Avant de commencer mes investigations, je pense à cette identité que je dois inventer lors d'une altercation avec un inconnu. Je n'appartiens plus à Kumo, on va faire simple. Ma terre natale est parfait comme couverture, je n'ai vraiment été un réel canari. Je ne sais pas qui vais-je rencontrer mais ces terres sont dangereuse, je ne lâche aucune information. Même sous torture. C'est le parfait endroit pour se cacher pour un déserteur important, tout est possible.

L'humidité omniprésente, un faible brouillard dans ces longues routes résidentiels, je me trouve dans les quartiers important de Kirigakure no Sato. Il y avait plusieurs familles qui se partageaient ces dojos et bâtisses magnifiques. D'après quelques recherches, un seul clan ne fait pas partie de cette vie commune. Un clan pourtant intéressant, regorgeant d'énormément de capacité, des humains venant du marécage, il s'assimilait à un être de la nature afin de partager leurs aptitudes. Les êtres les plus proches de cette archipel, protégeant leur nid familiale, cette famille se nommait Gekei. Ils ne séjournaient pas dans ces quartiers luxueux mais leur fidélité à leur terre leur donnait de la valeur morale et une grande réputation. Malgré la grande puissance de la brume sanglante, le peuple était scindé en deux, le peuple et les gekeis, peu d'entre eux sont reconnu dans le monde de shinobi. Je ne peux même pas vous en citer un.

Je décoche une cigarette et la dépose entre mes lèvres, nonchalant à travers les ruines des bâtisses. Jetant quelques coups d'oeil par ci par là, il ne reste plus rien. Kiri avait de nombreux katana faite par les meilleures forgerons. Cela fait longtemps qu'elles ne sont plus sur ce territoire. Allumant ma cigarette, je suis dans une chambre peu touché par l'attaque des Furyous. Une odeur sauvage, des oiseaux ont faire le nid dans ces ruines solides, je m'assoies sur le peu de lit restant et fume ma cigarette paisiblement. Cette terre rendu à son propriétaire, la nature est dominatrice sur Mizu no Kuni. Un léger sourire se dresse sur mon visage, je suis persuadé qu'il reste des gekeis sur ces terres. Toujours prêt à défendre leur terre et la nature.

Je sors des décombres et continue mon investigation dans les quartiers résidentiels. La brume Sanglante était composé d'énormément d’Épéiste mais il avait aussi d'excellent artilleur, contrôlant l’élément glaçant. Ils vivaient surement ici, c'était un clan important de Kirigakure no Sato. Le silence du quartier est froid comme cette famille importante. Il n'y a vraiment pas de vie sur cette archipel, je pourrais poser mon transat, boire ma petite bière et fumer paisiblement un cône illicite. Personne s'en douterait. Je me gratte ma longue barde, grogne un coup et continue mes petites recherches parmi les ruines. Les deux mains sur la tête, j'observe le moindre détail et pense à cette mission. On m'a peut-être envoyé ici pour que je ne sois pas à Kumo. Je n'en sais rien, je ne suis pas à Kaminari no Kuni pour le vérifier.

Au loin, je distingue une silhouette près de ruines au nord de ma position. Je me poste sur un muret afin qu'il ne me voit pas, le seul problème c'est qu'il peut connaitre des techniques de sensorialité et là je suis foutu. Pour une fois que je vois une présence humaine, je ne vais pas me cacher comme un sale rongeur. Je dévoile ma position à l'inconnu et marche en sa direction. Les lunettes ténébreuses cachant mon regard doutant, je prend la parole en direction de l'inconnu.

─ Oh c'est mes ruines !

Un peu de solidité avec une pointe d'ironie, peu à peu que je m'avance vers sa position, je discerne un fourreau. Un samouraï inconnu dans les parages. Je vais sortir ma Pokéball anti-Katana.