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 La pierre blanche ~

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Xia Chao Seng
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Message(#) Sujet: La pierre blanche ~ La pierre blanche ~ EmptyJeu 23 Jan 2014 - 2:39

L'enchainement de l’existence ~

Le bilan

Il était une fois...

C'était bien comme ça que les contes pour enfants commencent toujours ? J'aurais aimé que mon histoire en soi un fut un temps, mais enfin, c'était avant que je me rende compte de la cruauté de ces derniers, une bien dissimulée sous des mots subtile et une histoire prise sous le bon angle. Oui finalement je le pouvais, oui je pouvais bien commencer ainsi...

Il était une fois, une petite fille...

Le commencement, c'était quoi au juste ? Le moment où l'histoire devenait intéressante ou sa base, à moins que ce ne soit la naissance du protagoniste de cette dernière. Que pouvais-je en raconter au final ? Je n'avais pas tant désiré en garder, des souvenirs, l'enfance, déjà en étais-je sortie ? Parlons plutôt de jeunes années et les miennes débutaient ici et ainsi...

Enfant du milieu dans une grande fratrie, Dame Destin avait voulu que je ne connaisse jamais la solitude, mon premier son fut le chahut et je ne m'imaginais pas encore à quel point j'aurais voulu que ce dernier reste à me bercer toute ma vie. Chez moi, pas de tableau de famille attendrissant, mais ne vous détrompez pas, j'étais une enfant chanceuse. Bon certes la façon de vivre n'était pas celle du commun des mortels, mais au fond, oui finalement, bien trop tard je me rendais compte à quel point on prenait soin de moi, à quel point on avait voulu me protéger en étant si dur. Marche ou crève, l'expression sied à merveille à mes premiers pas, nourris-toi par toi-même ou meurs de faim, fais-toi entendre ou tais-toi à jamais. Un extrémisme poussé où il n'y avait pas de place pour la faiblesse. L'entraide ? Je ne savais pas encore ce que c'était, pas de distinction entre frère ou non quand il n'y avait qu'un bout de viande, c'était la loin du plus fort et les aînés gagnaient toujours, du moins au début...

Façon de vivre assez primitives se diraient certains et diable comme ils auraient peut-être raison. On m'avait appris la méfiance, la combativité, la volonté à ne jamais abandonner, car on espérait au fond qu’à l'avenir, mes conditions d’existences ne seraient jamais pires. On espérait pour moi que chaque coup de massue de cette chienne de vie ne soit plus qu'un frôlement sur mon être, si on m'avait voulu de marbre c'était par peur de me perdre. Et si je devais bien dire que si aujourd'hui je m'en sortais à si bon compte, c'était grâce à ça, j'étais heureuse du malheur dont je me plaignais tant il y avait encore si peu de temps.

Comment les choses avaient-elles pu changer à ce point ? Comment étions-nous en arrivée là, parce qu'il le fallait sûrement, comme le jour où je suis devenue une arme de Kiri, le jour où mes preuves avaient dû se faire face à mes frères. Enfants du même age, inséparable même dans les pires épreuves et au moment de choisir ? J'avais choisi ma vie plutôt que la sienne. Non pas que je n'en avais que faire de les perdre, non, mon âme s'était brisé sous le poids de mon geste, juste qu'au final, je me préférais à eux. Non, ce n'était pas le commencement d'une héroïne à l'âme pure, point d'auréoles sur ma tête, au fond je n'étais que le reflet humain, un qui ne se leurrait pas dans la quête de noblesse. Déjà à l'aube de la vie, j'étais d'une si grande noirceur tout en brillant d'une innocence aussi conséquente. Amusant non ?

Pas un remord en empoisonnant ce dernier repas, pourtant toute une nuit de torture durant laquelle je savais qu'il était encore temps de mettre fin à cette folie, encore temps de les sauver, mais si c'était me condamner moi ? La survie à tout prix, pour elle j'avais sacrifié la vie des miens, voilà pourquoi la mienne était maintenant devenue si importante...

É
goïste ? Non, simplement ignorante ~

La pierre blanche ~ D8xn


Dernière édition par Kaguya Aojikawamanashi le Jeu 23 Jan 2014 - 2:57, édité 3 fois
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Message(#) Sujet: Re: La pierre blanche ~ La pierre blanche ~ EmptyJeu 23 Jan 2014 - 2:42

L'enchainement de l’existence ~
Shinichi

Il était une fois...

Et si l'ignorance était une arme face à la cruauté de la vie ? Une question que je ne m'étais pas posée à ce moment-là, celui où j'avais sa route, puis la leur. Car alors que mes journées se résumaient à errer, chasser et m’entraîner un vain, une créature aux oreilles pointues c'était perdu en une journée où il ne devait rien avoir à faire. Un coup du Destin encore ? Sûrement, puisqu’après tout, je me disais bien qu'au fond ce dernier devait bien m'aimer, peut-être même un peu trop et c'était là le problème. L'homme dont je parle arrive encore à illuminer mon regard par sa simple pensée, étrange quand on nous voyait ensemble, toujours à se faire misère sur misère, lui si méchant et doux à la fois. Il s'appelait Shinichi, on le nommait le Lutin bleu et il fut le Mizukage du village que je rejoignais à ma quinzième année...

Du monde, je ne savais rien et ses portes, c'était lui qui allait les ouvrir, un Kage ? Un mot lâchait dans le vent pour moi, il me parlait de Kiri, de devoirs et d'un tas d'autres choses que je n'entendais que comme du vent. Il tentait alors de desceller une grande puissance faute d'une intelligence innée et là ne découvrait qu'un boulet venant rejoindre son pied... Mais alors, pourquoi... Pourquoi m'avoir gardé ? Je suppose que cette réponse je ne la saurais jamais, mais ce dont je ne pourrais jamais douter restait mon affection pour lui, une peut-être même trop débordante. J'ai un peu honte à le dire aujourd'hui, mais c'était sans nul doute la jalousie qui me rendait si hargneuse avec ceux qu'il nous faisait côtoyer. Vient alors cette ridicule idée d'équipe alors que j'étais si bien seule avec lui, combien même sa compagnie pouvait être parfois infâme, mais pas pour moi. Il me tardait déjà le moment où j'allais le retrouver alors qu'il n'avait pas encore disparu de ma vue, c'était ce qu'on appelait l'admiration, le respect, l'affection ? C'était même une forme d'amour.

Comment l'aurais-je su, jusque-là, personne n'avait jamais rien fait pour moi sans rien demander en retour, pourtant j'avais beau attendre la note, c'était celle que je lui faisais payer qui s'avérait toujours salée. Si il y avait un seul moment que je devais garder de lui, sans hésitation ça serait celui de ma première douceur, une glace. Aussi bête que cela puisse être, je n'en avais jamais mangé, en fait même, on ne m'en avait jamais rien offert du tout et combien même je n'aurais jamais accepté de toute façon. Amusant cet élan de générosité de la part de celui que je nommais Lutin radin à juste titre en général, alors qu'au fond, il était l'être le plus généreux du monde avec moi. Si il y avait bien un cadeau qu'il m'avait fait bien plus que sa présence, c'était l'apprentissage de la base de la vie : S'ouvrir aux autres.

Bien que parfois j'ai regretté cet héritage là, une fois sur la balance mes doutes se sont effacés, sans lui tant de moments que je n'aurais jamais vécu, tant que je ne pourrais pas vivre à l'avenir, tant de lumière dans l'obscurité de mon chemin que je n'aurais pas pu rejoindre. Son absence ? Pour moi elle reste irréelle, car à chaque moment qui passe, j'arrive encore à entendre ses remarques, je le vois parfaitement plaquer sa main contre son visage comme quand il se demandait ce qu'il avait fait pour mériter ça. Où il était à ce moment-là ? Je ne saurais le dire vivant ou mort, mon regard souvent porté vers le ciel étoilé ne savait me faire trancher vers une réponse. A quoi bon de toute façon, je préférais me contenter du fait qu'il soit absent pour les autres, mais toujours là dans mes souvenirs, car de toute façon il était clair qu'il ne me quitterait jamais.

C'était mon père qui ouvrait le livre pour que j'inscrive mon avenir, mais peut-être, que les lignes de ses pages avaient fini par s'éloigner de ce qu'il espérait...

Senseï, merci ~
C'est peut-être la seule chose que j'ai oubliée de lui dire...

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Message(#) Sujet: Re: La pierre blanche ~ La pierre blanche ~ EmptyJeu 23 Jan 2014 - 3:36

L'enchainement de l’existence ~
L'ombre et la lumière de mon âme, Yoru & Yuka

Il était une fois...

Le mentor. Un simple mot pour certains qui voulait dire quoi au juste ? Bénédiction pour moi certainement. On pourrait bien me prendre pour une folle, car il s'agissait bien là de la folie, celle d'un homme, une qui lui avait fait son nom, la même qui nous avait rapprochés, celle qui ne laissait personne indifférent, elle qui avait la force à un son du vent, celui appelé : Mizukage.

À quel instant avais-je enfin entendu son sens, peut-être face à l'aura de celui qui restera à tout jamais la définition même de ce mot, un homme inégalable à l'unique pupille azur. Pas seulement mon père cette fois, mais aussi celui de tout Kiri, lui qui répondait au nom de Yoru qui avait attiré mon ouïe par ses comptines aux mœurs étranges. Non pas que notre kage en avait, mais plutôt qu'au plus profond de son être, il avait décidé de ne jamais être seul, ou du moins, son esprit l'avait décidé pour lui. Je me souviens avec amusement de cette voix étrange émanant de lui pour casser la droiture de l'homme par de belle vulgarité. Comme j'ai ris ce jour-là, d'une façon rare, peut-être à cause des joues roussies du plus grand homme de Kiri devant la découverte de sa cadette ou pour la vision douce d'une légende qui au final avait partagé en un instant son côté humain.

Instantané, comme si on s'était toujours connu au final, c'était peut-être son aura qui faisait ça, mais j'avais baissé la garde et j'aurais pu le suivre au fin fond de l'enfer si c'était pour nous la destination qu'il avait choisie. Il était la première personne pour qui j'étais prête à donner ma vie, la première qui avait fait naître en moi un patriotisme pour notre village, lui qui l'aimait tant, qui était prêt à tout pour ce dernier et moi qui m'était laissé prendre dans son courant. Je suppose que je ne devais pas être la seule après tout, Kiri n'avait jamais été aussi grande qu'à ce moment et ça j'en reste persuader.

Il n'était pas qu'un grand homme, il était un héros rappelant à ma tête bornée que la vie ne s'arrêtait jamais, quelque soit les douleurs et les pertes, elle devait continuer et notre devoir était d'y croire, c'était ce qui différencier les hommes, les petits des grands. Et bien que je n'avais pas tout compris, ces mots-là s'étaient gravés dans mon esprit, c'était comme si il avait su à l'avance qu'il allait falloir me les rappeler en boucle pour ne pas craquer. Il était la preuve de la renaissance, preuve qu'on pouvait toujours se relever et qu'au final, le véritable échec s'était d'arrêter de se battre.

Mais alors, se battre pourquoi ? Ça c'était à moi de choisir ou de trouver, après tout, il ne pouvait pas non plus tout me servir sur un plateau d'argent. Il m'avait déjà offert sa présence dans ma vie, une invitation dans son monde pour partager son savoir et rappeler le plus important de tout : ne pas s'en tenir aux étiquettes. Un murmure dans mon être avec le son de sa voix à tout jamais pour me chuchoter d'être seul maître de ma destinée, d'oser quitte à me brûler les ailes, comme si ce côté téméraire lui avait plu au point qu'il ne voulait pas que je puisse m'en défaire. Le maître de l'illusion ne voulait pas en faire de ma vie une, il voulait que je la contrôle avec la même facilité que nos jeux sur les terrasses. Ceux où on inversait l'espace d'innocentes victimes passant sous notre nez. Ceux où avec légèreté, il m'apprenait en s'amusant, avait-il percé le secret pour captiver ma concentration ? Sans aucun doute, car le titre de Shinobi n'a jamais autant pris de sens en parlant de moi qu'au moment où il était devenu mon maître.

Dans les moments les plus durs c'est lui que je revois, car tout aussi absent que mon senseï aujourd'hui, il n'en reste pas moins des plus présents accompagné pour toujours de ma douce fée... Enfin la nôtre, une répondant au nom de Yuka, envolée avec son âme sœur je ne sais où après l'attaque de Sambi.Mon idole adorée, j'arrive encore à sentir son parfum et sans mal replacer ses traits délicats, jamais de ma vie je n'avais vu femme si belle, si forte, mais aussi si douce. J'aurais voulu me perdre dans ses bras pour l'éternité et qu'elle berce ma sérénité de sa voix pour ne plus jamais rien entendre d'autre qu'elle. Je voulais être comme elle qui avait rallumé la flamme dans le cœur de Yoru, une étoile impossible à perdre de vue dans le ciel. J'admirais son sens du devoir, sa patience et sa persévérance, elle était pour moi la définition du mot femme , la ligne au sol qui guide encore mes pas dans ma marche vers ce statut.

Ils ont fait disparaître le bourgeon pour faire fleurir la fleur ~
Ils sont mes racines qui me gardent au sol malgré la fureur du vent.

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Message(#) Sujet: Re: La pierre blanche ~ La pierre blanche ~ EmptyJeu 23 Jan 2014 - 4:42

L'enchainement de l’existence ~
L'âme soeur, Tenzö

Il était une fois, le prince charmant...

Un caprice de ma mère la lune un soir où elle me promenait dans son berceau, un pari insensé de Dame Destin, voilà ce qui nous avait fait nous croiser un soir alors que rien ne le prédestinait. Hasard veinard, c'est l'histoire d'une rencontre entre deux enfants torturés sous la même origine d’existence, celle des Kaguya, celle qui conte le moment où à la place de mon fidèle acolyte j'ai rejoint un homme encore plus important pour le reste de ma vie. Il répondait au nom de Tenzö et le premier jour, il ne payait pas de mine, je vous dirais, qu'on était deux, preuve qu'on s'était bien trouvée au final...

Je me souviens encore de mon regard dur sur ce jeune homme alcoolisé qui m'avait prise pour son homologue, qui avait bu comme un trou sans plus un radis, bu à s'en faire détruire la raison. Et si son addiction m'avait paru pathétique, je ne saurais expliquer pourquoi j'étais persuadée de l'en débarrasser. Je ne le connaissais même pas, c'était la première fois de ma vie que je le voyais et en quelque heure nous étions devenus inséparables sans le savoir, instincts ? Peut-être, c'étaient ces derniers qui nous guidaient souvent après tout, alors bon. Ce qui m'avait gardée aimantée à lui ? Sans nul doute la lueur dans son regard, cette timide luminosité de tristesse derrière un sourire magnifique, un qui contrastait parfaitement à l'opposé de ma mine toujours coléreuse. Son facies je-m'en-foutiste face au sérieux du mien, sa bonne humeur face à mon agressivité, sa patience face à mon impulsivité. Sa légèreté qui effaçait ma lourdeur pour vivre en rendant la tâche soudainement si facile, attractive, c'était le goût de vivre, l'envie d'un avenir, l'aspiration à ne plus se contentait que du moment présent, mais de se dire : Demain avec je ferais...

Plus rien désormais.

Dire qu'avant j'avais du mal à me décider parmi la liste qui défilait dans ma tête. On aurait pu dire que nous étions les parfaits opposés, mais pourtant ça ne serait que nous résumé à une image, car cette flamme qui nous consumait était la même, bien que je l'avais su dès le premier instant, il m'avait fallu longtemps pour l'accepter. J'avoue sans peine regretter ce temps perdu, ce gâchis, maintenant que du temps je n'en ai plus, mais à quoi bon de vivre dans le regret, je préfère garder en mémoire la chaleur de sa peau sur la mienne et la douceur de ses caresses essuyant mes larmes, alors que les coups de sang qu'il me faisait prendre étirent mon sourire. Si il y a bien une personne que je n'aurais jamais voulue perdre c'était bien lui, lui dont je n'aurais pas voulu être séparé un seul instant. Est-ce que je lui avais dit ? Non. Erreur la plus grande de mon existence, j’espérais au moins qu'il le savait, bien que je ne faisais pas grand-chose pour le montrer. Si j'avais su me faire à l'absence de tous, le seul souvenir du sien déchire mon âme, envahissait mon corps d'une chaleur si intense qu'elle venait toujours par me faire manquer d'air.

La colère ? Oui, mais après qui... Ceux qui me l'ont enlevé ou celui qui m'a quittée... ? Qu'importe la réponse, car l'origine était sans appel l'amour que je lui avais porté. Cette maladie horrible que je m'étais juré de ne pas approcher et dans laquelle je m'étais jeté finalement avec passion, pathétique enfant qui mettait sa main au feu même en sachant qu'elle serait brûlée. Un peu comme lui qui n'avait pas abandonné... Non qui ne m'avait pas abandonné malgré la vérité de l'horreur du fond de mon âme que je lui avais montré sans gants. J'étais une enfant cruelle, alors qu'il était un homme aimant, j'étais une femme capricieuse, il était un mari généreux, je suis vivante et il n'est plus là... J'aurais prévoir cette règle-là qui allait nous frapper et le garder plus fermement près de moi.

De nous, il ne restera que des fragments de souvenirs, les mêmes que j'enfermerais dans un coin de mon cœur et bien qu'ils ne me quitteront jamais, ils resteront à jamais sceller, car ils sont un poids que mes épaules n'ont pas encore la force de surmonter. Quand tous les piliers de mon monde s’effondraient, que pouvais-je faire d'autre que restait sous un ciel ouvert quitte à ne pluie être protégée de cette pluie salée. La seule chose à faire maintenant était d'en changer la consistance, sa froideur contre la chaleur tiède d'un liquide rougeâtre, pour que chaque vie prise soit celle d'un de mes démons que j'aurais fait taire. Appelait-on ça la folie ?

Si oui laissait la moi pour qu'elle me garder à la surface quand tout voudrait m'envoyer au fond de l’abîme, car au fond de ce dernier, je le sais, je ne pourrais pas le retrouver. La conséquence à un esprit trop terre-à-terre, il a été la goutte de trop et quand je crie et que tout n'est plus qu'un néant de cendre, ce n'est pas folie ou barbarie...C'est un cri poussait dans le vide pour que tu m'entendes dire à quel point je t'aime et que ça ne pourrait pas changer bien que ça m'arrangerait, pour que l'on m'attende et qu'on y mette fin...

Est-ce une envie suicidaire au fond... ? Alors pourquoi, pourquoi je me bats encore, plus que jamais quand plus rien ne m'attend, car il n'y a plus rien à sauver ou protéger, un réveil retardataire totalement inutile, peut-être parce que toi tu aurais tout fait pour que je vie. Est-ce simplement ta suite alors que je pensais ne rien avoir pu garder de toi... ? La réponse ne sera pas pour aujourd'hui encore j'ai l'impression, l'aurais-je un jour au moins ?... Quelle importance, elle ne me servirait à rien, mais même en le sachant, je pleure encore quand plus personne n'est là. Seule, je le suis le plus quand je pense à toi, alors pardonne-moi si je t'oublie, après tout, nous le savions tous les deux, l'enfant égoïste que tu t'étais pris à aimer...

Ce soir j'ai froid et c'était sensation je ne l'ai jamais plus ressenti que maintenant ~
Où est passé le "et ils vécurent heureux"...

La pierre blanche ~ 5gm
La promesse de deux menteurs, n'a donc pas de valeur?


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