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 Mieux vaut prévenir que guérir [Solo - Acquisition PS2]

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Nukenin
Otsutsuki K. Nikkou
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Message(#) Sujet: Mieux vaut prévenir que guérir [Solo - Acquisition PS2] Mieux vaut prévenir que guérir [Solo - Acquisition PS2] EmptyLun 22 Avr 2013 - 2:37

Voilà une mission des unités spéciales comme il les aimaient. Du combat palpitant et des phases de réflexion pour établir une stratégie. Le Renard s’était vu attribuer une mission en tant qu’ANBU. Il devait donc porter son masque et l’objectif était de défendre un village à la frontière du pays qui se faisait attaquer sans cesse par des mercenaires accompagnés de shinobis. Du menu fretin certes mais leur nombre obligeaient le Konohajin à élaborer des stratagèmes diverses pour des attaques dévastatrices et augmenter les pertes chez eux. Même si ce n’était pas aussi simple et qu’il y était depuis quelques jours, c’était une mission plaisante. Les combats apportaient leur lot de douleur et de difficulté mais sans non plus vous pousser à l’épuisement. En plus, les habitants du village s’étaient organisés pour installer et héberger au mieux leur défenseur. Daiki était gêné de recevoir autant d’attention et de considération pour un simple travail qu’il devait mener. Il le faisait par sens du devoir certes mais jamais il n’aurait pensé recevoir autant d’éloges. Un simple repas chaud de temps à autre lui aurait parfaitement convenu.

Mais la générosité de ces personnes pour les actes meurtriers qu’il commettait en leur nom semblait ne pas avoir de limite. Au départ on s’arrangeait pour lui trouver un toit. Puis les jours passaient et la générosité évolua au point que les gens se l’arrachaient pour l’accueillir sous leur toit. Le nombre de pères et de mère qui étaient venus le voir après qu’il ait repoussé des assauts des brigands pour proposer la main de leur fille. Le beau Daiki avait certes du succès auprès des femmes mais il avait toujours sa tenue des unités spéciales sur lui. Il était donc masqué. Très dur de le juger sur son physique du coup. Remarque c’était assez étrange dans ce cas de vouloir confier sa fille à un parfait étranger qui étripait des gens pour eux. Ça faisait un peu glauque comme gendre. Mais le Renard n’était pas là pour ça et il gardait son anonymat comme sa condition d’ANBU l’exigeait. Il devait être pleinement concentré sur sa mission même si elle durait depuis plusieurs jours. En tout cas, il n’avait pas eu à combattre aujourd’hui. Les brigands commençaient à se fatiguer de leurs assauts. L’Hayashi avait eu le soutien d’autres de ses camarades de l’ANBU mais ces derniers l’avaient laissé en arrière pour surveiller les alentours.

Il était donc sur le toit d’une des maisons en train de s’éclairer grâce à une flamme qu’il venait de former dans sa paume grâce à son chakra. Il s’éclairait et se réchauffait grâce à elle pour s’occuper dans la nuit. C’était assez barbant au final comme il n’y avait aucun fou pour venir se risquer à une attaque nocturne. Ces brigands n’étaient pas très malins. Le Renard le savait très bien mais il devait absolument rester sur le qui-vive. Mieux vaut prévenir que guérir comme on dit. L’erreur n’était pas acceptée et intolérable pour un membre des forces spéciales. Ce n’était pas pour rien qu’ils représentaient l’élite du village. La réussite devait toujours être au rendez-vous. Sous peine de sanction exemplaire. Le genre de sanction qui t’empêche de rater une mission à nouveau. Même le plus valeureux guerrier craignait les supérieurs en charge de l’examen des missions des forces spéciales. Il valait mieux ne pas contrarier ces gars-là. Un frisson parcourut l’échine du Renard qui pourtant arrivait à se réchauffer à la lueur de sa torche improvisée.

Alors qu’il était perdu dans ses pensées, ses oreilles restaient néanmoins concentrées sur le moindre détail sonore inhabituel. Et le froissement d’une étoffe ainsi que le son d’un pas se coulant discret le tira de ses rêveries. La flamme délicatement jaune dans sa main vira au rouge. Il se servirait de ça pour attaquer cet ennemi qui approchait. De ce qu’il avait entendu, l’intrus se trouvait juste en bas du mur en haut duquel il se tenait. Il se déplaça sans bruit. Du moins avec un peu plus d’efficacité que la personne essayant de le surprendre. Il distingua la silhouette de son mystérieux agresseur et il n’attendit pas pour sauter dans son dos et pointer vers lui sa flamme reposant dans sa paume.

Et ce fut une fois derrière l’intrus, la main portant la flamme pointée sur sa nuque, qu’il se rendit compte qu’il avait à faire à une intruse en réalité. De longs cheveux noirs éclairés par la flamme rougeoyante alors qu’elle semblait immobilisée. Le Renard ne se laissa pas surprendre. L’ennemi était aussi bien masculin que féminin après tout. Il garda un ton des plus froids pour s’adresser à sa proie :

Que comptais-tu faire ici ? Ces villageois devraient être laissés en paix depuis longtemps, tu ne sais pas ce qui est arrivé à tes confrères ou t’es insensée ?

Je…je vou…voulais…juste…vous…app…apporter à boire et à manger…

Sans comprendre ce charabia qui semblait entrecoupé de…sanglots, le Konohajin saisit de sa main libre une épaule de la jeune femme pour la faire pivoter et la voir en face. Elle se retrouva nez-à-nez avec la flamme qui créaient des reflets sur les larmes coulant de ses yeux et venant s’écraser sur le plateau où elle portait victuailles et verre d’eau. La flamme reprit une teinte jaune alors que le Renard se rendit compte de son erreur. Il était tout contrarié et faisait la moue derrière son masque. Encore heureux qu’il l’avait sinon il passerait pour un bel idiot. Il abaissa sa main et bredouilla :

Pardonnez mon comportement. J’ai pensé à une intrusion et je me suis emporté.

Il n’y a pas de mal Monsieur. C’est bien pour cela qu’on vous a demandé et que vous êtes tant apprécié.

Les sanglots s’étaient rapidement apaisés pour laisser place à un sourire rassuré. Même si des larmes restaient accrochées aux joues de la belle demoiselle, elle s’était calmée. Le Konohajin put alors mieux profiter de son visage gracieux. De grands yeux verts magnifiques couronnés de longs cils ainsi qu’un petit nez aquilin qui les séparait d’une bouche aux lèvres légèrement charnues mais néanmoins assez fine. Elle avait tout de la fille de village si parfaite et convoitée par tous les fils de la région. Son père devait s’en arracher les cheveux à tenter de lui trouver un mari idéal alors qu’elle les refusait tous à tour de bras pour trouver celui qui la ferait vraiment vivre et chavirer. Ainsi était le côté romantique et délicieusement niais du Renard. Sur un simple visage, il venait de se monter tout un film complètement tiré par les cheveux. Il chassa ses pensées de son esprit pour tendre les mains et prendre le plateau qui lui était si gentiment amené par les soins de cette fille. Il avait pris soin avant de le saisir de lancer sa petite flamme sur une touffe d’herbe sèche à côté pour avoir les mains libres et être néanmoins toujours éclairé. Il s’installa ensuite à même le sol pour déguster son repas. La jeune fille en fit de même en s’installant non loin. Mais au moment de prendre le premier aliment pour le porter à sa bouche, la flamme qui les éclairait s’éteignit. La jeune fille fut sur le point de dire quelque chose mais elle semblait avoir compris.

C’était le Renard qui l’avait éteint pour pouvoir enlever son masque. S’il le portait ce n’était pas pour l’enlever près de la première venue. Et comme manger ne va pas avec le port d’un masque, il avait dû les plonger dans la pénombre pour pouvoir savourer son repas. Elle avait certainement compris et elle ne dit rien les premières minutes. Seuls les bruits de mastication couvraient le silence nocturne. Il se passa dix minutes ainsi où ni l’un ni l’autre n’osait engager la conversation. Puis ce fut finalement la jeune fille qui se décida en premier.

Je m’appelle Birei au fait. Enchantée.

Le Renard, répondit simplement l’intéressé.

Il venait de terminer de manger lorsqu’il sentit la jeune Birei qui s’était rapproché de lui. Elle prétexta avoir froid et craindre ce qui pouvait se cacher dans le noir. Il avait du mal à la croire et il sentait que la situation serait bientôt gênante ou embarrassante. Il ne dit rien cependant pour ne pas paraître idiot ou prétentieux de son charme naturel. Après tout elle pouvait tout à fait dire vrai et avoir réellement peur du noir. Comme il avait terminé de manger cependant, il prit la peine de rallumer un feu pour s’éclairer. Il venait de remettre son masque et sa main était prête à recevoir la flamme pour laquelle il concentrait son chakra. Et lorsque la lumière se fit, Birei se trouvait à seulement quelques centimètres du Renard. Enfin leurs visages plutôt. Il n’aurait rien fait de spécial si cette dernière ne commençait pas à attraper son masque pour lui ôter ensuite. Son réflexe fut immédiat et incontrôlé. Il lui saisit le poignet pour lui arracher un gémissement plaintif et la plaquer contre le mur. Puis il se rendit compte de ce qu’il venait de faire.

Il lâcha rapidement le poignet et présenta des excuses un peu confuses :

C’est que…je ne suis pas censé retirer mon masque devant vous donc je…hum…désolé.

Oh…je…je comprends. Pardonnez-moi…

Il n’y a pas de mal.

Comme il l’avait prédit, le moment était gênant et embarrassant maintenant. En même temps quelle idée de vouloir à tout prix lui sauter dessus ! Elle pouvait pas se contenter de lui apporter son repas et de disparaître ensuite ? Non il avait fallu qu’elle rende ça compliqué ! Et ils se retrouvaient là maintenant comme deux parfaits imbéciles sans oser parler ni l’un ni l’autre. Le Renard se retrouvait quasiment hors combat juste pour un truc pareil. La honte de l’unité spéciale voilà ce qu’il était. Le silence planait lourdement. Jusqu’à ce qu’un sifflement soit perceptible aux oreilles du Renard. Un sifflement caractéristique qu’il ne connaissait que trop bien.

C’était le bruit des shurikens qui filent à toute allure vers leur cible. Ne faisant ni une ni deux, il sauta sur la jeune fille pour la plaquer au sol et la protéger des armes blanches qui vinrent percuter le mur à côté duquel ils étaient. Se relevant en un mouvement rapide, il fut sur pied, l’arme à la main, prêt à recevoir la deuxième salve de projectiles. Il dévia chacun des shurikens d’une parade avec son kunaï jusqu’au dernier, différent des autres par son apparence et aussi du fait qu’il traînait derrière lui un petit bout de papier. Un kunaï explosif ! Il posa son pied sur le ventre de Birei qui était encore à terre et il allongea la jambe en une détente prodigieuse qui fit rouler la jeune fille sur quelques mètres alors que l’explosif fit son office. Le cri de Birei retentit dans la nuit alors que le Renard surgit du nuage de fumée qu’avait déclenché l’explosion. Une brûlure sur tout le côté. C’était encourageant comme résultat contre un kunaï explosif ! Et la deuxième salve de shuriken avait appris au membre de l’unité spéciale de la Feuille une information importante : la position de l’ennemi. Même dans le noir, il avait une idée de là où se tenait l’adversaire et son arme fila pour trancher les ténèbres et atterrir dans une éclaboussure de sang formidable.

La cible était à terre, la poitrine marquée d’une vaste blessure qui répandait son liquide vital sur le sol. Rien de discernable vu l’obscurité qui emplissait les lieux. Mais l’agitation avait rameuté les villageois qui arrivèrent avec des torches pour retrouver leur sauveur avec une des leurs à terre. Le Renard expliqua brièvement les évènements sans s’attarder sur ce qui s’était passé avec Birei qui garda les yeux baissés tout le long de son récit en attendant qu’il la ridiculise devant tout le monde. Et son air soulagé et ravi emplit le cœur de l’Hayashi lorsqu’elle comprit qu’il ne dirait rien sur le comportement qu’elle avait eu. Il s’agissait du passé et il n’y avait pas besoin que tout le monde entende parler de ça. Le père de cette dernière arriva en trombe et remercia un demi-million de fois le Renard pour son acte héroïque qui avait permis à « son petit trésor » de survivre. Le Konohajin s’évertua à expliquer au vieil homme qu’il ne méritait aucune récompense ou quoique ce soit et que c’était son travail. Mais le vieillard insista. Il finit par regarder sa fille à qui il lança d’une voix autoritaire :

Tu devrais te montrer reconnaissante envers cet homme ! Félicite-le comme il se doit !

Le pourpre envahit les joues de la jeune demoiselle et le Renard fut gênée pour elle. Un père qui vend ainsi sa fille, c’était vraiment peu commun dans une petite bourgade comme celle-là. Puis devant l’incertitude de la jeune fille, le père se montra plus insistant et reprit de plus belle :

Allez gourgandine ! Amène donc ce brave Monsieur chez nous et soigne sa blessure ! Il a fait son métier pour toi alors fais-en autant !

Un semblant de soulagement s’échappa du visage de Birei ainsi que de celui du Renard bien caché derrière son masque. Le père emmena donc le membre d’ANBU chez lui en le prenant par le bras et en faisant de même avec sa progéniture. Ils arrivèrent donc dans une petite maison modeste où deux filles attendaient et qui furent présentées comme les sœurs de Birei. Le Renard les détailla du regard toutes les deux et ne put s’empêcher de penser que la beauté n’était pas un don héréditaire. Enfin tout de même il fallait le dire ! Entre la belle Birei si magnifique et ces deux-là, il y avait une grosse différence. Mais après tout pourquoi pensait-il à ça ? Ca ne le préoccupait pas plus que ça que celle qu’il avait sauvé était plus belle que ses sœurs. Il se laissa guider dans la maisonnée jusqu’à une sorte de cagibi qui semblait servir de « cabinet » pour la jeune demoiselle dentiste. Une table d’auscultation qui prenait la majeure partie de l’espace et quelques étagères remplies de fioles ou d’ustensiles en tout genre. Le Renard fut installé sur la table avant que le père ne s’absente pour aller préparer du thé. Il se retrouvait donc seul avec Birei depuis ce fameux instant où ils s’étaient retrouvés gênés l’un envers l’autre et la gêne revint de plus belle. Mais elle s’estompa lorsque la jeune demoiselle s’affaira à désinfecter sa brûlure.

Il ne put s’empêcher de remarquer avec quelle précision elle faisait ça. Elle était méticuleuse, précise et efficace. Aucun geste inutile. C’était assez plaisant à regarder. Le Renard en était comme hypnotisé de ce ballet incessant entre les étagères et la table. Le père revint avec un plateau où deux tasses étaient posées et il vint regarder le travail de sa fille qui ne broncha pas et garda son petit rictus de la langue tirée pendant qu’elle se concentrait. Il émit un petit sourire fier en voyant sa fille si appliquée et il regarda ensuite le Konohajin pour l’apostropher un peu maladroitement à la mode des paysans :

Alors ? Impressionnant hein qu’une petite gars de la campagne sache faire ça hein ! La fierté de son père voilà ce qu’elle est cette brave petite. Tout de sa mère mais le caractère de son paternel hein ma fille ?

Il est vrai qu’elle se débrouille admirablement bien. De telles capacités sont très utiles pour nous les shinobis. Et nous en manquons malheureusement.

Birei semblait prête à dire quelque chose mais elle resta muette avec cette impression de quelque chose qui pendait à ses lèvres sans vouloir en sortir. Le Renard ne la quittait pas des yeux et elle finit par sentir son regard peser sur elle. Birei leva ses yeux émeraude et observa son blessé d’un air interrogateur pour comprendre la raison de ce dévisagement pas très poli. Il resta ainsi un moment à la regarder jusqu’à ce qu’elle comprenne d’elle-même. Ce qu’elle finit par faire et elle put donc exprimer à voix haute ce qu’elle pensait :

Peut-être que je pourrais vous…apprendre ces choses-là ? Bien sûr pas maintenant avec votre mission mais…une fois terminée si vous le souhaitez je pourrais vous enseigner les rudiments de la médecine si ça peut vous servir.

Ce serait une excellente idée en effet.

Un sourire illumina le visage de la jeune fille. Le Renard espérait qu’elle n’allait pas se faire des idées avec tout ça. Même si le fait de connaître la médecine était une idée qu’il ne lui déplaisait pas. Il allait avoir la possibilité de bénéficier de soins pendant ces combats. Ce qui n’était pas négligeable. Il bénéficierait d’un atout pour ses combats et missions futures. Ce qui le motivait à finir cette mission plus rapidement. Il put sortir après quelques minutes de soins et maints remerciements de la famille de Birei. Cette dernière lui reconfirma d’ailleurs sa volonté de lui servir de « professeur » quand sa mission serait finie. Il accepta poliment et s’en retourna à son poste. La mission dura encore deux jours. Deux longues journées pendant lesquelles le plus gros des troupes de brigands vinrent attaquer la bourgade et où le Renard, aux côtés de ses confrères, repoussa l’assaut. Lorsque ce calvaire fut enfin terminé, le village acclama ses héros. Et comme promis, le Renard retourna voir Birei. Elle semblait toujours déterminée à lui enseigner ce qu’elle savait. Même s’il craignait qu’elle n’utilise ça pour se rapprocher de lui.

Ce fut donc une semaine d’apprentissage incessant où le Renard appris d’une simple civile. C’était peu commun mais en même temps tant que les compétences acquises lors de cet entraînement étaient bonnes, il n’y avait pas de quoi se plaindre. Le Renard resta masqué pendant tout ce temps et s’arrangeait pour rester le plus distant possible malgré le fait que sa senseï improvisée essayait tant bien que mal de se rapprocher. Elle tenta à plusieurs reprises des rapprochements que l’Hayashi dut refuser. En repartant de la maison familiale, il remercia chacun des membres de la famille pour leur hospitalité et plus particulièrement Birei à qui il adressa de sincères remerciements chaleureux en lui promettant qu’un jour il reviendrait la voir pour lui montrer ses progrès en la matière. Elle lui lança non sans humour qu’elle espérait le voir sans son masque cette fois et il se contenta d’un :

Ça me paraît bien difficile. Mais je reviendrais. Et qui sait. Peut-être que cette fois ce sera moi qui t'apprendrait quelque chose.
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