Informations Messages : 2299 Rang : Par
| (#) Sujet: Tetsu no Kuni Lun 31 Juil 2017 - 21:18 | |
| TETSU
“par l'âme de mon sabre„
Clan : Samouraïs
Histoire Le pays du Fer connaît une histoire unique au sein de l’Empire. Ne comptant aucun représentant dans l’Alliances des différents pays, cette nation se plaçait officiellement sous la coupe et les ordres de cette autorité, agissant comme police militaire et morale garante de cette institution. Lors de la prise du pouvoir par Kakeshuou Samui, elle fut la première nation prise d’assaut par les ambitions de l’Empereur, mais sa fière résistance fut rapidement effacée pour être intégrée à l’un des modèles les plus surprenants du pouvoir.
Malgré son intégration aux terres impériales, Tetsu a gardé ses traditions les plus anciennes. L’ancien Shôgun est devenu Taï-Î-Shiro (commandant suprême) sous les ordres de l’Empereur, tandis que celui-ci se plaçait au sommet d’un système féodal profondément enraciné. Il reçut donc les serments d’allégeance des grandes familles seigneuriales, en se portant garant de l’inviolabilité des lois du Pays du Fer. Malgré la conquête par la force, les Samouraï du pays servirent alors de garde d’honneur à l’Empereur, et l’accompagnèrent dans chacun de ses combats et conquêtes, respectant les droits et obligations du Bushido, liant un maître d’armes à son seigneur.
Le pays, à l’instar des samouraï, demeura une nation fière et fidèle à l’Empire. Profitant de l’unité de l’Empire, son commerce entre Est et Ouest du Yuukan et une société féodale rurale mais très productive permettent le développement d’un pays aux allures pourtant austères et médiévales. L’autorité du Taî-Î-Shiro lui permet d’accorder des terres à des chefs régionaux (daîmyo) et d’administrer le territoire grâce à ses agents (samouraï et seîr’i). La stabilité du régime et sa réputation valurent au Commandant Suprême d’obtenir le droit de primogéniture héréditaire par l’Empereur.
La fin de l’Empire fut un réel bouleversement pour Tetsu. Perdant le Taî-Î-Shiro et le Kamui dans la même bataille, c’est une profonde restructuration qui s’annonça pour le pays. Présageant une rivalité entre les différents daimyôs, le droit de primogéniture héréditaire fut finalement conservé, érigeant Aoji Sanada comme princesse héritière. Retrouvant sa pleine indépendance, le pays reste globalement reconnaissant à une période qui a favorisé son développement et sa création identitaire sans bouleverser ses traditions. |
Daimyō Nom : Sanada Prénom : Aoji Âge : 30 ans Description : Hideyoshi Sanada, nommé Taî-Î-Shiro par Kakeshuou Samui, fut un souverain très populaire pour deux raisons principales : ses réformes néo-traditionnalistes, et sa renommée comme sabreur de génie. Grâce au soutien impérial, il sut diviser l’autorité seigneuriale sur le pays tout en encourageant la modernisation d’activités traditionnelles comme l’agriculture ou l’artisanat régional. Mettant les daimyos sous son patronage et stimulant leur compétition par de multiples rencontres et une planification à l’échelle du pays, les villes s’enrichirent tout en dépendant des campagnes, créant un cercle vertueux qui fit du Pays du Fer l’une des nations les plus prospères de l’Empire. Sa prouesse aux armes fit également de lui un modèle dans la maîtrise du katana et dans le respect du Bushido. Mort aux côtés de l’Empereur contre les forces du Vent, il demeure encore aujourd’hui un modèle unique pour les samouraï. Sa fille, Aoji Sanada, est une jeune samouraï d’une trentaine d’années, dont la légitimité repose avant tout sur un consensus mutuel sur l’héritage d’Hideyoshi. Son art dans le maniement du sabre en fait une combattante réputée, dont on dit qu’elle est la digne héritière du Taî-Î-Shiro. Mais certains remettent en cause sa légitimité à régner sur ses compétences administratives, sans même parler des opposants naturels à une femme. Hauts faits : |
Géopolitique Fervents partisans de l'Empire du Kamui, les Tetsujin nourrissent une amertume nouvelle et exquise vis-à-vis des Shinobis et de leur monde. Fief des Samouraïs, tout Ninja entrant dans le pays le fait à ses risques et périls.
|
|