attendait ici ? À l’entrée du village adverse, tout ça n’était pas clair, peut-être que c’était une manière de bloquer tout approche pour le concours ou même une tactique mise en place par le village pour recueillir les fond ? La chose se devait d’être creusée un peu, mais après tout, Kôhei était le plus haut gradé et les décisions lui revenaient.

Tout en sortant un Kunai, Matawa chuchota à l’intention de l’autre Hyô.

- peut importe se que tu choisis, on ne devrait pas utiliser d’encre au cas ou on se ferait remarquer, histoire d’éviter d’éventuel ennuie au concours.

Attentivement, j’écoutais sa réponse. Oui, notre sensei bien-aimé n’avait pas fait dans la dentelle avec lui non plus. En même temps, le contraire m’aurait étonné. Son expertise était assez intéressante cependant. Les tests de Seitô ne sont pas de tout repos, et il le reconnaissait. Seulement, il ne s’en plaignait pas. Au contraire même, il reconnaissait les bienfaits de cet apprentissage. J’imagine bien que s’il a été recruté, c’est qu’il n’allait pas se plaindre toutes les deux secondes car c’est trop dur. Rien qu’avec sa réponse, je compris mieux la raison qui a poussé le Sabakyô à l’intégrer dans l’équipe.

Bien vu, c’est exactement ça. Avec lui, on est assuré de progresser. Il nous donne un but, et nous donne tous les moyens nécessaires pour l’atteindre. Honnêtement, j’avais peur que tu te plaignes de ses méthodes, mais je suis rassuré de voir que ce n’est pas le cas.

Prenant une légère inspiration, je repris.

Même si t’en fais partie depuis quelques jours déjà, je te le dis quand même : bienvenue dans l’équipe Yose !

Je lui souris, avant de répondre à sa dernière question.

Ce que je pense de lui ? Hm… On va dire que j’aspire à ses ambitions. Il n’est pas tendre, certes, mais je n’aurais pas pu espérer à un meilleur maître que lui. Et pour ça, j’éprouve un profond respect à son égard.

Peu de temps après ma réponse, quelque chose se passa. Un groupe d’une dizaine de personnes étaient sur notre route. Ils n’avaient pas l’air fort sympathique ceux-là. Non, pas du tout. Ils portaient tous une combinaison particulière sur leur dos, et étaient armés de katana. Des bandits ? Si proche de l’entrée d’un village civil. Qu’est-ce qu’ils foutaient là ?

S’en occuper, ou les contourner. C’était la question de Matawa. Les ignorer serait une bien mauvaise idée, mais est-ce que les affronter en était une bonne ? Il ajouta quelque chose d’intéressant, tandis que l’un d’entre eux semblait nous avoir remarqué, à tout hasard sûrement. Oui, utiliser notre encre ici serait une mauvaise idée. Il fallait se débrouiller sans.

Bonne remarque ! On s’en occupe donc. Laisses-en juste un ou deux de conscients pour qu’on puisse leur soutirer des informations.

Les bandits chargeaient, alerté par celui qui nous avait repéré. Ou du moins, pas tous. La moitié du groupe seulement, alors que cinq autres étaient restés en retrait. Déjà qu’ils n’ont pas beaucoup de chance de s’en sortir… alors se diviser était une idée bien sotte. Ils nous sous-estiment.

Je prends ceux de derrière. Go !

Je pris le pas de course également. Sauf que contrairement à eux, je fis un bond qui me permit de m’agripper à une branche située au-dessus de nous, et qui me permit donc de leur passer littéralement au-dessus, pour atteindre le groupe resté en retrait. Je fais confiance à Matawa pour s’occuper des cinq autres affreux. Une fois sur terre, j’envoyais rapidement un kunai muni d’une note explosive sur la main de l’un d’entre eux. L’explosion les souffla tous. Ils se relevèrent tous, sauf celui qui s’était pris l’explosion en pleine poire. Son katana était tombé sur le sol. Je m’en saisis. Rare sont les occasions où je pouvais me battre avec un katana. Autant dire que je n’étais pas plus doué que ça dans cet art, mais mes mouvements leur étaient tout de même bien supérieurs.

Deux d’entre eux m’arrivaient dessus, toujours armé de leurs précieux katanas, se préparant à m’asséner deux coups latéraux, venant de deux côtés différents. Ma main s’apposa alors sur le sol, et un sceau s’y grava. Tout en reculant, j’observais la scène. Il ne m’avait fallu que d’un seul mudra pour activer le piège. Une fois à son niveau, le sceau explosa sous leurs pieds, les envoyant valser dans le décor. Pendant ce temps-là, un quatrième gredin arriva par derrière. Parant avec facilité sa lame avec la mienne, je le repoussais avec mon pied droit, afin de lui entailler profondément le torse d’un seul coup de katana.

Il n’en reste plus qu’un, qui tenta de fuir, désespérément. Ah non. C’est le seul encore conscient… Il ne s’enfuira pas aussi facilement. Lui sautant dessus, je le plaquais au sol, kunai sous la gorge.

Tu ne nous feras pas fausse compagnie. Tu vas coopérer gentiment, et sans discuter, d’accord ?

En attendant, mon regard se dirigea vers Matawa, afin de voir comment il s’en sortait. C’était aussi un bon second test pour lui, pour que je me fasse une idée personnelle de ce qu’il vaut. Je pense même le charger de soutirer les informations lui, pour voir comment il se débrouille. À vrai dire, j’étais assez curieux d’en savoir plus sur lui.

Alors que son supérieur le laissait en plan avec les cinq malhabile qui fonçaient sur lui, le jeune Hyô décida de jouer avec eux avant de tous les mettre K.O. balançant des parchemins explosifs dans tous les coins, afin de créer une sorte de prison explosive qui les retiendrait d’une tentative de fuite. Malheureusement il n’avait plus d’autre parchemin pour les lancer sur ses cibles et décida donc de leur révéla son astuce afin de les calmer.

- Vous savez, nous sommes des ninjas très expérimenter et ce que je viens de lancer explosera à la moindre tentative de sortie. Cette zone peut donc devenir mon terrain de jeu ou votre cimetière, à vous de choisir.

- Et pourquoi on voudrait s’échapper tu es seul et on est cinq ! C’est perdu d’Avance foncée !

Mais comme il s’y attendait, ils ne restèrent pas immobiles, le premier à pointer le bout de son nez était le plus gros du groupe et probablement le plus costaud, mais aussi le plus lent. Balançant son sabre comme s’il s’agissait d’un vulgaire balai et témoignant au passage de son inexpérience. Matawa évita le coup avant de l’utiliser contre son adversaire, d’une simple manœuvre et d’un jeu de pied, il retourna le poids de son adversaire et le propulsa sur le premier parchemin.

BOUM. Et d’un.

- Si j’étais vous, je m’assiérais tranquillement, je vous laisse la chance de discuter tranquillement et vous m’attaquez alors que vous n’avez aucune chance. Vous êtes soit très peu intelligent soit des kamikazes, vous le savez les gars ?

Fou de rage, le second plus mince que le premier lui tomba dessus avec la ferme intention de le transpercer de sa lame, toujours armée de cette arme si commune et de base manufacture, il força tout de même le jeune shinobi à sortir son Kunai. Avec celui-ci, il le désarma et récupéra le sabre avant de continuer. Bien que son adversaire ait perdu tout contrôle et tenta de fuir, le blond le propulsa malgré lui contre le deuxième parchemin afin de démontrer qu’il ne rigolait pas avec eux.

BOUM. Et de deux.

- À qui le tour ? J’en ai marre de vous, soie vous vous assoyez où je vous tue avant que le parchemin suivant n’explose. Le problème c’est que je n’ai pas de temps à vous consacrer et vous m’intriguer, pourquoi attaquer des gens si près d’un village neutre ?

Cependant, il n’avait que réussit à créé la peur au sain du groupe qui plus trop sur d’eux avait commencer à reculer doucement. Utilisant le katana de sa cible, Matawa fit un lancer parfait qui atterri pille sur le dernier parchemin derrière eux, les propulsant au sol à plat ventre et désarmer. Effrayer, ils mirent leur tête sur le sol et leur main par dessus en signe de soumission. Il avait gagné.