Bien que j'étais officiellement en vacance, je préférais largement accumuler les missions en journée afin de me faire de l'argent. Effectivement, j'étais un peu trop dépensière en terme de livres et je ne me prenais pas la peine de vérifier mon total d'argent. Ainsi, j'avais des dettes et j'avais reçu le droit de faire plus d'une mission par jour. Hier, j'avais préférée m'entraîner dans la soirée qu'enchaîner avec une mission donc, j'avais du retard. Je sortais tout juste du bureau d'attribution de missions... D'après l'ordre de mission, je devais retrouver un homme qui avait volé un parchemin secret du clan Abarume. C'était plutôt intéressant, j'allais peut-être en tirer profit afin d'agrémenter ma maîtrise du Raiton. Pour commencer, j'allais rendre visite aux Abarume ! Je n'avais pas vraiment d'indices, un Inuzuka aurait rendu la situation plus simple mais une fois de plus, j'étais seule. C'était embêtant de constamment se débrouiller... Malheureusement, je n'avais pas le choix si je voulais surprendre les autres Konohajins ! Il était hors de question de demander de l'aide. Tout en lisant, je fis mon entrée dans l'entreprise Abarume. La pièce était peu éclairée et une ambiance très pesante était installée. Une femme était en train de pleurer, je m'approcha d'elle afin d'avoir plus de détails :

La femme s'arrêta de pleurer et m'observa avec de gros yeux... Elle était lesbienne ou quoi ? Bien trop vieille pour moi et pas du tout de mon genre. Rah, voilà que je croyais aux rumeurs sur ma propre personne. La cinquantenaire se mit à rire, c'était quoi le bordel ? Ma figure ? Ah non ! Pour une fois, j'avais fait mon possible pour retirer la totalité de mon maquillage de la veille et je n'avais pas bue avant 14h (La modération mes amis, la modération...) ! Avant que je puisse exprimer un gros « T'as quoi la vieille !? », elle s'exprima :

Heiiiiiiiiiiin !? Elle me faisait quoi la vieille là ? Je rangea lentement le livre de ma poche avec l'envie d'en passer aux mains. Civil ou pas, elle allait regretter de s'être moquée de moi, il fallait pas profiter de ma sagesse. Avant que je puisse entreprendre la moindre action, un vieil homme fit son apparition de la salle, qui était-il ? Avant que je puisse lui demander son identité, il se mit à parler :

Je ne pris pas le temps de remercier, je sortis de suite du magasin afin de trouver des indices !