Le premier jour... | Maï & Ha |

**Hakushi Oni** Informations **Messages** : 10 **Rang** : C

- Hum...

Sa sœur époumonait en courant dans leur deux pièces pour trouver... Elle cherchait quoi d'ailleurs ?! La tête blonde encore allongée et enroulée au sol ouvrait un oeil à quel moment l'avait-on éjecté du lit ? Elle leva son minois si tôt écrasé dans son coussin qu'elle serrait sous l'action du pied de sa sœur jumelle qui trébuchait à son tour... Brouha, étagère au sol, enfin, sur Oni qui relevait la tête pour rager... La donzelle vira le livre porno de son frère mal planqué de sa tête et se redressa sans dire un mot pour aider Maï en soulevant le meuble en pin de médiocre qualité... Non pas sans finir de lever le dragon qu'il était réveillé ; Ha bien sûr, le tout en lui jetant sa revue au nez.

- Hum...

Puis sans dire un mot, la voilà fasse aux fourneaux pour faire chauffer le lait, préparer le petit déjeuner... Derrière ça braillait... Pour pas changer et elle soupira simplement avant de bailler, quel réveil, le même depuis des années. Elle se grattait le crâne après avoir fini et s'empressa de laisser les fauves face à leur assiette pour profiter du calme et prendre une douche... Froide... évidemment, Maï c'était levé la première... Bordel. Pourtant son humeur calme n'avait pas changé en revenant vers ses doubles toujours aussi bruyants, toujours aussi bordéliques. Nouveau soupir et tout reprenait sa place le temps que les autres s'agitent à se préparer, aujourd’hui ils étaient censé faire des courses ou bosser... Un truc du genre, ou les deux même, bref, pas important de toute façon ça lui reviendrait en chemin, Oni n'était pas du matin, elle, il lui fallait bien quelques heures pour que son cerveau reparte après une nuit aussi compliquée où... Elle avait failli mourir dix fois étouffée par l'étreinte de sa sœur à la poitrine monstrueuse, puis par celle de son frère qui pensait tordre le cou d'un coq à croire...

Cette fois elle se raclait la gorge en ouvrant la porte puis en patientant sagement que les deux autres se décident à la rejoindre, quelque fois elle levait les yeux au plafond en les regardant, dix sept ans toutes leurs dents, pas toute leur tête ça c'était sûr. Elle la première pour les supporter d'ailleurs ! Quinze minutes plus tard et dix bonjour et regard noir aux curieux qui passaient devant, l'Hakushi se décidait enfin à se faire entendre, du moins essayer...

- On y va....

Pas de réponse et son ménage foutu en l'air en autant de temps, elle sentait son sourcil gauche bougeait nerveusement...

- On y va....

Et Maï qui partait se changer encore, Ha qui bouffait en faisant couler sa confiture partout... Grognement...

- ON Y VA MAINTENANT BOUGEZ VOTRE CUL ! TOUT DE SUITE !

... Avant l'hurlement...
Tous les regards se braquaient sur elle... Un long soupir, elle agita sa tête et commença sa route vers le centre ville... Suivi ou pas ! Comme-ci ils lui laisseraient une journée de congé ces zigotos là....

**Hakushi Ha** Informations **Messages** : 25 **Rang** : C

Vous savez quoi? J'aime les boites de nuit à Kumo, elles sont plutôt bien. J'aime l'ambiance et cela change des coins paumés que nous visitions aux cirques, tellement que je suis dans mon lis depuis à peine deux heures avant qu'Oni vient me balancer mon propre livre de cul. Purée, respect pour les livres documentaires. Personnellement, moi il me faut bien dix minutes pour immerger. Après ces dix minutes, je peux tout faire, mais avant c'est une vrai catastrophe que vous aurez devant vous. Tentant de manger une tartine, je peux paraitre comme un vrai gamin de quatre ans tentant de manger une chose que j'ai attrapé dans mes mains.

Putain cette tartine à un goût de cru. Cherchez pas à comprendre, je n'ai pas de logique les dix premières minutes de réveilles. Cramant la tartine, je fis frôler une flamme juste au dessus de la tête d'Oni. Une flamme finissant sur le toit qui commence à prendre feu. Rien à faire, après tout, on n'est des Ninjas donc quoi qu'il arrive le village ne nous mettra pas à la rue, puis je ne suis pas la pour réparer mes propres erreurs. Bon, dix minutes passe et me voilà en pleine forme:

Bon, on dois partir pour visiter Kumo. Hé! Hakushi, je veux du porc grillé pour ce soir. Vu que l'on doit passer faire les courses il faudra que l'on passe en acheter et on fera comme d'habitude. On fera passer Oni devant pour avoir les réductions.

Me levant de ma chaise, je découvre que je suis toujours en caleçon. Bon, là je pense qu'il me faut refaire un détours dans ma chambre pour trouver dans l'amas de linge sale un vêtement propre:

Yes, il en reste encore une de propre.

L'enfilant rapidement, je me met à prendre la direction de mes deux sœurs qui sont l'une à côté de l'autre, puis je me mets à poser mes bras sur le cou de toutes les deux puis je me met à dire:

Vous savez que vous êtes mes deux princesses?

Faisant un bisous sur la joue a chacune, je me met à prendre la main à Mai, puis à commencer à ouvrir la porte d'entré tout en regardant Oni et à dire:

Toujours à la traine Oni. Allé grouille toi, nous avons beaucoup à faire et peux de temps devant nous.

Un sourire de joie, je suis avec les filles qui illuminent ma vie. Ses personnes dont ma vie n'a que peux d'importance face aux sentiments qui nous lies. Il n'y à qu'Hagane qui manque dans ce tableau pour qu'il soit parfait. Cette troisième sœur qui lie notre groupe.

**Hakushi Maï** Informations **Messages** : 4 **Rang** : C

Ah !! Kumo quel magnifique village ancré dans la montagne, lieu où chaque habitation se retrouvent transportés par delà les nuages, mais même parmi ses géants il existe un colosse. Un édifice dépassant tous les autres, imposant le respect et l’ordre dans le village. Ce bâtiment n’est d’autre que celui du Raikage qui d’une main de fer fait régner la paix sur le pays, à la mesure du possible bien entendu, s’il le faut ce dernier sait que la violence est aussi une manière comme une autre d’obtenir la paix. Véritablement le village caché du nuage est magnifique avec tous ses rochers et ses… rochers… Brefs ! Vous l’aurez compris c’est toujours mieux que Suna et tous se sable qui vous rentre par tous les orifices.

Intéressons nous plutôt à ce vieil homme septuagénaire qui regarde le temps passer depuis le balcon de sa fenêtre. A sa vie fut très bien remplie, honnête marchant de légume du village, il avait passé toute sa vie sans la moindre escarmouche, il n’avait jamais nourri de grande colère comme de grand amour. La vie jusqu’à maintenant lui paru très longue. Quoi ? Pourquoi vous me regardez comme ça ? La vie tranquille d’un ancêtre observant son voisinage ne vous donne pas l’envie d’en savoir plus à son sujet ? Non vous ce que vous voulez c’est du combat, du sang et du nichon ? Bien c’est justement pour ça que je vous parle de lui, si si croyez-moi, dans quelque instant vous allez voir du combat, du sang et du nichon.

Nourrissant les oiseaux qui venaient lui rendre visite chaque jour, une vie tellement paisible et harmonieuse… Bon sang quel vieux con… Euh bon ! Bon vous êtes prêts ? Trois… deux… un. Soudainement le vieil homme entrevoit quelque chose qu’il n’aurait jamais du voir de sa vie, enfin si, mais pas aussi brutalement… Et la c’est le combat ! Il s’agrippe la poitrine de ses mains serrant fort son sein gauche, son cœur palpite, il s’emballe trop pour son âge, la douleur crispe son faciale rider et distendu. Il part à gauche, il vacille a droite, attention il trébuche sur sa canne, il tente de se rattraper au bocal qui contient les centres de sa femme. Ho non il s’écroule et le contenu de la jarre se déverse sur son visage au nez ensanglanté. La mort fut brutale, cruel et fulgurante. Mais voyons ce qui a provoqué le décès improbable de cet homme. Sur quoi son regard avait-il atterrit pour déclencher son arrêt cardiaque ?

Tiens une bâtisse en face de sa maison et une fenêtre grande ouverte donnant sur… Oh bordel de dieu, matez moi cette paire de seins titanesque. Une jeune fille au corps de déesse se baladant dans la résidence les roploplos à l’air. Alors qu’est-ce que je vous ai dit ? Du combat, du sang et des nichons. Bon y’a un mort, mais bon il est monté au ciel heureux c’est le principale, non ?

On oubli le vieux de toute façon il à fait son temps alors qu’il ne vient pas se plaindre. Venait plutôt avec moi pénétrons dans ce moulin rouge ensemble et on ne pousse pas. Regardez moi cette bombe atomique, des hanches gracieuse avec des proportions parfaite, des cuisses et des fesses fermes, pas besoin de les touch… Hey ! Qui à prit les mouchoirs ? Vous ne voyez pas que je vais bientôt en avoir besoin. Hum… Hum. Bon inutile de la décrire plus vous risqueriez de rendre vos mains collantes.

Essayez de deviner ce que cherche cette belle plante de si bon matin. Pourquoi vous me regardez ? J’en sais pas plus que vous, je ne suis qu’une voix OFF qui donne son point de vue vous savez. Tiens tiens tiens mais qui sont ses deux compagnons qui sont héberger dans la même maison que la déesse de l’amour ? PRFFF c’est une blague ? C’est qui cette fille ? Ou plutôt cette enfant… Elle ne devrait pas être à la crèche ? Quoi elle a le même âge que la beauté et c’est sa sœur… Comme quoi dans une famille il y’a toujours des rebuts, pauvre fille… au pire elle fera le bonheur des Lolicons. Oublions la plate blanchâtre et… Hey c’est qui ce type ? Bordel c’est qui cette enfoiré de bouseux qui vie avec nôtre intouchable et pure ange ? Un frère ? Rien à foutre, qu’il soit frère, cousin, consanguin, cul-terreux ou alcoolique je ne conçois pas son existence !!! Hein ? Ils sont déjà parti et elle à mit un tee-shirt de son frère car c’est le premier truc qu’elle à trouvé. Laissez-moi voir, un tee-shirt blanc avec écrit « BOSS » sur la poitrine dont le O et le premier S sont cachés par les formes généreuses et l’étroitesse de ce vêtement qui laisse entrevoir son joli nombril.

Merde y’a Marcel qui commence à avoir des convulsions, vite réanimez le ! Trop d’émotions en une seule fois ça abat un homme. Attendez qu’est-ce qui fait cet enfoiré ! Il ose salir nôtre divine créature avec ses lèvres impures !! Crève fumier de chanceux !!! En plus elle le serre entre ses deux… ses deux… Crève !! Crève !! Crève !! Crève !! Crève !! Crève !! Crève !! Etouffe toi dans ce bonheur de chanceux et crève !! Crève !! Crève !! Crève !! Crève !! Quoi !? Oui je m’énerve sur une poupée vodou à l’effigie de Ha et alors !? Crève !! Crève !! Crève !! Crève !! Crève !! Crève…

**Hakushi Oni** Informations **Messages** : 10 **Rang** : C

Le comble, mais quel crétin, c'était bien la pensé d'Oni alors qu'on lui suggérait de se dépêcher, elle la première prête à y aller du groupe, elle roulait des yeux en prenant son mal en patience, l'habitude après tout. Cependant, elle rattrapait son frère sur un point...

- De la viande ? Tu nous prends pour des capitalistes ? Je te signale qu'on doit rembourser à tous bouts de champs tes conneries, même avec des réductions...

Elle soupirait, son monologue, car son discours en était un ne servait à rien, personne ne l'avait écouté et elle les regardait s'éloigner, main, dans la main, qu'avait-elle fait pour mériter ça? Son mal de crâne qui frappait à nouveau à sa porte, il fallait se calmer, relativiser, au moins ils étaient tous ensemble... La tête blonde regardait le spectacle offert par son frère et sa sœur un air perplexe. Nouveau soupir, elle tournait la tête pour regarder ailleurs et tout ce qu'elle voyait été le regard accusateur des gens du voisinage... S'intégrer ne serait pas facile, ça ne l'avait jamais été de toute façon. Encore une question d'habitude qui la faisait sourire en ignorant les médisants maintenant, elle n'avait qu'eux au fond.

- Va pour la viande, mais tenez-vous correctement ! Et pas question de cramer quoi que se soit Ha ! Quant à toi Maï, ne parle pas aux inconnus sans nous, puis tu vas demander poliment une ristourne au marchand...

Encore un discours dans le vent, les voilà entrer dans la première boutique de vêtements, Ha avait vu une jolie fille, Maï... Qu'ils aillent au diable elle continuait d'inspecter la ruelle en attendant qu'ils comprennent, ils avaient oublié un détail non ? Ces crétins. Oni plaquait sa main sur son visage, heureusement que c'était elle qui avait confisqué l'argent... Elle tâtait sa poche... Rien... L'autre poche ? Rien... Celles de son pantalon ?! Rien et soudain l'évidence...

- HA ESPECE DE !

Car oui, il ne l'avait pas enlacé pour rien. C'était suspect en même temps et quand elle couru à l'intérieur... Trop tard.

- Attendez ! Attendez !

Rien à faire, l'argent disparaissait dans la caisse et la vendeuse ne voulait rien savoir, l'argent des courses, du loyer... Le facies de la belle perdait encore quelques teintes de couleurs, déjà qu'elle était pâle de nature... Elle grogna son agacement, mais encore une fois totalement ignorée.

- J'espère pour vous que vous avez trouvé une solution miracle pour faire pousser l'argent...

Mais maintenant qu'elle y pensait... Ha sortait beaucoup et il avait beaucoup de babioles... D'où il sortait tout ça ? Elle le guetta un air suspect...

- Ha ?... T'as rien à me dire.

**Hakushi Ha** Informations **Messages** : 25 **Rang** : C

Etre un ninja c'est savoir être discret et agir dans l'ombre sans que personne ne le voit. Ben, vu que je suis Ninja maintenant, autant m'entrainer sur l'une de mes sœurs pour acheter un bon morceau de barbaque sans son accord. C'est donc en toute discrétion et de manière incognito, que j'ai prix l'argent dans l'une des poches de ma petite Oni. Je la connais, si elle achète un morceau de viande elle va s'en vouloir de ne pas payer l'électricité ext. Des détails pour moi insignifiant et qui me font ni chaud ni froid. Si l'on ne paye pas c'est le village qui payera pour nous, car ils ne peuvent pas enlever le minimum de confort de leur soldat au risque qu'ils soit mal en point pendant une mission importante. Après se petit bruit que j'affectionne. Vous savez le petit "Dig" de l'encaissement des sous, c'est bon. Oni ne peut plus rien y faire. J'ai payé et ce midi ou se soit c'est de la bonne viande que nous mangerons. Cela de fait, j'entends raisonner dans tout le quartier mon nom. Une habitude que j'ai. J'en ai tellement l'habitude que j'arrive même à distinguer mon nom crier et celui d'un simple "HHHAAAAaaaaa" qui pourtant est plutôt ressemblant. Ma tête s'enfonçant dans mes épaules, mes dents se serrant dans ma mâchoire, je me mets à regarder Mai et à lui répondre:

Mai, il faut que tu consoles ta sœur. Si tu arrives à faire passer la pilule, on mangera une bonne viande.

Bon, la seule chose que j'attends, c'est surtout qu'elle la calme et que je passe sans problème. Après, le problème c'est qu'elle commence à cogiter. Merde, elle a remarqué que j'ai pas mal de babiole et que mes sorties se font fréquent. En plus, elle me connait, donc c'est mort. Je ne peux guère me cacher, elle me connait trop bien. Bon, ben tempi jouant honnêtement:

Eux, ben j'ai mon petit commerce. Je vends des bonbecs à des gamins, je vent les sous-vêtements de Mai et vent des babioles à des gens. Des babioles dont j'ai posé un papier avant de leur vendre pour les cramer et les faire revenir plus vite. Puis je dépense tout en fringue ou en resto pour réussir à me taper des nanas. Purée, quand j'y pense elles sont dépensières les femmes de Kumo. Tu sais que le restaurant n'est pas donné ici?

Je suis sans gêne? Sans honneur? Ben, vivre avec honneur, c'est comme vivre avec un bras en moins. C'est handicapant et l'on ne gagne rien en échange. Je préfère mille fois passer pour un sale con que de perdre autant de possibilité d'action.

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