L’oasis de Sonores dans le désert aride de Kaze no Kuni, était très calme à cette période froide de l’année, généralement les gens commençaient à se relâcher sur leur code vestimentaire et le centre de l’attraction qu’était se magnifique point d’eau de dix hectares attirais des touristes du monde entier. Pour le moment présent tout n’était qu’un début, car les visiteurs n’étaient attendus que pour dans une à deux semaines, mais encore est-il que certain téméraire et aventurier venait avec les convoie de nourriture et de matériaux de construction pour profiter des bonnes choses avant les autres.
Se matin la, notre jeune emplumer s’était réveiller non loin de la petite forêt artificielle, créée il y a de cela quelques années avec l’aide de travailleur expérimenter et de bien d’autres choses plus compliquer les unes que les autres. Le sommeil avait été réparateur, car il venait de quitter sa caravane de marionnettistes pour apporter son aide dans les préparatifs et depuis, un mois à travailler comme un esclave pour ramasser l’argent nécessaire à son transport vers le nouveau village cacher des dune, un endroit ou le kazekage donnait l’appel à tous les gens capables de se battre et se trouvant dans le désert.
Il marchait donc en direction d’un secteur plus familier de la ville quand une très jolie jeune fille s’avança vers lui l’air un peu déboussoler, probablement une nomade, même qu’une fille de l’autre bout de la planète n’aurait pas été une mauvaise réponse pour lui. Mais bon, la demoiselle non pas qu’il soie triste, s’adressa à un autre homme juste en avant de lui, le fessant passer pour une grande cruche avec sa main lever et sa bouche déjà entrouverte. Elle s’exclama d’un ton assez étrange, presque étrangler au début pour finir en douceur avec une voie calme et inquiète.
" — Heu, excusez-moi. Vous pouvez me dire où nous sommes et quel heur il est? "
L’homme sembla agresser par la femme et tenta d’accélérer le pas, franchement, les gens de ce coin de pays n’étaient pas des plus accueillants, surtout si on négligeait d’agiter quelques pièces sous leur visage bruler par le soleil. Voyant une chance de se faire une amie, en plus de pouvoir se reprendre pour son estime personnelle, il saisit doucement son avant-bras en lui pointant le dessous d’un arbre, il l’amena contre son gré vers ses deux mètres plus loin et se présenta avec toute les bonnes manières qu’il avait l’habitude d’utiliser.
« Enchaaanté, je me nomme Gengo. Désolé de vous avoir écarté de cette petite foule, mais habiller comme vous l’êtes, le soleil aura raison de vous avant la nuit. Pour répondre à vos questions, vous êtes à Suna plus précisément dans une petite oasis appeler sonores, tenez prenez l’une de mes épaisseurs.»
Dit-il en portant l’un des doux tissus vers la jeune femme. « Ça vous empêchera de bruler votre magnifique teint. » Rajouta-t-il en lui adressant un magnifique sourire.
Pauvre elle, perdu à se point la il se devait de l’aider un peu, au moins de lui donner se fins tissus l’aiderais à ne pas trop prendre chaud et peut-être aurait il la chance de l’inviter à souper un peu plus tard. D’habitude il ne l’aurait pas fait, mais il sentait en cette jeune femme, une odeur d’alcool prononcer et un désir intense enfouie en elle, peut être était elle destinée à faire de grande chose, mais bon pour l’instant, la nourrir et la vêtir ferait l’affaire.
« Àaa, il doit être environs dix heures, tout au plus, mais vous êtes? »