Yuki no Kuni, je savais qu'un jour ma route m'amènera à venir poser pied sur cette ile glacial. Katano m'a dit qu'un jour il y est allé et qu'avec son maitre ils ont passé l'un de leur dernier moment ici. Pour fêter un anniversaire. Qu'elle raison stupide, je ne sais même pas qu'elle jour de l'année je suis née, vous pouvez donc voir comment cette idée humaine m'intéresse. Enfin qu'elle qu'il soit, j'avais des choses à voir dans ses lieux. C'est donc prenant un bateau de ravitaillement que je me mets à prendre la direction de ce continent. Un regard vers l'avenir et un autre sur celui du potentiel risque de mettre les pieds dans un territoire non-hospitalier. À ce que je me rapel du Shukai et des gens que j'ai côtoyé, je n'ai vue que des personnes se faisant arrêter pour des broutilles pour mettre en geôle pour la demande d'une rencontre à l'intérieur de leur rempart. Mhh et dire qu'ils se disent pacifiques et prêt à accueillir n'importe qui. S'en est vraiment risible. Enfin, Yuki est aussi le lieu ou un dénommé Samui Kakasuou fut le dirigeant, un mec de la famille d'une Samui Yuki. Une femme dont l'accoutumance avec mon partenaire Katano fait que je sais une ou deux choses sur elle, dont celle de son intérêt sur un dénommé Météora. Un point commun qu'elle a avec moi. Cependant elle sait surement bien plus de choses à son encontre que moi. Il y a aussi cette tribu de Barbare du nom de Suzurane qui m'est intéressant. M'enfin, je sens que je perds mon temps ici. Surtout que je dois plutôt faire attention à ne pas laisser la chance de mettre une main sur moi. Le bateau amarrant donc dans le port de Dhartsedo. Je prends le large pour aller jusqu'à leur village. Prenant la direction du bar le plus proche, je me mets à m'assoit dans un coin tranquille sans faire de bruit. Laissant les gens parler entre eux de cette manière je pouvais avoir des renseignements sans mettre les vues autour de moi. Les discutions sont plutôt banal et sans véritable intérêt. Je commence même à m'ennuyer avec tout ça. Prendre la route du grand froid sans piste apparent ne me laisse qu'une amère envie. Pourquoi me geler les miches sans aucune raison apparente. Quand d'un coup un homme étant la depuis un certain temps semble chercher les noises à deux autres mecs. Je le regarde, puis vois que ça présence est nettement plus forte que ceux des autres membres de ce bar.

Dis donc les deux pochetrons, Kuraï n'est pas une arme pour les bouseux, alors arrêtez de la regarder sauf si vous voulez que je vous fende en deux avec." "Dis donc les deux pochetrons, Kuraï n'est pas une arme pour les bouseux, alors arrêtez de la regarder sauf si vous voulez que je vous fende en deux avec.

Un sourire se dessine sur mon visage. Celui-là au moins, il n'a pas froid aux yeux. Regardant comment les deux idiots se mettent à régir. Ils se retournent pour regarder en direction du jeune homme, puis à le regarder bizarrement et a répondre:

Hé regarde moi ça un mioche qui vient faire ça loin dans un des pays dont la vie est le plus rude. Ça se voit tu n'est pas de notre région. Vient Akatsu on va lui montrer comment on accueille les petits malins comme lui.

Se levant de leur chaise, ils ne savent pas encore qu'elle erreur ils ont commis. Les deux s'approchent du jeune homme. D'un coup, sans prévenir personne, je prends la tête de celui s'étant mis à marcher devant l'autre et à taper ça tête sur le bar.

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Désolé, mais ta tête ne me revient pas. Puis au moins tu peux voir comment j'apprécie l'accueille dont tu fais preuve Connard.