Même si servir Konoha était un travail à temps plein, je pouvais m'accorder une journée de congé afin de me reposer et prendre du temps pour moi. Quand je parlais de prendre du temps pour moi, ce n'était pas de m'entrainer aux arts martiaux ou à améliorer ma maitrise de la cendre, mais bel et bien relaxer. En cette superbe journée ensoleillée, suite à une série de missions pour le compte de Konoha, j'avais pris la décision d'aller prendre une bonne marche en forêt, y respirer l'air frais et visiter des lieux que j'avais mainte fois parcourue sans m'en fatiguer. Les forêts du pays du feu étaient reconnues comme étant peuplé d'une variété d'animaux sauvage et d'une beauté rare, mais aussi elle possédait l'une des forêts les plus dangereuses du monde, la forêt de la mort. La beauté de la nature m’émerveillait au plus haut point, mais ce n’était rien comparé aux femmes.
En parlant de femme, une jolie jeune fille marchait en sens inverse dans ma direction, en l'a voyant, le seul mot qui me venait à l'esprit était magnifique. D'habitude, je suis quelqu'un de très à l'aise à parler aux femmes, mais cette fois-ci, j'avais peur de l'aborder, je ne saurais dire pourquoi, mais sa beauté enchanteresse m'en empêchait. C'est courbe était très bien garnie et je n'avais pas à m'en plaindre sur ce côté, elle m'avait l'air un peu plus jeune que moi, mais ça n'enlevait rien à son petit air intellectuel, en plein mon genre de femme. Ces cheveux roux pâles virevoltaient à rythme de ces pas, cheveux de cette couleur qui faisait en sorte que j'étais encore plus attiré par elle. Je n'avais plus le choix, je me devais de faire les premiers pas.
- Sa...sal.... Salut ! Dis-je en devenant tout rouge.
Et merde, j'avais bégayé et maintenant, je passais pour un con, je me devais de rattraper au plus vite sinon elle allait croire que j'étais l'un de ses minables qui n'arrivait pas à parler normalement.
- Je suis Yahiko, je prenais une marche dans la forêt et je vous ai aperçus qui marchaient au loin et je n'avais qu'une seule envie et c'était de venir vous parler.
Je dois avouer que ma phrase d'approche laissait plutôt à désirer, mais je ne la connaissais presque pas et je souhaitais qu'elle n'est pas eue vent de ma réputation qui était d'avoir des relations de courte durée avec les autres femmes du village. Maintenant, je n’attendais plus que sa réaction.