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Natsuno Tsubaki
Natsuno Tsubaki
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Message(#) Sujet: [Solo] Promotion [Solo] Promotion EmptySam 8 Nov 2014 - 0:59



Il était à l’heure de la nuit ce que le coucher du soleil annonçait du conflit immémorial des deux jumeaux divins tant est qu’à ce point de chute du temps se dressa sans crier nulle gare le frisson froid qui lui glaça lentement le dos, remontant quelque peu jusqu’à la base du crâne avant d’emprunter le chemin tortueux de ses épaules, longeant les bras tels les collines imprenables sur lesquelles se bâtissaient autrefois les forts, et arrivant dans les creux des membres extérieurs, qui ne purent, devant l’intrusion sensorielle qui s’invitait sans gêne dans l’organisme, que convulser, comme dans un état de transe, alors que le flux électrique changeait de bord pour rejoindre la basse hémisphère qui présenta autrement plus de résistance par la poussée qu’elle dût maintes fois et constamment exercer, tant sur les doux chemins tracés par Dame Nature que par les vallées montagneuses qui ne leur laissait que nul répit dans les temps de marche et de course à laquelle la jeune femme s’abandonnait pour quelque motif, course qu’entreprenait cette fois une longue et désagréable impulsion avant de prendre compte de son ultime destination, imparable terminus où la chute ne se retrouvait que plus brutale si on l’atteignait avec quantité de force telle qu’on la vit amassée ici.

Comme à son accoutumée des derniers temps, la jeune fille se trouvait en l’occurrence dans la salle de méditation cristalline, aux murs de mille couleurs, alors qu’un tremblement fort gênant, interrompant la rigoureuse pose qu’elle s’imposait dans sa tâche venue, la fit tomber si lourdement qu’un rocher dont la grotte qu’elle habitait eut un jour l’être constitué. Qu’aurait elle agit de sorte de sa pleine conscience, si toutefois elle put sortir en pareille situation autre chose qu’une expression peu humaine d’ouïe alors qu’à l’instant de ces faits, elle n’eut d’autre réaction que le mutisme le plus total. Cette image persistante dans cette unique variété de paix sortit de son monde alors qu’un autre phénomène eut peu fort à faire afin de s’attirer l’attention de la kunoichi. Alors que le fil de son mental s’infiltrait dans les failles d’une psyché affaiblie par l’interruption importune que son hôtesse souffrit plus tôt, la Serei ne s’enchanta que par la réflexion déjà fort florissante de sa jeune protégée, dont les méninges tournaient déjà de plein régime afin d’en déterminer la cause exacte.

Il ne fut guère aisé de ne pas ressentir dans son subconscient le plus clair et profond à la fois que son esprit lui dictait les dures lois qui semblaient s’être mises d’accord indicible pour obtenir du sort lui-même quelques imprévisibles faveurs, à la clarté même de l’ordre général, qui ne semblait pour le moins plus troublé par ces événements que ne l’était-il devant quelques occasion classique et sans histoire d’un sujet commun et d’un peu grand intérêt. Mais nul ne saurait ignorer ce que son âme dicte à ses propres pensées lorsque le cœur a tourné le dos à son instinct et qu’il se met à rêver des délicieux chemins profitant à haut rangs de grandir les siens. Ainsi que son roi ne perdit pas un sou de son arrangement et de sa dévotion, alors que la roue invalidée du destin cherchait toujours quelque solution de pause dans ce désordre général, qui tentait dans la masse sombre et chaotique des éléments quelque envie pervertie, celui-ci décida de l’éclairer de quelques sens et équilibres en ces lieux et places que prenait chaque part son esprit lorsqu’il encontrait de son gré ou de son opposition la force supérieure qui lui sommait entretien et logis. Alors, dans l’éclaircissement d’un éclair révélateur des membres cachés par la lumière elle-même, Tsubaki déclara, voix haute dans la pièce, n’ayant su que faire, s’il y avait eu quelque cure de présence, de quelconques importuns qui l’auraient assistée :

« Une promotion. »

Cette phrase unique, d’une richesse à l’équilibre peu scrupuleux mais qui tentait encore et toujours quelque percée dans le domaine tant attendu du sort général, était à la fois d’une pauvreté pour celui qui sait la voir de deux axes, mais aussi, pour l’un des deux, une information vitale quant aux moments qui se jouaient alors dans les confins des terres. Alors que dans son esprit se dressait la représentation artistique de la pièce substituée, le creux de son conscient renvoya quelque information à ce qui déclencha une nouvelle transe méditative, plongeant son esprit dans une simulation mentale de sa propre réalité utopique, cherchant en son être et sein quelque sérénité où fléchir de cette révélation. Alors que dans les plaines verdoyantes qu’elle avait elle-même dessinées dans son passé et dans son cœur, les choses ne pouvaient que déchanter pour ne plus sombrer que dans l’incompréhension la plus croissante, cherchant quelque moyen d’échapper par la fin à l’amabilité générale. Seul le spectre semblait quelque chose en la matière, mais ne put se laisser approcher qu’après que la jeune fille eut enfin percé de quel table il en découlait réellement, avant de déclarer à ses propos la vérité telle qu’elle lui apparaissait en tant que créature épurée. Le troisième règne n’avait pas pris de forme juste avant l’avènement du millénaire. A présent que la chaîne de feu était rompue avant l’heure de sa propre mort, il allait falloir changer, tant est plus, de chant d’attaque, alors que la mélodie de l’acte ne cessait plus que de se mélanger aux airs mélancoliques de la perte. Alors, parmi le maelstrom de ces couleurs et choix ne put s’exposer qu’une chose par la bouche, si tant est que l’on puisse la nommer ainsi, de l’enfant, la fille de la Terre qui ne se semblait en ce point que plus commune avec l’habitante terrestre :

« La reine n’est plus, chassant de ses ténèbres le désarroi de nos lignes déchaînées, et dont le fier et valeureux put emprunter le cadeau qu’on lui promit jadis. Le temps n’est plus qu’un libre fil alors que ta nuit va tomber, mon enfant. »
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