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 Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka]

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Xia Chao Seng
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Message(#) Sujet: Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] EmptySam 5 Oct 2013 - 14:52

La lune et le soleil.
Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] 3125110147121elvwgnhz1

Hier était un jour pépère et ce matin au réveil, vous vous rendez compte que les jours suivants seront du genre vraiment merdique... Comment on était arrivé là ? Je me le demandais encore, encore que quand je parlais de matin, je pouvais aussi bien, voir mieux parler de nuit, car seule de deux heures « du matin », pouvait décrire ce moment comme tel. Ma seule envie à ce moment-là ? Prendre l'air. Pourquoi ? Trop de changement, en trop peu de temps, un vrai bordel dans ma tête, mais un qui ne rapportait pas un rond, le comble ! C'était la nuit qui me laissait songeuse probablement quand mes pas m'avaient conduite tour à tour face au palais Kage, la demeure de Shinichi mon Senseï ou encore au temple de la montagne bleue, bien pire, cette maison perdue dans le quartier Samui. Ce qui me tourmentait alors ? L'absence. Trop manquaient alors à l'appel, trop des plus importants et je n'avais aucune réponse les concernant, c'était bien pire encore. Où était donc passé mon mentor, celui avec qui je jouais avec un art meurtrier comme si ce n'était qu'un jeu d'enfant, celui qui était notre père à tous, celui qu'ils pensaient déjà à remplacer. Ma première étape était jonchée entre fureur et tristesse dès lors, à qui la faute ? Moi même j'avais face à Sambi en vain, ce qu'il s'était passé ? Je ne saurais le dire puisque Dame Destin c'était joué de moi en m'envoyant au loin pour me garder ici, alors qu'elle se plairait à me priver des trois quarts des présences qui composaient ma vie.

Et bien sûr, en pensant à Yoru, immédiatement le visage enchanteur de ma douce fée me venait à l'esprit, celui de ma belle Yuka, sa moitié, mon étoile qui brillait sans faille parmi toute l'obscurité de mon être. Malgré notre mère la lune qui me berçait à chacun de mes pas, son ombre n'apparaissait pas une seule fois, que ce soit dans le temple où je l'avais rencontré ou dans ce parc abandonné. Même pas un fantôme de nos souvenirs n'avait dénié venir me tourmenter. Ils étaient comme effacé de la réalité, comme s’ils n'avaient été qu'une illusion qu'on s'empressait de changer, les pions d'un échiquier dont je faisais aussi partis et dont aujourd'hui je prenais bien conscience de ma place. Une totalement dérisoire. C'était l'heure d'un bilan assez macabre qui se dressait sous mon nez alors que je n'avais plus l'illusion de revoir les trois quarts d'entre eux, un tout particulièrement échappait à cette règle. Le Kitase qui avait déserté sa grande bâtisse sans crier garde, mon légendaire exemple qui manquait à l'appel depuis plusieurs jours, lui il ne pouvait pas disparaître, pas aussi facilement, et une petite voix dans ma tête me disait qu'en véritable chieur il allait réapparaître au moment propice, celui il ne fallait surtout pas qu'il se dresse devant moi bien sûr.

C'était cette image-là finalement qui remotivait mon être décrochant même un sourire sous cette faible lueur de vision d'avenir qui me réconfortait, alors qu'avant le quartier Samui se tenait la demeure de Seira ma cousine loufoque. Les volets fermés et le jardin à l'abandon, voilà bien longtemps qu'elle aussi avait disparu de la circulation sans crier gare. C'était à la limite de la malédiction quand enfin face à la maison de Rei, plutôt son grillage nord par lequel je passais en douce que je me rendais compte d'un fait : J'étais un vrai chat noir ma parole ! Le pire dans tout ça ? J'avais l'impression que tout le monde s'en foutait alors que je rejoignais la forêt où Nectus mon fidèle loupiot m'attendait dans un silence religieux.

=|-Le Samui ne reviendra plus pour la finir n'est-ce pas... ?

Constat évident devant la cabane de mes débuts dans ce village maudit et à ça, le loup n'eut qu'une réponse qui paraissait fort intelligente. Il prit la route pour la ville comme pour me dire qu'il était temps de laisser derrière nous tout ça, en rappel à un de mes principes premier, le passé n'avait pas d'importance, pas plus que le futur, seul le présent devait me bercer. Logique qui se voulait pour m'offrir la facilité... Tu parles ! L'impasse sur les sentiments quand ils se voulaient si puissants se révélait compliquer. Et comment oublier ou ignorer le manque qui ronge l'âme en vous poussant à poursuivre quelque chose qui n'existe probablement plus ? Le lac face à moi, par exemple, Rei ne le gèlerait jamais et notre promesse face à ce pari ce jour-là ? Jamais non plus elle serait appliquée, alors je gagnais par forfait de sa part, car au fond disparaître de cette terre c'était comme perdre la partie, celle que l'on nomme vie. Avais-je envie de perdre pour ma part ? Non ! J'étais trop mauvaise joueuse pour ça.

Toute de blanc vêtue, il fallait faire le deuil du passé et faute d'avoir un lieu pour me recueillir, j'aurais la chance que ma tête serait le temple de mes mémoires dont ils faisaient tous partis, ainsi, je pouvais les garder pour toujours en bonne enfant égoïste. Curieusement, la nuit passait pour laisser place à l'astre solaire qui par chez nous avait du mal à percer, eh bien il m'avait alors fallu beaucoup d'heures, mais finalement pas tant de temps que ça, pour faire enfin se taire, démons qui se plaisaient à me tourmenter à leur heure, celles où généralement la solitude frappe quand soudainement, l'on ne fait plus que face à soi-même au moment où l'être prend son repos sur le monde. Voilà pourquoi, je détestais dormir, que l'on le veuille ou non proche de ce moment, c'était difficile de ne pas réfléchir et c'est bien une chose dont j'ai horreur, la réflexion bien sûre. Et je ne devais pas être la seule dans ce cas, car le hasard s'était plu alors à me faire croiser une nouvelle route, une qui serait faite de liens ? Qui sait, une que je prenais en tout cas pour un signe vu la toison lumineuse qu'il se traînait derrière, un blond lumineux, pâle et fade je rentrais à la maison comme le faisait la lune, tandis que tout quinquant ce jeune soleil partait à l'aventure.

Quel délire me prenait alors en pensant une chose aussi ridicule ? Quelle importance, puisque dès lors ne subsistait alors qu'un chaleureux sourire sur mon visage, c'était tellement rare et probablement la première fois que j'en offrais un, un qui avait voulu se perdre pour un parfait étranger que je ne connaissais ni d'Adam, ni d'Eve. Pourtant, ce fut bien ce « En garde ! », qui marquerait pour nous cette rencontre qui ne resterait pas sans souvenir, c'était griffes de sorties que j'étais passée à l'assaut en titubant sous des pas légers et offrant des gestes vifs qui n'avaient pourtant pas pour objectif de blesser. Je voulais simplement m'amuser, un instant dans cet instant où le soleil et la lune se croisent dans le ciel pour se céder leur place, s'ils en avaient l'occasion, peut-être qu'eux aussi croiseraient le fer. Une esquive et ma cible pas prête de disparaître à ma vue, je m’exclamais alors à l'intention de celui qui ne devait rien y comprendre...

=|-Bon, moi c'est Ao' ! Et toi ? C'est quoi ton nom blondinet ?

Une folle ? Oh oui, j'en étais certainement une ! Mais la folie est une douceur dans le monde quand il devient austère à nos âmes. Si, si, vous verrez bien un jour... Ce qui me poussait à faire le premier pas ce jour-là? La tristesse surement, ce besoin de consolation, cette idée farfelue de me dire, que les étoiles de mon cœur peuvent s'arrêter de briller certains soirs, les astres eux sont là tous les soirs, toutes les journées... Et le tout s'étant joué en une fraction de seconde, quand j'y repense...






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Konoha
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Message(#) Sujet: Re: Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] EmptyLun 14 Oct 2013 - 22:28

Parfois une rencontre qui change votre vie arrive en trombe dans votre chemin. Ce fut le cas en ce jour qui désormais est mémorable. Ce jour je rencontrais une véritable dingue. Dingue à sa manière, une folie beaucoup plus douce et jolie que la mienne. Une folie qui sent bon la joie de vivre, qui cache comme tout les autres ses coins sombres. Mais largement dominé par ce minois si charmeur. Je ne savais pas à cet instant que cette fille était la fiancée du MizuKage. Je rencontrais comme ça à la suite d'une soirée qui allait mal finir la femme la plus importante de Kiri. Comme quoi parfois se prendre une rouste permet de se relever et avec des meilleurs appuis. Cette femme serait un des miens. Elle constituerait plus tard un solide rempart autour de moi et dans lequel je pourrais me reconstruire. Cette femme changerait ma vie, ma vision du monde et ce qui l'entoure. Les péripéthies avec elle seraient nombreuses et les faits d'armes ou les éclats de rires incalculable. Elle s'appelait AojiKawamanashi. Mais par soucis de flemme je l'appelais comme les autres Ao'. Comme tout le monde, c'était bien la première fois que je faisais comme tout le monde. Moi un paria en exile au sein même de la ville. Je fuyais les contacts et je ne parlais pas de me sociabiliser et pourtant à elle seul elle représenterait plus qu'un cercle d'amis. Elle deviendrait mon maitre, ma maitresse. Je deviendrais l'élève d'une femme puissante, d'une femme qui pouvait à tout moment tuer quelqu'un sans à avoir peur des conséquences.

Et dire que tout ceci se réalisait à la suite d'une soirée qui commencait bien mal. Comme à mon habitude je trainais dans le pays, je trainait et je mes godasses aussi je les trainaient. Je marchais lentement comme un zombie, basculant de gauche à droite, titubant sans raisons. Les yeux écarcillés par un manque de je ne sais quoi. Mes longs cheveux devants, un sourire de démon me transpercant le visage. Je marchais vers une horizon inconnue. J'était genin, une locque plus qu'un ninja. Depuis le retour de l'île des cendres je ne me préoccupais plus de mes devoirs. Je restais seul et vu les évenements récents personne ne viendrait me faire chier avec ça. D'un côté j'avais ce que on pourrait dire la belle vie et de l'autre je foutais rien de mes journées. Cuites, cuites et sieste improvisé ou je pouvais étais mon quotidien. La seule chose que je gardais était mon sabre. J'avais de pouvoir trop d4rk comme certains, j'avais juste cette épée, cette lame et son envie meurtrière. J'avais son envie de meurtre et son goût du sang qui me collait à la peau.

Il fait froid, drolement froid pour que ce soit vrai. Il faisait encore bon il y a quelques instants. C'est pas normal et quand c'est pas normal ça finit mal. Combien de fois mon instinct m'avait mené dans des combats de rues tous plus stupides les uns des autres. Pour un rien je rentrais dans le lard. Pour un rien je vous défonçais la gueule d'un mec. J'était un connard et un vrai voyou. Un rônin. Sauf que je n'avais jamais eu aucun maître. Personne ne me donnait des ordres ni leçons. Personne ne me faisait la morale. Personne jusqu'à cette rencontre bien entendue. Enfin qu'importe je continuais à marcher en sentant que bientôt je rentrerais mon poing dans la tronche d'un connard. Et encore une fois j'avais raison, quatre, quatre types qui faisaient visiblement la loi dans ce quartier. Quatre types qui faisaient ce qu'ils voulaient. Ils étaient forts, trop pour moi. J'aurais sans doute du fuir comme un lache mais pas encore. J'allais les défoncer et rentrer tranquillement chez moi après. Quel bonne blague. Le premier se teleporta derrière moi sans que je remarque rien. Bim la gueule au sol. La suite fut moins douleureuse, au début leurs coups me faisait mal mais après je ne sentais plus rien. Ca a duré je ne sais combien de temps. Une éternité me semblait il. Jusqu'à ce que ma rage de vivre me permit de me relever d'en mettre un à terre. D'envoyer l'autre dans le décors et de courir à pleines jambes. Je fuyais pour la première fois de ma vie. J'était un lache et j'enrageais. Contre eux, contre moi, contre le monde et ses conneries.

Je marchais, je titubais encore, je voulais me poser quelque part. Je voulais être seul bordel et visiblement ma destinée se foutait de moi. Parce qu'elle fit intervenir une fille. Une fille qui me semblait impregnée d'une folie non comparable à la mienne. Nullement effrayée par ma haine qui ressortait par tous les pores de ma peau. Elle m'arrêta et osa même pousser l'affront à me parler. Elle et moi seuls, j'aurais pu jeter mes dernières forces pour la tuer. Mais j'avais mal, le mal de la solitude qui survint quelque fois on ne s'y attend jamais. Il survint maintenant. Je me disais que plus vite je répondrais plus vite elle me foutrait la paix. Première erreur d'une longue suite. Mais enfin bon je ne suis pas devin. Un goût de sang dans ma bouche, je crache un mélange de salive et de sang devant elle. Je lève mon regard à travers ma chevelure sur elle. Plus aucune expressions, un ton froid et haineux. Une envie de meurtre à nouveau qui se faufile dans mon esprit. Coquine chaque chose en son temps.

-Zuruka. C'est la dernière réponse que tu auras de moi.

Et sans prévenir je me retourne et je fonce sur elle. On dit que les meilleurs relations commencent mal. Bha là au moins ca pouvait pas être plus clair comme début de relation. Mort. Tue, mutile, brule.
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Message(#) Sujet: Re: Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] EmptySam 19 Oct 2013 - 22:05


S'ils se croisaient, je m'étais demandé c'est bien ça ? Eh bien la lune et le soleil aurait semble-t-il adoré se frapper, s'élancer dans un balais de coup et d'esquive sans fin, comme si au final, la malédiction qui les frappait se plaisait à les poursuivre jusqu'au bout. Impossible de le frôler, impossible pour lui d'en faire autant et ce n'était pourtant par manque de vigueur, il était rapide, vif, animal... ressemblant. La vue de ce liquide rougeâtre sur son coin de lèvre accentuait mon sourire alors que cette odeur primitive attisait mes sens et c'était ainsi auprès d'un parfait inconnu que le plomb de mon cœur disparaissait gober par la noirceur de l'âme en face de moi. Une seule réponse de lui ? Et c'était son doux sobriquet, ma nature taquine frappait alors preuve que mon humeur revenait à son contact.

=|-Ah bon ? Tu es donc déjà persuadé que ta mort arrive ? Alors pourquoi te battre ! Laisse toi faire.

Ou bien c'était la mienne qu'il prédisait et je dois avouer, que l'espace d'un instant l'idée qu'il puisse décrocher ma tête de mon corps me semblait acceptable, triste pensée alors que j'attachais à la valeur de ma vie, en même temps, quand je la savais déjà sur la sélecte, qu'est-ce que ça changeait ?... Tout, exactement tout. La destinée me privait d'une longue vie, du choix de la garder longtemps et bien moi je la privais du droit de s'extasier face mon acceptation de la fatalité. Courte certes, mais j'avais promis qu'elle serait bien remplie, c'était ma revanche sur la vie cruelle et injuste, sur la justice des hommes et leur condition. Mais lui alors ? Qu'est-ce qu'il faisait qu'il semblait prêt à abandonner toute valeur, je sentais cette hargne, cette envie de se laissez aller, mais cette hargne sauvage dans son cœur qui lui criait de se battre par orgueil sûrement. L'être devenait de plus en plus plaisant, si bien que le jeu d'esquive finissait par prendre des allures de vrai affrontement quand mon os venait se planter dans son abdomen avant de le faire basculer violemment contre le sol dans un mouvement rotatif . Aucun point vital n'était touché alors, cependant, le liquide chaud et visqueux s'étalait alors marquant le sol d'une étrange couleur rouge transcendé à la lueur d'entre deux astres. C'était magnifique et rare, peu de chance que je revois cette dernière un jour alors je la gravais dans mon esprit alors que ma main retirait son os pour faire pression sur la plaie alors que sa jumelle avait placé une lame osseuse sous la gorge du soleil à terre.

=|-Je crois que tu as gagné.

De l'ironie ? Du tout. Levant le menton vers les cieux je voyais la lune qui avait définitivement disparu pour laisser place au soleil se plaisant à m'aveugler. Et sans quitter cette lueur je retirais ma menace pour laisser mon poids se posait sur lui à même le sol. Il n'allait sûrement rien y comprendre mais qu'importe, je n'avais jamais été une enfant logique, ma vie était faite d'instinct et un frappait alors en force en ce moment même. C'était un signe, un de dame destin, comme à chaque fois.

=|-Tu sais on oublie vite ce que l'on ne voit pas. La lune n'existe que parce le soleil la fait briller, tu imagines s'il disparaissait ? Effacée à jamais. Je crois bien que c'est ce qui a failli m'arriver ce soir, enfin nous arriver. Tu imagines toutes les nuits noires sans elle ?

Mon regard se déportait alors vers l’inconnu répondant au nom de Zuruka, lui que je n'avais encore jamais vu avant ce jour et à nouveau un sourire vrai se formait ma main plaquée sur sa bouche pour pas qu'il ne gâche mon délire, je l'informais, comme si c'était un dû...

=|-Zuruka, on ne va plus se quitter maintenant.

La voix était tendre et douce, bien plus maternelle encore que celle dont j'usais avec Tei' mon petit frère, dégageant ma prise de ses lèvres j'offrais une caresse à sa joue avant que de longues griffes menaçante prennent le relais sur ce qui aurait pu être « tendre ». Ce n'était effectivement pas une demande, mais la frontière entres mes volontés étaient tellement frêle que même moi à cet instant je ne savais pas si je voulais sa mort ou le réconfort de sa présence. La question se posait dès lors dans mon esprit, devions-nous subsister encore... ? Et l'interrogation me poussait à l'informer...

=|-Je suis une Kaguya, rassures toi, tu n'auras pas à me supporter longtemps, mon temps est déjà compter, néanmoins, aussi réduit soit-il je peux faire en sorte qu'il ne soit pas inutile, ni pour toi, ni pour moi. Tu comprends ?

Probablement pas, mais quelle importance, c'était plus un face à face avec moi même en réalité, un dont il était le témoin face à un axe qui se décidait et dont il allait être décisif. Étrange que ma destinée se jouait sur un caprice de dame Destin...



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Message(#) Sujet: Re: Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] Le cycle sans faille des astres. [Pv Zuruka] Empty

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