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 Un civil, ça existe ! [Terminé]

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Konoha
Nobura Daiki
Nobura Daiki
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Grade : Civil
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Rang : C

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Message(#) Sujet: Un civil, ça existe ! [Terminé] Un civil, ça existe ! [Terminé] EmptyLun 22 Jan 2018 - 23:38


Nobura Daiki
Nom(s) : Nobura
Prénom(s) : Daiki
Age : 26 ans
Pouvoir(s) Spécial(ux) : Aucun.
Nationalité : Civil de Konoha, né à Tetsu.
Avatar : Matou Kariya de Fate Zero
Derrière l'écran
Pseudo : Daiki on va dire
Comment êtes-vous arrivé ici ? Via TopSite.
Souhaitez-vous un parrain ? Oui ! J'ai bien compris le fonctionnement du forum mais j'ai trouvé très peu d'indications concernant les civils.
Avez-vous des suggestions à faire ? Plus d'indications sur le RP des civils, même si ça doit pas être beaucoup joué.
Connaissez-vous le fonctionnement des forums rp ? Oui !
Nous utilisons énormément Skype pour toute la gestion hrp, en avez-vous un ? Je vais en faire un !
Physique
On devine facilement que Daiki n’est pas un enfant du Feu, sa chevelure blanche ébouriffée et son teint pâle trahissent ses origines nordiques. Il mesure un mètre quatre-vingt-cinq pour soixante-cinq kilos, mince et musclé Daiki a conservé sa forme physique de jeune artisan forgeron.
Les traits de son visage sont fins et son œil droit brun illumine son regard, mais cette harmonie est bouleversée par d’impressionnantes cicatrices sur tout le côté gauche de son corps et de sa face. Des brûlures causées par un feu qui lui a fait perdre la vue de l’œil gauche dont la pupille est complètement banche.
Daiki continue de respecter les traditions vestimentaires de son pays d’origine, il est toujours habillé d’un kimono propre et élégant, une large ceinture en tissu autour de la taille et une longue et large cape lui couvre les épaules. Il n’hésite pas porter des couleurs vives, quitte à attirer le regard des autres sur lui, il assume totalement son apparence.    


Caractère
Daiki a grandi dans une famille honnête et modeste de forgerons depuis des générations. Depuis toujours, on lui a appris le goût du travail bien fait, le respect, la politesse, toutes les valeurs pour faire de lui un artisan et un commerçant respectable capable de reprendre le business familial. Un mode de vie qui a toujours plus au jeune forgeron, aujourd’hui encore il continue de vivre selon les règles et les valeurs héritées de son père et de son éducation.

Daiki est très intelligent. Prévoyant, il a le sens des affaires et de la débrouille. Généralement optimiste, il est gentil, drôle, humble, plein d’empathie. Sociable, il aime apporter son aide aux gens qui en ont besoin, il sait l’importance que peuvent avoir les relations dans le monde civil et il n’hésite pas à rendre service pour qu’on lui soit redevable.

Mais Daiki a aussi ses défauts, le plus grand étant la cupidité. Il aime les jeux d’argent et l’alcool, il est têtu et parfois il peut lui arriver de bafouer ses principes pour atteindre son but, sans vraiment s’en rendre compte tant il est aveuglé par son obstination.


Background
Réputation : C'est un forgeron du village, je ne sais pas si je peux dire qu'il a déjà une réputation vu que je viens d'arriver. Mais il va bientôt ouvrir son propre commerce (il va essayer du moins), donc tout partira de là.


Hrp : J'espère ne rien avoir avancé d'impossible pendant ma présentation, j'ai essayé de suivre un maximum les background de Konoha, de Hi et de Tetsu. Sinon je changerai ce qui ne va pas.
____

Éclairé par trois grandes bougies, Daiki fixait le livre aux pages blanches ouvert devant lui. Un stylo à plume entre les doigts, un encrier rempli d’un liquide noir et visqueux juste à droite de sa main, le forgeron était absorbé par les flammes qui dansaient chaotiquement sur les bâtons de cire. Après quelques instants d’absence, l’œil valide du civil se posa sur la première page du livre, Daiki pris une grande inspiration, trempa sa plume dans l’encre et commença à écrire.

Daiki a écrit:
Introduction

Est-ce prétentieux de vouloir mettre sur papier le récit de sa vie ? C’est la question que je me suis posée avant d’écrire ces mots. Puis j’ai pensé que c’est un bon moyen d’éviter que mes souvenirs soient modifiés par le temps, j’ai donc décidé de rédiger ce livre, cette autobiographie, que je vais étoffer au fil des jours, d’ailleurs je n’ai toujours pas trouvé de titre… Je suis loin d’être un écrivain, je n’ai pas la prétention de savoir manier les mots aussi bien que je manie le marteau à la forge, j’écris mes pensées comme elles viennent, ce qui risque de donner un texte décousu mais il sera authentique.

Je vais commencer par me présenter, je me nomme Nobura Daiki (mon nom sera surement dans le titre), au jour où j’écris ces mots l’hiver prend fin et bientôt les forêts verdoyantes de Hi brilleront sous le soleil du printemps. J’ai vingt-six ans, je suis né à Tetsu, le pays du Fer et territoire des valeureux samouraïs. J’ai vu le jour dans un village sans nom en périphérie de Suzaku la ville du sud du pays, d’ailleurs village est un bien grand mot, c’était plutôt un hameau…

Mon père, Ranji Nobura, était le forgeron du village, il fabriquait des armes et des équipements qu’il revendait en ville. Il ne gagnait pas énormément mais suffisamment pour nous faire vivre convenablement. Ma mère, Sakura, est tombée très malade après ma naissance et elle est morte quelques mois après, j’ai donc grandi dans la forge avec mon père.
Dans ma famille on est forgeron de père en fils, j’ai des ancêtres qui ont travaillé avec les plus grands samouraïs du pays et mon père aspirait à faire graver le nom de notre famille dans l’histoire des artisans du Fer. J’ai donc appris le métier avec mon père, j’allais ensuite avec lui jusqu’à Sukazu et je l’observais commercer, négocier, tisser des relations professionnelles et ainsi j’ai appris les bases du commerce, la valeur de l’argent, le sens des affaires.

C’est comme ça que j’ai grandi, et j’ai adoré mon enfance même si j’imagine que le fait de vivre sans mère m’a manqué à certains moments, aujourd’hui je n’en tire aucune souffrance.

Ah oui ! J’allais presque oublier, le régime impérial ! Oui, Testsu est tombé sous le joug de l’Empire bien avant ma naissance même si le Shogun a conservé une grande partie de son autorité sur les terres du Fer. Ben personnellement je n’ai pas mal vécu la tyrannie impérialiste, on en croisait très peu dans notre village et en ville je n’ai jamais eu de problèmes avec eux, ni moi ni mon père.

Quand j’ai eu vingt ans, la Grande Guerre a éclaté. C’était le chaos à la frontière avec Hi no kuni, mais les affaires non jamais été aussi bonnes… Moi et mon père travaillions jour et nuit, l’Empire réquisitionnait toute notre production et tout le monde voulait une arme pour pouvoir se défendre en cas d’attaque, on donnait à l’Empire et on vendait aux autres. On a fait une vraie fortune… D’ailleurs, je crois que je vais devoir aller récupérer le trésor familial qu’on a enterré quand les conflits commençaient à être vraiment très proches de chez nous... Je vais devoir demander ça aux shinobis de Konoha peut-être… A voir…

Enfin voilà, on a prospéré une année en espérant voir la fin de la guerre, les conflits étaient de plus en plus intenses partout dans le monde, les peuples du monde se soulevait contre l’Empire de Kakeshuou. Au bout d’un moment, j’imagine que certains groupes de mercenaires et de voleurs ont voulu profiter de l’occasion pour sévir dans le sud du pays, d’habitude protégé par les samouraïs, mais avec la guerre à Hi les troupes étaient toutes mobilisées. Et une nuit, des hurlements dans les maisons voisines m’ont tiré de mon sommeil, on était attaqués.

Avec des torches, les mercenaires mettaient le feu aux maisons pour faire sortir les gens, quand ils pouvaient ils entraient et volaient les objets de valeur. Je me souviens du toit de la forge qui s’embrase, mon père qui me hurle de me mettre à l’abri pendant qu’il écrase le crâne d’un homme avec un coup de marteau. Je me souviens des flèches qui traversent son corps, des coups de dague dans son abdomen alors que je suis impuissant. J’étais pétrifié devant autant d’horreur, caché dans ma maison en flammes (moi et mon père vivions dans l’étage au-dessus de la forge), je n’ai pas fait attention au feu qui se propageait. Le toit s’est écroulé sur moi, je me souviens d’une poutre qui m’écrase la poitrine alors que le feu me lèche et me dévore la peau. Tout mon côté gauche est écrasé, mon visage est cuit par les flammes et la douleur, vive et continue. Ce moment a duré une éternité pour moi, ce n’était en fait que quelques secondes je pense, avant que je ne m’évanouisse.

Je me suis réveillé dans les cendres le lendemain, une violente pluie s’est abattue sur le sud du pays et cette météo salvatrice m’a sauvé j’imagine. Enfin, ce n’était que le début d’une nouvelle année de galère, j’ai mis des semaines à me remettre. Je me suis soigné comme j’ai pu avec les objets récupérés dans les débris des maisons du village (c'est probablement à cause de mes médiocres connaissances en médecine que mes cicatrices sont si..Moches). Je ne sais pas où j’ai trouvé la force pour survivre, mais j’ai survécu !
Mais la guerre n’était pas terminée. Je me suis alors caché, d’abord dans les montagnes de Tetsu mais rapidement j'ai franchi la frontière sud pour rejoindre les forêts de Hi bien plus faciles à vivre que les monts glacés du Fer.

Encore fois j’ai survécu comme j’ai pu avec ce que m’offrait la nature, un grand sac en toile sous le bras avec ce que j’ai pu récupérer pendant mon errance : des vêtements, des kunais retrouvés sur des champs de bataille, des bijoux abandonnés, de tout quoi.

Alors que je perdais espoir après une année d’exil et de solitude totale, j’ai commencé à croiser de plus en plus de voyageurs. Trop méfiant, j’ai d’abord commencé par les éviter, et quand j’ai vu que tous partaient dans la même direction, des enfants, des femmes, des charrettes remplies de biens et de nourritures. J’ai alors compris, la guerre était terminée et que les survivants se réunissaient quelque part.

J’ai suivi les voyageurs jusqu’à ce qui semblait être un village en construction. Je venais de découvrir Konoha. Heureusement, le village était accueillant avec tous et toutes, j’en ai donc profité et j’ai rejoins le village où j’ai mis mes talents de forgeron au service des shinobis. Ce n’est qu’après que j’ai pu apprendre tout ce qu’il s’est passé à travers le monde, j’ai écouté les récits des hommes dans les auberges, j’ai pu apprendre l’histoire de Konoha, des rebelles de Hi, la défaite de l’Empire… Mais ce n’est pas le but de cet ouvrage. Je me suis alors intégré autant que possible, j’ai obtenu un petit appartement permanent dans une auberge et pendant quatre ans j’ai travaillé comme civil de Konoha.  

Aujourd’hui, j’écris ces pages éclairés par trois bougies dans ma chambre de l’auberge. J’ai décidé d’avancer, je vais reprendre le métier de ma famille et faire prospérer le nom des Nobura entre les murs de Konoha. Mais j’écrirais ces pages plus tard, après tout ce n’est que le début de mon aventure et je ne peux pas écrire ce qui n’est pas encore arrivé. Je vais utiliser tout ce que j’ai appris de mon père, me faire des relations, commercer, faire des bénéfices et pourquoi pas fournir en équipements et en armes les ninjas du village de la Feuille.


Daiki posa sa plume, il venait d’écrire d’une traite et il ne s’était pas rendu compte du temps qui passe. Les bougies crachaient leurs dernières bouffées de cire avant de s’éteindre, plongeant le forgeron dans le noir. De toute façon, il n'avait pas le force de se relire, cet exercice l'avait épuisé, et dans tous les cas il n'allait pas recommencer. Son texte était peut-être mal organisé mais il restera tel-quel.

Il devait aller se coucher, demain il allait se mettre au boulot, sérieusement.



Dernière édition par Nobura Daiki le Mar 23 Jan 2018 - 18:52, édité 1 fois
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Message(#) Sujet: Re: Un civil, ça existe ! [Terminé] Un civil, ça existe ! [Terminé] EmptyMar 23 Jan 2018 - 18:20

Bonjour à toi,

Bienvenue parmi nous, au sein de la communauté "psychopathe" de Shinobi no Hattan.

Concernant ta fiche, nous ne pouvons pas te valider dans l'immédiat. Il y a un passage qui nous a frappés.

Citation :
J’ai donc appris le métier avec mon père, j’ai forgé ma première plaque de jambière à six ans ! J’allais ensuite avec lui jusqu’à Sukazu et je l’observais commercer, négocier, tisser des relations professionnelles et ainsi j’ai appris les bases du commerce, la valeur de l’argent, le sens des affaires. A dix ans je pouvais tenir la forge seul et vendre des outils aux paysans et autres habitants de notre hameau.

En effet, après renseignement, il est impossible pour un enfant âgé de dix ans de porter un manteau et une plaque seul. Les muscles ne sont pas encore entièrement développé à cet âge. Que ton pète t'aide, d'accord mais seul, c'est impossible.

Par ailleurs, le gamin qui gère seul la forge ne parait tout aussi impossible. Des brigands pourraient aisément venir te mettre à mal pour te voler par exemple. Les outils de forgeron sont beaucoup trop lourds. je ne peux donc pas te valider en état. Une fois ce passage modifié, il est possible de voir ta validation arrivé.

Dés que cela est corrigé, préviens ici ou envoi un MP et nous reviendrons vers toi le plus rapidement possible.

En attendant, bon courage et passe une bonne soirée !
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Message(#) Sujet: Re: Un civil, ça existe ! [Terminé] Un civil, ça existe ! [Terminé] EmptyMar 23 Jan 2018 - 19:22

Salut !

Modifications apportées ! J'ai complètement viré les passages litigieux pour rester dans le raisonnable.

Merci
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Iwa
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Message(#) Sujet: Re: Un civil, ça existe ! [Terminé] Un civil, ça existe ! [Terminé] EmptyMer 24 Jan 2018 - 11:45

Rebonjour !

Merci pour les modifications apportées. Voilà qui est plus que correct. Concernant ton parrain, tu es confié à @Aizawa Izumi. N'hésite pas à lui envoyer des MP dés tu en as besoin.

Par les pouvoirs qui me sont conférés et la grâce de la sacro-sainte charte, je te valide en tant que Civil !

Tu seras ajouté au groupe de Konoha d'ici peu, par lequel tu obtiendras ta couleur.
Concernant le channel Skype de ton village, dirige-toi vers ton supérieur (Hayashi Kihran) pour qu'il puisse te rajouter et t'y inviter.

Bon jeu parmi nous Smile
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