Les deux hommes ce regardèrent pendant une petite dizaine de seconde. Len les mains enfouis dans ses poches fini par détourner le regarde pour scruter la disposition de la forge ainsi que son mobiliers. Il est facile de se rendre compte que celui qui a fait ça à un manque cruelle de priorité. S'introduire dans un tel endroit pour simplement abîmée deux, trois outils. Cela paraît peu probable pour notre apprentis détective. Quelque-chose d'autre ce cache derrière tout cela. Peut-être que le forgeron finira par cracher le morceau pour le moment le voilà hésitant, pesants sans aucun doute le pour et le contre, de dire la vérité a Len. Serait-il vraiment utile pour lui de tout déballer à un shinobi si bas gradé ?

Mais cela n'empêche pas le fait que le borgne sait très bien avoir touché un point sensible personne n'aurais réagis comme ceci a de fausses accusations, maintenant il lui faut savoir qui attendait Muramasa ? Le savait-il au moins ? Rien n'est sûr, mais ce n'est pas en restant assis là à attendre que le temps passe que tout s'arrangera, Len le sait et Muramasa Sengo doit tout autant le savoir, même si dans les fait se l'avouer peut-être plus compliqué que prévue. Le silence était tel, que l'on pouvait entendre le vent souffler à travers la porte grande ouverte de la forge. Le forgeron alla fermé celle-ci, les deux hommes ce retrouve alors seulement éclairer du fer rouge écarlate posé sur une enclume non loin de là. Sengo semble légèrement sur les nerf cela ne fait aucun doute, Len lui essaye du mieux qu'il peut de cacher son inexpérience en la matière avec un air détaché.

- La totalité des personnes saboté font tous partie du même groupe, moi-même j'en fais partie. Nous sommes un petit groupe de commerçant ayant fait en sorte d'aligné nos prix pour éviter que tout ne deviennes n'importe quoi. Sengo pris alors une courte pause et d'une voix toujours aussi basse il continua son récit. Sauf que l'un des hommes n'été pas vraiment heureux a l'idée d’intégrés des chasseurs a notre petit club, voulant que ceci reste exclusif au forge de la ville, alors que le but premier est de réunir la totalité des commerçant.

- Hum... L'aissez-moi deviné la suite, cet homme fou de rage que personne ne l'écoute a fini viré de votre petit club. Maintenant mécontant il souhaite que vos sociétés souffre le plus possible. Len toujours en ce déplacant s'arréta devant le fleuret avec lequel le forgeron a voulu l'embrocher. Mais cela n'explique pas pourquoi vouloir me transpercer la gorge avec cette arme.

- Et bien... L'homme dont je vous ai parlé, nous a laissé le choix après quelques semaines de percécusion. Payé pour avoir la paix ou bien voir son commerçe définitivement fermer ses portes. Dû a une facheuse aggression ou d'un vol très important. Comme vous l'aurez compris j'ai décidé de ne pas payer. Je suis le seul à avoir fait ce choix-là.

- Très bien, la solution est simple nous allonrs les pièger. Bien que vous aviez des soupçons sur eux ma mission consiste a trouvé et arréter celui qui s'amuse à faire cela et je compte bien le faire.

L'idée de se faire un nom avec cette mission sur-motivais notre jeune Iwajin, celui-ci ce creusa la tête comme rarement au par avant pour concevoir un plan infaillible et ainsi arrêter ces maître chanteur. Le plan fût rapidement mis au point et vers les dix-sept heure a la soit disant fermeture de la forge. Len partis avec la fervente intention de régler cette mission ce soir même. Partant en faisans très attention de ne pas être suivis il finit par s'arrêter dans l'une des ruelles adjacentes. L'idée est d'attendre que les malfrats viennent s'occuper du forgeron, interrompre cela et de ce fait compléter la mission.