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 Lorsque le vent nous porte. [OUVERT]

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Fuji Sayoko
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Message(#) Sujet: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyDim 30 Sep 2012 - 20:57

« Si la vie est un fleaux, alors je serais le pansement de la tienne.»


Car nul n'a besoin de tes larmes;


La trahison. Concepts de ministre qui n'a aucunement besoin d'avoir peur puisqu'il ne connait aucun grand secret de son propre village.
La trahison, échappatoire pour quelques Shinobi au cruel destin qui ne peuvent aspiré qu'a la mort en ne disant rien ou en restant dans leurs états actuel.

Trahir, c'est sans doute se qu'aurait du faire Sayoko Fuji pour ne pas être dans l'état ou elle est actuellement. Ses plaids physique étaient refermées depuis un peu plus de 2 ans maintenant, mais, d'autre plaids, bien plus sanglante, reposé dans son cœur. Elle voyait parfois d'horrible image se niché dans son âme lorsque le sommeil la prenait et, la princesse aux milles maux ne voulait plus dormir.
C'est ainsi, que dans la douce nuit d'hiver la jeune femme vagabondait dans les grandes rues de Kiri. Quelques personnes s'affairaient encore dans leurs travail et d'autre personne prenait le relaie pour la nuit.
Le lieu était propice aux échanges de drogue, d'argent ou de femme, et il fallait avouer que ses dernières ne se débrouillaient pas trop mal. Reine de la nuit, certaine Kinoishi rentrait de mission, affublé de vêtement qui ne scier pas a un ninja mais qui allait parfaitement à leurs caractéristiques particulières. Jamais elle ne serait rentré en plein jours, c'était un trop grand déshonneur pour Kiri de se venter d'avoir de tel usage. Mais, sans elle, sans doute, Kiri serait bien moins informé de se qui se passer dans le fond des boites de Kumo, Konoha, Suna.
Ses Reines donc, arpenter les rues de Kiri pour revenir chez elle, dans un lieu qui leurs semblait plus ou moins familier temps leurs missions les avaient mise a nue devant des personnalités que personne, sauf elle, n'aurait désiré rencontrer.
Sayoko aurait bien pu faire partit de ses gens si elle n'avait pas eut Hebi-san, son fidèle sabre. En effet, elle n'était douée pour presque rien sauf le Kenjutsu. Le ninjutsu n'était pas son fort, elle n'était pas non plus douer pour le Genjutsu et il n'y avait bien que l'épée qui faisait corps avec elle. Et bien heureusement. Car a l'époque ou elle aurait encore pu, ce corps était d'une splendeur quasi sans pareil. Sa hanche large surmontée d'un dos cabré semblait affoler plus d'un homme à sa seule vision. Sa longue chevelure noir et soyeuse coulait sur son dos, sans nulle boucle. Si elle avait été homme, on aurait pu al comparé a un étalon, d'un noir corbeau gravissant les difficultés en sautant au dessus des hommes et des éclos.
Rien ne pouvait la garder enfermé, elle était bien trop fière et sauvage et pourtant, cette fois, un fauteuil suffisait à la garder, précieuse princesse, dans un état de soumission corrompu.

La moribond sillonnait donc les rues de Kiri, observant autours d'elle les femmes qui elle aussi la regardait. Sans aucune pitié, c'était se qu'elle aimait la nuit, les gens n'avait pas de pitié pour elle, et elle, elle n'avait pitié d'aucune de ses femmes. Chacune était lier à son destin et servait, à leurs manières, le grand village de la brume. Et même si leurs corps était bien plus gracile et en meilleur forme que le sien, Sayoko aimait se demander se qu'aurai été sa vie si son sensei, il y a longtemps, ne lui avait pas offert son épée.
Elle serait peut être même encore sur ses deux jambes a l'heure actuel ?

Mais Sayoko ne regrettait nullement ses choix passer, et bien qu'elle n'était pas sur de se qui lui était arrivé 2 ans plus tôt, elle était sur d'une chose: elle n'avait pas trahit, d'une quelque conque manière Kiri, et elle avait pu garder la précieuse vie de son ami. Et c'état de toute évidence le plus important à ses yeux.

Soudain, Sayoko se retrouva nez a nez avec une personne qui ne lui était pas familière, se cognant a cette dernière aux détours d’une rue, ses roulettes s’arrêtant net.

- « Excusez-moi. » Dit la jeune femme d’une voix claire et sereine.

Elle inclina la tête, puis la releva vers l’inconnue, tentant d’observait ses traits dans la nuit.

    Et si tu pouvais me prendre, es ce que tu m' emmènerais loin de tous ça ? Loin de toute cette douleur?
    Et si tu pouvais me prendre, es ce que tu me toucherais? Es ce que tu t'emparerais de mon coeur et de mon âme comme lorsque l'on brise un verre entre ses doigts ?
    Et si tu pouvais m'aimer, es ce que je pourrais te détester?
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Kaguya Akasha
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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyDim 7 Oct 2012 - 18:58

En pleine mono-thérapie personnelle dans les rues de Kiri, je rencontra une charmante femme par le fruit du hasard. En fauteuil roulant, elle semblait divaguer au point de me bousculer par inattention. Cette rencontre semblait être prédestinée, mon visage était parsemé de cicatrices, le résultat d'une erreur lors d'un élèvement. Quant à elle, son visage était froid et triste, elle semblait souffrir intérieurement. Était-elle une Kunoichi ? J'étais en incapacité de le dire. Ses muscles laissaient penser qu'elle n'était qu'une simple civile. Je pris la parole :
    - « Ce n'est rien. Je ne suis donc pas le seul à me promener sans but précis. Voulez-vous marcher en ma compagnie ? La nuit risque d'être longue, somnambuler à deux est plus rassurant. »

Sans vraiment me l'avouer, j'étais heureux de l'avoir rencontré. Ce n'était qu'un vulgaire moment de la vie mais, j'étais content. Je repris :
    - « Ah, j'oubliais, je suis Gekei Soranamida. Ninja du village du brouillard. »

C'était la moindre des choses en pleine nuit. Je pourrais très bien être un criminel ou pire. Ainsi, elle savait qui j'étais mais, j'étais encore en incapacité de savoir si elle était ou non une Kunoichi. Je surveillais mes arrières car de nuit, Kiri n'était pas un village tranquille, au contraire. L'obscurité m'empêchait de voir clairement la femme, je ne voyais que des formes. Le peu que je pouvais voir était magnifique, qui pouvait-elle bien être ? Je discernais une forme, était-ce un bandeau ninja ? Hum... La nuit cache son identité et la nuit est belle et dangereuse.

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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyMer 10 Oct 2012 - 15:02

Spoiler:

- « Bonsoir, on m'appelle Sayoko, ex ninja de Kiri.

Evidement, être monté sur roulette réduisait le potentiel danger d'une personne. Mais, un homme borgne, ne devait il pas être presque, voir plus dangereux qu’un ninja normal? A cause de son handicap, ne devait il pas faire bien plus d’effort pour survivre dans un monde impitoyable? Ses reflexes devaient être plus assuré, sa vision, bien que largement amputé, devant être elle aussi plus aiguisé à repérer des choses qu’un œil non expert ne remarque pas.
Ses cicatrices sur sa peau lui donner un charme certain bien que, sans doute, il n’y avait qu’une femme comme Sayoko pour penser à se genre de chose. Bizarrement, le jeune homme lui rappeler ‘vaguement’ quelqu’un. Une chevelure platine lui aurait sans doute plus donner un air lutin fou.
La jeune femme sourit, reculant ses roues pour pouvoirs gardé un certain périmètre de sécurité, tout en pouvant observait le jeune homme dans l’ensemble.

- Je vous remercie de bien vouloir me tenir compagnie. La plupart des gens pense que l’handicap et contagieux. Que si je les touches, demain il ne pourront plus bouger un muscle. C’est amusant bien qu’a la longue …

En même temps que ses mots, elle fit avancer son fauteuil, peux vite, observant toujours les alentours. Elle qui avait dormit panant 2 années pouvait bien se permettre d’identifier à nouveau les couloirs et les tunnels sans fin de Kiri Gakure. La seule idée de ne plus se souvenir avec exactitude de quel rue mène a où lui faisait froid dans le dos. En temps de guerre, il fallait absolument se souvenir de tous. De savoir où et comment se déplacer dans le village pour rejoindre quelque point stratégique. Au moins, la nuit, puisque le sommeil ne lui venait pas, elle pouvait au moins rouvrir son esprit et sa mémoire.

De plus, la nuit n’étais pas trop fraiche. Les étoiles et la lune illuminaient le ciel, alors, que pouvait il arriver de mal?
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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyVen 12 Oct 2012 - 18:16


    - « Sayoko ? C'est un prénom peu commun. »

Ex-ninja ? Ainsi, elle était nouvellement handicapée ? Intéressant, elle était donc dans un cas similaire au miens. Pourtant, elle me semblait pas frêle ni faible, elle était elle alors, que je n'étais plus moi. Je repris :
    - « C'est étrange, je sens que tu te sens bien. Je suis désolé mais, ton handicap n'est-il pas un boulet dans ton quotidien ? »

Je marchais lentement, je ne voulais pas l'aider. Être aidé, c'était comme être plus faible, je ne supportais pas ça. La noirceur de Kiri de nuit était effrayante. Ce village représentant les ténèbres, nous étions les ténèbres de ce monde. Même cette fille pure semblait ténébreuse, le monde était vraiment cruel.
    - « Je ne peux pas accepter mon visage, du moins, je n'y arrive pas. J'ai été torturé inutilement. Et toi, pourquoi es-tu dans un tel état ? Est-ce la guerre ? Et-tu a victime d'idiots ? »

Je ne pouvais pas en dire plus, j'avais honte de mon franc parlé mais, ça me faisait du bien, j'adorais entendre des Histoires plus violentes que la mienne, ça me rassurait. Ma vie avait beau être triste et longue, des gens vivaient bien pire que moi. Heureusement.

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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptySam 13 Oct 2012 - 14:55

Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Debutd10

La jeune femme afficha presque immédiatement après les questions un air grave et sérieux. Son sourire tendre avait disparut, et on n'aurait pu savoir si elle allait simplement répondre ou non. Quoi qu'il en soit, de très très longue seconde passèrent avant que la jeune femme n'ouvre à nouveau la bouche. Elle pensait à tous, des images lui venaient dans la tête, et, sans doute, le visage qu'elle affichait était celui qu'elle avait gardé un très long moment après son accident. La jeune femme réfléchissait. Pourquoi devait elle dire a un inconnue se qui lui était arrivé. Il lui avait dit, mais, elle, elle n'était nullement dans l'obligation de le faire. Elle releva la tête vers lui, croisant son regard et se demandant si l'envie qu'il affichait dans son unique œil était une envie malsaine ou non.

Elle déglutit. Ne comprenant nullement l'amour que pouvait portait les gens aux histoires des autres, mais, lui c'était un peu différent. Il avait subit un peu la même chose qu'elle et elle n'était pas sur d'avoir envie de remplacer un œil contre ses jambes.
Quoi que? Elle aurait peut être pu garder deux ans de sa vie et ne jamais être obligé de recommencer les bases du ninjutsu pour réapprendre à maîtriser son chakra.

- J'ai accepté il y a longtemps ma situation, parce que je ne peux pas revenir en arrière. Je dois faire avec et évoluer avec. Je peux encore grandir et je suis certaine qu'un jour je pourrais marcher comme avant.

Elle leva la tête vers le ciel, perdant du regard le visage de son interlocuteur. Parlant, comme si elle parlait à quelqu'un d'autre. A une espèce de Dieu qui devrait les protéger de se genre d'activité. Elle ferma les yeux un instant, revoyant vaguement le lit d'hôpital ou elle s'était réveiller, deux ans après.

- Je ne crois pas avoir été torturé inutilement. Grace a cela, j'ai pu protéger mon compagnon, et il a pu fuir le plus loin qu'il pouvait. Je suis fier de se que j'ai fait, et bien que j'y ai perdu mon corps, ma force et beaucoup de souvenir qui devait peut être m'être précieux, j'y ai gagné la vie de mon meilleur ami. Et, pour ça, j'aurai sacrifié la mienne sans hésitation. J'ai de la chance d'être encore en vie, et que Kiri soit venu à temps. J'ai de la chance, et je tien a rembourser cette dettes.

Finit-elle par dire dans un long monologue. Plus elle parlait, plus son visage se faisait moins froid et plus tendre. Plus ses mots ne prenaient de l'importance et un ton fier et assuré. Elle tourna à nouveau la tête vers le Shinobi borgne

- Les cicatrices ne doivent pas être un fardeau. Elles sont la preuve de ton amour pour ton village, et la preuve de ta grande force moral. Et, le seul boulet que je traîne, se sont le regard de pitié que les gens peuvent me lancer.

Elle eut un sourire. Tout compte fait, elle était plutôt satisfaite de lui avoir dit tous cela, elle n'aurait sans doute pas pu le dire en plein jour avec les lueurs des cieux illuminant son visage. Mais, avec la coûte céleste recouverte d'étoile et la lune ronde bien loin d'être aussi éclatante qu'un soleil, elle pouvait se permette. Son visage restait à demi dans l'ombre et sans doute ne pu t'il voir quelque rictus de peur et de dégoût lorsqu'elle prononça les mots de sa torture. Torture dont elle ne reviendra certainement pas déçue. Quoi que? Parler, peut il l'aider?
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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptySam 13 Oct 2012 - 15:47


    - « Je suis incapable de te donner une raison précise à cela mais, j'ai de l'estime pour toi. Tu acceptes la chose bien mieux que moi. Je ne suis pas un Shinobi imbattable, je ne suis qu'un Genin. Pourtant, j'ai l'envie de t'aider, l'envie de faire mon possible pour toi. C'est impossible je suppose. En tant que Gekei, j'ai toujours été rejeté et à ce que j'ai pu remarquer, tu t'en fiches radicalement. Contrairement à moi, ta douleur est le reflet de belles choses. Quant à moi, j'ai été torturé par erreur, que veux-tu qu'un Genin puisse révéler ? Là est le soucis, je ne l'ai pas fait pour le village mais, j'ai bien été torturé à cause du village. »

Je ne l'avais jamais avoué à quiconque, même pas à ma propre personne. Je me sentais honteux de penser ainsi et pourtant, c'était la vérité. Sans Kiri, je n'aurais pas été torturé. Avant cet incident, je n'estimais pas les ténèbres du monde, je ne comprenais pas que les villages s'opposaient ardemment. Torturer pour rien, c'était d'un ridicule monumental et pourtant, c'était bien ça, la vie. Cette Sayoko était différente, elle était bien trop positive, comment pouvait-elle ? Bien que c'était le passé, elle aurait été bien meilleure sans ces blessures, bien plus forte ! Kiri aurait pu faire d'elle une arme encore plus puissante ! Ainsi, ses blessures n'avaient qu'allongés son évolution. La croissance de son potentiel n'était plus la même. Je repris :
    - « Tu es impressionnante mais, tu ne penses pas que tu aurais pu être bien meilleure si cet incident n'était pas arrivé ? Tu aurais été plus serviable à ta nation et à ta famille. Je suis désolé... »

J'envisageais déjà le silence morne, j'avais sûrement été disgracieux mais, c'était la vérité. Je ne pouvais pas la contourner car, je pensais la même chose pour moi. Mon retard était si grand, je souhaitais rattraper mes congénères et les surpasser mais, mon retard était grand, si grand... J'observais la femme, elle semblait si... calme. Je ne pouvais pas la comprendre, je me rapprocha d'elle pour ensuite dire :
    - « Es-tu certaine de ne pas contenir la moindre haine envers Kiri ? Suis-je réellement celui qui ne pense pas normalement ? »

Ma question semblait idiote mais, elle était vraie. Pourquoi devais-je être celui qui était trop extrémiste ou trop haineux ? J'observais cette femme avec une telle hargne, je ne marchais plus, j'attendais sa réaction. Pourquoi étais-je le "méchant" de cette Histoire ? N'avais-je pas le droit d'être différent ? Pouvait-elle me répondre ?

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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptySam 13 Oct 2012 - 19:06

- « Je n'ai plus de famille, je n'ai plus que mon pays. Je m’efforce d'être meilleur dans la mesure de mon état actuel. C'est vrai, j'aurai pu être autre chose si mon coéquipier et moi même n'avions pas été repérés. J'aurai peut être même pu être Kage! Qui sais.

Un sourire léger sur le visage, la jeune femme l'observa. Elle aussi arrêté en plein milieux de cette sombre ruelle, reflet de leurs deux âmes échangeant dans un carrefour de leurs malheureuses vies.

- Au début si. Je haïssais profondément tous les gens qui voulaient me montrer leur soutien et leur compassion. Je le détestais puisqu'il ne pouvait pas savoir se que je ressentais. J'ai perdu tous les amis que j'avais, et il n'y a bien que mon coéquipier pour cette mission qui est constamment rester près de moi. J'ai perdu 2 ans de ma vie. Deux ans à être dans le coma juste pour quelqu'un. Lui aussi, je les détesté, je les blasphémé de nombreuse fois, et je les renvoyais aussi, très souvent. Mais ...

Elle se tue un instant. Se sentant gêner d'ouvrir une partie de sa vie a un inconnue dans le noir. Elle défaisait, une a une, les chaines qu'elle avait elle même mise autours de ses souvenirs. Une a une, les cadenas cédaient sous les mots. Une a une les sensations revenait, bien plus triste et morne qu'avait. Bien moins tenaces comme passagère ne laissant qu'un arrière gout d'amertume.

- Mais, à laisser la haine me consumer, je ne faisais que reculer, qu'a vouloir retrouver l’ancien moi se qui était impossible. A laisser cette haine exploser, je me fragilisais. Alors j'ai décidé d’arrêter de détesté. D’arrêter de ruminer, et d'enfin pensé à l’ avenir. Certes, je ne suis plus se que j'étais, mais, je peux encore apprendre des choses, j'ai encore toute la vie devant moi pour me remettre sur pied et pouvoir à nouveau être une Ninja. Oui, je ne serais plus la même, mais, le plus important c'est d’espérer l'être à nouveau et avancer ainsi.

Elle parlait trop, mais, elle avait encore envie de dire quelque mot. Parler du clan du jeune homme, lui dire que ce derniers l'importait peux, que se n’était pas le sang ou le passer qui faisait le ninja mais bien l'âme qu'il avait. Qu'il arrivait d'y avoir des hauts e des bas et ....

- C'est vrai que ça ne marche pas du jour au lendemain. Il ne suffit pas de le décider. Mais un jour, un ami ma dit " pour être Heureux, il faut d'abord se forcer à l'être. " Je me suis forcer a sourire, et petit a petit, pas a pas, je pouvais sourire vraiment, et pardonner enfin a Kriss, mon ami, et aux villages pour qui j'ai donner mon corps.

La jeune femme s’arrêta la dans ses propos. Se trouvant bien présomptueuse de croire que se qu'elle avait appliqué pour elle même pouvait marcher pour les autres. Elle ferma les yeux, pencha la tête en avant et attrapa une petite peluche sous son siège. Une peluche a la chevelure d'un blond très claire avec un cache œil. Son œil unique était d'un bleu cyan, d'un bleu bonheur.
La jeune femme sourit.

- Se faire de nouveau ami, avec qui oublier son état est aussi une bonne chose pour se reconstruire. Des gens qui n'ont absolument aucune pitié.

Dit-elle dans un souffle, pensant à cet ami à la chevelure blonde qui ressemblait énormément à cette peluche. N'es ce pas pour cela en fait? Qu'il s'était rencontré? Qu'importe. Elle l'avait apprécié des la premières fois.
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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptySam 13 Oct 2012 - 19:55


    - « Je ne peux que suivre tes conseils. Cependant, je trouve ça cruel, pourquoi une femme comme toi subit un tel sort ? Cela peut te paraître bien prétentieux mais, j'aurais préféré que ça m'arrive à moi qu'à toi. Ce n'est pas qu'une question de physique mais, aussi de moralité. Tu es plus mature et tu mérites bien plus que quiconque. Mais bon, ta maturité vient sûrement de ton passé. »

Cette peluche n'était pas très mignonne, elle représentait un être horrible et blond. Je détournais du regard cette chose pour regarder l'horizon ténébreux de Kiri. Je reprenais la marche sans vraiment correspondre à cet sujet à mon nouvelle amie. Notre discussion était si profonde alors que nous venions de nous rencontrer. Cette fille semblait comblée, elle semblait amoureuse. D'un ton ironique, je reprenais :
    - « D'après moi, seule une personne heureuse peut voir la vie du bon côté. Tu me sembles comblée, l'Amour semble être un bon combustible pour le moteur du pardon. »

Je souriais, à qui ? à quoi ? Pour rien, je souhaitais juste sourire car, j'étais heureux pour elle. Cette fille était supérieure à moi mentalement mais semblait si faible physiquement. Son regard était de plus en plus pétillant, elle s'approchait de la lumière, était-ce ça qui rendait cette gente demoiselle plus forte ? Si c'était le cas, étais-je capable de faire de même ? Hum, j'étais trop négatif et elle trop positif. Je m'exclamais à haut voix :
    - « Et en terme de combat, tu es capable de quoi ? Je suis vraiment intéressé par ton potentiel style de combat. J'aimerais vraiment voir ce que tu sais faire. Si ta force physique est similaire à ta force psychologique, la place de Kage sera sur ton chemin, ce n'est qu'une question de persévération. Je pense que Kiri a besoin de quelqu'un de plus ... humain. C'est étrange à dire pour un Gekei mais, c'est ce que je pense. Nos Kages sont trop militaires et oublient le principe de dirigeant. »

Une air de jeux se profilait devant nous. C'était ici que j'allais connaître les capacités de cette handicapée moteur. Etait-elle plus forte que son apparence ? Là était le plus intéressant, allait-elle me surprendre ? Je ne demandais pas grand chose, juste de la voir debout ou de savoir si le fait de lancer un Shuriken correctement était possible pour elle. Je tendais quelques Shurikens en sa direction.
    - « Ex-ninja, dis-tu ? Être ninja, ça ne se perd pas. »


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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyDim 14 Oct 2012 - 13:29

Un rire léger franchit les lèvres de la jeune femme, captivant la nuit et illuminant, l'espace d'un instant, la voûte céleste d'un éclat de vie.

- « Je n'ai pas d'amant, ma vie sentimental et sexuel est au calme plat depuis mon accident. Et avant ... Avant je ne m'en souviens pas de toute façon. La seul chose que j'aime, c'est mon métier, c'est mon village.

Un autre rire s'engouffra dans la nuit, apaisé, la jeune femme prit les Shuriken que le jeune homme lui tendit. Elle posa la pointe d'un de ses derniers sur ses lèvres, réfléchissant. De qui était-elle capable au fond? D'un peu tout et un peu rien.

- En terme de combat donc, je peux rester debout une petite dizaine de minutes grâce à mon chakra. J'ai perdu pas mal de connexion de chakra pendant mon coma et l'accident, et j'ai du mal à retrouver les liaisons et a refaire circuler mon chakra correctement.
Mais pour le taijutsu.


Lançant deux shurikens, la jeune femme sourit. Les Shurikens partirent dans la même direction, et ils s’entrechoquèrent soudain à 5 mètres de Sayoko et partirent tous deux dans deux directions opposées.
Les projectiles se figèrent dans le sol, à presque égal distance l’un de l’autre.

- J'ai gardé un relativement bon niveau pour le lancé. Je crois que je n’ai pas trop perdu de mon maniement d'épée mais ...

Un sifflement retentit. Celui d'un serpent, se déplaçant entre des tissus sombre et sobre de la Belle. Sortant sa tête blanche du col de Sayoko il observa autours de lui avait de sifflait une nouvelle fois et regardait le jeune homme borgne. La nuit ne le dérangeait pas, il ne voyait de toute façon pas les formes comme un être humain.

- Hebi pense que j'ai perdu en mobilité donc, forcement, je devrai adapter mon Kenjutsu a mon handicap. »
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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyDim 14 Oct 2012 - 14:10


    - « Intéressant... Ta maîtrise des Shurikens est vraiment surprenante. Finalement, il y a bel et bien un avantage à ta condition physique, tu surprends ! En combat, ça devrait jouer en ta faveur. Malheureusement, je n'ai pas a moindre idée sur la façon de te rendre la possibilité de marcher. Penses-tu qu'il est trop tard pour y songer ? Je connais un vieil homme spécialisé dans la médecine au sein de Kiri... Il est un peu étrange et semble presque fou mais, il serait peut-être en capacité d'améliorer ta mobilité. »

Hein ? Qu'étais-je en train de faire ? J'étais en train de l'orienter vers une solution, ça ne me ressemblait vraiment pas. En tant que Gekei, je ne devais pas éprouver de la compassion pour un autre, nous étions au summum de la haine de la part des autres Kirijins. Pourtant, elle ne me jugeait pas et j'en avais presque de l'affection. Cette affection grandissante me motivait à devenir plus fort. Elle méritait de marcher de nouveau, qu'importe son passé, il fallait avancer. C'était donc cela. Surpris par la chose sortant de son col, je m'éloignais par crainte de quelques pas pour ensuite dire :
    - « C'est ... original. »

La bestiole était vivante, c'était certain. Pourtant, son apparence n'était pas commune aux autres serpents. Je ne connaissais pas cette race. Sans broncher, je reprenais :
    - « Tu possèdes le Kuchiyose des serpents ? Pour tout te dire, je souhaite le posséder, pourrais-tu me l'apprendre ? »

Je prenais la direction des deux Shurikens afin de les ramasser. Une fois sur place, je repensais cette discussion, étais-je en train de perdre mon temps à toujours rechercher la puissance afin de prouver mon potentiel ? J'avais décidé de suivre Pô et de faire mon possible pour l'aider, de ne jamais songer à le trahir et d'être toujours de son côté. Mes convictions étaient calquées sur celles d'un autre, où était le problème ? Ma vie n'était pas la mienne mais, je vivais avec ma propre puissance, ma puissance grandissante. Plus je serais fort et plus je serais utile à Pô. Je devais continuer à avancer afin de satisfaire sa demande.

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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyDim 14 Oct 2012 - 16:23

- Ah, désolé non. Je n'ai pas de pacte avec le monde des serpents. Hebi-san est... Mon épée.

Le serpent siffla à nouveau, passant dans la manche de la jeune femme pour venir jusqu’à sa paume se lové puis formé doucement un sabre. Lorsque la transformation fut achevée, presque aussi soudainement, dans un éclat de lumière, le serpent reprit sa forme initiale. Un serpent blanc à la fine tête et aux narines étroites. Ses yeux d'un bleu cyan collaient parfaitement avec Sayoko.
La jeune femme eut un sourire.

- Il a sa personnalité propre. Se n'est pas qu'un simple serpent ou une simple épée. C'est un peu des deux et bien plus.

Le serpent se faufila à nouveau sous les vêtements de la jeune demoiselle. Se lovant à nouveau autours de son cou. Toujours souriante, la jeune femme continua:

- Mais si je croise quelqu'un qui le possède, je t'en ferais par.

Roulant encore sur quelque mètre, la jeune femme demanda :

- Et toi, tu as des tallent?

Sourire aux lèvres elle avançait dans les sombres rues de Kiri. Ils avaient déjà passé de nombreuse rue, marchant et roulant au hasard au gré de l'envie et du vent. Sans s'en rendre compte, ils finirent bientôt par approcher des terrains d’entrainement. Sayoko s’arrêta devant eux, observant les bosses et les troues du stade. Elle avait passé de très long moment, lorsqu'elle était plus jeune, sur se terrain avec son Maître et son unique coéquipier. Bizarrement, il n'avait toujours été que trois, son sensei n'avait jamais voulu prendre une 3em personne. Quoi que, peut être, si il avait vécu, peut être aurait il pu en prendre d'autre.

Mais, c'était une autre histoire, avec d'autre nom et d'autre maux. Et, il y avait même bien des passages de celle ci dont Sayoko n'était plus aussi sur. Les images revenaient certes avec le temps, mais bien des passages et des années était anéantit. Dans un vide sombre et glauque.

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Kaguya Akasha
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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyDim 14 Oct 2012 - 16:55


    - « Une épée vivante.. Tu es donc une épéiste ? Ta puissance ne peut qu'être remarquable dans ce cas. En plus d'être ton arme, cet être est ton ami, tu as de la chance. »

L'étonnante mobilité de son serpent était déconcertante, je ne pouvais pas m'y faire. Son arme était un véritable support en combat. Que demander de plus qu'une telle arme ? Elle était radicalement supérieure à mon pouvoir actuel de Gekei. J'avais un peu honte de mon actuel force, je m'efforçais à faire grandir ma capacité à user du Doton et c'était tout. Je continuais à marcher tout en me demandant ce que j'avais de spécial à part le fait de voir parfaitement de nuit. Elle finit par poser la question fatale. Et devant un terrain d'entraînement en plus. Je répondais donc avec une certaine ironie :
    - « Je ne vais pas te mentir, je ne suis bon qu'en une chose : la maîtrise du Doton. Mon appartenance au clan Gekei ne m'apporte que le don de voir dans le noir et de distinguer les sources de chaleur. Je ne maîtrise absolument pas mon pouvoir. »

Je n'avais rien à montrer, bien trop faible pour lui faire la moindre démonstration. En tant de guerre, je serais un élément inutile. Par chance, je n'étais pas envoyé en mission et je restais constamment au village. Encore un simple boulet pour le village, je ne savais pas comment me démarquer. Ainsi, j'avais décidé de me spécialiser intégralement à a maîtrise du Doton afin d'en être le plus fervent utilisateur. Il allait falloir un certain temps pour en être capable, je le savais bien mais, j'allais faire mon maximum. Je reprenais :
    - « Qu'importe le temps qu'il me faudra, je deviendrai plus fort. Quand tu seras sur tes deux pieds, promets moi un combat. Je vais m'entraîner afin de te surpasser toi et Hebi. Actuellement, je suis bien faible mais, avec du temps, je suis certain de pouvoir prendre de l'importance. N'abandonnes pas et je n'abandonnerai pas. »


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Fuji Sayoko
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Message(#) Sujet: Re: Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] Lorsque le vent nous porte. [OUVERT] EmptyLun 15 Oct 2012 - 19:10

Un sourire gravé sur le visage, Sayoko le dévisageait. Le visage terne du jeune homme semblait avoir reprit un éclat candide de douceur et d'envie. Il ne semblait plus être le petit être chétif qui lui avait parlé plus tôt, il ne semblait plus non plus être morose et déprimé.
Non, il avait acquis un visage de shinobi aux cours de ses paroles que la nymphe avait bu les unes après les autres. Il semblait bien plus "beau" et "grand" lorsqu'il levait la tête ainsi. Et, lorsqu'il se montrait, on ne voyait plus les marques sur son visage comme de ignoble cicatrice dévisageant son faciès, comme des crevasses insistant sur la profonde douleur. Non, on les voyait comme de majestueuse ligne de sa noblesse et de sa loyauté. Comme une blessure de guerre à porter fièrement car elle avait été faite pour la bonne cause et qu'il n'y avait aucune pitié à avoir pour cette dernière.

Oui, Gekai Soranamida était un bien plus bel homme dans ses apparats ci.

La jeune femme tourna les yeux vers le terrain. Écoutant sa proposition et la trouvant plus qu'alléchante. Elle se mordit la lèvre, réfléchissant bien aux termes de se contrat amical. Quelques réflexions lui virent à l'esprit. Quelques idées et quelques envies de combat. Oui, un jour, elle serait prête à se battre contre lui, lorsque ses jambes pourraient supporter le poids des caprices de la guerre et d'un monde dément.
Oui, lorsqu'elle le pourrait, sans doute sa vie serait bien plus simple.
Caressant avec plus d'allégresse de doux espoir de marcher à nouveau. Elle s'imaginait déjà debout à batifoler ici et là, à déguster les sourires de ses prétendants.
En effet, maligne et quelque peu cruel, la naïade aimait plaire. Chose qu'elle pensait naturelle pour tout être vivant doté d'une conscience de soit.
Mais, revenant doucement à la dure réalité des choses, elle dit alors au borgne:

- D'accord, l'idée me plaid bien.

Elle souriait encore à ses mots, donnant forme et son à ses paroles. Le ton espiègle et réconfortant qu'elle employait, semblait presque pelucheux. Doucereux.

- Le jour se lève. Fit elle encore, leva le doigt vers la divinité solaire.

L'Etoile gravitait entre la mer d'un bleu sombre virant au turquoise puis au vert d'eau et entre le ciel qui chavirait entre l'orange, le rose et le bleu. Quelques teintes de mauve se partageaient le ciel et la mer, et liant les deux, une ligne d'un blanc cassé lumineux, brillant. Le soleil naissait, l'aurore prenait pas sur la nuit. Ainsi, les étoiles, compagnes de l'astre noctambule, disparaissaient une à une.

- Je vais devoir rentrer. A la prochaine Sora. »

Sora, cela lui sciait bien plus que "Soranamida". Les 'larmes de crocodile', n'étant, en soit, pas très flatteur.
Alors que, s’il s'offrait au ciel plutôt qu'à la tristesse, alors, sans doute, son avenir serait bien plus radieux.
Comme une aurore, bordait de lumière et de couleur scintillante.

Tournant les talons, enfin, plutôt les roues, la Fuji s'empara de la route qui la mènerait vers l’hôpital ou elle vivait depuis un long moment maintenant.
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