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 L'esthétique de l'ultrason

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Konoha
Myakudou On'
Myakudou On'
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Message(#) Sujet: L'esthétique de l'ultrason L'esthétique de l'ultrason EmptyJeu 16 Aoû 2012 - 9:10

    I) Follow, follow...



    Aaah, le sol était à cinquante mètres en dessous...

    Bliiiiiiiiiiiiiiiii

    On' émergea d'un de ces rêves dans lesquels on a l'illusion de voler.
    Un coup d’œil vers l'horloge mécanique... deux heures du matin. Pourquoi maintenant ? Était-ce une plaisanterie ?
    La réponse était un son. Il venait de derrière la porte coulissante de son modeste studio. Il sortit, passa une tête dans la rue. Guidé par se oreilles hypersensibles, il leva la tête vers le ciel de cette nuit sans lune. Un volatile faisait des ronds autour de sa maison. Trop petit pour être un hibou, et surtout trop aigu, le plus doué des sopranos n'atteindrait jamais une telle hauteur...
    … à bien y réfléchir, c'était peut être des ultrasons. Même pour un oiseau, c'était bien trop aigu. Dans sa lucidité approximative de pleine nuit, Onpu envisagea deux possibilités : c'était soit un papillon de nuit géant, soit une raie manta qui savait voler. Ou alors un cerf-volant hanté ! Peut-être même une chauve-souris, tiens. Ha ha ha.
    La meilleure chose à faire était peut être encore de se recoucher...



    Aaah, les nuages étaient à la portée des doigts...

    Bliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

    Cette fois, c'en était trop. Réveillé en sursaut une deuxième fois par ce son strident, il décida de prendre le contrôle de la situation. De mauvais poil, il enfila un short, un polo puis son gilet de chûnin, verrouilla sa demeure et se lança à la poursuite de la bête, en commençant par se propulser au sommet d'un immeuble alentour pour s'en rapprocher. « Bliiiiiii », faisait-elle. Aucun autre habitant du quartier ne semblait être dérangé par ce cri dont la fréquence dépassait largement les 20 kilohertz... ah, le prix de la sensorialité !
    A peine arrivé au sommet de l'immeuble, il put voir le volatile commencer à s'éloigner. Comme s'il avait attendu qu'il s'extirpe de son pyjama pour partir... il ne s'en tirerait pas aussi facilement. Onpu suivit l'animal, bondissant de toit en toit, en amortissant au maximum l'impact de ses sandales avec un peu de chakra de silence. La chauve-souris (car c'en était bel et bien une), quant à elle, fusait tout droit vers le Nord. Si bien qu'elle le mena au delà des trois têtes sculptées des Hokage, à la porte Nord du village. Celle-ci était fermée.
    Dans un élan de fureur nocturne, le garçon rejoignit le rempart, intercepta un veilleur de nuit et lui demanda l'autorisation de passer.

      - Et on peut savoir pourquoi ?  Lui répondit ce dernier.


    Il réfléchit un peu. Ce n'était peut-être pas la peine d'insister... après tout, la chose était partie dans les bois.

      - Rien, désolé.


    Le garde le dévisagea d'un air dubitatif, avant de lui tourner le dos et de recommencer sa ronde. A ce moment précis... Bliiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii.
    Onpu commençait à se poser quelques questions. Qu'avait-il fait aux esprits de la forêt pour qu'ils lui envoient une chauve-souris lui pourrir sa nuit ? Elle continuait à dessiner des ronds autour de lui. Il faillit rappeler le veilleur pour lui montrer à quel point il était maudit, mais celui-ci était déjà loin. Et puis il n'en aurait probablement pas eu grand chose à carrer...
    Tant pis. Il passa silencieusement de l'autre côté du rempart, et s'engagea dans la forêt, suivant la bête volante avec la ferme intention de lui clouer les oreilles contre un arbre.



    ♪♪♪



    II) Blind test




    Elle ne semblait pas lui en vouloir particulièrement, en fin de compte, c'est comme si elle lui indiquait un chemin. Ses cris le guidaient dans l'obscurité totale de la forêt. Un vent d'automne expédiait des feuilles mortes dans le visage d'Onpu, il en évitait la moitié en anticipant le léger souffle produit par leur chute. Le vol de la chauve-souris, quant à lui, se faisait de plus en plus lointain. Elle accélérait, la bougresse.
    Onpu trébucha. Il se retrouva par terre, la tête dans les feuilles sèches. Quand il la releva, le « flap flap » des ailes et les « bliii » avaient totalement disparu. Plus que jamais, il était seul. Dans le noir. A deux heures et quart du matin. Bravo l'artiste.

    Un bref examen autour de lui... mince, c'était plutôt inquiétant, en fait. Il n'y voyait rien. Mais RIEN. Même pas un semblant de silhouette d'arbre, ou quoi que ce soit. Formant le signe du rat, il fit jaillir de son bras quelques étincelles de raiton pour éclairer les environs, mais à sa grande surprise toute forme de décor semblait avoir disparu. Là, c'était vraiment une mauvaise blague.
    Pourtant, il avait bien les pieds au sol ; il fit quelques pas, et rentra dans un arbre qu'il n'avait pas vu et ne voyait toujours pas après s'y être cogné. Au moins, il se trouvait toujours dans la forêt... mais c'était comme s'il était devenu totalement aveugle d'une seconde à l'autre. Continuer de bouger dans tous les sens aurait été inutile, voire dangereux. La situation avait prit une tournure extrêmement oppressante, le jeune homme ne s'était jamais senti aussi désespérément impuissant.

    S'il ne pouvait se fier à ses yeux, il était encore temps de faire confiance à ses oreilles. Le vent et les bruits de l'environnement n'avaient pas disparus. Sa technique du microphone pourrait peut-être le guider vers la sortie de ce cauchemar !
    Mais alors... un nouveau battement d'aile fit son apparition. Il était accompagné d'ultrasons, beaucoup plus présents que les précédents. Rien à voir avec celui de la petite chauve-souris d'avant, cette fois les ailes étaient bien plus volumineuses, et donnaient ainsi une idée de la bestiole qui allait avec. Un sacré morceau. Il ne voyait toujours rien, mais il pouvait entendre sa grosse masse s'approcher. Avec une vitesse inquiétante d'ailleurs. Elle lui fonçait droit dessus. Danger.

    La terre était meuble. Trois mudras plus tard, On' frappa du pied. Un pilier de terre jaillit en un quart de seconde entre lui et la bête qui semblait vouloir lui rentrer dedans. Une collision violente retentit... On' fit quelques pas en arrière, mais se prit une branche d'arbre contre la nuque. Ouch.
    C'était sans doute cette chose géante qui lui voulait du mal. Peut être avait-elle même crée l'illusion de noir total dans lequel il était plongé... la technique doton ne l'arrêta pas bien longtemps, elle avait recommencé à voler, autour de lui. Les arbres ne la dérangeaient pas le moins du monde, elle les évitait comme en plein jour, à la manière d'une chauve-souris.

    On' eut comme un déclic. Après tout, lui aussi disposait d'un sonar intégré, et c'était le moment ou jamais pour s'en servir.
    Signe du serpent. Du chakra se concentra autour de sa bouche ; il propulsa un son à très haute fréquence droit devant lui. En bougeant sa tête et ses oreilles pour capter chaque réflexion sur l'environnement, il put ainsi analyser globalement le relief du terrain, assez pour pouvoir se frayer un chemin à travers les troncs d'arbre.
    Des battements d'ailes. La chose géante se rapprochait de lui, mais Onpu préparait déjà sa contre-attaque. Du raiton, cette fois. Au moment où la bête s'apprêtait à le charger violemment une nouvelle fois, il se retourna habilement et envoya son poing en avant, libérant une décharge électrique dans son corps. Le contact fut bref, mais il pensa l'avoir touché à la tête suffisamment fort pour l'avoir sonné... il ne tarda pas à voir ce qu'il en était. Après la frappe, le genjutsu de noir se dissipa, et ses yeux habitués à l'obscurité totale furent comme éblouis par la lumière des étoiles du ciel. Quand à son agresseur, désormais à terre sous le choc du coup de poing-éclair... c'était bel et bien une chauve-souris. Aux allures de cauchemar. Elle faisait deux fois la taille d'Onpu, et semblait extrêmement musclée. Des anneaux métalliques ornaient ses deux gigantesques oreilles. C'était loin d'être une créature normale.
    On' n'eut pas l'occasion d'être effrayé longtemps par son apparence, elle se releva et disparut dans les bois en une fraction de seconde.
    Presque par réflexe, il se mit à la suivre. Il en était lui-même surprit, car la peur l'envahissait. Mais si c'était un rêveur, il n'avait pas non plus pour habitude de fuir ses cauchemars. Il préférait les traquer, jusqu'à découvrir leur vrai signification...



    ♪♪♪



    III) Bat-san begins



    Après une grosse demi-heure de course à la poursuite de cet animal mutant qui volait au ras du sol, les talents de traqueurs d'Onpu le menèrent près d'une paroi abrupte, en pierre. En haut, un trou énorme dans la roche... probablement la grotte où la chose s'était réfugiée.
    La logique aurait voulu qu'il prenne note de cet endroit mystérieux où il avait presque été guidé, et d'y revenir le lendemain avec du renfort pour faire des fouilles. Mais le chûnin en demandait encore. Comme hypnotisé par les ultrasons qui semblaient résonner par milliers dans cette cavité, il décida de s'y engager.
    Il escalada la paroi, s'engouffra dans le trou, plongeant une nouvelle fois dans les ténèbres.
    C'était une caverne large. Et humide. On entendait le bruit blanc de l'eau au loin, sans doute une petite cascade. Onpu avança prudemment, guidé par son ouïe. Au fut et à mesure qu'il progressait dans l'obscurité, les ultrasons au loin se muaient en une sorte de voix caverneuse, qui aurait pu provenir du centre de la terre. Un frisson...

    Le seul moyen de continuer plus loin était de passer dans une sorte de couloir étroit dans lequel l'eau ruisselait. Il posa un pied... glissa, et se mit à tomber dans cet sorte de toboggan de pierre. Celui-ci déboucha sur un lac sous-terrain, dans lequel il fut immergé avant d'avoir eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait. Il se dépêcha de remonter à la surface, son cœur battait à mille à l'heure.
    Un regard autour de lui ; ses yeux, à l'instar de ses oreilles, avaient finis par s'habituer aux lieux. Il se trouvait sur un large rocher plat, au beau milieu de l'eau qui occupait l'espace. De nombreux flux aqueux échouaient de toutes parts dans ce lac, non sans résonner bruyamment, et pour cause : l'endroit où il se trouvait était une espèce de dôme naturel aux dimensions vertigineuses, les moindres sons se réfléchissaient sur les parois en pierre et étaient amenés à résonner de manière exagérée dans cette gigantesque cavité.
    Quant à la voix caverneuse d'auparavant, elle s'était arrêtée.
    Remplacée par un grondement, plus menaçant encore, constitué d'une infinité de claquements d'ailes, d'ultrasons et de bien d'autres choses... le nuage de chauve-souris fit son apparition, sortant de nul part. Toutes se mirent à tournoyer autour d'Onpu, qui pouvait presque sentir l'air balayé par leurs mouvement lui claquer au visage. Il se tenait droit, trempé, immobile, piégé dans l’œil de ce vortex de bestioles fantomatiques, à la fois subjugué par la beauté du spectacle audio-visuel qu'elles lui offraient dans le noir, et terrorisé par leur nature. Ces animaux possédaient définitivement quelque chose de familier, une façon d'être et une esthétique dont On', malgré les sueurs froides provoquées par cette parade démoniaque, n'arrivait pas à se lasser. Les ultrasons qui tout à l'heure l'avaient arraché à son sommeil sonnaient maintenant comme des signaux complexes d'une extrême clarté et d'une étrange élégance, son ouïe s'y était finalement habituée.
    Le cortège volant finit par s'éloigner aux quatre coins de la grotte, laissant s'installer à nouveau le chant des cascades, presque couvert par le souffle saccadé du chûnin qui se réjouissait d'être en un seul morceau.

    Une main froide et velue sur l'épaule, AAAAH !!!

    Monad:

    Ce n'était autre que la chauve-souris géante qui l'avait attaqué dans les bois près d'une heure auparavant. Elle le fixait de ses yeux vides. Debout, elle le dépassait de deux têtes et demi. Le rythme cardiaque d'On' fit un bond. Lui aussi, en arrière. Il manqua de retomber dans le lac.

      - Du calme.

      - TOI ! TU...

      - DU CALME, QUE DIABLE !!


    Droite comme un pilier, la bête bougeait à peine la bouche en parlant. Elle avait une voix à la fois monstrueuse et improbablement suraiguë, mais à bien y réfléchir c'était plutôt normal pour un chiroptère. Onpu faisait d'ailleurs certainement partie des rares élus à être capable d'entendre son discours... Moins choqué par sa capacité de parler que par sa corpulence, il la dévisageait, impuissant devant tant de surprises.

      - Pour tout à l'heure dans la forêt, je te présente des excuses, même si par ta faute je me suis sévèrement cogné à deux reprises. Mon but n'était pas de tuer mais de te tester.
      - Me tester pour quoi ??
      - Du calme.
      - J'ai réussi, au moins ?
      - Je n'ai pas dit cela.
      - J'ai échoué alors ?
      - Non. Tu m'agaces, laisse-moi parler.
      Cela fait un moment que l'on garde une oreille sur toi. Tu as une approche de la vie qui nous plaît, à moi et ma confrérie. Et puisque tu as fais l'effort de venir jusqu'ici, je vais faire en sorte que tu y trouves ton compte.
      Note bien que ce que je vais te proposer n'est pas une récompense, mais un deal.


    L'animal, comme ses congénères miniatures, possédait des mains au bout des ailes. L'épaisseur squelettique de ces dernières ne l'empêcha pas d'effectuer deux paires de mudras... cette chauve-souris avait peut-être sa propre vision du chakra, mais elle le maîtrisait. Dans une légère fumée, elle invoqua au sol une sorte de parchemin géant, qu'elle déroula au sol. Celui-ci était vide. Blanc. Excepté au début, où il y avait deux noms écrits à l'encre rouge, précédés d'une espèce de signature circulaire bizarroïde. « Senjuu Raito, Nara Yagami », et c'était tout.

      - Je ne sais pas si « deal » veut dire la même chose chez vous autres, mais j'ai peur de ne pas avoir saisi toutes les subtilités.
      - Si tu acceptes cet accord, tu auras le droit de faire appel à un membre de notre confrérie quand tu le voudras.
      - Et quel intérêt ?
      - Allons, ne sois pas de mauvaise foi. Tu es bien placé pour savoir que tu as un certain nombre de points communs avec nous. Nous ferons de bons alliés pour toi.
      - Oui, mais pour vous, quel intérêt ?
      - Pas tes oignions.


    Onpu réfléchit un peu. C'était plutôt alléchant ; après tout, l'effroi qu'il avait ressenti au milieu de la tornade de chauve-souris n'était probablement rien comparé à ce que n'importe qui aurait ressentit si toutes ces bestioles s'étaient mises à l'attaquer en même temps. Un effet de surprise phénoménale, mais également une grande force de frappe serait disponible s'il acceptait.
    C'en était louche.

      - Et quelle est ma part du contrat ?
      - Tu nous devras le plus grand des respects quand nous serons à tes côtés. Nous serons tes alliées, pas tes techniques. Si tu viens à nous manquer de respect de quelque manière, le contrat sera rompu, et nous aurons la liberté de nous retourner contre toi.
      - … Et ?
      - … Et tu évites de nous invoquer avant le coucher du soleil.
      - … Et ?
      - … Et tu signes.


    Elle pointait le parchemin.
    S'il s'en tenait à ce qu'elle venait de lui dire, c'était un deal honnête... à se demander pourquoi si peu de gens l'avaient acceptés. D'un autre côté, ces animaux semblaient faire preuve d'un certain élitisme ; et puis, la « confrérie des chauve-souris » était peut être une communauté récente.
    Sa décision était prise. Il s'avança vers le parchemin, et s'accroupit devant.

      - T'aurais pas de l'encre ?


    Facepalm pour la chauve-souris.

      - C'est une plaisanterie, j'espère.


    Dubitatif, Onpu regarda de plus près le rouleau.
    Ah... c'était donc ça l'encre rouge.

      - Attends, je vais t'aider, lui dit la créature en levant la main comme pour le griffer...
      - Non non non, c'est bon, c'est bon. Je gère. No problem.


    Il sortir un kunai de sa poche, prit une grande bouffée d'air, ferma les yeux, et créa une entaille au bout de son index droit. Il n'avait pas peur du sang, mais presque... sans prendre le temps de regarder si le fluide s'échappait du bout du doigt, posa sa main en haut d'un espace blanc du parchemin et écrit son nom... puis son prénom. Pas « Onpu », mais son vrai prénom, celui que ses parents lui avaient donné.
    Venait maintenant la signature. Il regarda avec attention celle des deux précédents titulaires du pacte... et il comprit. Cette approche lui plaisait.
    Du sang s'échappait encore de son doigt. Il en déposa un peu sur son oreille, avant de la badigeonner totalement. Une fois qu'elle fut totalement rouge, il pressa son oreille ensanglantée contre le parchemin, achevant ainsi sa « signature ».

      - Vendu, déclara la chauve-souris géante. Le code pour nous joindre, c'est buffle, rat, oiseau, lapin et dragon.
      Je te laisserai t'y entraîner de ton côté. L'aurore approche, j'ai à faire.


    Elle fit mine de partir, déployant ses ailes.

      - Et comment je fais pour sortir d'ici ?


    Elle se retourna, et pointa du doigt une extrémité du lac, où une chauve-souris volait en rond, comme si elle attendait qu'Onpu la rejoigne.

      - Tu connais déjà Clogs. C'est lui qui t'a mené ici, c'est lui qui t'aidera à en sortir.
      Quant à moi je me nomme Monad.

      - ... tu es... la cheffe de la confrérie ?
      - Non.
      - Il y a un chef ?
      - Tu ne veux pas savoir.
      - Comment il s'app...
      - Tu ne veux pas savoir.




    Et elle s'envola, disparaissant dans l'ombre d'un tunnel telle une goutte d'eau dans l'océan.
    Onpu n'avait plus rien à faire dans cet endroit, et il commençait vraiment à avoir froid. Il marcha sur l'eau, vers l'animal nommé Clogs qui l'attendait toujours, au loin, pour le guider hors de cette grotte étrange.


    La sortie.
    Un vent chaud, comme le dernier soupir de l'été. Les premiers rayons du soleil brûlaient le dessous blanc des feuilles des arbres, à deux doigts de leur rousseur saisonnière.
    Une nouvelle saison, un nouveau rythme de vie attendait Onpu.
    Une grande journée de sommeil également.


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