Sous l'ombre des riches dignitaires et d'un gouvernement corrompu par les propriétaires des usines du Pays, la Capitale illustre avec une réalité répugnante le fossé entre riches et pauvres. Entrepreneurs et hauts dignitaires s'offrent les services des ouvriers à un prix insignifiant pour les servir dans ces grandes usines qui tapissent la région. N'ayant aucune possibilité de combattre la politique imposée qui est applaudit par le Daimyô corrompu, les civils vont jusqu'à se battre pour avoir une place dans ces usines afin de subvenir aux minimums de leur besoin.