Un riche collectionneur d'arme vous demande de vous rendre à Tetsu no Kuni pour dérober le sabre «Emporio Ivankov» du maître forgeron Kasetsu Niga. Selon les rumeurs, ce sabre rendrait toute personne se faisant trancher, gay. Oui oui avec un y. Apparemment le forgeron aurait le niveau d'un chûnin et ne serait pas mauvais en Kenjutsu. Bonne chance.
Après ce petit rassemblement fort instructif au pays de la Terre, le ninja aux iris rubis avait décidé de recommencer à accomplir des missions, pourquoi ? En effet ce n’était pas pour lui-même qu’il voulait agir ainsi, mais bel et bien pour son nouveau « frère adoptif » si l’on pouvait dire. Oui, c’était pour mener à bien la formation du jeune Momiji que le Natsumi voulait de nouveau accepter de remplir des missions. Bien sur il aurait pu simplement enchaîner successivement des entrainements de base, cependant, selon lui, il n’y avait rien de mieux que de s’aventurer sur le terrain pour apprendre. Certes ce serait un apprentissage long et en partie dangereux, mais en tout cas, au moins, cela ferait du petit bout d’homme qu’était le garçonnet, un véritable ninja. Pour pouvoir mettre son tout premier apprenti dans le bain, notre héros au regard de braise, accepta la première mission qui s’offrit à lui, chose qu’il regretta amèrement par la suite. Non pas qu’il s’agissait d’une mission trop difficile, loin de là, cependant, c’était le genre de mission dont notre héros avait tout simplement marre, un larcin, l’éternel et constant larcin, quelle poisse. Oui, un malheureux vol, de quoi accabler notre nukenin préféré et anéantir le peu d’enthousiasme qui le parcourait. Il y avait bien longtemps que le Shisenshinku n’avait pas eu à voler quoique ce soit. De plus avec l’état d’esprit du jeune blondinet, il faudrait trouver une belle excuse pour que le petit Momiji accepte de faire ce larcin. En tout cas, ici, à Tsuchi no Kuni, la journée était assez spéciale. Il faisait chaud, on suffoquait presque à cause de l’omniprésence des particules de cendres, et paradoxalement, le ciel semblait annoncer une sacrée tombée d’éclairs. Bref, il fait moche. Bien que cette affaire plombe très sincèrement le Natsumi, il se rappelait très bien avoir lui-même commencé sa carrière de shinobi par de simples filouteries, avant de passer aux choses sérieuses. On put alors entendre sa majestueusement voix résonner dans la salle commune de l’auberge.
« Momiji on s’en va, on a un contrat à remplir, dépêche toi ! »
Dans le pire des cas, si cette mission devenait vraiment chiante, le garçon au regard de braise trouverait bien un moyen d’en augmenter la difficulté histoire de la rendre plus intéressante. Bon, le temps n’était plus à réflexion, il fallait y aller ! Si le trajet allait être long ? Non ça devrait aller, ce n’était pas comme si c’était la première fois après tout… Enfin, ce ne serait surement pas le plus long des voyages que notre héros n’eut jamais mené. Bon, ce serait déjà pas mal comme trajet, en fait si, ce serait peut être le plus long trajet de Haru, après tout, il en avait bien pour 3 jours de route, ça allait être marrant, surtout pour la petite graine de champion qui ne devait nullement avoir l’habitude de parcourir de si grande distances à pieds. En y réfléchissant, ça ferait un parfait entrainement pour le jeune garçon de devoir faire un si long voyage en usant de ses petites jambes. Cette idée lui sortît complètement de l’esprit lorsque le Natsumi aperçut un convoi de caravanes qui passait à quelques mètres plus loin, parfait ! C’était tout ce qu’il leur fallait, un moyen de transport ! Le garçon aux iris rubis se mît donc en travers de la route du convoi et procéda comme à son habitude, il leur proposa sa protection en échange de leur transport. Le genre d’offre qu’on ne refusait pas à une telle époque, ainsi il regarda le petit qui l’accompagnait d’un air malicieux et lui dît alors en chuchotant.
« Tant que tu leur proposes quelque chose d’équitable, les marchands seront toujours prêts à accepter une offre, et si jamais ils refusent, tu peux toujours… marchander, ahah ! »
Ainsi les deux ninjas purent s’installer tranquillement à l’arrière d’une des caravanes sans soucis. Il n’y avait pas à dire, voyager avec les marchands c’était tout de même le mieux, ils vous déposaient n’importe où tant que vous leur apportiez une protection efficace, et bien sur il suffit à notre héros au regard de braise de décliner son identité pour que le groupe de marchand accepte l’offre. En y pensant, ces marchands étaient tout de même bien inconscients car n’importe qui pourrait avoir l’idée de se faire passer pour le Shisenshinku et d’ainsi profiter d’une notoriété plus que notable, m’enfin, ici il s’agissait du vrai alors bon. Haru s’allongea confortablement dans ce qui allait lui servir de chambre en attendant le moment ou les marchands se décideraient à mettre en place leur campement. D’ailleurs, le ninja aux iris rubis aurait bien voulu poser une énigme à son petit protégé, cependant, cet imbécile heureux de Morphée avait eut raison du nukenin, ou en tout cas pour l’instant. Du coup, il n’eut même pas l’impression de vivre le premier jour de voyage, tant mieux le diriez vous. Enfin les marchands s’étaient décidés à monter leur campement, bon, à partir de maintenant et ce jusqu’au levé du soleil, la mission du ninja au regard de braise serait de protéger ses marchands, rien de plus facile après tout. Mais ou était passé Momiji !? Oui parce qu’entre temps, ce petit filou s’était fait la malle, c’était bien le moment, surtout que le Natsumi entendait des bruits de pas se rapprocher d’ici…
‒ Uno ! ... J'ai gagné ! ‒ Rho ! Mais comment tu fais Momiji-kun ? ‒ Ça c'est parce que j'ai de l'entraînement Ojii-san. ‒ Allez, on en refait une et cette fois je gagne. ‒ 4 à 1, tu as encore toutes tes chances, hahaha !
♡ A genoux sur une chaine dans la salle commune d'une auberge de Tsuchi no Kuni, Momiji jouait aux cartes avec un vieil homme borgne à la barbe blanche et dont il manquait en plus une main et une jambe, remplacée respectivement par un crochet et une jambe de bois. Depuis une bonne heure maintenant, Momiji avait été laissé seul tandis que Natsumi Haru cherchait un commanditaire. Aussitôt le patron parti, notre enfant c'était lié d'amitié avec l'ancien grâce au pouvoir des cartes de jeu. Tout sur lui indiquait qu'il était du genre filou, brigand, criminel et pourtant ... En s'amusant avec notre garçon, un sourire montait jusqu'à ses deux grandes oreilles, supprimant toute intimidation possible. Sa barbe en bataille avait encore un peu de mousse de la bière non finie qui traînait sur cette petite table en bois. Momiji quant à lui avait une choppe remplie au trois-quart d'un doux lait de chèvre. Il buvait peu, trop occupé à ramasser les sucreries qu'il gagnait par ses victoire. ♡ Dans la salle, le bruit était aussi présent que Momiji riait de joie lorsqu'il voyait ce grand-père piocher. Il était vraiment nul. Pour le coup cela rapportait beaucoup de bonbons aux gamins, trop sans doute pour un sans-carie. La barmaid nettoyait les choppes vides et la serveuse passait auprès des clients pour faire son boulot c'est-à-dire commander, faire payer, nettoyer. Elle passait souvent auprès de la table de jeu. A chaque fois Momiji lui adressait un sourire ravi en ajoutant : « Je suis trop fort, hahaha ! » Évidemment, cela déplaisait à son partenaire de jeu qui boudait toujours un peu.
♡ Puis, la voix de son ami résonna dans la taverne. C'était l'heure de partir, trop cool ! La partie entamée devait être interrompue. Notre blondinet attrapa son sac à dos marron qui pendouillait sur sa chaise et commença à le remplir des bonbons gagnés. Seulement Haru allait surement s'impatienter. Le « Dépêche-toi ! » de ce monsieur qui n'était plus un inconnu qu'il lui semblait avoir entendu l'obligea à n'emporter qu'un tiers du butin. Affichant un sourire aux dents blanches, il descendit de la chaise en s'éloignant avec les cartes. En se dirigeant vers la sortie, il dit très fort : ‒ Ojii-san, quand je rentre, on se refait ça, prend soin de mes candies. Attention ! Mange pas tout, hahaha ! Puis il franchit le pas de la porte.
♡ Dehors, la lumière diffuse du soleil obligea le garçon d'un mètre vingt pour 29 kilos à se protéger les yeux de son bras gauche, l'autre tenant la bandoulière du lourd sac. Il était ardent qui plus est. Du coup, lui qui portait ses vêtements d'hiver se promit de mettre quelque chose de plus léger à la première occasion. Il faisait lourd et l'air chargé de nuage, ce n'était pas beau. Enfin, cela ne les empêcha pas de se mettre en marche. Une, deux. Une, deux ! ♡ Haru lui avait annoncé la couleur : 3 jours de marche avant d'arriver à destination. Quelle horreur ! Il n'avait jamais marché autant. Ses petites pattes allaient le lâcher au bout du second jour, pour sûr ! Sa réaction fut immédiate : Momiji se plaignait. Il marchait un peu en retrait, les bras ballants, gémissant. Bah quoi, il lui fallait bien trouver un moyen d'attirer l'attention... après tout ! Son plan pour ralentir la marcha marcha à son sens à merveille. A droite en contre-bas, ils virent une caravane. Ce groupe de gitan allaient plus vite qu'eux et sur une route plus praticable que le sentier plein de cailloux sur lequel Momiji ne souriait pas.
♡ Comme un brigand, Haru sort devant eux. Momiji quant à lui arrive à ses côtés quelques secondes après s'être débattu avec des arbres. Le Natsumi auquel il s'était lié joue la carte du protecteur. Un Wow ! se lit dans ses yeux avant qu'un Hein ? ne le remplace à la fin du chuchotement de son cap'tain. Il n'a pas tout compris de ce qu'il a raconté, mais tant pis, il ferait sans. En attendant, ils purent l'un et l'autre monter derrière un de ces wagons en toiles blanches tissées sur une base en bois. C'était la classe ! ♡ Et alors que son « Coupaing » s'allonge pour sans doute reprendre des forces, Momiji sourit et agite le bras au wagon derrière eux. Conduisait un duo de cheval brun, un charmant couple de puritain vêtu de couleurs vives, plus que le violet de son pantalon mais mon que son haut orange, d'une barbe pour le monsieur et d'une ombrelle pour la dame. Le coucou est rendu et Momiji agite des pieds, trop content de ne pas avoir à marcher trois jours durant. Hahaha, ça va être trop cool ! ♡ Plusieurs minutes après leur départ, son sauveur s'endormit. Momiji pouvait maintenant faire ce qu'il voulait. Et cela commençait par une petite heure de coloriage. Les trois premiers quart d'heure, le garçon utilisa du papier de son propre sac comme support à sa fantaisie.
Malheureusement, il s'ennuya vite et dû changer de support. Pour on ne sait quelle raison, si ce n'était l'envie de rigoler, il sortit un feutre noir et commença à dessiner avec soin sur le visage de Haru. Sur les joues il fit des moustaches de chat, sur le front à droite une jolie marguerite, sur le menton un petit lapin tout mignon. Nul doute qu'à son réveil, tout le monde allait bien rire. Le couple sur la chariote en face de lui vit la scène et notre enfant leur fit signe avec la bouche de ne rien dire, de tenir la langue, ce qu'ils allaient faire. ♡ Le reste de la journée passa assez vite tout compte fait. Ils franchirent un pont en début d'après-midi, mais à l'entrée, la caravane fit un arrêt forcé de quelques minutes. Ce n'était que des soldats d'un village non-loin d'ici qui contrôlèrent rapidement le convoi. Momiji en eut profité pour se dégourdir les jambes. Manque de chance, le convoi reparti sans lui pendant qu'il était absorbé sur des fourmis qui rentraient toute chez elle. L'hiver était là, elles le sentaient. Bref, notre garçon couru un peu afin de ne pas être perdu.
♡ Le soir venu, il est assez épuisé, malgré son énergie débordante. Le campement, il aide au début du montage et apporte même des bûches pour le feu. Très rapidement ses mains sont sales et son visage tout crasseux. Aussi, il disparait sans un bruit au bord de l'eau de la rivière qui bordait le bivouac. Seulement l'eau n'est pas très propre. Des algues noirâtre ne lui inspirant pas confiance, Momo décide de remonter un peu le courant, tout en gardant le groupe de tente en vue. Là il trouve un coin beaucoup plus propre et plie les jambes. Hop floc. Hip flic. ♡ Il se lave les mains, applique de l'eau sur son visage. Lorsqu'il se relève et qu'il se retourne, une masse imposante se retrouve en face de lui. Il va pour s'échapper qu'un coup de poing arrive directement dans son ventre. Ho non encore ... Le coup de poing l'empêche de bouger et il se retrouve vite les mains attachées, au bras de ce gros baraque à la barbe à moitié cramée. Il est accompagné de plusieurs compagnons et tous se dirigent vers le camp de gitan. Ho non ! ♡ Des bruits de pas suivis de bruits de métalliques se font entendre avant qu'ils n'apparaissent au grand jour. Bien sûr Momiji est bâillonné, il ne peut pas aider. Agitant des pieds, il ne touche pas le sol car son kidnappeur mesure bien les deux mètres, facile! Son chef et devant lui et fait rapidement face à Haru, les marchands s'étant placé derrière. Il a une longue crinière et entoure sa bouche et son cou d'un foulard vert. En fait, il est moche ce mec !
‒ Bon, on va pas passer par quatre chemins, filez le fric ou on massacre le gamin. Et faites pas vos malins, surtout toi l'homme... Il éclata de rire en désignant Haru ... surtout toi hahaha... le neko-san !
♡ Cela avait au moins l'audace d'être clair. Momiji rit quand même. Haru allait les fracasser en un rien de temps, même si son visage était parturluré par ses soins. Seulement, il ne se résout pas à être un otage. Il se débat. On tente de le calmer. Il se débat encore plus fort et réussi à donner un coup de coude dans les côtés non protégées du colosse. Chance ! Cela le fait lâcher prise et lorsque Momiji tombe au sol, il roule sur le côté : champ libre pour Natsumi Haru !
Il fallait bien l’avouer, aujourd’hui était bien la seule et unique journée ou l’on pouvait ressentir une once de faiblesse humaine chez le Natsumi : la fatigue. En effet, il n’était pas du tout habituel que notre héros au regard de feu s’assoupisse sans le vouloir au point de n’en plus être réveillé par les nombreuses bosses la route, qui faisaient trembler l’ensemble du véhicule. C’en serait presque touchant de voir que même notre nukenin préféré aux milles et unes qualités n’était pas increvable, mais bon, cet instant de pseudo-faiblesse ne dura pas longtemps bien heureusement ; et même si le shinobi aux iris rubis était encore un peu endormi, il n’en restait pas moins le tout puissant ninja qu’il était à son habitude. Et un Natsumi au réveil, c’est quelqu’un qu’il faut à tout prix éviter de provoquer si l’on veut rester en vie. En tout cas, ce n’était surement pas cet arrêt durant la nuit qui allait l’aider à se réveiller, surement pas, et ce n’était pas non plus la petite voix stridente de Momiji puisque ce dernier avait pris la poudre d’escampette. Quelle plaie quand même, notre héros ne se rappelait pas avoir été un jour aussi comment dire… agité. Il espérait fortement que le fait d’accomplir des missions plus ou moins difficile pour le petit, le ferait grandir et ainsi perdre un peu en agitation, tout en affinant ses qualités de ninja.
Bon et bien, ces bruits de pas n’étaient pas dus à l’imagination fortuite de Haru qui sortait tout juste du sommeil, non, pas du tout. Il y avait bel et bien un groupe d’hommes qui était arrivé, mieux encore, ces types n’étaient pas arrivés seuls, non, non, ils avaient pris la peine de ramener le petit Momiji au près de son tuteur, attaché et bâillonné certes, mais ils l’avaient ramené. Ces charmants jeunes gens auraient bien mérité quelques remerciements s’ils n’avaient été aussi agressifs, et stupides qu’ils l’eurent été. En effet, il ne s’agissait en vérité que d’une bande de pillards, bon forcément ce n’était pas difficile à deviner, seulement, ils avaient fait une erreur fatale, l’un d’entre eux s’était moqué du Natsumi… À cet instant même, ce type là venait de signer de son plein grès, son arrêt de mort, dommage, sa vie aurait pu être plus longue s’il s’était tût. On disait bien « tourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de parler », ce type là aurait dû la tourner une bonne dizaine de fois avant de l’ouvrir. Mais il y avait tout de même une question que se posait notre héros, pourquoi avait-il été appelé neko-san ? Il était claire que le ninja au regard de braise était aussi agile et vif qu’un félin, mais là, ça devait être autre chose, se rappelant qu’il avait dû dormir un long moment, il s’introduit alors dans les penses du blondinet. Garnement qu’il était ! Ce sale gosse avait profité du sommeil de notre héros pour le badigeonner de feutre noir.
« Eh bien, vous m’avez l’air d’être une petite poignée d’hommes intelligents, donc vous devez vous doutez qu’un groupe de marchand se promène rarement sans garde du corps. »
Posant sa main sur la poignée de son katana, Haru était déjà prêt à faire de gros dégâts, cependant une intervention de Momiji lui laissa la plus grande des ouvertures qu’il pouvait avoir. Opportuniste au plus haut point, le garçon au regard de braise dégaina son arme, la pointa en direction de celui qui semblait le chef de la troupe et fit s’allonger la lame de son épée jusqu’à empaler le buste de celui-ci. Un de moins, c’était déjà une bonne chose de faite, mais il en restait encore quelques uns et même si leur chef devait d’hors et déjà être en train de passer l’arme à gauche, ils n’abandonneraient surement pas leur projet aussi facilement. Il s’agissait d’une chose dont notre héros aux iris rubis était parfaitement conscient, pourtant, après le petit effort qu’il venait de fournir, il ne fit que lancer un kunaï sur son trouble-fête. Oui, oui, sur Momiji. Non, non, pas pour le tuer, mais uniquement de sorte à trancher les liens qui le retenaient. Il aurait aussi bien pu le faire après, cependant, à la fin de cette dernière action, il s’assît en tailleur et croisa les bras. Bon, il semblerait qu’il n’avait pas l’intention d’en faire plus. Pourquoi ? Peut être parce qu’il n’était pas le seul ninja ici présent après tout, ou peut être simplement pour donner une petite leçon à son disciple. Il s’adressa alors au petit brun d’homme sur un ton des plus sérieux qui soit.
« Puisque tu es assez doué pour te jouer de ma personne pendant mon sommeil, occupes toi de ces truands à l’aide de ce kunaï parce que je n’ai plus l’intention de lever le petit doigt personnellement. »
À peine ces quelques paroles dites, que le Natsumi se retrouva perché au sommet d’une vague de terre qui venait d’être crée sous son corps, par ses soins évidemment. Laisser Momiji combattre ces brigands seul, pendant que lui, les observait ? Oui c’était à la fois une bonne punition, et un bon entrainement, et qu’importe si le petit blond n’était pas d’accord, il en avait décidé ainsi et ce serait irrévocable.