Quand dans la nuit tu croise une lumière, laisse toi guidé. Si dans la lumière tu croise une ombre. Par à l'opposé. La vie ne se joue cas un fil. Le bien ou mal, blanc ou noir. Seras tu le pion de la liberté ? ou le pion de la cruauté ? Vivre ensemble ou mourir seul. Il fallait être ou ne pas être spectateur de sa propres vie.

Déjà deux tours de passé. Maintenant place pour moi pour ce qui semble être les sortes de quart de final. J'affrontais le dénommé Bannin Kisen, dont je ne connaissais rien. Il fallait que je face preuve de stratégie et surtout que je juge bien mon adversaire. Déterminer ses compétences le plus rapidement possible, serait la clé pour gagner le combat. Entrant dans l'arène placé au niveau du terrain d'entraînement, je pouvais de suite voir qui s'agissait d'une grande surface de combat. A vue d'oeil, je pouvais estimer la distance d'un bout à l'autre d'environ cent mettre. Arbre, dune de sable, petit ruisseau, il y avait tout les types de sol que l'on pouvait croiser n'importe ou.

J'avançais lentement, regardant au dessus de moi les personnes installés dans les gradins. Tout le monde hurlaient nos noms, comme des bêtes de foire, nous allions les amuser. Du beau monde dans les places assise protégé du soleil, le raikage, ainsi que d'autre personnage réputé. Détachant mon parapluie de mon dos, pour le prendre en main, je me retournais en direction des portes de l'arène. J'attendais, avec impatience l'arrivait de mon adversaire du jour.

Soudain, le moment dramatique arrivait, Bannin faisait éruption dans le rond qui allait nous faire office d'air de jeu. Un corps athlétique, une chevelure très foncé, identique presque à sa couleur de peau. Un petit débardeur, le mec était la à la cool. Nous avions pratiquement la même dégaine tout les deux, habillé assez relax pour une situation qui n'offre en rien le fait d'être zen. Le stress allait soit avoir raison de nous, ou alors nous il donnerait la force pour surpasser notre assaillant. Poster à distance de mon compatriote, dix mettre entre nous, je posais la main sur le manche de mon parapluie, prêt à passer à l'action.

" Allons-y ! "

Hrp ;

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