Nezumi ne voyais que le dos de son coéquipier alors qu’ils bondissaient d’arbres en arbres. Ils avaient été envoyés à Mizu avec pour but de collecter de l’information sur un dénommé Seito. Malheureusement, jusqu’à présent, les résultats n’étaient pas très concluants : en 3 jours, ils n’avaient pas trouvé un semblant d’information. Leurs provisions s’épuisaient, ce qui rapprochait l’heure de leur retour au pays du feu. Haru Makoto, le coéquipier de Nezumi, détestait rentrer de mission les mains vides, il avait alors décidé de chasser pour permettre de rallonger leur séjour dans les îles de Mizu. Ils avaient pris en chasse une chevrette et son faon.

- Tu traines Nezumi! C’est à croire que tu ne veux pas avoir de souper!
- Ah! Fit Nezumi en roulant les yeux. C’est que tu es BEAUCOUP trop rapide pour moi.
- Allez, au lieu de trainer, dit moi où mes deux proies se trouvent maintenant.

Nezumi étouffa un grognement. Elle détestait Haru du plus profond de son être. Il était extrêmement capricieux, et elle n’arrivait pas à supporter ce genre de personne. Ils avaient trouvés plus tôt des baies comestibles, pouvant très certainement les nourrir pour un repas. Cependant, Haru était obstiné à vouloir manger de la viande. Nezumi trouvait l’idée totalement disgracieuse de sacrifier deux êtres vivants alors que la nature leur avait déjà offert de quoi se nourrir. De plus, sans méthode de conservation, ils n’allaient certainement pas arriver à manger toute cette viande avant qu’elle périsse.

- Tu sais Haru, ils commencent à être plutôt loin. Nous devrions peut-être cesser la traque.
- Je ne te donnais pas une option Nezumi, c’était un ordre.
- Continu dans la même direction alors. Mais augmente ta cadence si tu veux les rattraper…

A peine sa phrase terminée, la jeune femme mit son poids sur une branche malheureusement trop fragilisée, et celle-ci se fendit, l’entraînant dans sa chute. Nezumi aurait facilement pu se reprendre mais celle-ci décida de se laisser tomber. Elle cassa trois autres branches avant de s’écraser au sol. L’impact fut douloureux mais ne la blessa point. Haru s’arrêta immédiatement et sauta au sol rejoindre Nezumi. Les sourcils froncés, il la regardait en cachant difficilement son dégoût.

- Pas trop mal?
- Pas si terrible. Je n’ai que quelques égratignures. Je suis vraiment navrée, je crois avoir un petit coup de fatigue.

Nezumi ne se trouvait pas très convaincante, mais Haru adorait tant la voir comme misérable et faible qu’il allait probablement mordre à l’hameçon. Il soupira et regarda autour de lui en tapant du pied.

- J’ai peine à croire que nous partageons le même gênes.

Cela va de même pour moi, sale snob, se dit Nezumi avant de renchérir :

- Pardonne-moi. Je sais que je ne t’ai pas rendu la vie facile pendant cette mission.
- Peu importe, reste ici, repose toi et je reviendrais avec le souper.
- Bonne idée, tu peux encore les attraper si tu te dépêches.

Haru la quitta rapidement, donnant l’impression d’être content de se débarrasser d’un poids lourd. Nezumi resta assise un petit moment au sol. Elle savourait sa victoire. Elle avait réussi à se débarrasser d’Haru pour un court moment en l’envoyant sur une fausse piste et à l’éloigner de la chevrette et son faon. Après quelques minutes, elle se leva, retira quelques brindilles de ses cheveux et se mis à marcher en direction opposée. Ses sens la guidèrent vers une très petite clairière où ses protégés s’étaient arrêtés pour se reposer. La mère dormait d’un sommeil léger, aux aguets alors que le petit grignotait des baies. Nezumi garda ses distances un moment pour les observer, puis elle pénétra dans la clairière. Elle se mit à se demander s’il ne serait pas plus sage de faire fuir la petite famille… après tout, Haru n’allait pas tarder à revenir. Le petit faon avait remarqué Nezumi et s’était un peu approché par curiosité. La jeune shinobi s’adossa à un arbre et observait l’animal avec émerveillement. Elle ne pouvait pas résister. Quelques minutes de plus à regarder ce spectacle que lui offrait la nature ne pouvait pas lui faire de tort.

Un groupe d'hommes me chasse. Une escouade de Shinobie. Des hommes spécialisés dans la traque. Dirigé par la gamine sur mon dos. Ce petit de huit ans aveugle nommé Phénix est une experte en sensorialité. Je cours pour m'éloigner de là où j'ai laissé mon tout nouvel élève. Dans mes combats, je ne suis pas du genre à vraiment être minutieux. La plupart des combats dont je fais part finissent par un changement radical de la zone, détruite une maison voir un village ne me dérange pas mais quitte à éviter de terrasser un allier malencontreusement autant l'éviter. Ils me pourchassent depuis maintenant plus d'une heure. Dirigé par Phénix elle utilise son aura pour vérifier si tout le monde me suit belle et bien. Arrivé aux milieux de la forer, je m'arrête puis dit :

Tu me dis quand ils seront proches de nous.

Ok.

Voilà le plant. Tu en paralyseras un pendant que j'attaquerais.

Compris.

Cinq minutes passent et les hommes approchent. Phénix me fait signe et cela signifie qu'ils sont là. Surement déjà en train de me surveiller. Un petit sourire sur le recoin des lèvres. Je commence déjà à lever mes grandes mains. Les shinobis étonnés à première vue commencent à reculer d'un pas quand l'un des trois ne peut le faire. Pourquoi ? La petite l'avait sous son étreinte une étreinte télépathique lui permettant de l'immobiliser. Une immobilisation minime mais largement suffisante. Tapant un grand coup au sol je fais imploser le terrain. Plusieurs fissures de toute part se forment, les rochers volant de toute part prenant toutes les directions afin de toucher toutes personnes dans les lieux. Mon surnom était le golem de pierre et mes adversaire doivent surement deviner ce genre d'attaque. Les pierres volant rendent l'attaque aussi puissante que difficile à parer. Pourtant je peux voir les deux ayant leur entière capacité de mouvement arriver à parer avec l'un un bouclier de cristal pendant que l'autre utilise une sorte de fouet de foudre pour couper les roches venant sur lui.. Pour le troisième son cas ne fut pas aussi chanceux qu'aux deux autres. Ca paralysie l'empêchant d'agir vite il se prend littéralement l'attaque qui le met d'un seul coup hors combat. Cependant le combat ne pouvait se finir ainsi. Pendant qu'un attaque avec son fouet j'en profite pour user de deux techniques. L'une étant une armure nécrotique servant à me protéger tout en faisant croire que cette dernière m'avait atteint et l'autre étant une technique offensive. Un projectile bien particulier car étant d'une taille minime cette dernière est aussi le cadavre d'une mutation de plusieurs bêtes étant extrêmement vorace. Tendant la main le fouet me prenant mon bras je lâchais le projectile avant que la foudre ne fasse son effet. Lui et moi tenu par la même chose lui et moi ne pouvions vraiment bouger. Foudroyé. Du moins en apparence mon adversaire quant à lui se prenait mon projectile qui prit un malin plaisir à le manger de l'intérieur.

Ca foudre quant à lui ma laissé une apparence de brûlé sur la totalité de mon corps comme si la foudre l'avais totalement visité de long en large et cela surtout à l'endroit où le fouet touche mon bras laisse une marque bien visible. Cependant les dégâts que j'ai reçue n'était pas réel car mon armur avait absorbé le chakra de cette technique laissant simplement l'apparence à l'armure nécrotique que ses dernière m'ont atteint. Me laissant tomber en arrière Phénix tombant plus loin assommé par le choc. Le dernier s'avance vers moi. Me croyant mort ou du moins hors combat. Ce dernier vérifiait le pouls de ses deux compagnons. Un mort et l'autre gravement blessé. Ensuite s'approchant avec un Kunai à la main ce dernier s'abaisse devant moi en disant :

Enfoiré tu as tué un de mes meilleurs compagnons. Tu ne mérites pas de vivre.

De là je rouvre mes yeux lui tenant le bras où il tient son Kunai et lui donne un grand coup de poing dans la mâchoire cela tout en faisant attention à ne pas la lui arracher. Etourdit par le coup, je lui vole son arme puis tout en lui plantant lentement l'arme dans la carotide, je me mets à lui dire :

T'inquiète tu vas le rejoindre et cela avec le troisième luron.

Je ne compte pas laisser la joie à ses commanditaires de savoir que leur mission fut un échec. Cela me laissera du temps pour les prochains à tuer. Avançant vers Phénix. Je la secoue un peu mais cette dernière fut plutôt bien assommée. Rien de grave mais elle risque de dormir pendant un sacré temps. Merde je vais faire comment maintenant pour sortir de cette forée. Partant tuer le troisième homme. Ma main ayant maintenant séparé ça tête de son corps. J'entendais du bruit plus loin. Un quatrième homme ? Non Phénix me l'aurait dit. Sauf si ce dernier n'est pas un adversaire. Ou sinon un sensoriel plus puissant que Phénix. Cela est rare mais ça existe après tout. M'approchant du bruit, j'eux deux ras qui se mettent à me mordre la jambe.

Nezumi s’était tranquillement assoupie, adossée au tronc de l’arbre. Le petit faon en avait profité pour s’approcher et avait commencé à grignoter le bout de sa longue chevelure. Le calme de la forêt fut soudainement dérangé par un bruit assourdissant. La terre se mit à trembler, le faon se sauva avec sa mère alors que Nezumi tomba les fesses au sol. À moitié réveillée, elle entrouvrit les yeux juste à temps pour voir un gros rocher qui tombait rapidement du ciel et menaçait de l’écraser.

- Mais qu’est-ce que… ? MERDE!

Elle resta paralysée par la peur pendant un quart de seconde, ses yeux maintenant tout ronds, pupille rétrécie fixant le caillou, puis, elle roula au sol vers la gauche. Maintenant sur le dos, elle vit le rocher percuter l’arbre… et le fendre.

- Non… ne me dit pas que… NON!

La shinobi leva ses pieds et concentra un peu de chakra dans ceux-ci les préparant pour l’impact. L’arbre, de taille moyenne, s’abattit sur la plante de ses pieds. Les dents serrées, elle forçait pour tenter de le repousser pour éviter de se retrouver coincé sous celui-ci. Des feuilles et de l’écorce lui tombèrent sur le visage et des branches vinrent percer son linge, égratignant ses cuisses et ses flancs.

- Merde… tu avais 360 degrés pour tomber, tu choisis de me tomber dessu!

Dit Nezumi en grognant. Elle était encore jeune et peu expérimentée, non habituée à forcer autant. Ses jambes lui faisaient mal et commençaient à fléchir. Est-ce vraiment ce que tu veux qu’il t’arrive Nezumi? Tu veux faire honte à père et mère, et te faire coincer sous un arbre?

- Non… définitivement… ce n’est pas dans mon plan de match!


En utilisant un peu plus de chakra, et surtout sa détermination, Nezumi parvint à soulever assez l’arbre pour pouvoir se trainer un peu plus vers la gauche et ainsi éviter de se faire aplatir. Elle se remit rapidement debout et se mis à observer la clairière. D’où pouvait-bien provenir cette attaque? Elle était plus que certaine que ce rocher provenait d’un jutsu, mais elle n’était pas certaine si cette attaque était dirigée contre elle. Elle entendit des cris ainsi que d’autres bruits. C’était indéniable, il y avait un combat à quelques mètres de sa location. Cela pourrait-être Haru, se dit-elle. Elle se mit à courir vers la provenance des bruits. Lorsqu’elle arriva sur les lieux, elle se rendit bien vite compte qu’Haru n’y était pas. Nezumi décida de se cacher derrière un arbre et d’observer la fin du combat. Elle vu un grand homme de dos avec une fillette se battre contre trois shinobis. Un était déjà K-O, et les deux autres ne tardèrent pas à l’être. L’homme se faisant attaquer par les trois shinobis se fit gravement blesser par un jutsu d’élément raiton. Il tua l’utilisateur de raiton, puis s’écroula. Ah! Se dit-elle avec un humour noir, il aurait pu servir le même traitement à Haru, je crois que je cela ne m’aurai même pas dérangé. L’un des shinobis s’approcha pour l’achever avec un kunai, mais le grand homme se releva malgré ses blessures, balança un coup sur la mâchoire de son adversaire pour ensuite l’achever en lui tranchant la carotide. Nezumi fronçait les sourcils, elle revint au sérieux. Cela ne lui disait rien de bon. Était-il l’homme qu’elle et Haru cherchaient ? Elle se dit qu’elle se devait d’en savoir plus sur cet homme, mais perdit soudainement cet intérêt lorsqu’elle le vit rompre le cou du dernier survivant. Elle dégluti difficilement. J’ai un don pour me trouver aux mauvais endroits. Je dois me sortir d’ici. Elle fit volte-face pour retourner vers la clairière, mais quelque chose passa sur ses pieds. Déjà nerveuse, elle sursauta et trébucha. Deux petits rats se dirigeaient vers le colosse…. qui l’avait repéré.

Je me suis donc retrouvé face à un spécimen bien étrange. Je la regarde quand d'un coup deux ras viennent m'attaquer. Les ras ça me connaît j'en ai déjà vu dans divers recoin les plus sombres. Ses derniers ont plutôt une réaction étrange. Ses derniers me mordant, ils montrèrent une sorte de défense face à la menace que j'étais face à cette femme. Une chose qui m'interpelle. Je la regarde étonner puis dit :

Tu es seul ? Que viens-tu faire ici ? Attention je n'aime pas les mensonges.

S'en est effectivement vrais, s'il y a bien une chose dont je déteste, c'est bel et bien le mensonge. Ce qui est sûr c'est que l'assaut qui s'est produit à mon encontre n'est pas lié à elle. Elle n'avait rien d'une traqueuse. Du moins pas au niveau que cela demande pour me lancer un assaut. Je la regarde puis attends la réponse qui vient d'arriver. Avec ses mots elle me répond en disant qu'elle cherche des informations sur un dénommé Seito. Ce même homme ayant était venus à mes oreilles plusieurs fois ses derniers temps. Cependant une chose m'étonne. Elle se dit être seul, une femme qui d'après mon évaluation semble tout juste au niveau d'une Genin. Parcourir seul ses lieux est plutôt étonnant. Je la regarde puis dis :

Tu vois cette enfant. Elle est de type sensoriel et elle est plutôt douée dans son genre. Quand elle se réveillera, si je cette elle me dis sentir une autre présence et que je découvre que cette personne provient de Konoha je me ferais le plaisir de t'arracher la tête. Sinon que sais-tu de se dénommer Seito. Sais-tu que Konoha t'a envoyé à la mort en t'envoyant chercher des informations sur lui ? Seito est de loin hors de ta portée que se soit en matière de combat qu'en expérience. Enfin bref. Si t'es là c'est que tu connais les coins. Sors-moi d'ici alors. On m'attend dans un village isolé par cette forêt. C'est là notre destination.

Ben oui ma sensoriel et paumé et moi je marche à l'instinct. Si je ne sais pas où je vais-je suis ma bonne étoile en prenant une route au hasard. Bizarrement ça marche souvent mais je perds souvent beaucoup de temps en prenant des routes inutiles. Attrapant cette femme par le bras, je me mets à dire :

Tu tentes de fuir t'es morte. Tu m'attaques t'es morte. Si tu me joues un mauvais tour toi et toute personne autour serons morts.

Enlevant la peau nécrotique de mon corps je penchais un autre verrou psychologique à cette enfant. Laisser paraitre que j'étais touché était montrer une faiblesse enlever cette apparence et montrer que mon combat fut gagné sans le moindre signe de combat sur mon corps. Cela montre une puissance bien flagrante :

Mon nom est Kyu Goren. Tu es ?

Ça y est! Nezumi comprenait à présent pourquoi il était dit que les Makotos étaient éphémères. La collecte d’informations pouvait souvent se transformer en mission suicidaire lorsque les choses tournaient mal. Non seulement elle s’était fait prendre par Goren, un dangereux criminel, mais elle était seule, sans son coéquipier qui était censé la protéger puisqu’il était beaucoup plus expérimenté que celle-ci. Lorsque Goren lui demanda ce qu’elle faisait ici, elle bluffa un tantinet en omettant qu’elle était avec Haru. Elle se moquait bien des menaces de celui-ci. Elle savait pertinemment qu’il allait la tué une fois arrivé à sa destination, mensonges ou pas.

Malgré ses tremblements, elle parvint à se relever et il l’agrippa ferment par le bras. Elle sentait sa poigne de roc. Sa main était géante, et ses doigts pouvaient presque faire deux fois le tour de son membre. En dépit de sa peur, elle tenta de résister et de se défaire de son étreinte mais elle abandonna rapidement et le toisa du regard.

- Je suis Nezumi du clan Makoto. Ce n’est pas Konoha qui m’envoi ici mais bien les supérieurs de mon clan. Nous travaillons avant tout pour le propre intérêt de la famille.

Elle fit une courte pause. Les deux rats s’étaient faufilés dans ses vêtements et avaient remontés le long de son pantalon pour prendre place sur ses épaules. Étrange se dit Nezumi. Ils doivent être envoyés par Mokoto, cette ratte m’ayant supplié de faire un contrat. C’est trop tard. D’ici ce soir mon cadavre trainera dans la forêt et je servirais de nourriture aux rats à défaut de me battre à leurs côtés. Son attention revint sur Goren. Elle ne pouvait pas envisager de sa battre et il n’allait certainement pas lui laisser la chance de se sauver. De plus, même si elle y arrivait, la fillette qui l’accompagnait allait probablement l’aider à ce qu’il la retrouve. Elle allait coopérer, se disant qu’ainsi sa mort allait peut-être être moins douloureuse.

- Je crois savoir de quel village tu parles. Je ne connais pas son emplacement exact, mais il y a de cela quelques minutes, j’étais dans une clairière près d’un sentier. Je suis prête à parier que ce sentier peut mener à ce village.

Elle sentit un des deux rats lui mordiller l’oreille. Puis elle entendit un petit chuchotement.

-Psstt… Nezumi. Ce sentier ne mène pas au village. Il y a un autre de nos temples dans cette forêt. Si tu parviens à t’y rendre, tu pourras compléter le contrat avec Mokoto. Nous allons essayer de te sortir de là.

La shinobi ne semblait pas avoir d’autre espoir. Elle accepta de tenter le coup. Nezumi jeta un coup d’œil à la fillette qui était toujours sans connaissance. Elle s’inquiétait un peu de son état général.

- Que vas-tu faire de ta coéquipière?

Me voilà donc accompagné d'une femme comme guide. Cette dernière ne semble pas vraiment bavarde, autant dire que cela m'arrange. Je n'ai guerre envie de tergiverser. Donnant mon nom cette dernière en fit de même je regardais ça peau fine et sentait une petite prêtions comme si elle teste mon emprise. Cela est vain. Cependant je n'allais pas la tenir tout le long. Je ne reconnais pas la route cela était étrange si je faisais le tour inverse j'aurais quelque rappel. Des arbres difforment un rocher placé. Enfin dans une forêt on ne peut vraiment passer deux fois au même endroit. Cependant cela est étonnant. Après un certain temps de marche, je me remémore son nom de famille. Mokoto. Je ne sais plus vraiment ou j'ai entendu ce nom. Mes sens sont aux aguets, car je ne sais pas du moins je n'ai pas la certitude que ses trois hommes m'ayant attaquée sont les seuls sur ma piste. Mes sens à l'affut j'entendis des chuchotements. Après une brève concentration je me mets à entendre.

bss bsss bsss,,Nous allons essayer de te sortir de là.

Ce fut la seule chose que j'ai pu entendre. Regardant de plus prêt cette femme je me mets à voir une queux de ras sur mon champ de vision. Attrapant la femme pas la nuque je me mets à la retourner tout en vérifiant ce que cette queux cache. Je n'ai a peine pu voir une forme se faufiler sous ses vêtements. La garce :

« Ils vont tenter de te sortir de là . » Tes amis ras. Sache que je n'ai montré qu'une parcelle de ma force. Si je peux détruire sur un rayon d'un Kilomètre tout une zone boisée que pense-tu que quelque rat vont réussir à faire ?

La marche continue et cela sans ses vêtements du haut que j'arrachais d'une pression de main rendant ses vêtements qu'un lambeau de tissu. Cela juste pour éviter toute autre communication. Je lui laissai juste la chance de garder son soutien-gorge(George) oui car George adore être soutenus. La marche passe et nous tombions quelque part, comme tout sentier qui se respecte évidemment cependant cela n'a guère l'apparence d'un village mais plus celui d'un petit temple. Je regardais le temple puis m'étonne, cela me rappel quelque chose. Étonné au premier abord, je me mets à avoir un bref instant d'inattention. Un souvenir de ça, mais quand. Je ne me souviens plus pourtant je n'ai jamais mis les pieds à Mizu avant ses derniers temps. Quand d'un coup j'ai trouvé et je ne peux que penser une phrase dans ma tête.

Ouai je me souviens cette fameuse senseure. Cette salope de Suzu.

Nous sommes donc face à cette stèle qui déclenchait mes souvenirs. Je me rappelle de cette sensoriel contre qui j'avais presque perdue la vie. Dire que cette femme avait réussi à traverser les trancher sans se faire repérer. Puis cette mission. Celle servant simplement à protéger un bien de clan. Je me souviens maintenant. Voyant dans les dunes désertiques deux ou trois de ses bestioles à longue queux. Pour être franc au départ je me doutais de rien, je voulais simplement goûter le goût qu'avaient ses drôles de bestioles dont je n'avais jamais vu auparavant. C'est simplement en voyant cette femme que je comprends le manège. Cette dernière entrait dans cette fameuse stèle. Empoignant mon immense marteau que j'avais à l'époque j'avais directement compris en voyant le bandeau s'illuminer avec le ciel. Cette dernière cachée dans un sac celui-ci dépassait de la sacoche. Aucun Sunajin ne cacherait leur bandeau dans son propre pays sauf moi, mais en même temps tuer un ou deux de mes partenaires ne m'aurait pas gêné non plus. Un sourire aux lèvres cette guerre me donne des distractions dans tous les lieux possibles. C'est donc en courant dans l'entrée que je me mets à tenter de retrouver cette femme en vain cependant plongée dans le noir. Je m'avance tout en éclairant les lieux grâce à mon ancienne partenaire maniant le Katon. Une flamme au bout de sa main je pouvais voir un énorme parchemin posé par terre à côté d'une stèle. La guerre avait était déclenché de manière extrêmement précoce et donc les personnes devant régler des choses dans le camp adverse n'avaient pas pu le faire. Prenant le parchemin en devinant que cette femme avait fait surement le chemin jusqu'ici pour ça. Enfermant le parchemin dans un sceau j'entend un bruit en disant :

Rends-le-moi. Ce parchemin n'est pas à toi.

Ha ça s'est dommage car je ne compte pas le rendre.

Courant en direction de la sortie j'y arrivais sans problème. Quoi qu'il en soit j'avais un avantage certain de manière offensive dans ses lieux. Enfin si évidemment cette femme se dévoilait et je n'avais pas vraiment le moral pour la traquer. C'est donc au vu d'avoir un objet précieux pour elle que je me mets à sortir afin de l'attirer dehors. Une erreur dont je n'ai compris qu'en sortant. Dehors une horde de ras m'attendait. Je n'avais pas senti leur présence. Certain plus gros que d'autre j'étais réellement dans un piège. Après plusieurs efforts j'ai réussi à gagner le combat, mais pas sans plusieurs morsures de ras. Cette Femme à terre cette dernière m'avait épaté. Un tel sensoriel et réussi en même temps à avoir une capacité combative suffisante pour me faire face. S'en était plus qu'époustouflant. Après qu'elle m'a donné son nom elle me demande de reposer ce parchemin sur la stèle afin que le sceau permette à sa famille de poursuivre les invocations. Je l'écoute et avais qu'une hâte. Revoir une de ses progénitures. C'est donc ce que je fis. Poser le parchemin au lieu indiqué. Cela le fit disparaitre le sceau en un instant. Les jours suivirent et étonnamment le combat contre cette femme m'avait laissé des séquelles. Deux jours après mon sang étaient infectés par une bactérie inconnue par la médecine de Suna. Ma vie était mise encore plus à rude épreuve malgré qu'après un certain temps on a trouvé un remède, mais cela piqua plus encore mon intérêt envers ce clan. Devant la stèle au niveau de la porte se tenait un sac. Cette dernière fouilla devant et prit une carte dans le sac. Je la regarde me dire que j'avais ce que je voulais. Cependant cela était plutôt hilarant :

Tu rigoles j'espère. Tu m'as menti. Tu n'étais pas seul. Ce sac est la preuve que tu n'étais pas seul.

Regardant autour de moi je pris un léger sourire puis réponds :

J'ai épargné votre fameux parchemin d'invocation une fois. Pendant la grande guerre contre une dénommée Suzu Mikoto en respectant ça dernière volonté. Je vois que cela a apporté ses fruits.

J'allais de nouveau combattre une Mikoto, mais en plus de cela j'allais en avoir une étant tout juste au début de son entrainement je la regarde puis dit :

Va petite, part faire ce pacte donc ton clan et tellement fière.

Un sourire, mon niveau était bien plus puissance que la dernière fois. Le combat est lancé. Premier assaut et j'utilisais une vitesse proche de la téléportation pour me poser juste derrière mon adversaire. Posant un sceau sur son dos j'activais ce sceau qui le fit crier de toutes ses forces de souffrance. Recevoir de l'acide dans le corps est douloureux pour la plupart des hommes. Lui ne semble pas faire d'expression. Trainant le corps encore vivant devant la stèle certain rat semblent vouloir se sacrifier pour la bonne cause. Du moins pour une cause suicidaire.

Le cœur de Nezumi fait un bond alors qu'elle entend le nom de sa mère. À partir de ce moment, elle n'a qu'une envie : retourner auprès des rats du temple le plus vite possible pour compléter le contrat et ainsi avoir une chance de s'en sortir. Elle est déjà dans le temple qu'elle entend Haru se battre. Cela allait lui acheter du temps. Une fois sur place, elle repère rapidement le parchemin et accourt vers celui-ci, dérangeant des rats au passage. Mokoto, la petite ratte chocolat est couchée près de celui-ci, son patron respiratoire ne dit rien de bon.

- Nezumi... tu es là? Qui est ton ami? Que fais-tu en soutien-gorge avec lui?

Le teint de Nezumi devint encore une fois pourpre. Cette vermine pensait ce genre de connerie même aux portes de la mort?

- MOKOTO! Cesse de dire des conneries ce type souhaite me trucider! Allez dépêchons-nous un peu de compléter ce foutu contrat!
-Prends-moi!

Elle obéit immédiatement et souleva avec délicatesse le petit animal dans ses doigts pour ensuite la porter à la hauteur de son cœur. Elle sent aussitôt son chakra se transférer dans la chair de Mokoto. Dehors, elle entend les hurlements de son coéquipier. Ses mains tremblent tant qu'elle a peine a ouvrir le parchemin. Nezumi tente de se donner du courage : les cartes vont se brasser à nouveau. Cela me donne une petite chance de changer la mise et espérer de m'en sortir. Elle mordit son pouce au sang et apposa sa main au centre du parchemin.

-Rends-moi l'honneur d'accepter ce contrat, Mokoto.
-J'accepte ce pacte.

Tous les rats du temple prirent une pause. Des centaines de petits yeux noir et rouge la fixèrent pendant un instant, puis une partie grimpèrent sur son dos et ses épaules formant comme une cape sur ceux-ci. L'autre partie grouillait aux pieds de Nezumi. De plus, celle-ci venait d'acquérir une queue de rat qui faisait un peu plus long que sa taille. Mokoto, de retour sur pattes, s'était positionnée sur la tête de Nezumi.

- Nezumi! Écoute-moi! Je t'offre de t'aider en te fournissant ces deux techniques : tes rats doivent être utilisés comme offense à distance. Notre force individuelle est minime, mais en groupe, nous pouvons faire beaucoup de dégâts. En plus d'avoir une morsure désagréable, nous pouvons gruger plusieurs matériaux, dont la chair. Pour ce qui est de ta queue, tu l'utiliseras comme défense si l'ennemi parvient à s'approcher de toi. Mais fait attention, comme tout rongeur peut perdre sa queue, si tu perds la tienne, la technique se terminera.


Bon, songea Nezumi, Mokoto vient tout juste de m'expliquer que ces rats peuvent à plusieurs ronger de nombreux matériaux, et même dévorer la chair. De plus, ma queue est une sorte de bouclier. Parfait. J'arriverai peut-être à m'en sauver après tout. Nezumi avait peut-être un plan. Toute sa vie, elle s'était sentie comme inutile, incapable de trouver sa vocation. Ce pacte la vivifiait. Elle se sentait plus près de ses ancêtres et cela lui donnait une dernière dose d'espoir.

Nezumi se mit à attendre Goren. Elle plissa les yeux : sa vision c'était un peu brouillée. Elle était sur la pointe des pieds, prête à bondir en cas de projectile. À la fois concentrée et terrifiée, elle n'entendait que sa queue fouetter l'air et les battements de son cœur.

J'avais donc repéré mon adversaire, et cela fait s'en fut fini de lui. Attaquer de loin en envoyant des invocations aurait pu être ca chance de salut. Fuir en voyant l'incapacité qu'il aurait à me toucher en comprenant que plus le temps passe, plus le combat venait en ma faveur car là me laisser plus de temps pour le trouver. Un sourire large. Cela était trop tard. D'un pas je fus amené à une vitesse ne laissant aucunement voire mes mouvements, j'étais là. Tapie dans l'ombre juste derrière lui mon sceau posé il n'eux qu'une légère sensation qu'une personne l'ais frôlé. Une action qui l'alerte du danger tapi, derrière lui. Cependant le temps de ce retournée, le sceau posé sur son dos eux raison de lui. Une douleur traverse ses entrailles. Un acide colportant l'intérieur de son corps comme si cela n'avait guère d'existant. Une flaque apparue rapidement au sol sous les cris de douleur de cet homme. Celui si criait comme une gamine. Lui il avait moins d'expérience que cette dernière que j'avais combattue et moi j'en avais beaucoup plus qu'auparavant. Le combat fut moins intense que ce que j'attendais et j'en voulais plus. Je voulais aiguiser mon appétit de sang. Ses cris de douleur transperçaient le décor. L'agrippant par le crâne je l'attrapais et l'approchais des lieux cultes de leur clan. Les crie s'approchant ainsi de plus en plus près de ma prochaine victime. Lent son met pas comme l'agonie de mon adversaire. Les cries ce tue. L'homme que je tenais ne criait plus non pas par ce qu'il était mort ou par ce qu'il ne sentait plus la douleur non. Le sang qui s'écoule avec l'acide a formé des cailloux de sang ayant remonté dans son estomac pour venir boucher ses voies respiratoires ainsi que sa bouche. L'homme que j'ai entre mes mains n'est même plus capable de crier la douleur que je lui donne. Posant le corps encore vivant au sol je n'en avais guère fini avec lui. D'un signe incantatoire ma main se met ainsi à former deux petites bêtes immondes étant le mélange de mon Henka et celle de la nécromancie. Une création que je venais de fabriquer à l'instant. Posant un dans la bouche de ce dernier cette petite bête s'amusait dans le sang s'accumulé se mettant à plonger les dents fraîchement arraché de ce dernier dans cette gorge déjà bouché par du sang à moitié séché. Je posais l'autre sur le corps de l'homme et cette bestiole se mis à arracher les ongles de ce dernier. Le bruit sourd de crie estompe par le fait qu'il ne pouvait crier. Pendant que ses derniers s'amusaient sur le corps du futur défunt car croyez moi maintenant se dernier n'avais plus aucune chance d'être guérie. Moi je m'amusais à enfourner dans ce corps les parchemins que j'avais soigneusement gardé pour ce genre de cas festif. Cela de fait, je me remets à prendre le corps puis à dire à voix haute :

J'espère que tu es prête, car maintenant j'arrive.

Huilant d'alcool le corps de ce dernier, j'y mis le feu avant de balancer le corps à moitié mort de son partenaire dans le temple. Ce dernier projeté dans le temple le corps enflammé se mit à mettre de la lumière dans ce lieu obscure. Le corps bougeant de douleur ce dernier ne met pas longtemps à exploser de l'intérieur laissant montré un magnifique bain de son sang projeté dans toute la pièce mélanger avec mon fameux sang démoniaque ayant ses propriétés extrêmement acides.

hrp:

Déjà à ce moment, si Motoko n'avait pas été avec Nezumi, le combat serait terminé. Lorsque la descendante des Makoto vit le corps mutilé de son ex-coéquipier illuminer l'endroit, la peur paralysa son corps. Elle ne parvint pas à trouver une solution pour se protéger des projectiles acides. Plusieurs rats composant sa cape n'eurent autre choix que de devoir se sacrifier pour la cause. Ils se déplacèrent sur le corps de Nezumi pour protéger la belle peau de celle-ci des brûlures de l'acide. Ils y périrent.

- NEZUMI MAKOTO!

s'exclama la petite ratte.

- CE N'EST PAS CETTE VUE PEU ATTRAYANTE QUI METTERAIT UNE VRAIE MAKOTO INCAPPABLE DE COMBATTRE! RÉVEILLE-TOI!

Nezumi n'arrivait pas à faire un choix. Elle était prise entre écouter ce que lui dictait son cerveau ou écouter ce que lui dictait son coeur. Son cerveau ne voulait que se mettre à genoux et implorer Goren pour se faire épargner. Le coeur de Nezumi était fier, il refusait de poser un tel blasphème dans un des temples de sa famille. Il voulait essayer, se défendre jusqu'à la fin. En laissant cet évènement traumatisant derrière elle, elle révisa à nouveau ses options. Elle était prise au piège et le combat direct avec ce Shinobi de haut rang était non envisageable. Elle allait devoir le contourner. Ce qui semblait, simplement dit, tâche facile, était en fait une tâche colossale. Même si elle avait été en terrain ouvert, Nezumi ne se serait jamais placé volontairement dans le champ de vision de Goren pour commencer un combat. Alors, lui laisser le premier tour pris au piège comme elle était s'avérait être suicidaire. Elle allait devoir se créer une avance. Elle envoya une partie de ses rats restants sur le pilier à sa droite, leur ordonnant de gruger ses deux extrémités. Le reste de ses rats eut pour mission d'aller accueillir Goren. La jeune femme eut soudainement le vertige. Elle se sentit affaiblie et ses tempes la faisaient souffrir. Contrôler autant de rats à la fois était drainant pour une première fois. Elle se mit à maudire son sort. Pour la première fois, Nezumi qui avait jusqu'à maintenant relativement bien contrôlé ses sentiments, fit sentir son agressivité et une partie sombre de sa personnalité:

- Tu crois que cela vient de m'affecter? Cet homme me méprisait et je le détestais! Je n'aurais pas pu lui souhaiter une mort plus horrible! Je n'ai pas peur de mourir! DE TOUTES FAÇONS, J'AI TOUJOURS TROUVÉ QUE VIVRE DANS CE MONDE ÉTAIT UNE TORTURE, EN PARTICULIER À CAUSE DES SHINOBIS COMME TOI!

La ratte de Nezumi commençait sérieusement à s'inquiéter. Celle-ci était en train de succomber à la colère et de partager ses sentiments à l'ennemi. Si elle poursuivait ce chemin, elle allait perdre sa capacité pour raisonner et par la suite ses chances de survie.

La tension est palpable. Les nerfs comme le corps de cette femme ne tiendront guère très longtemps. Avançant tranquillement pas à pas dans le terrier du rat. Cette dernière m'attend patiemment. Du moins elle n'avait guère le choix piégé par sa propre impuissance. Le tremblement et les pulsions de son cœur raisonnent en moi comme une douce mélodie. Les morceaux de chair encore enflammés me donnent la vue perçante de ce spectacle. Les cadavres de rats s'entassent au sol. Comme quoi ma petite bombe humaine aura fait son effet. La peur de l'enfant prenant le dessus sur son corps j'entends encore cette perfide voie de ras guider l'enfant. Telle un Sensei dirigeant son élève la petite reprit un soupçon de confiance. Désolant. Pendant ce temps elle utilisait les ras comme combattant. Voyant clairement qu'un groupe ronge une poutre l'autre semble vouloir me retenir. Le piège se voit grossièrement, mais là l'objectif n'était surement pas de cacher les intentions qu'elle avait mais plus de me retenir ici le temps que la poutre tombe. Vaine tentative. Utilisant la même défense qu'auparavant pour les rats j'usais de mon chakra pour augmenter ma force. .Sans bouger un simple sourire sur mes lèvres montrant clairement que toute tentative est vaine, la Makoto perdante ses moyens se mettent à crier disant que la mort ne lui faisait pas peur. Voilà elle avait perdu tout espoir de vivre. Le pilier cède et comme dans son plant ce dernier tombe sur moi. Levant une main je prends stoppe net le morceau de pilier qui tombant sur moi. Le gardant d'une main le morceau de pilier j'utilisais cette même force pour balancer cette énorme masse de pierre sur mon adversaire. Cela tout en l'accompagnant d'une autre technique. Un loup nécrotique venant foncer tout droit sur mon adversaire. Suivant le projectile que je venais de faire le temps que cette dernière se débarrasse ou se prenne les dégâts je me mets au corps-à-corps tout en attrapant cette queue de ras qui lui avait poussé derrière elle.

Derrière elle je me mets à attraper se maudis rats qui lui dicte ses dires. L'empoignant dans ma main je la serre sous ma force décuplée. Le ras se met à disparaitre d'un pouf signifiant que ce dernier était une invocation. Le reste des rats finit ainsi aussi par disparaitre, comme si ses rats étaient liés à une technique directement liée à cette invocation. Elle est maintenant de nouveau seule. Même encore plus seul qu'au début de notre rencontre ou là elle avait un soutien psychologique et un espoir dans la nature, mais là elle n'avait plus rien. Absolument rien. Dix secondes passèrent. J'attendais de voir ça force psychologique tomber en lambeaux. Une torture non pas physique mais causant des dégâts bien plus importants. Le temps, le silence voilà ce qui en ce moment même ne lui faut pas. La réflexion qu'elle va avoir aura un côté néfaste à elle-même comme si elle se préparer à mourir. Le temps passe et au moment où elle devrait attendre le coup de grâce, au moment où le corps encore en vie de cette femme avait lui-même abandonné toute espoir je lâche son bras puis avance devant la sortit. Comme si de rien n'est, comme si cette femme n'existe pas ou n'est même pas digne de recevoir le coup de grâce.

Tu n'as pas peur de mourir, car tu trouves se monde à cause de Shinobi comme moi atroce? D'une je ne suis pas un Shinobi, du moins je n'en suis plus un. De deux, si tu trouves ce monde aussi pourri par la faute d'homme comme moi....

Je retourne juste mon regard en tournant ma tête. Un large sourire sadique est déployé sur mon visage :

Pourquoi tu ne tenterais pas cent fois, non mille fois de me tuer ? Si je suis l'horreur personnifier, L'incarnation de tout ce que ce monde à de mal en lui. Pourquoi tu n'as pas peur de mourir. Au contraire tu as peur. Tu es pétrifié de savoir ce que te réserve la mort. Ce que ce monde deviendrait si des hommes comme moi reste vivant, ce que cela peut bien te réserver. Donc vie. Suis-moi je n'attins rais pas à ta vie. Suis ne met pas en suivant mes dessins tout en cherchant à trouver une faille pour me tuer. Pendant le sommeil, quand je serais au plus bas de mon énergie. Tente les choses les plus lâches pour ôter la vie de l'homme qui a tué ton compagnon et Suzu. Fait en sort que ma vie ne puisse être éteinte que pas tes crocs et que par les tiennes.

Vivre pour tenter de me tuer. Donner cette lueur de vie et cet objectif qui en devient maintenant ça seule raison de vivre. Une lumière étant venue quand cette dernière avait abandonné toute raison. Là ou ca folie et son âme avais perdue toute étincelle. Maintenant il ne restait plus qu'à prendre congé. Quitter sans l'obliger à quoi que ce soit lui donne l'illusion que je lui laisse le choix alors que psychologiquement elle était déjà prise au piège.