Le pays du vent et plus particulièrement sa capitale : Suna Gakure no Satô regorgeait de trésors assez apetissant pour n’importe quel shinobis. Que ce soit au niveau des armes ou de l’équipement, Suna était très certainement l’un des premiers en terme de puissance de l’armement. Pourquoi ? Tout simplement parce que le village comptait tout d’abord et depuis la nuit des temps des marionnettistes, des hommes et des femmes capables de manier des créations en bois ou en métal afin de s’en servir comme arme de combat. Un art bien complexe, mais eux connaissaient véritablement la puissance de cet art et l’utilisait avec une dextérité incroyable. Le deuxième atout était le clan Saibogu, des génies mécaniques capables de créer des armes à projectile extrêmement puissant ou avec des explosions incroyables. Les deux réunis formaient un duo de clans de génies au niveau de l’armement.

C’était d’ailleurs la raison pour laquelle notre jeune protagoniste s’était levé très tôt ce matin. Tellement tôt qu’il faisait encore sombre, le jour peinait à se lever, soleil flemmard dans une journée qui s’annonçait merveilleuse. Zero, le héros de cette histoire s’était donc levé pour se rendre dans l’un des hangars principal servant de repère pour la création de l’armement. Tous les Saibogu et les Marionnettistes pouvaient s’y rendre afin de commencer leurs créations, s’inspirer ou même acheter et vendre des armes. En arrivant, il ouvrit la grande porte avant de faire le tour de son propre inventaire. Il se trouvait actuellement face à l’équipement des marionnettistes et inspectait de près son Reeza Blaster, sa petite arme permettant de tirer des salves totalement basiques, mais pouvant faire de gros dégâts si à bout portant. Il avait aussi une sorte de sniper dans un dispositif de son armure, idéal pour tirer des salves extrêmement puissante pouvant faire des dégâts à très longue portée. Idéal pour les assassinats également..

Plusieurs personnes attirèrent l’attention de Zero en entrant dans le hangar. Plusieurs hommes, tous shinobis avec l’air un peu.. beauf. Un autre homme avec les cheveux blancs et l’air un peu plus noble entra peu après, mais finalement, le Saibogu n’y prêta pas plus attention et retournait alors à ce qu’il était en train de faire. Il regardait juste à côté de certaines marionnettes des marionnettistes certaines armes créées par les membres de son clan visiblement. Des petites armes à sa hauteur, des snipers, des grosses armes lourdes, mais le pire se trouvait être tout en haut, d’énormes armes avec des missiles à tête chercheuses. Le paradis des Saibogu se trouvait ici. Cependant, pour manier des armes comme celle-ci, il fallait un certain niveau et une grande maîtrise de son chakra, chose que malheureusement, et il le savait, Zero n’avait pas encore. Il n’était pour le moment qu’un simple petit genin sans réelle importance au sein de la hiérarchie de Suna, mais cela changerait avec le temps bien entendu. Au fil des entraînements..

Soudain, Zero ressentit une étrange sensation…

Le jeune homme s’étira en sortant de l’établissement familial. Le modeste bar où travaillaient ses paternels se trouvait en plein centre-ville. Ils ouvraient tôt afin de tout préparer et ranger les restes de la veille. Enfin d’il y a quelques heures pour certains fidèles qui ne bougeaient pas de l’endroit avant 7h du matin. La nuit avait été assez courte pour le marionnettiste qui ne se sentait pas fatigué pour autant. Il n’avait jamais eu besoin de beaucoup de sommeil pour tenir debout. L’habitude de travailler avec son père et sa mère.

Il prit la direction de l’avenue principale pour profiter du village tant qu’il était encore endormi. Quelques rares présences par ci par là ne venaient pas interrompre la quiétude de sa promenade. Cet endroit était d’ordinaire bondé avec tous les commerces environnants. Une vraie cacophonie qui faisait de la traversée un véritable supplice. Heureusement que l’heure matinale pouvait faire profiter les lèves-tôt d’un chemin de balade idéal.

Le regard du Sunajin vagabondait de vitrines en vitrines malgré le fait que des rideaux bloquaient les devantures jusqu’à temps que vienne l’ouverture. Il reconnut celles où il avait l’habitude d’aller et en découvrait même la façade. Il n’y faisait jamais attention d’habitude. Avec toute la foule, il s’empressait de rentrer, faire ses emplettes et repartir. Les pièces détachées demandaient de grands sacrifices.

Cette remarque pour lui-même lui rappela qu’il devait procéder à la révision de son pantin. Il l’avait essayé dans le désert l’autre jour. Grossière erreur. Il y était resté trop longtemps et les rouages n’avaient pas vraiment appréciés. Une faute qu’il tâcherait de ne plus commettre. Ou bien en renforçant les protections avec des plaques. La piste méritait d’être creusée. Il devrait bidouiller sa marionnette et il savait où aller pour cela.

Ses pas le menèrent automatiquement dans ce bâtiment où se retrouvaient les autres adeptes du Kugutsu. Mais ce n’étaient pas les seuls. Il y avait aussi des membres de la famille Saibogu. Ce n’était pas le clan préféré du garçon. Y en avait-il d’ailleurs ? Non, aucun mais c’était une façon de parler. Certainement la jalousie de ne pouvoir utiliser leur technologie pour des fins personnelles. Ils avaient beau être arrogants et s’estimer au-dessus de tout le monde, il fallait admettre que leurs inventions pouvaient s’avérer utiles. Et magnifiquement efficaces en combat. Bon nombre de Marionnettistes tâchaient d’en percer les secrets pour recréer des mécanismes similaires. Des résultats plus ou moins probants pouvaient se trouver parfois. Mais il n’y avait jamais le même savoir-faire.

Kumonosu lui se contentait d’appliquer son savoir. Il préférait se terrer dans ce qu’il savait faire le mieux pour parvenir à ses fins. Arrivé sur place, il se dirigea vers un établi libre où il déballa sa création. L’Araignée prenait toute la place et débordait de part et d’autre de la table. Il aurait mieux fait de la mettre par terre. Elle prenait tellement de place qu’elle avait éjecté un outil resté là. Il se pencha pour le repérer et aller le récupérer à deux pas de là.

Ce fut à ce moment précis qu’il remarqua une étrange présence. Une sorte de création humanoïde. Il détailla la chose de son œil expert et put constater certains engrenages caractéristiques des machines. Il regarda tout autour de lui, l’air interrogateur sur le propriétaire de cette chose. Mais personne ne se manifestait. Premier arrivé, premier servi. Il ne se fit pas prier pour former des fils de chakra qui vinrent agripper cette « marionnette » abandonnée. Les fils se placèrent de manière stratégique pour animer la création. Mais il ne s’attendait pas à une telle réaction…

Cette étrange sensation parcourait rapidement son corps. Quelque chose semblait s’être attaché à son corps, à son buste, ses bras, ses jambes, ses mains, mais ce n’était pas une attache physique, enfin, c’était très difficile à expliquer. Cependant, il savait bien qu’il y avait un problème. Là, tout à coup, il sentit son corps commencer à se déplacer tout seul sans que Zero ne le veuille, son corps ne lui appartenait plus. Mais l’attache était légère et il savait qu’il pourrait rapidement reprendre le dessus. Affolé d’une attaque imminente, il fit volte-face pour voir attaché à son corps des sortes de fils translucides, des fils de chakra. Evidemment, il remontait de son regard les fils pour les voir accrochés aux doigts d’un jeune homme aux cheveux blancs que le Saibogu avait déjà remarqué lors de son entrée dans le hangar. Un marionnettiste qui essayait de le contrôler ? Cela ne se passerait pas comme ça. En position de légitime défense, il s’approchait rapidement de son agresseur en lui administrant rapidement et lourdement une gauche dans sa tempe droite le faisant certainement se baisser. Puis sans attendre, il enchaînait avec un puissant uppercut du droit qui enverrait cet homme sur l’établi posé derrière.

Les fils de chakra venaient de se défaire de son corps. Cependant, lorsque Zero s’était retourné, il avait vu sur le visage de l’homme aux cheveux blancs un visage étonné, comme s’il ne s’attendait pas à voir sa « marionnette » se retourner. Peut-être n’avait-il pas compris que Zero était un homme et l’aurait confondu avec une simple marionnette étendue là pour être vendue. Non cette hypothèse était impossible, car il ne devait pas être aussi con de confondre un homme avec une marionnette. Quoi que, pourquoi pas ?

Sans attendre, et avec une rapidité déconcertante, l’homme ayant une sorte de dispositif métallique sur tout le corps mit sa main droit sur un dispositif de son épaule gauche avant d’en sortir une sorte d’arme à feu assez ancienne, un petit calibre que Zero appelé Reeva Blaster. Petite portée, projectile tout à fait banal, mais qui à la longue pouvait provoquer de lourds dégâts au corps de l’adversaire. Une fois le dispositif sortit de son « fourreau », le Genin de Suna braqua directement le canon de l’arme en direction de l’homme qui avait osé le confondre avec une simple et médiocre marionnette. L’art des Saibogu était bien supérieur au leur. Il allait le prouver maintenant. Un simple regard autour de lui et il voyait que cette rixe avait attiré l’attention des autres hommes et femmes présents dans le hangar. Mais Zero n’avait cure de ces personnes, il allait venger cet affront que ce marionnettiste aux cheveux blanc lui avait fait. Fermant un œil pour avoir une meilleur précision. Il n’allait même pas donner le dernier carême à sa future victime.

Garde tes dernières paroles pour toi et meurs…

Sans attendre, il mit l’index sur la gâchette de son arme avant de la presser. Un petit bruit métallique suivit soudainement d’une légère détonation, de quelques étincelles et d’un bruit sourd quand la balle s’extirpait du canon pour aller à la rencontre de sa cible. Après coup, une légère odeur de poudre pouvait être reconnue. Zero n’avait pas encore totalement terminé de travailler sur cette arme. L’odeur et le bruit étaient encore trop importants.

Spoiler:

Le pantin s’anima assez vite et sans même que le marionnettiste ne contrôle ses gestes. Kumonosu se savait extrêmement doué mais pas à ce point ! C’est que quelque chose clochait. Et ce fut encore plus évident lorsque la « marionnette » se retourna pour tenter de lui en foutre une. Le temps de se baisser, il ne fut passez réactif pour anticiper l’uppercut qu’il prit pleine mâchoire. Repoussé contre l’établi derrière lui, Kumonosu déposa une main sur la surface froide qui lui avait meurtri le dos.

Il grommela dans sa barbe imberbe en massant la zone touchée. Il lui avait abîmé la dentition sans doute. Le sang emplit sa bouche d’un gout amer et métallique bien caractéristique. Il en cracha un peu à ses côtés alors que la confrontation attirait déjà les regards des badauds. Ce qu’il ne fallait pas voir. Un peu de tapage et les ignorants se pointaient. La curiosité morbide de l’Homme. C’était à vomir. L’œil visible de Kumonosu fit le tour de l’assistance pour adresser son air le plus aimable. Mais il ne s’attarda pas trop longtemps sur ses imbéciles pour en revenir à son opposant. Car il s’agissait bien d’un être vivant. Il aurait aimé dire « fait de chair et de sang » mais il n’y aurait pas eu méprise si c’était le cas. Quelle idée aussi de se déguiser en machine.

La réplique fut immédiate ensuite. Une arme dans la main, il ajusta sa visée en fermant un œil après avoir prononcé quelques gentilles à son égard. Lorsque la balle partit du chargeur, un simple mouvement de doigt suffit au marionnettiste pour actionner une clé à molette sur l’établi derrière lui. L’outil, rattaché à un fil de chakra passa devant lui et vint dévier le projectile de plomb. Le choc provoqua un gong qui fit baisser les spectateurs de peur de récupérer la balle perdue. La structure des lieux faisait de l’endroit un très mauvais ring pour deux combattants usant de ce genre de pouvoirs. Mais ils s’en moquaient éperdument.

Ils avaient une seule idée en tête : mettre une raclée à l’autre. Kumonosu n’allait pas se laisser intimider par quelques vulgaires menaces infantiles de la part d’une boîte de conserve sur pattes. Ses fils en revinrent à son pantin bien rapidement qui s’anima alors pour se placer derrière lui, perché sur la table. La tête pendante, il semblait fixer son opposant à qui il répondit tout aussi aimablement :

- Un pantin qui se rebiffe ?! T’inquiètes pas j’en ai maté des plus coriaces que toi.

Le Genin savait pertinemment qu’il faisait face à un shinobi. Un membre du clan Saibogu qui plus est. Cela tombait bien, il allait pouvoir se débarrasser d’un de ses joyeux toutous des grandes familles. Ces petits fils à papa qui le débectaient tant. Une salve de kunaïs partit des pattes de l’araignée qui s’était armé au moment où il avait commencé à parler. Les projectiles fusèrent alors sur le Saibogu. Let’s the battle begin !

Un uppercut dans la mâchoire eut raison de l’équilibre de l’adversaire aux cheveux blancs de notre jeune protagoniste du clan Saibogu. Il s’envolait dans les airs le temps de secondes avant de retomber violemment sur le plat du dos, sur une surface solide et froide, lui causant certainement une bonne douleur dans la colonne vertébrale. Cependant, alors que Zero activait la gâchette de son Blaster, une balle en sortit afin de rencontrer la peau et les organes de son adversaire. Cependant, celui-ci fit énigmatiquement voler une sorte de clé à molette sur l’un des ateliers pour que celui-ci vienne heurter la balle du Saibogu qui s’envolait quelques mètres plus loin, se ficher dans une sorte de tableau en résine, que les quelques personnes se trouvant encore là. A l’impact, les personnes présentes prirent peur et se mirent à fuir en courant l’atelier des Saibogu et Marionnettistes. C’est avec cette dextérité avec laquelle son adversaire s’était débarrassé d’une balle du Blaster qu’il se rendit compte que son adversaire aux cheveux blancs était un marionnettiste.

Il en eut rapidement la confirmation lorsqu’un petit nuage de fumée laissait place à une espèce de marionnette absolument horrible, avec huit pattes. Elle ressemblait fort, trait pour trait à une araignée. L’homme se relevait ensuite afin de prononcer une menace à l’encontre de Zéro. Il prétextait qu’il avait maté des pantins bien plus coriaces que le Saibgou. Les sourcils de Zero se froncèrent, toujours l’arme à la main alors qu’il allait lui répondre. Cependant, il n’en eu pas le temps, car les pattes de l’araignée se mirent à s’ouvrir rapidement, laissant s’échapper des kunais en direction de Zéro. Bonne rapidité, bonne précision. Il était bon cet enfoiré. En concentrant son chakra, le Saibogu fit apparaître sur son plan un prototype de bouclier qui se dépliait pour couvrir une petite partie de son corps. Avec, il repoussait les kunais de son adversaire qui tombèrent sur le sol avec un petit bruit métallique. Suite à cela, le bouclier se repliait dans le dispositif fuuinjutsu de Zéro. Il se replaçait et tout en chargeant une balle spéciale dans le Blaster. Il prit la parole.


« Tant mieux enfoiré, je serais ravi de te faire bouffer du plomb »

Levant alors son Blaster rapidement en direction de son adversaire, il préparait pour le coup une petite surprise. Sans sourire, sans aucune émotion sur le visage si ce n’est la colère, il appuyait sur la gâchette, laissant alors un peu de poudre partir du canon. La balle se dirigeait vers son adversaire aux cheveux blanc. Le marionnettiste allait manger sévère pour le coup, il s’en remettrait peut-être pas, mais c’était justement le but. Cette balle n’était justement pas comme les autres car elle possédait une poudre spéciale, une poudre autrement dit d’une puissance explosive. Cette-ci prendrait feu au moindre contact afin de créer des dommages assez impressionnant sur un unique adversaire. Autrement dit, il avait intérêt à parer cette attaque et non à la faire exploser comme il l’avait fait avec la première balle de Zero.

Spoiler:

En plus d’en avoir l’apparence, l’adversaire de Kumonosu était rustre. Tout de suite les insultes. Car il était maintenant évident qu’il s’était trompé sur la nature de cette chose mécanisée. Lui qui avait d’abord pensé qu’il s’agissait d’une marionnette, il avait vite pu comprendre qu’il s’agissait d’un shinobi en raison de ses réactions et actions.

Il usait d’une technologie propre au clan Saibogu. Malgré la proximité dans la technique Saibogu et Marionnettiste, les utilisateurs de technologie restaient une famille de Suna. Et en tant que tel, Kumonosu ne les appréciait guères. Ils étaient de vulgaires pions à la solde de puissants, comme tout Sunajin, mais ils se permettaient de se vanter. Ils s’estimaient bien plus que les vies qu’ils étaient censés défendre. Un mode de pensée auquel le marionnettiste n’adhérait pas. Il serait certes stupide de cracher dans la soupe étant lui-même un shinobi soumis au même système mais, dans son cas, il agissait différemment.

Sa fonction il la remplissait pour permettre à sa mère de prendre une retraite bien méritée. Pour le bien-être de sa famille, il en fallait un qui se dévoue à la cause de Suna. Malgré le fait qu’il était tenu par des directives incessantes, Kumonosu n’en perdait pas moins son esprit d’analyse. S’il se trouvait confronté à un supérieur aux ordres contradictoires ou dangereux, il n’hésiterait pas à répliquer. Sa priorité était la défense des civils. Si les descendants des grands clans s’aimaient tant, ils seraient bien capables de se débrouiller par eux-mêmes.

Il avait ici l’opportunité de se débarrasser d’un de ces vulgaires sous-fifres à la solde d’une grande famille. Il n’allait pas se priver de ce petit plaisir. Et s’il devait assumer les conséquences de son acte, il avait quelques témoins pouvant attester que c’était le Saibogu qui avait engagé les hostilités le premier. Plaçant ainsi les réponses agressives du marionnettiste comme de la légitime défense.

Et il lui en faudrait car le jeune cyborg ne perdait pas de vivacité pour s’attaquer à lui. Il renchaîna avec un nouveau tir que le pantin stoppa sans mal grâce à un dispositif de protection intégré dans un de ses bras. La balle fut déviée et ricocha de nouveau pour aller exploser plus loin. Le gars en face ne rigolait plus ! Il allait falloir se mettre à son niveau. S’il prenait les choses comme ça, autant être dans le même état d’esprit. A peine le bouclier rétracté, la marionnette enchaîna de plus belle avec un nouvel assaut. La dizaine de bras renvoya une salve de kunaïs avec plus de force que la dernière néanmoins. Ceci fait, le manipulateur se logea dans la marionnette à la place du torse, laissant ainsi dépasser toute la partie supérieure de son corps alors que ses jambes se terraient dans la marionnette. Le centaure ainsi créé faisait face au Saibogu qui devrait déployer plus de moyens cette fois-ci pour parer son assaut.