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 Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru]

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Fuji Sayoko
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Message(#) Sujet: Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru] Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru] EmptyMar 2 Oct 2012 - 13:56

« Peut être qu’un jour, je pourrais te regarder sans avoir besoin de lever la tête. »

Car la vie na nul couleur sans ton sourire ;


    Si j’aimais, j’aimerais que tous le sache. Si j’aimais, j’aimerais que l’autre le sache. Si j’aimais, j’aimerais aussi garder se sentiment secret aussi longtemps qu’il le faut. Si j’aimais, j’aimerais tellement ne plus avoir si mal au cœur.
    Un soupire n’efface nul maux, mais aucun mot ne consent à couvrir mon cœur de réconfort. Aucune douleur n’est plus insupportable que celle d’aimer.


Brisant le silence d’une voix tendu, un gémissement retentit. Un son de douleur, caprice de sa nature, un son de fatigue, et un bruit mout de quelqu’un qui chute.
Raclure, tu empeste la démence. Tu empeste le mal. Les ténèbres te hantent si facilement ! Oh toi, si fragile, Oh toi, si douce. Qu’elle insupportable tristesse, quel insupportable mal !
Raclure ! Que se brisent tes os encore une fois, que se brisent tes souvenirs, que se brise ton âme !
Saleté, je te hais tellement, saleté, je te déteste temps.
Cris ! Ah oui, cris encore, encore et encore. Oh oui, cris encore pour moi, inaugure mon nombre sein de ta détresse et de ta peur. Déjanter, parasité

Paralysé. Cassante, brisé.
Oh oui, si bonne.

Tu cris. Tu cris si fort que tu a l’impression que tes cordes vocal se brise. Tu hurle contre la démence qui contamine ton âme. Tu hurle contre cette souffrance qui perturbe tes efforts. Ton bras crac encore, tu lâche un nouveau cri. D’autre se précipite mais tu ne veux rien d’eux, rien de leurs cruel hypocrisie, rien de leurs lâcheté. Tu ne veux que toi, tu ne veux que tes jambes tu ne veux que ton bras. Tu veux seulement se qui a fait de toi une si bonne personne : tes membres, pour protéger tous se qui te sont si chère.

« Ah souffrance, donne moi des ailes. »

Mais la fièvre te prend, la douleur si alarmante te prend a la tête, t’arrache a tes pensé, t’ obnubile. Elle est là, toujours là, elle est là, bien présente et le seul recourt de ton cœur et s’appuyer encore sur le bouton de morphine de la poche qui se relit a ton bras. Parce que se mal la et bien moins douloureux que celui de ton cœur, il s’anesthésie petit a petit et tu peu encore tenir debout entre ses deux barres que tu ne tiens plus. Là, shooter par un produit si fort que tu vois le regard des infirmières réellement inquiète.

Te drogues-tu ?
Oui sans nul doute, mais si cela peut te faire recouvrir tes forces alors ty n’y voix absolument aucun mal. Si cela peut t’empêcher de pensé a cette personne, a se rayon de soleil qui brule ton âme, alors tu n’y vois aucun inconvénient.
Et puis, qui dirait quoi que se soit à une personne qui n’a plus aucune sensation ou presque dans le bout de ses pieds et ne retrouve que depuis peu ses belles sensations. Mais lorsque les nerfs recouvrent la vie, les seules choses qu’ils savent envoyer se sont des signaux de douleur. Un mal qui est sensé purgé le mal ! Mais, la belle femme a la chevelure si longue que tu es supporte de moins en moins se traitement. Tu y préfère la douceur maladive et addictive d’une substance s’écoulant dans tes veines !
Au début, tu avais la nausée, maintenant, tu trouve que sans cela, tous et tellement intolérable. La lumière qui entre dans ta chambre. Les voix de ses femmes dans les couloirs. Les pleurent des enfants sur la couche d’un parent décédé. Si pathétique.
Ah, Sayoko, si seulement tu avais quelqu’un qui t’aider sincèrement.

Mais ne l’as-tu pas ? N’es tu pas seulement folle ? De plus en plus folle !

Je veux marcher putain !

Un pas, sans se tenir, tu fais un autre pas. Puis un troisième. Tu quitte aussi la présence si chaleureuse des deux barres transversales qui t’assurent un minimum de sécurité. Et tu lève les yeux, devant toi, sur le battit de porte se dresse une personne que tu apprécie. Trop peut être ?
Un sourire passe sur son visage convulsé de douleur.

- Soie ma chose ... » murmure t elle alors.
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Ryūzoji Yoru
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Message(#) Sujet: Re: Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru] Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru] EmptyMar 2 Oct 2012 - 21:14

L'ennui. Puis le néant. L'ombre du store se prolonge et déteint sur le bureau. Une voile espacé, haché en bandes, couvre de jais le visage du kobold azimut. Tourmenté par l'absence d'action, l'ersatz de Mizukage se lamente en murmures. Il est accoudé sur son support, une feuille à moitié vierge face à lui. Il doit la remplir, mais n'a aucune volonté pour le faire. Ou du moins, elle est trop faible, trop insuffisante, pour se manifester. Elle parait inexistante, mais est infouie sous une dune, un désert de fatigue ardent. La dextre du borgne est immobile: elle se repose, sur la droite de la feuille. La plume est à côté aussi. La salle donne l'illusion d'une scène digne d'un tableau. Une nature-morte, un clair-obscur entre la lumière de la toison dorée du guerrier, et l'ombre qui dévore l'espace. Yoru en a marre. Il doit trouver une solution. Sortir de cette spirale d'ennui qui l'emporte. Sa Folie ne veut pas répondre à ses peines. Pourtant, il a travaillé dur pour susciter sa psyché corrompue. A l'aide du Genjutsu, il a de maintes reprises fait appel à cette force inconsciente, qui nuit à son caractère de personne. A l'aide de son chakra, il avait converti sa raison en une énergie sybilline, obscure, décuplant ses prestations martiales. A l'aide de sa volonté, il avait dompté son autre volonté, pour que son esprit soit un.

Mais aujourd'hui, il aurait bien aimé brisé cette unité, et recourir à cette puissance obscure pour se tirer d'affaire de la paperasse. Une idée malsaine germa dans ses méandres. Le Régent de Kiri préféra la mettre de côté. Le Lutin Fou n'aimait pas recourir à une telle manifestation d'industrie aussi sombre pour s'en sortir. De fait, il chercha d'autres alternatives. La réflexion cèda finalement à la violence, et dès lors le prophète de la contrée du frimas fixa sa main gauche. Une main innocente, un membre martyr, qui avait du souvent subir le courroux du mal psychique de Yoru. Ce dernier abandonna sa fonction de bureaucrate pour redevenir le ninja qu'il était: troquant sa plume contre un kunaï de sa sacoche, il revêtait enfin l'habit du shinobi. Un shinobi, qui, pour accomplir son propre devoir, allait devoir se faire violence. Sans hésitation, sans tremblement, il porta un coup sec à sa main. La main gauche fut violemment tailladé d'une nette entaille sanguinolente. La chair, d'un rose cuisse de nympe, fut mise à l'air libre, tout comme cette hémoglobine vigoureuse qui jaillit de la source organique.
❖ J'ai l'impression qu'à force, ma main est habitué à ça… à croire qu'elle ne ressent plus la douleur. Ou alors qu'elle est juste habituée à la douleur… j'en sais trop rien.
Et c'est comme ça que je me suis retrouvé à l'hosto.
Un coin stérile, où l'odeur de la mort est masqué par le parfum de la décontamination. Je n'ai jamais apprécié cette odeur. Elle nous trompe. Nos sens sont confus, plus que ce notre état plus ou moins maladif nous laisse à penser. L'odorat suggère un endroit sain, alors que l'oeil réfute cette idée. Il voit les produits, le sang, il voit parfois l'état lamentable de certains. L'ouïe vient même jusqu'à soutenir son frère sensoriel, lorsque retentit le râle du patient, le cri du fou, et le hurlement du souffrant.
Toujours est-il que j'aime bien cet endroit pour sècher mes responsabilités.

Grâce à ma Folie, les gens sont habitués à me voir ici. Ca me fournit un alibi crédible. D'autant plus que je suis sur le point de réussir à contrôler ma Démence. J'y approche. Ou du moins, je m'en rapproche. Mon objectif ultime est de synthétiser une fausse crise de psychasthénie à partir de mon chakra. Tout est une question de perturbation du flux de chakra, d'altérations des systèmes nerveux… bref, un truc compliqué digne d'un ninja de haute volée. M'enfin, le ninja de haute volée, ça sera pour une autre fois. Pour le moment, Régent ou pas, je reste un patient, un blessé qui doit se faire examiner. Pour ce qui est de l'examen, je me fais pas de soucis: ça sera de courte durée. Les médecins me connaissent à force. Ils savent que j'ai souvent recours à cette mutilation de la main gauche, afin de procéder à un genre de Kaï pour ma Folie. C'est pas aussi simple que ça en vrai, mais qu'importe, tant que je me comprend. Si tôt arrivé, un toubib me prend en charge, m'ausculte, et après brève consultation de mon petit dossier, comprend la marche à suivre. Il observe ma pupille, désinfecte la plaie, et me donne quelques tranquilisants. Je feinte d'en prendre, et crache discrétement ce qu'il me donne dans la corbeille.

Dix minutes plus tard, et voilà que je suis sorti de la salle du docteur. J'ai encore oublié son nom; une sale habitude que je traine à force d'être fortement en contact avec le personnel hospitalier. Je longe un couloir. Là, une fois de plus, je ronchonne: tout ces couloirs sont si identiques ! Rien pour les différencier, si ce n'est que des détails précis difficiles à voir quand on est pressé. Et du coup, à cause de cette confusion, j'me trompe de couloir. J'prend la mauvaise direction, au point de partir ailleurs que vers la sortie. Finalement, c'est pas plus mal.
En passant le long d'un couloir non identifié, je croise dans une salle ouverte la silhouette d'une personne qui ne m'est pour une fois pas étrangère.

Dans ma foulée, je lui place une identité. Un nom, un prénom. Un souvenir, une impression. Des couleurs, un sourire, une silhouette. Dans le doute, je m'arrête, pour me focaliser sur mes pensées. Je bouscule un infirmier. Il m'engueule. Il a l'air de me prendre pour un fou. Il n'a pas tord complétement. Et puis, en me reconnaissant en tant que Régent, il revient sur ses pas, ses paroles, et prend peur. Je déteste cette impression, quand on me considère comme Régent de Kiri avant de me considérer comme ninja de Kiri. Tant pis, pour l'heure j'ai d'autres priorités. A mon tour je reviens sur mes pas. Elle est toujours là, et me regarde. Je fais de même et mieux, j'avance vers elle.

Elle m'avait manqué, étrangement.

❖ Salut, Sayoko-chan.
Il avança vers elle, et ignora sa main mutilée. Quelques bandages soutenaient à peine sa large plaie encore fraîche. Yoru mettait loin derrière lui sa douleur, sa folie, et préférait se laisser attendrir par la silhouette familière qui se tenait devant lui. Son visage parle à sa place: il valorise les efforts de l'handicapée, qui lutte pour de nouveau retrouver le droit d'être une bipède. Il est même prêt à lui tendre la main, pour l'aider à se tenir droite devant lui. Le Lutin Pourpre a dérobé la place du Lutin Noble !
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Fuji Sayoko
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Message(#) Sujet: Re: Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru] Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru] EmptyMer 3 Oct 2012 - 14:02

Un sourire fatigué déforme la glace sucré du visage de Sayoko, elle observe, tendu, le corps élancer du blondinet s'approcher.

- «  Bonjour Yoru-kun.

Lui régent? Elle en avait entendu parler. Lui, bien plus gradé qu'elle, elle le savait. Mais après tous, n'était il pas, avant tout une espèce d'ami ? Oui avant tout, il était un Homme avec qui elle avait une relation amusante et quelque peu ambigu. Encore une fois, comme la fois avant, elle le dévora du regard. Sa chevelure couleur soleil reflétait une étendu de nuance sublime, son œil d'un bleu tendre semblait emplie de tout un camaïeu d'azur.
Elle aimait observer cet homme. Il lui semblait tellement étrange et ses lèvres fines semblait lui murmurait autant de vulgarité que de mot doux. Elle avait envie de le déchirer, elle avait envie de le câliner.
Mais pour le moment, elle ne pouvait rien faire d'autre que l'observer, elle n'était pas encore sur de se qu'elle allait faire de lui, et il fallait avouer qu'elle aimait bien ne pas être sur de vouloir le tuer ou lui faire l'amour.

- Il parait que tu es un peu monté en grade?

Un nouveau sourire déchira le visage blême de la princesse à la trop longue chevelure jais. Elle se redressa, posant ses mains sur les barres de bois de chaque coté d'elle, se soutenant un peu pour rester plus ou moins à hauteur du jeune homme. Elle voulait l'observait encore, le voir d'en bas n'avait rien d'aussi glamour, elle pouvait encore sentir ses membres fléchir, mais ses bras, plus musclé et en bien meilleur forme, la faisait tenir plus longtemps.

- Dois-je t’appeler ... Ryuzôji-sama ? Sa voix était douce et suave, caressante, subtilement pimenté d'ironie.

La jeune femme tourna la tête sur le coté, désignant d'un mouvement une petite poupée propre sur un bord de table. La même qu'elle lui avait présenté quelque semaine plus tôt. Elle se portait encore à merveille, le bandeau aubergine qu'elle portait reposé a ses cotés. Sayoko releva la tête vers la poupée grandeur nature.

- Je prends soin de 'toi' n'es ce pas. lui murmura elle.

D'un élan de courage, elle fit un pas, en dehors de ses protections d'handicapé. Autours d'elle, les infirmières se levèrent pour l'aider, mais Sayoko n'était pas une petite femme fragile.
Elle était une Kinoishi de Kiri qui s'était donner corps et âme pour son village jusqu’à en être devenu une loque pendant deux ans. Et maintenant, la seule chose qu'elle voulait, c'était retourné au combat. Elle aurait pu faire bien d'autre chose, elle aurait pu être prof, elle aurait pu enseigner, elle aurait pu faire bien d'autre chose de son chien de corps mais non. Elle ne voulait que retrouver ses forces. Elle voulait retrouver son corps.
C'était son seul but, sa seul idée fixe, il n'y avait que sa qui comptait.
La belle soupira, elle fit un autre pas, prenant appuie sur sa jambe la moins douloureuse.

- Bientôt, je pourrais à nouveau courir.

Un large sourire s’afficha sur le visage de la femme. Non plus comme une déchirure, mais comme une bénédiction tous droit extirpé de son cœur fracturé. Elle fit un troisième pas, s'approchant du régent, mais ses jambes cédèrent sous son point. Et elle s'affaissa, ne se rattrapant qu'à une personne, un joli blondinet sur qui elle enfonça presque ses ongles dans le tissu de son torse. Avait-il mal ? Sayoko s'imaginait la vive mais douce douleur qu'il pourrait avoir. Elle s'imagina qu'elle lui plaise. Elle s'imagina aussi qu'il la déteste. Mais les deux issus lui plaisaient. Qu'il la déteste, qu'il l'aime. Peut importe, elle l'aimerait ou le détesterait en retours.
La Mutilé releva la tête, portant son regard sur le visage du jeune homme.

- Bientôt, je pourrais prendre soin de toi. »

    Pourrais-je te plaire un jour ? Pourrais je te toucher un jour ? Pourrais je te protéger un jour ?
    Mon corps ne me répond plus, mais mon cœur bondit dans mon corps comme une alarme. Veut il me protéger de toi? Veut il me pousser vers toi? Et si je t’oubliais, viendrais tu me rappeler ton existence ? Si ma mémoire défaillante se risqué encore a s’éffriter, viendrais tu encore vers moi pour me rappeller ton odeur, ta couleur? Pour me rappeller mes envies, mes folies?
    Je ferme les yeux, j’hume ton odeur pour m’en impregner. Ton odeur de sang, délicatement parfumé d’une autre encore plus perturbante. Ton odeur a toi? L’huma encore sans réussir a identifier celle-ci. Mais, qu’importe, te sentir ainsi suffisait a mon bonheur imediat. J’avais, après tous, presque rien perdu. Au contraire.

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Message(#) Sujet: Re: Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru] Rayon de soleil, ma poupée préférée. [FB] [Yoru] EmptySam 13 Oct 2012 - 0:42