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  Les tempérances des maux. [Raito]

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Fukuo Ban
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Message(#) Sujet: Les tempérances des maux. [Raito]  Les tempérances des maux.  [Raito] EmptyDim 29 Déc 2013 - 18:19


    Il me semble parfois que la vie est comme un jeu d'échec. Elle n'est pas forcément très drôle. Mais chacune de nos pensées, chacun de nos actes assure être le facteur d'un autre fait qui en découle directement. Et aujourd'hui, plus que d'habitude, j'en faisais l'expérience, mes doigts vivifiés de ce pourpre qui tâchait mes gants en latex.

    « Chute de la pression artérielle. »

    Le sang n'évoluait plus dans son circuit habituel, et subissait un blocage au niveau de l'aorte. Les doigts s'activaient pourtant, de manière à ce qu'il n'y ait ni caillots ni lésion, mais indiscutablement, le sang bloquait, et le patient était en train de faire une sténose. Le masque collant sur mes lèvres, la respiration bloquée sur une concentration que j’affûtais sur chacune des réalisation de mes doigts, j'écoutais le sifflement d'un encéphalogramme qui m'apprenait la régularité trop insistante d'un cœur qui ne battait plus assez. Échange de scalpels, et cessation du circuit, on plaça les écarteurs, au niveau des côtes flottantes, de manière à dégager la myocarde. Kurosake, dans un murmure fébrile, indiqua qu'il s'occupait de la réoxygénation du cerveau, et deux types de l'équipe lui vinrent en aide, utilisant les câbles de ventilation qu'ils ôtèrent à l'utilisation musculaire, pour les transférer sur le cortex. Moi, je m'occupais du cœur, et de cette aorte qui refusait de délivrer le sang.
    Mes prunelles rivées sur le morceau de muscle, mes doigts palpaient ce que mes yeux ne pouvaient apercevoir. Je voyais les formes dentelées des chaires qui s'offraient à moi, mais dans l'urgence d'une panique silencieuse et fébrile : des médecins qui bougeaient tout autour du corps de ce patient, j'avais la sensation d'être aveugle.

    « J'ai besoin... »

    Un murmure esseulé. Ma respiration bloquée sous mon dos courbée vers l'avant. Je ne voulais pas regarder le visage de celui qui était allongé sous mes paumes. Je ne le laisserais pas mourir ; je me l'étais interdit. Fracas des doigts dans la caisse à outils chirurgicaux.

    « D'une pince Ochsner. »

    Glissement des phalanges ; on me mit l'outil entre les doigts, et sans même changer de position, penché au dessus de cette poitrine ouverte sur une vie que je réclamais, je fouillais et trouvais. Une callosité au niveau du grand sinus aortile. Une callosité originelle, née probablement avec son porteur. Une déficience cardiaque, en somme. Une bombe à retardement.
    Ma pince se glissa sous les rebords d'une langue rougie par le passage du sang, soulevant millimètre après millimètre l'excroissance aliénant la circulation de mon patient, et je tendais la main vers l'arrière. Scalpel. Le cardiogramme se mit à cracher une résonance trop égale, trop régulière, et ma mâchoire se crispa. J'avais chaud, j'avais mal au dos, et du mal à respirer. Et j'étais en train de perdre mon patient. Ne relève pas les yeux. Ne regarde pas l'écran. Les dents enfoncées dans ma langue, mon scalpel s'approcha doucement de l'accroissement aortique qui déformait le flux. Dans un ralenti extrême, une précision morbide, je découpais.
    Je découpais, l'esprit figé dans la contemplation de mon mouvement.

    Et puis ce fut fini. Aorte nettoyée.
    J'expirais.

    Le cœur ne repartait cependant pas. Je reculais, recposant pinces et scalpels sur la plaque stérile des outils chirurgicaux et hélais Ojiin de venir m'aider, pendant que l'équipe autour de nous s'écartait, de manière à nous faire de la place. Malaxant nos chakra dans une élévation constante de la température de nos mains, nous vînmes appliquer nos mains sur la myocarde devenue immobile. Les yeux fixés sur le cardiogramme, mon masque de protection collant contre ma mâchoire avec la sueur, le dos raidi par un frisson d'angoisse, j'observais. Première décharge. 1. Le patient fut soulevé par la charge électrique. Pas de réponse. Seconde décharge. Pas de réponse. Troisième décharge. Pas de réponse. On recommence, murmura Ojiin. Décharge, 1. 2. 3. Encore. 1. 2. Le cardiogramme repartit.

    « Assurez le maintien cardiaque. Surveillez la pression artérielle. »

    Je m'écartais, laissant la place à d'autres médecins. Le patient n'était plus en danger. J'allais récupérer le matériel, m'assurant que la poitrine serait refermée avec soin. On nettoya sa peau, on implanta des sédatifs nécessaires et d'autres anxiolytiques qui éviteraient toutes douleurs au réveil, et l'on écarta le matériel d'urgence. Et finalement, on le déplaça, pour aller le transférer dans une chambre d'hôpital, dans lequel il sera réveillé sans souci, soigné, et en vie.

    Et moi, je tombais sur un banc, les genoux sciés par la prise de conscience de cette fatigue qui me lacérait le crâne, le corps, l'esprit. La respiration devenue sifflante, j'ôtais mes lunettes, mon masque de protection, et mes gants, que je jetais à la poubelle, juste à côté du petit banc, avant de m'affaler sur le cuir confortable d'une assise que trop méritée.


    (…)

    « On te demande. »

    Le soignant en chef avait murmuré, glissant près de moi comme une ombre, sans me jeter un seul regard. Ses mots avaient flirté avec l'imperceptible, et sans trahir la moindre considération pour l'acte, j'avais refermé mes doigts sur le rouleau de mission que l'on me destinait. Autour de moi, la valse inaltérée des soigneurs, soignants, médecins et ninjas en tous genre. Univers blanc, foule stérile, je me retrouvais comme un poisson au milieu de cet océan médical. Et pourtant. Et pourtant, on m'y dénichait toujours.

    M'écartant en silence, cassant le rythme de ces mouvements qui m'aurait plongé dans ce flot, j'allais rejoindre le recoin d'un mur, pour m'y adosser, et ouvrir le parchemin. L'opération de ce matin s'étant bien déroulée, je savais qu'elle avait filtrée dans les données de l'hôpital, et j'espérais que ce rouleau ne soit pas en relation avec celle-ci. Trop fatigué, peut-être. Je n'étais pas motivé à devoir aller expliquer comment est-ce que j'avais sauvé un homme. Cela ne s'expliquait pas. Ce n'était pas naturel ; c'était seulement ce que j'avais à faire. Et cet orgueil mal placé rongeait dans ma tête cette envie sordide de me plaindre de tout ceux qui admiraient les médecins.

    Un ordre de mission.

    Les prunelles devenues glacées sur les mots imprimés, je lisais et relisais le parchemin, m'assurant d'avoir bien compris. Aller soigner à domicile un ninja blessé. Pas de détails particuliers, juste une adresse, et une demande de discrétion. Hayashi Raito. Pas d'informations spécifiques sur lui. Je ré-enroulais le parchemin, les lèvres pincées sur une expression mauvaise. Quelle sorte de ninja était-ce là ? Pourquoi n'y avait-il pas plus d'informations à son sujet ? Ne serait-ce même que sur le type de blessure que j'avais à soigner ? Je rangeais le parchemin dans ma ceinture, et après un coup d'oeil sur le flot des soignants, je sortais, empruntant le passage plus direct des airs : ouvrant une fenêtre, et y bondissant vers l'extérieur.

    (…)

    Arrivé à l'adresse indiqué, j'élevais les yeux sur la façade du bâtiments. Toujours pas d'indice sur quel type de personne pouvait être ce Raito. Je vins frapper contre la porte, m'annonçant.
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Hayashi Raito
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Message(#) Sujet: Re: Les tempérances des maux. [Raito]  Les tempérances des maux.  [Raito] EmptyLun 30 Déc 2013 - 17:16

    Raito avait demandé la plus grande discrétion pour ce qui allait suivre. Il avait épluché les dossiers des médecins de Konoha. Etait-ce légal ? Pas forcément pour un ninja lambda, il avait usé de son influence d'ANBU pour s'approprier les fichiers de l'hôpital. Dans tous les fichiers qu'il avait étudié, il recherchait des débutants. Mettre dans la confidence quelqu'un de trop expérimenté et ayant un poids trop important pouvait se révéler problématique. Un dossier avait attiré l'oeil du jeune Hayashi : Fukuo Ban. Un médecin qui présentait des lacunes au combat, autant dire un médecin inutile sur le terrain. C'est justement ça qui était intéressant. Le jeune Fukuo devait savoir que son manque de maitrise dans l'art du combat était un aspect non acceptable dans le monde dans lequel il vivait. Néanmoins, il semblait avoir des dispositions pour tout ce qui était médical. S'il arrivait à combler son incapacité à être un bon combattant, il pouvait devenir un ninja redoutable. D'après ce qui était écrit dans le dossier, Ban avait tout appris de sa grand-mère. Lui aussi était sans parents. Toutes les jeunes pousses que Raito avait approché pour intégrer son équipe avaient perdu, elles aussi, leurs parents. Est-ce que cela voulait dire que le jeune Fukuo allait intégrer l'équipe de l'Hayashi ? Rien de sûr, il fallait déjà que le jônin le jauge. Mais une chose était certaine, après aujourd'hui, Raito ne pourrait plus laisser Ban sans surveillance, il devrait s'assurer qu'il ne dise pas ce qu'il verrait chez le jeune homme. Mais deux choses protégeaient le blondinet : le secret professionnel, et si jamais le jeune médecin n'avait pas cette conscience professionnelle, on accordait généralement peu d'importances aux paroles des débutants. Etait-ce pour ça que Raito l'avait choisi ? En partie, oui.

    On frappa à la porte. C'était lui. Raito parla assez fort pour que Ban puisse l'entendre, il l'autorisait à entrer. L'appartement était plongé dans le noir. L'Hayashi assit par terre, à côté du canapé. Sa respiration était saccadée. Il était dans cet état depuis presque deux jours. Il était sale et mal rasé, mais ce n'était pas ce qui le préoccupait dans l'immédiat, même si d'habitude il faisait toujours attention à être présentable. Il regarda le jeune Fukuo entrer. Une silhouette assez frêle. Raito se mit à sourire, ce personnage semblait intéressant. L'avoir comme élève serait un bon défi pour le jônin. Il toisa le genin du regard.

    - Ban ce qu'on va faire aujourd'hui, tu le garderas pour toi. Je ne te dirai pas comment cela est arrivé, seulement, j'ai comme tu peux le voir, un kunai bien enfoncé au niveau du petit oblique. J'ai réussi à retirer le kunai, sauf qu'un partie de la lame s'est cassée. Et je n'arrive pas à arrêter le sang de couler. J'ai étudié ton cas Ban, je sais ce dont tu as besoin pour devenir un ninja accompli, et tu as les qualités pour. Soigne moi, et je te prends dans mon équipe.

    Raito essaya de lui lancer un sourire, mais la douleur devenait de plus en plus difficile à ignorer.


[Désolé pour le post de mauvaise qualité]
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Message(#) Sujet: Re: Les tempérances des maux. [Raito]  Les tempérances des maux.  [Raito] EmptyLun 30 Déc 2013 - 18:25

    On me permit de rentrer. Une voix d'homme, à sa masculinité assurée. Un homme, donc. Un shinobi. Je rentrais en silence, mes prunelles s'accaparant les détails qui s'offraient le luxe de s'exhiber devant mes yeux. Formes, couleurs, textures, odeurs, tous ces indices d'une personnalité, d'un être, d'une existence, qui s'offraient, comme les prémices d'un organisme gigantesque, disséqué et contemplé de l'intérieur. Un salon froid, par exemple, dans lequel régnait cette odeur de sueur et de poussière. Une odeur de corps qui vit mais qui ne bouge pas assez.

    Mes prunelles s'attardèrent sur la silhouette de cet homme, qui adossé contre le rempart rembourré de coussin de son canapé, me fixait en silence, dans une posture qui témoignait de la douleur. Je m'approchais à pas lent, le nez retroussé sous la senteur trop insistante de la poussière, et vint m'agenouiller devant lui. Il n'avait pas l'air tellement plus vieux que moi, mais ses yeux étaient ceux des hommes qui ont déjà vus beaucoup de choses. Sous sa crinière blonde, on devinait ce corps encore agile, trop vif, peut-être. Une bonne condition physique, et une légèreté assurée. Mais il ne s'était pas entretenu, et sentait aussi bien la transpiration que le sang. Ainsi commençaient les pistes d'une étude de corps. Où était-il blessé ? Mes yeux balayèrent la surface de sa morphologie, cherchant à deviner le positionnement de la blessure.

    « - Ban ce qu'on va faire aujourd'hui, tu le garderas pour toi. Je ne te dirai pas comment cela est arrivé, seulement, j'ai comme tu peux le voir, un kunai bien enfoncé au niveau du petit oblique. J'ai réussi à retirer le kunai, sauf qu'un partie de la lame s'est cassée. Et je n'arrive pas à arrêter le sang de couler. J'ai étudié ton cas Ban, je sais ce dont tu as besoin pour devenir un ninja accompli, et tu as les qualités pour. Soigne moi, et je te prends dans mon équipe. »

    Je le fixais, silencieux.
    Le petit oblique était un muscle abdominaux, rattaché directement à l'arcade fémorale, et les fibres étaient projetées en formant des arcs doux qui rejoignaient la crête iliaque. En soi, cela ne représentait pas une intervention compliqué, lorsque le patient était sous anesthésie totale. Cependant, je ne pouvais pas, avec le lieu et les produits que j'avais, ainsi que le peu d'accompagnement, me permettre d'effectuer un endormissement total du corps. J'allais avoir à effectuer une opération qui nécessiterait une tolérance certaine à la douleur de la part de l'Hayashi. J'inspirais profondément. Il était temps.

    « Allongez-vous sur le sol, tendez les bras derrière votre tête, comme si vous vous étiriez. »

    Je déposais mon sac à côté de moi, et l'ouvrais en deux, pour en sortir les affaires dont j'aurais besoin. Ma boite de gants stérilisés, le produit pour me laver les mains, le scalpel, les pinces, et les tampons d'ouate. Saisissant une paire de ciseau, dédaignant l'importance qu'il ait pu accorder à son vêtement, je découpais le tissus que j'arrachais à sa poitrine, pour le jeter un peu plus loin derrière le canapé. Je ne voulais pas qu'il bouge ; et la mise en tension de son muscle étiré devait être le seul effort qu'il devait effectuer à partir de maintenant. Je déposais le ciseau dans mon sac, et vérifiant mon matériel, me lavais les mains avec le produit, avant d'enfiler les gants stérilisés.

    « Je vais anesthésier la partie abdominale de votre corps, mais il faut que vous continuiez à vous étirer. Vous relâcherez quand je vous le dirais, et pas avant. »

    Saisissant une aiguille au réservoir remplie de sédatifs, je piquais directement dans les fibres du petit oblique, et laissais quelques seconde de suspend, de manière à ce que le produit agisse. Puis je rangeais l'aiguille. Le nez froncé sur le port de mes lunettes, je me penchais en avant, étudiant la forme de la blessure. La lame avait déformé les fibres musculaires, déchirant les tissus à la structure étalée sur la forme d'une roue. Dans une palpation insistante, je surveillais le maintien des fibres au niveau des côtes. Il y avait une large déchirure du tissus sous la côte K12, mais elle était superficielle, et je serais en mesure de retaper ce niveau-là pour réorganiser la structure des cellules. Mes doigts glissèrent plus bas sur le ventre.

    « Ne bougez pas. Continuez à étirer. »

    Je me glissais par dessus lui, bloquant son bassin avec mes jambes, pour une fixation de l'axe dosal. Abaissant le revers de son pantalon, pour dénuder l'aine, mes doigts vinrent presser sur le pli inguinal. La moitié latérale du pli inguinal prenait naissance au plus profond du muscle, et je ne ressentais pas sous mes doigts le moindre défaut de la structure du pli. Bien. Mes doigts se nimbèrent immédiatement du halo vert, et je vins presser contre la blessure. Qu'il ait retiré le kunai était une bonne chose, et qu'il ait réussi à déterminer la source de sa principale blessure aussi. Mais je craignais qu'il ne reste des éclats qui se fondent dans les épaisseurs des fibres, car cela représenterait une complication au niveau des soins. Nettoyant la plaie en silence, j'envisageais l'idée d'appartenir à un groupe de ninja. Pressant les chairs avec le tampon d'ouate, imbibé d'alcool, je ne relevais pas les yeux sur lui, et continuant à maintenir son bassin avec mes jambes repliées, mes genoux posés sur le sol, je me demandais quelle sorte de comportement je pourrais avoir si la vie de mes camarades reposaient sur ma capacité à tuer un adversaire face à moi.

    Le tampon d'ouate roula sur le sol, tandis que mes doigts se déposaient sur la blessure, pour qu'avec le stimuli du chakra, je fis réagir le bout de métal. Enfoncé trop profondément, je ne pouvais pas me permettre de le retirer avec l'aide du chakra, sans quoi j'abimerais trop les chairs. Je cessais de malaxer le chakra, pour m'emparer de ma pince.

    « Continuez à étirer. »

    Je voyais les fibres musculaires frémir sous son effort. Ma pince, avec lenteur et minutie, se glissa à l'intérieur de lui, plongeant profondément dans les ramparts sanglants de son muscle. Les prunelles fendues sous la concentration, du bout des doigts, ma pince saisit l'éclat de métal enfoncé. Je le retirais avec une lenteur calculée.

    « Vous pouvez relâcher. Je l'ai. »
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