S'étirer un bon coup, décontracter mes muscles après un rêve très étrange, c'est ce que je faisais dans mon bon lit douiller. J'avais rêvé qu'il y avait une forêt en feu et une voix sourde criait mon prénom. Puis plus rien, je me suis réveillée. Je sortais donc de mes couvertures, regardant l'heure, huit heures pile précisément, j'étais décidément trop forte pour me lever à cette heure-là, ce que je ne fais jamais. Quelque longues te bonnes minutes, j'étais prête et préparée, je buvais du thé à la mangue, quand la sonnette de ma porte me fit sursauter, renversant mon thé sur la moquette. J'avais fait le ménage hier, quel gâchis. J'allais donc ouvrir, à peine eut le temps de déverrouiller ma porte qu'une lettre me fut balancée à la figure. Une petite voix me disait alors :

Petite voix : Une lettre de l'Hokage !

Puis la personne s'en allait en courant à vitesse grand V, mais quel accueil ce matin, déjà que j'ai fait un rêve étrange, renversé mon thé sur ma belle moquette et voilà que je me reçois une lettre en plein dans le visage. Je crois vraiment que cette journée va être horrible. Je ramassais donc la lettre qui m'avait percuté, puis je la lisais, c'était une mission très intéressante, mais qui avait l'air très glauque en même temps, elle disait donc : Un astrologue s'est récemment fait cambrioler. Étrangement, les seuls objets volés sont des prismes d'étoile. Il paraît que ces derniers permettent à accomplir des rituels complètement insensés, menés par une secte des plus particulières. Enquêtez, retrouvez-les, et faites les enfermer.

Et à la fin de la lettre, je serais accompagné d'un dénommé Sarutobi Kenzaku, un Jônin. Jamais travaillé avec un si haut gradé, j'en ai les dents qui claquent. Il va me voir, il va s'en aller en pensant que je suis un moins-que-rien, je le sens. Je préfère faire équipe avec quelqu'un qui a le même niveau que moi, pour que nous soyons égaux coté techniques et autres aptitudes. Mais bon, on ne peut rien y faire. Ce n'est pas moi qui décide, je ne suis pas Hokage. Je n'ai jamais vu de sectes de ma vie, mais la vieille femme m'en avait parlé une fois, comme quoi, c'était des gens insociables et sadiques qui s'occuper de cette organisation. Mais bon, elle n'est plus là pour m'expliquer quoique ce soit ...

Quelques heures plus tard, j'attendais sur un banc mon compagnon, le point de rendez-vous était donc d'aller près des grandes portes à l'Est du village de Konoha, non ce n'est pas pour voyager, dommage, l'astrologue habite juste près d'ici pour le questionner. Ainsi, je regardais le ciel, pourvu de nuages encombrant pour une fois, les rayons soleil réchauffant mon visage pâle. Puis, une étrange statue était postée au bout d'une tour, c'est un renard qui est tout simplement couché en roche bleue-grise, qui repose sur une plaque de marbre, il avait des fleurs autour de lui, mais comme je suis une très bonne experte en fleur et tout ce qui est plante, végétal et tout le bazar. Je ne savais pas à quoi ressemblait mon coéquipier, j'espère qu'il va se manifester, sinon, on ne va jamais commencer la mission, je pouvais très bien aussi grimper jusqu'en haut de la statue et faire des signes avec un drapeau blanc, mais ce serait totalement ridicule de ma part, ce qui n'est pas du tout de ma personnalité. Je décidais alors, de m'adosser au mur qui se trouvait en-dessous de la statue, ça ferait classe, enfin c'est ce que je pensais. J'attendais alors mon collègue patiemment.

Les côtes et les plages au sables fins sans fin, les cocotiers, les palmiers, la chaleur, les océans et tout les animaux aquatiques les habitants, le soleil... Bah putain, à Konoha, on est loin d'avoir tout ça. Au mieux, on l'avait à deux jours de marches de chez nous. Les shinobis de la brume avaient de la chance de vivre sur leur archipel à laisser la vie couler comme un long fleuve tranquille. Pour ma part, je coulais un bronze dans mes chiottes cinq étoiles, sur mon trône doré en train de mater un magazine. Aujourd'hui, j'étais penché sur des offres de vacances à Mizu no Kuni. Et oui, mêmes les shinobis peuvent avoir des vacances pour faire bronzette tranquillement pendant l'été non ? Mais quoi qu'il en soit, j'étais en manque d'argent, cela faisait bien longtemps que je n'étais pas revenu à Konoha Gakure no Satô, étant de retour depuis peu de temps après ces étranges choses qui m'étaient arrivées. J'avais donc besoin d'argent et j'avais donc demandé à ce qu'on m'affecte à pas mal de missions rapportant par l'occasion pas mal d'argent, peut importe le niveau de la mission, d'où j'allais allé et autres options diverses dont je m'en foutais royalement. Quoi qu'il en soit, j'avais reçu un ordre de mission de rang B assez simple, mais seul problème en vue, j'allais devoir l'effectuer avec un autre shinobi de la feuille. Tobetatsu Hikari, sûrement une fille vu le nom, c'est avec elle qu'il fallait que je partage l'argent une fois la mission accomplie, la poisse.

Enfin, plus vite se sera fait, plus vite je pourrais en accomplir une autre. Objectif : me payer mes vacances !

Une astrologue s'était fait volée ses prismes d'étoiles pouvant servir à accomplir des sortes de rituels par des sectes à la mords-moi-le-nœud. Comme je le disais, pas bien compliqué et tout allait rapidement se terminer, du moins, c'est ce que je pense. L'autre shinobi et moi-même avions rendez-vous aux grandes portes du village à l'est, l'astrologue et son bureau de recherche s'y trouvant. D'ailleurs, qu'est-ce qu'il y a de passionnant à étudier les étoiles, le ciel et tout le blabla qui va avec ? Cette femme devait sûrement être une jeune coincé du cul boutonneuse ou une connerie du genre, sans vie sociable, avec un divorce et un enfant dans les pattes. M'enfin, ce n'est pas mon problème, elle fait bien ce qu'elle veut de sa vie.

J'étais donc en route, équipé comme à mes anciennes habitudes, pour retrouver la gonzesse. Sur le chemin, je voyais une vieille en train de promener son chien. Ce dernier était sur une pelouse, accroupi, prêt à lâcher une bombe. Examinant plus particulièrement les lieux, je voyais que c'était un terrain de jeux pour enfant. Elle se fait pas chier la vieille à faire chier son chien ici. D'ailleurs, à ce moment là, je ne pu m'empêcher d'esclaffer un rire dû à mon jeu de mots. M'approchant du chien, je mis mon pied en arrière et lui mis un bon coup de pied au cul avant qu'il ne lâche sa merde et le fit décoller à cinq mètres d'où il se trouvait. La vieille avait vu toute la scène et me criait dessus tout ce qu'elle pouvait. Moi ça me faisais marrer, surtout en voyant le chien boiter du cul pour se cacher derrière les jambes de sa propriétaire. Au moins, il ne recommencera pas de si tôt à faire ses besoins.

Une claque de la bonne dame plus tard, je repris ma route puis je me retrouvai assis à côté du jeune femme d'environ mon âge, les cheveux bleuâtre, assez pâle mais bien charmante. Je me doutais bien que c'était avec elle que j'allais partir en mission, en même temps, j'étais en retard d'une bonne dizaine de minutes et hormis les gardes des portes, il n'y avait aucun shinobi dans les alentours. Je me contentais de rester là, assis comme un con à sentir son délicieux parfum et à attendre une réaction de sa part.

Je sentais une présence à coté de moi, quelqu'un d'était volontairement assis à côté de moi mais il ne disait mot. Il restait là figé comme un piquet. Je ne savais pas ce qu'il fallait que je fasse, il ne faisait strictement rien mais je voyais qu'il renifler quelque chose. Je ne saurais dire ce que c'est mais en tout cas vu son expression il aimait bien cette odeur. Je regardais alors ce jeune homme qui avait environ mon âge. Des yeux marrons, une couleur de cheveux chatoyante, rouge et il n'était ni trop pâle ni trop bronzé. Une simple veste, des bottes et dans gants. Un garçon tout à fait ordinaire quoi. mais je ne peux pas totalement le juger que par son apparence. Bref, revenons à nos mouton, nous devions donc en binôme régler cette affaire de prismes qui ont étaient dérober à l'astrologue. je pense que nous devrions justement lui faire une petite visite pour voir comment les choses se sont passés. Mais d'abord petite présentations.

◊ Bon étant donné que tu es ... timide enfin de ce que je vois. Je me nomme Tobetatsu Hikari, tu peux m'appelais Hikari. Je serais donc ta coéquipière pour cette mission. Nous allons sans plus tarder rendre visite à l'astrologue pour qu'elle nous donne quelques renseignements en plus que l'ordre de mission.

Je lui mettais la main sur son épaule pour être amicale et lui avait montré mon plus beau sourire. Je me levais alors, puis commencer à marcher. Kenzaku me suivait alors juste à coté de moi. je sentais un regard assez pesant sur moi. Il m'observait peut-être. Nous traversâmes alors un marché, rempli de villageois qui achetaient des fruits et des légumes ou autres bricoles amusantes ou utiles. Puis quelques pâtés de maison plus loin, je regardais alors l'adresse de la demeure de l'astrologue. Ce n'était donc pas encore ici, quelques numéros plus loin. Voilà nous y étions, le numéro seize : Madame Chinkeyo Asami, Astrologue. Une petite porte était alors déverrouille, je la poussais de ma main, le portillon tomba alors par terre. Surprise, je me retournais en regardant mon coéquipier d'un air affolée, est-ce que j'avais réellement cassé la petite porte de Madame Chinkeyo ? Je m'en mordais les doigts. Bref, je décidais tout de même d'avancer, ce n'était que le premier portillon après tout, rien de grave. Nous arrivâmes donc devant la grande porte d'entrée avec une petite ouverture fermée.


Une sonnette se faisait remarquée alors sur le coté de la porte. J'appuyais sur le bouton de la sonnette, un léger son aigu se faisait entendre à l'intérieur du bâtiment. Par peur que je fasse encore des bêtises, je prenais mon coéquipier par le bras et le disposait devant moi, je me cachait derrière ces fortes épaules et attendait que quelque chose se passe.

On était là, assis comme deux cons à ne rien dire, rien faire. Je continuais seulement de sentir son doux parfum qui flottait dans les airs. Le vent s'était un peu levé, et nos deux longues chevelures étaient bercées par les courant d'air frais. J'avais quelques frissons qui se faisait percevoir sur ma peau. J'étais bien, mais il fallait qu'on se gouge un minimum quand même. Ne la voyant pas réagir à ma venu et à mes regards insistant, j'allais prendre les devants et lui adresser la parole mais comme par hasard, elle commença à me couper la parole en me disant que j'étais timide, à ce qu'elle voit. Non mais et puis quoi encore, je ne suis pas timide, elle est idiote ou quoi ? Enfin, c'est une fille, il ne faut pas trop lui en demander non plus. Elle se présenta sous le nom de Tobetatsu Hikari et que je pouvais l'appeler Hikari. Mais elle est vraiment sérieuse là celle-la ? C'est un sacré bestiau à qui j'ai à faire aujourd'hui. Les shinobis de nos jours, ça se voit qu'ils ne sont pas tous sortis de Saint-Cyr... Elle continua à déblatérer des choses inutiles du genre qu'elle allait donc être ma coéquipière. NON, JURE !! Tss, étais-je aussi con que ça pour ne pas déduire tout cela ou comment ça se passe ? Je prenais quand même sur moi, mais là, c'était la goûte d'eau qui fait déborder le vase lorsqu'elle me donna l'ordre de nous rendre au lieu pour rencontre l'astrologue pour avoir plus amples d'informations sur les faits, sans plus attendre.

« Non mais je t'arrête tout de suite parce que ça ne va pas aller si on continue comme ça. Dans d'autres circonstances, je t'aurais sûrement dragué, allumé et autres mais là, on est en mission. Je peux t'appeler par ton prénom mais toi, tu me vouvoieras et tu n'as aucun ordre à me donner. Tu es Genin et je suis Jônin, on ne mélange pas les torchons et les serviettes, j'espère que tu as compris. On ne serait pas en mission, d'accord mais pas là »

Au moins, ça c'était fait, elle savait à quoi s'attendre. Où est passé le respect de nos jours ? Je me suis absenté deux ans du village et voilà comment les choses ont tourné, mais où va ce monde... C'est vrai, en dehors des choses officielles, je suis très sympa mais le village a été fondé sur une certaine hiérarchie donnée et il fallait la respecter pour que chaque personne reste à sa place et que tout aille pour le mieux à la feuille.

Passons, nous voilà partit pour enquêter sur ce vole de prismes. Peu de temps après, nous y voilà enfin. La Genin avait démoli le pseudo portail d'entré et sans faire mine de rien, je lui fis signe de continuer comme si de rien était. Je regardais autour de moi et il n'y avait personne dans les alentours. Je pris le portail et le balança plus loin dans un épais buisson touffu. Pas de témoins, pas de preuve, ce n'est pas nous. Arrivé devant la demeure qui commençait à tomber en ruine, il y avait une sonnette sur laquelle Hikari appuya. Un son aiguë fit son apparition et on pouvait l'entendre raisonner dans toute la bâtisse, entre chaque roche. La jeune fille aux longs cheveux, de peur, m'attrapa par le bras et se mit légèrement en retrait. Au passage, j'avais senti qu'elle tâtait mes biceps. Halala ces filles, je vous jure, pas une pour rattraper une autre... Quelques secondes plus tard, une voix retenti.

«J'arrive j'arrive !!

La voix était celle d'une jeune femme d'un âge assez avancé à ce que j'entendais et une fraction de seconde après, mes pensées furent confirmées. Une vieille femme au nez crochu, plein de boutons sur le visage, des rides à en faire pleurer les montagnes de Kaminari no Kuni se présenta devant moi. Pris de dégoût, j'eux une petite remontée d'estomac et fit un pas en arrière. J'étais sur le point de vomir, mais me ressaisissant, je lui dit :

«Bonjour Madame, nous sommes les shinobis réquisitionnés pour enquêter sur votre cambriolage. »

Regardant Hikari avec un énorme sourire sadique, je repris.

« Je vous laisse en compagnie de cette charmante demoiselle qui va vous poser des questions pendant que je vais faire le tour pour trouver des indices »

C'est une Genin, c'est à elle de faire le sale boulot après tout. Je composa un simple mudra et me voilà disparu dans un nuage de fumé, laissant la vieille femme et Hikari seule à seule.

Derrière les épaules de mon coéquipier, je constatais que toute à l'heure j'avais fait ma petite commandante, chose que je regrette énormément, je ne sais pas si il l'a mal pris quoi quoique ce soit d'autre mais à la fin de cette mission, je m'excuserais pour cet acte intolérable de ma part. Ce n'était en aucun cas à moi de faire ce genre de choses mais plutôt à lui. Il est plus haut gradé que moi, je ne suis qu'une genin, même si dans quelques jours je serais chûnin. Mais je resterais quand même sans-grade par rapport à Kenzaku. Mais ce n'était pas le plus important à penser pour le moment. Après avoir donc sonner à l'interrupteur. Une vois féminine répondit en disant qu'elle arrivait. Nous allons enfin voir l'astrologue, elle ouvrit la porte et là, mon visage changeait d'expressions. C'était une vieille peau avec un sale nez crochu, des pustules qui ornaient son visage abîmé par la vieillesse ainsi que de magnifiques rides bien distinctes les unes que les autres. On étaient tout les deux dégoutés, même que Kenzaku fit un pas en arrière. Il prenait la parole à ce moments. Il disait alors bonjour, puis enchaîna du pourquoi nous étions ici. Nous étions des enquêteurs, comme Sherlock Holmes et John Watson pardi !

Il me regardait avec un air totalement de déglingué, il me souriait sadiquement, sur le coup j'avais très peur. Il annonça que je m'occuperais d'elle pendant qu'il ferait le tour. Pardon ? J'ai bien entendu là, je devais moi interroger cette vielle femme qui m'horripilait jusqu'au os ! Kenzaku disparaissait alors dans un nuage de fumée me laissant seule avec la vieille femme. J'étais très dégouttée mais bon, je n'y pouvait rien. C'est toujours les plus faibles qui s'occupent de faire la sale boulot. La vieille femme étonnée de la disparition du jeune homme me regarda alors. Elle me montrait son plus beau sourire. Enfin c'était plutôt du gruyère qu'elle me montrait. Elle n'avait que quelques dents de devant, c'était très comment dire .... beau. Elle claquait ses doigts puis parla.

Astrologue :  Bon, mademoiselle voulez-vous une tasse de thé ?

Je la regardais hésitante, je ne savais pas si je devais ou pas accepter cette proposition. Je répondis mais elle me coupa la parole.

◊ Euh c'est à dire que ...

Astrologue  : Parfait petite fillette, viens donc t'asseoir chez moi bien confortablement !

Elle m'attrapa le bras et me conduisit chez elle. Pendant qu'elle m'attirait dans le salon, j'observais alors l'intérieur, les murs étaient un peu défigurés, des tableaux cassés et il y avait de l'argenterie par terre, cassé. Nous entrons donc dans le salon, il n'était pas très bien rangés, je suppose que les voleurs sont allés ici aussi, ils ont vraiment tous saccagés, la pauvre dame. Elle me montrait un fauteuil pour m'asseoir puis elle partit faire sûrement le thé. J'appréhendais le goût du thé. Peut-être que c'est une sorcière et qu'elle mettrait des ailes de chauve-souris ou des pattes d'araignées à l'intérieur ! Même pire, des verres de terre gluants carnivores. Je l'entendais, elle fouillait pour cherchait les tasses, je pouvais le savoir en entendant la vaisselle. Elle arrivait alors, le sourire aux lèvres me donnant une tasse de thé couleur rouge sang. Puis, une odeur familière dégageait du thé, ça sentait très bon. On aurait dit un mélange de fruits rouges. Je regardais attentivement le fond de ma tasse de thé, mais rien de paraissait suspect. Je décidais de goûter. C'était délicieux, je peux sentir la présence de fraises et de framboises et un brin de mûrs aussi. La femme me regardait scrupuleusement puis elle buvait elle aussi son thé.

◊ Madame Chinkeyo, nous ne somme pas ici par hasard comme vous le savez bien. Pouvez-vous me dire à quoi ressemblez les individus qui vous ont volés ?

Astrologue : Bien sûr ma petite, pendant que je tricotais une magnifique écharpe, j'entendais un énorme vacarme en bas dans ma salle d'exposition, là où était les prismes que j'avais bichonner avant qu'ils débarquent. Je descendais des escaliers puis je vis des hommes vêtu de longues capes marrons. L'un d'eux avait un étrange symbole blanc sur une cape. Puis, une étrange fumé apparaissait au fur et à mesure et ne n'y voyais plus rien.

Des hommes vêtu de cape marrons qui disparaissent avec l'aide de fumé. L'un d'eux avait un symbole blanc au dos de sa cape. C'était très étrange en effet. Regardant autour de moi, je pensais que Kenzaku ne revenait toujours pas. Je me demandait bien où il était celui-là.