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 J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs

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Suna
Ketsueki Atsumi
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Message(#) Sujet: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyMar 1 Nov 2016 - 13:26

Prison haute sécurité de Shimo no kuni, 2ème jour d'emprisonnement.

Je me réveille, le dos endolori par la planche de bois qui me sert de lit. Doucement, je me rappelle que je ne suis pas chez moi, à Kumogakure. Non, sûrement pas.

Les gardes tapent violemment aux portes pour réveiller tout le monde, avant de faire rouler quelque chose qui ressemble à une pomme par le dessous de la porte.

En tant que Shinobi, je me situe dans une cellule anti chakra, avec des sceaux sur les mains. Une douleur fulgurante me traverse la joue, ma punition pour avoir tenter de me défendre lorsque que l'on a scellé mes mains.

D'un geste lent, j'attrape le fruit qui a terminé sa course sous mon lit et croque dedans d'un coup sec.

Au fur et à meure que je me reveille, je commence à me rendre compte de ma situation. Je suis officiellement un prisonnier de Shimo no Kuni, pour avoir été prit sur le fait en train de transporter des armes pour les rebelles du pays.

Le genin qui était avec moi à réussi à sûrement réussi à s'en sortir, en tout cas, je ne l'ai pas vu ici.

Lors de mon interpellation, je ne portais pas de bandeau, je suis à leurs yeux un shinobi, d'un village inconnu. Je vais pouvoir faire jouer ça en ma faveur.

Le fruit que j'ai entamé atterris dans les toilettes de ma cellule, je n'ai vraiment pas la tête à manger.

Je ne ressens étonnamment rien, le vide complet. Étais-ce parce que j'avais le sentiment d'accomplir mon devoir de shinobi en étant ici pour mon village ? Va savoir.

Alors que j'allais reprendre place sur mon « lit », un picotement dans mon avant-bras droit attire mon attention. Il s'agit de mes aiguilles empoisonnés, dont j'ai enfoncer la quasi totalité dans mon peau, seule la pointe ressort, enduite de poison. C'est une petite arme utile, qui me permet d'empoisonner sans même que l'on s'en appercoive tant la pointe est fine et non douloureuse.

Elles sont tellement imperceptibles que les gardes ont du passer à coté.

Je m'allonge en soupirant, j'ai décidément le droit à tout les malheurs du monde...
Spoiler:


Dernière édition par Mizu Ikumo le Jeu 3 Nov 2016 - 18:44, édité 1 fois
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Iwa
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Message(#) Sujet: Re: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyMar 1 Nov 2016 - 20:18

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Tsukishima Nao
Shimo, notre beau pays de la Givre. Je le portais dans mon cœur au dessus de tout le reste, il était pour moi ma plus grande une fierté. Actuellement, c'était les trois grandes nations shinobis ainsi que l'empire des pays neutres qui dirigeaient le continent, mais bientôt, je viendrais révolutionner ce système et je le mettrai en ordre tel qu'il devrait être. Si aujourd'hui il n'était encore qu'un petit pays indépendant qui tenait avec peine debout, j'avais la conviction que dans un futur proche, il deviendra l'une des grandes puissances qui gouvernera le monde qui était le nôtre. Nous n'avions rien à envier aux autres, nous avions la force nécessaire pour créer une armée puissante qui pourra écraser n'importe quel autre pays. Tout comme Tetsu qui avait leurs samuraïs, nous avions le clan Kinzoku qui abritent sur nos terres. Si nous n'étions pas encore au sommet du Yukan, c'était uniquement à cause de la faiblesse de nôtre Daimyo, Oda Hiseyuki. Cette femme était tout simplement incapable de gouverner comme il se devait, elle n'avait pas les capacités requises d'un bon commandant. Elle avait la fierté et la force, mais il lui manquait quelques qualités, comme celle de la communication. À mes yeux, la personne qui devrait être à la tête du pays du Givre serait un homme au moins digne de ma personne, capable de répondre par la stratégie plutôt que la violence, mais qui par la même occasion soit capable de montrer une férocité sanguinaire. J'avais tous ce qui fallait pour être à la tête du pays, du monde. Pour le moment, je n'étais que l'un des conseillés du Daimyo, l'un de ces petits générales qui lui obéissaient comme un simple garde de l'armée impériale, mais ce n'était pour moi qu'une marche à gravir. Bientôt, je saurais rendre ce titre honorable à celui à qui il devrait appartenir. Je devais mener mon pays au sommet, je devais le faire briller sur tout le Yukan.

Néanmoins, avant de pouvoir me pencher sur le sujet, Shimo avait bien d'autres grands problèmes à gérer. Jusqu'à ce que je récupère le trône, il ne devait pas tomber face aux invasions aussi bien externes que internes. Je ferais tout ce qui était en mon pouvoir pour le maintenir debout. L'armée de Rebellion était pour le moment mon principal ennemi. Je lui portais une haine infinie, à elle qui voulait venir m'arracher mon trophée qui me revenait de droit. Elle n'avait pas le droit de gouverner, car elle n'était pas de l'armée impériale, elle n'était qu'une bande d'infamies. Leur cheffe avait beau être une Kinzoku, mais je ne la portais pas dans mon cœur, pas tant qu'elle s'opposera à nous. Aujourd'hui encore, ils avaient frappé en ville avec leurs activités illégales qui viennent semer le trouble et la panique au sein du peuple. Les habitants doivent rester fidèles à leur propre nation, ils ne doivent pas se laisser influencer par des barbares qui veulent juste ruiner et détruire. Si ces derniers se révoltaient également en prenant les armes, la situation deviendrait bien trop compliquée. On se devait d'être sévère même avec les plus pauvres pour leurs faire comprendre que c'était l'armée du Daimyo qui dirigeait ce pays. Encore un peu, et on saura mettre à terme aux agissements de la Rébellion qui a déjà bien trop existée.

Je poussai un long soupire avant de reposer mes coudes sur mon bureau. Les feuilles traînaient, par-ci par-là, avec tous les rapports de mes soldats concernant la fameuse Rébellion. Je les relisais mot à mot pour tenter de retrouver le moindre indice qui me permettrait de remonter à leur cheffe, afin de mettre fin à ce désordre qui menaçait mon pays. Cette bande n'était qu'un groupe d'individus qui avaient juste des armes, mais pourtant, quelque chose m'inquiétait de plus en plus. Il semblait qu'ils soient parvenus à signer un contrat avec des membres extérieurs, mais il ne s'agissait que de belles rumeurs qui circulaient. Je continuais à lire, lorsque soudain j'entendis quelqu'un frapper à ma porte. Je relevai le nez de mes documents pour dévisager un jeune homme portant un sombre masque. Il s'agissait de là mon garde personnel, mon serviteur Rogenasu, dévoué et loyal qui servait mes intérêts. Il venait m'annoncer la capture d'un individu qui serait un allié de la Rébellion, mais pas n'importe lequel, mais bien un shinobi. Ainsi ces rumeurs seraient bien fondées ?
    " Un shinobis, dis-tu ? Rogenasu, dis-moi tout ce que tu sais, donnes moi les détails de cet individu jusqu'à la moindre parcelle d'information que l'on connait de lui à l'heure actuelle. Il doit être un atout clef pour la Rébellion, il doit détenir des renseignements forts intéressants. Déplaces le dans la salle d'interrogatoire, j'irais m'occuper de son cas personnellement. " Ordonnais-je calmement.
Il me restait encore quelques documents à remplir avant de pouvoir m'absenter de mon poste.
HRP:
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Nukenin
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Message(#) Sujet: Re: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyMer 2 Nov 2016 - 15:54

Cacher son visage, cela peut avoir plusieurs significations. La première, et la plus simple, c'est qu'on a quelque chose à cacher, à protéger. De tradition, les bourreaux portaient un sac sur la tête, c'était à l'origine pour empêcher les représailles des familles des condamnés, même avec le temps, les divers avantages accordés et la tradition fit que le métier devenait héréditaire et que tout le monde connaissait l'identité du bourreau sus-dit nommé. Généralement, c'était un homme seul, dont la famille était considérée comme paria, mais très protégée par l'autorité locale. Si la fonction accordait des avantages considérables, il ne serait pas juste et vrai de croire que les bourreaux faisaient ce métier par paisible, il est admit qu'ils étaient la plupart du temps des gens tout à fait normaux, qui n'éprouvaient pas de plaisir à effectué leurs besognes, certains faisaient bien sûr preuve d'un certain zèle, comme ceux de l'inquisition qui était sélectionnés précisément pour leurs mauvais penchant, mais c'étaient des cas rares.

La vie de ces hommes n'était pas simple socialement, étant repoussé de part leurs conditions, ils avaient par exemple beaucoup de mal à trouver une compagne, le statut n'étant pas, dans le cas présent, la meilleure condition maritale qui soit. Pour ma part, j'étais tortionnaire parce qu'il n'y avait que là que l'on m'avait accepté. J'avais une maladie de peau, je boursouflais à la lumière du soleil jusqu'à devenir hideux et toute mon enfance, je l'ai passé à prendre des gadins dans la tronche parce que les gens pensaient que j'étais un monstre. J'ignore si ce que je fus si longtemps seul et abandonné eut été plus douloureux que le pierres que je recevais dès que l'on me voyait, mais je sais qu'un homme m'aura extirpé de ma vile condition. Tsukishima Nao était mon sauveur, il fut le seul à m'avoir accordé un tant soi peu d'humanité, c'est pour cette raison que je lui accordais ma totale fidélité et que je m'étais employé à affiner pour lui, mes talents d'interrogatoire. Je ne cache pas que j'y trouvais un certain plaisir, peut-être malsain, c'était mon métier après tout, et ce qui me plaisait n'était pas tant de faire mal, mais d'avoir un total contrôle sur la personne que l'on me donnait. Tous ils faisaient les malins, mais ils finissaient tous par craquer petit à petit. C'était ça mon boulot, faire craquer, pour faire parler.

On nous avait amener en cellule d'interrogatoire un Shinobi, et c'était pour le moment tout ce que l'on savait de lui. Honnêtement les affaires politique ne m'intéressaient pas, je me contentais d'obéir à mon maître et d'obtenir les réponses que l'on me réclamait. C'était bien suffisant, alors quand je prévenais mon maître de la situation, je nous laissais conduire vers la salle d'interrogatoire. J'aurais alors le loisir de guetter ma nouvelle proie. Le visage sous mon masque sombre. Pour ma part j'étais silencieux, et laissais mon maître prendre les devants, et dès qu'il ordonnerait, alors j'agirais.

Cette pièce était mon univers. Je ne savais pas s'il ferait des problèmes, mais je me tenais prêt. Pas de chaise, pas de grosses installations, juste une petite tables avec mes instruments, et des chaînes attachées au plafond, pour qu'il soit maintenu juste un peu au-dessus du sol bien droit et sans autre possibilité que celle de gémir. À partir de là, une fois que le prisonnier était prêt, je laissais faire mon maître qui n'avait qu'à donner l'ordre. Je retournais vers ma table et patientais, en observant ce jeune homme attaché par la mains au plafond.
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Iwa
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Message(#) Sujet: Re: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyJeu 3 Nov 2016 - 16:50

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Tsukishima Nao
Je devais me concentre sur mon travail de général et remplir mes tâches avant de pouvoir vaguer à d'autres occupations. Je terminais de jeter un coup d'œil sur les derniers documents déposés sur mon bureau, puis je les rangeais en pile pour faire parvenir à mes supérieurs les informations nécessaires. Rapidement, je donnais un coup de propre pour ne pas laisser le désordre s'éparpiller dans ma salle. La grosse pendule me disait qu'il restait devant moi deux petites heures de libres, avant que de nouvelles feuilles ne viennent s'entasser sur ma table. J'avais décidé de consacrer ce temps pour aller interroger le prisonnier qui fut récemment capturé, c'était l'occasion pour moi de lui soutirer les informations qu'il détenait. Je fermai la porte derrière moi avant de presser le pas vers la salle de torture, là où j'avais demandé plus tôt à Rogenasu de l'installer en attendant ma venue. Je ne savais pas grand chose de son état actuel, il avait dû être traité comme tous les autres prisonniers, à savoir une pomme tous les matins et deux repas peu garnis par jour. J'espérais qu'il n'était pas en trop "mauvais état", cela rendrait l'interrogatoire difficile. Il pouvait être épuisé physiquement, mais j'avais besoin que son mentale soit toujours présent afin de tirer des renseignements qui ne soient pas faux. C'était apparemment un jeune homme, enfin qu'importe, plutôt que par l'âge j'étais plus intéressé par la position qu'il occupait par rapport à la Rébellion et à notre pays.

Devant la porte de la prison, on me laissa entrer sans grande difficulté, comme quoi mon titre de général savait se faire valoir. Ce n'était plus la première fois que je venais en ces lieux, je dirais même que j'en connais les moindres recoins comme s'il s'agissait de ma poche. Je laissai deux hommes plantés devant l'entrée, avec l'ordre de ne laisser personne intervenir dans cette discussion privée. Les murs étaient fais de pierres épaisses et sans aucune ouverture à l'intérieur, avec un tel lieu, je n'avais pas à craindre une fuite. J'entrai, sans même frapper. J'étais le dernier invité attendu dans la salle, quoique, j'étais plutôt l'hôte.. D'une démarche qui montrait ma prestance, je me rapprochais du fameux prisonnier, tout en jetant un léger regard à mon homme de main qui n'attendait plus que les consignes. Le jeune homme aux cheveux bruns avait là un corps bien frêle, faible, s'il existait quelques petites blessures, je ne voyais aucun membre recousu, ni même une grande incision. Comme quoi, il allait rencontrer la véritable douleur pour l'une de ses premières fois. Ça ne devrait pas être difficile de lui faire avouer, rapidement il se brisera sous les coups, et laissera son corps parler à sa place. J'attirais son regard par-là, par le blanc des yeux je voyais plus ou moins son état. Je dirais qu'il semblait encore en forme, ce n'était apparement que son deuxième jour ici. L'expression sur mon visage était toujours aussi neutre, quelque peu hautain, surement dû au fait que j'étais largement en position de force. Ma prestance jouait en ma faveur, comme j'allais me jouer de sa position de faiblesse pour obtenir ce que je voulais.
    " Eh bien, bien le bonjour, jeune shinobi. Je suppose que vous savez pourquoi vous vous retrouvez ici actuellement, et je pense que vous êtes assez intelligent pour déduire ce qui va se suivre. Dans ce cas, arrêtons de perdre du temps inutilement. Je pose les questions, vous répondez, le mensonge ne sera évidemment pas toléré. Très bien, quel est votre nom ? Votre village, ou bien l'organisation que vous servez ? Vous venez de Kaminari, quel est votre lien avec le village caché des nuages ? Je doute que l'on laisse un shinobi armé, pénétrer sur le territoire de l'une des quatre grandes nations si facilement. Un secret à dévoiler ? Votre convoie transportait tout de même des armes de ce que je cru entendre. Une défense ? "
Je me mis à parler calmement, poliment, de façon courtoise. Je laissais des pauses pour aérer le dialogue, sans presser, avec un rythme doux qui laissait place au stresse et à la crainte. La peur ne s'infligeait pas par la barbarie des mots, seuls les faibles utilisaient ce moyen. La véritable peur, c'était une fois que l'on subissait les coups. Je connaissais déjà la réponse à certaines de mes questions, mais il ne me coûtait rien de vérifier une fois de plus. J'avais besoin d'avoir la certitude que nous partageons la même histoire. Commençons doucement, et avançons petit à petit. Je jetais un regard en direction de l'homme au masque à côté de sa table, comme un clin d'œil, je lui faisais comprendre par mon silence que je lui laissais le loisir de vérifier la vérité dans les paroles du jeune homme. Il était bien là pour ça, tandis que moi je posais mes questions.
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Suna
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Message(#) Sujet: Re: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyVen 4 Nov 2016 - 22:59

Ça y est, on y est. A vrai dire, les dirigeants n'avaient pas perdu de temps. J'ai tout de suite été perçu comme une source d'information intéressante, voilà pourquoi j'étais actuellement attaché par des chaînes et suspendu par mes bras dans une pièce peu rassurante.

J'ai déjà eu le temps de préparer mes réponses, mes mensonges étaient soigneusement élaborés, Hak m'aurait félicité si elle aurait été là.

De plus, ce n'était que mon deuxième jour ici, je n'était ni rongé par la folie, ni affamé, mon pays ne me manquait pas encore. Peut-être étais-ce un choix de leurs part de m'interroger pendant que j'étais encore en bon état, mais malgré mes réflexions la dessus je ne réussissais pas à saisir l'utilité de la démarche.

J'allais jouer la carte du shinobi coopératif, en usant de semi-mensonges pour paraitre convaincu de ce que je racontais.

La personne chargée de mon interrogatoire venait d'arriver, et sans plus atteindre, elle débuta les hostilités avec des questions prévisibles auxquelles toute personne interrogée devait s'attendre.

Même si j’étais totalement au point sur ma stratégie, il n'était pas possible de ne pas ressentir de peur à la vue de tout ces instruments de torture. J'étais totalement impuissant, avec mes quatre aiguilles enfoncées dans le bras.

« Bonjour à vous monsieur, je vois que nous sommes sur la même longueur d'onde, nous allons y gagner en temps et en effort. Je me nomme Mizu Akiharu, je suis né à Kiri, je n'étais encore qu'un très jeune enfant lorsque ma famille dut fuir le village en raisons des événements qui s'y produisaient à ce moment là. A la suite de la destruction de Kiri, les Mizu prirent des voies différentes, certains partirent habiter dans différents endroits, d'autres devinrent shinobis dans un village caché. Ma famille, elle, prit la voie de l'exil dans un tout petit village nommé Hyôgo, non loin de Kumokagure. Le ninjutsu médical ainsi que le suiton m'a été enseigné par ma mère. Vers mes 15 ans, j'ai du effectuer plusieurs missions dans ce pays afin de gagner un peu d'argent pour ma famille. Dans ce convoi, je n'était qu'une simple escorte. Je n'ai bien peur d'ailleurs de ne pas pouvoir vous renseigner sur ces marchandises, ce genre de client restent très...évasifs sur la provenance de la cargaison. »

Puis, je fis une moue symbolique, indiquant que je ne savais rien de plus. En réalité, cette histoire est composée de presque 50% d'éléments réels, ce qui me permettais de raconter tout ça sans en douter moi même.

Spoiler:
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Message(#) Sujet: Re: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyDim 6 Nov 2016 - 16:05

Pour ma part, j'avais l'impression d'entendre une récitation, une sorte de texte préparé à l'avance. Cela arrivait souvent, qu'à peine après avoir vu les outils, le prisonnier déballe tout ce qu'il avait à dire d'une traite, de peur que nous ayons à nous en servir. Je n'étais pas normalement, celui qui faisait les questions, j'étais celui qui faisait donner les réponses. Je restais donc à ma place quand il parlait, et j'attendais que mon maître m'ordonne de le laisser tranquille, ou bien le contraire. Je doutais sincèrement que ce garçon l'aura convaincu du premier coup. Il n'était pas si dupe, et l'habitude de nos interrogatoires me rappelait qu'il aimait à vérifier les informations qu'on lui donnait. Il avait par exemple, disait-il, vécu la destruction de Kiri. C'était une affirmation bien présomptueuse, aisément vérifiable et au vu de son âge, il aurait été très jeune lors de cette destruction. Mais pas le moindre doute qu'il aurait eu des échos sur cette destruction s'il l'avait véritablement vécu, et il avait malheureusement quelqu'un en face de lui qui savait précisément ce qu'il en était. De même que sous la douleur, en feignant de ne pas être convaincu d'une réponse, on entendant bien souvent une toute autre chanson... La douleur n'était que l'assurance de la réponse et feindre de ne pas croire ajouté à cela était la plupart du temps suffisant.

Je me saisissais d'une pince, quand mon maître me lançait un regard sans équivoque. Il fallait vérifier, et bien j'allais le faire. Pour cela, j'allais faire preuve d'un esprit un peu plus ludique. Nous allions jouer un petit jeu. Je doutais qu'il y trouve la même imagination que moi, le même entrain, mais enfin, rien n'empêchait d'être imaginatif dans son travail. Je m'avançais vers lui, calmement, et la pince en main, d'une voix calme et froide je prenais la suite.

-Maintenant je vais te poser des questions sur cette destruction de Kiri et encore d'autres, droit dans les yeux, si j'ai le moindre doute, ou si mon maître en a, un orteil saute. Dix questions. C'est assez simple, à chaque mauvaise réponse, je te brise un orteil, même si tu étais très jeune, un tel traumatisme aura dû t'être relaté par des gens de ceux qui t'auront sauvé de cela et qui l'auront aussi vécu. Nous allons bien voir, si tu y étais vraiment. Mais pour la forme, juste avant, je réitère cette première question,... Quel est ton nom ?
Voici la série de question...
Disais-je en saisissant avec la pince le premier orteil.
-Comment s'appelait celui qui a détruit le village ?
-La main venait-elle d'en bas, ou d'au-dessus ?
-De quoi a été investit le village ?
-Tu as dit venir d'un village près de Kumo, as-tu des liens avec ce village par hasard ?
-Quelles sont tes capacités Shinobis en réalité ?
-Où sont ceux qui t'accompagnaient ?
-Quels sont leurs noms ?
-Qui était ce soit-disant client ?
Et enfin, je réitère cette autre question, POURQUOI ES-TU VENU À SHIMO ?


La pince saisissant le premier orteil, à chaque question, je regardais mon maître, qui n'avait qu'à me donner l'ordre pour que j'agisse docilement, si une réponse ne lui convenait pas.
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Suna
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Message(#) Sujet: Re: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyLun 7 Nov 2016 - 22:36

Les personnes chargées de mon interrogatoire avaient compris que mes propos étaient cohérents pour la plupart.

Mais, il restait encore à déterminer si ils étaient authentiques. Le second s'approcha de moi, armé du pince. Je connaissais cet outil, il était utilisé parfois en chirurgie, j'ai même eu à briser des os de moi même avec cette chose.

C'est d'autant plus pour ça que j’eus quelques sueurs froides lorsque il attrapa mon orteil. La froideur du métal se faisait ressentir, n’amplifiant que de plus belle mon état de stress.

Les questions défilèrent, les unes après les autres, chacune relatant de péripéties durant l'épisode de la destruction de Kiri.

C'est d'une voix légèrement moi assurée que je pris la parole une fois de plus, en conservant un regard affirmé.

« Je reconfirme que mon nom est bien Mizu Akiharu.
Mes parents m'ont raconté que le village avait été détruit en personne par Yondaime, ainsi qu'une personne du nom de... of....os...Oz ! Subitement, une main est tombée du ciel, et c'est la que tout est devenu noir. Comme si tout bonheur avait disparu de ce monde. Le village a été investi par toute sortes d'entités et de démons des enfers....J'en n'en sais pas plus, c'était presque un sujet tabou dans la famille.

J'ai quelques fois effectué des missions pour le village de Kumo, en tant que mercenaire, mais cela remonte à quelques temps maintenant.

Je reconfirme également que je maîtrise le ninjutsu médical, légué par ma mère ainsi que le Suiton.

J'étais accompagné par un autre shinobi qui m'a dit de l’appeler Kyo. Ainsi que deux chauffeurs de charrette dont les noms m'ont complètement sortis de la tête... »


« Quand au client....il ne dévoile jamais son nom, en tout cas, il effectue toujours ses transactions par des hommes de main, c'est comme ça qu'il nous paye. »

Ma façon de mentir m'avait été enseignée de façon indirecte par Hak, même si il était impossible d'arriver à un tel niveau de manipulation, même si mes capacités ne laissaient pas à désirer....
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Iwa
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Message(#) Sujet: Re: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyDim 20 Nov 2016 - 11:48

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Tsukishima Nao
Le jeune homme me paraissait bien coopératif, peut-être même un peu trop alors que l'interrogatoire ne faisait que débuter. Aussitôt que j'eus posé les questions, il répondit par un long monologue de son passé, de ses souvenirs du village caché de la brume. Je lisais une légère peur dans ses yeux, sans doute dû à l'ambiance de la pièce si calme qui rendait une atmosphère pesante. Néanmoins, dans ses paroles je n'entendais aucun tremblement, aucune variation de voix, aucune crainte pour sa vie. Il disait comme s'il était pressé, en quoi pouvait-il gagner du temps et des efforts, alors que son avenir de prisonnier le maintenait enfermé dans cette prison pour le restant de ses jours ? Contrairement à lui, mon temps était précieux car j'avais bien d'autres affaires toutes aussi importantes à régler, alors que pour lui, si l'interrogatoire se finissait, c'était la fin de sa vie. On allait pas le garder indéfiniment et lui servir des pommes chaque jour comme on nourrissait les porcs. Une fois qu'il aura tout dévoilé, il ne nous sera plus d'aucune utilité et on pourra s'en débarrasser aussitôt. Ce n'était pas la première fois que j'effectuais ce genre de besogne, je savais que les détenus avaient tendance à traîner sur les réponses comme pour rallonger leur durée de vie. C'était uniquement en infligeant la douleur que leurs paroles prenaient leur véritable sens. Il n'avait pas l'air de comprendre sa situation. Son comportement m'agaçait dés la première parole qu'il prononça. Je contenais mon sang froid, mais mon regard qui plongeait sur le sien s'assombrissait peu à peu pour accompagner mes paroles pleines de froideur.
    " Ne me parlez pas sur cet air, ne me répondez avec cette voix si arrogante, ne me regardez pas comme si vous pouviez être ne serait-ce qu'un tiers de mon égal. Comprenez que vous n'êtes pas à ma hauteur, mais bien un misérable malchanceux qui se retrouve face à moi par malheur. Nous ne sommes pas assis face à face devant une table à siroter la thé pour se remémorer vos souvenirs d'enfance, ni même me partager vos regrets ou quoique ce soit d'autre. Je suis là pour vous faire parler et entendre vos réponses mêlées à vos cris de douleur. Continuez comme ça, je vous arracherais votre regard si persistant."
Je n'attendais aucune réponse de sa part, il n'avait pas intérêt à rajouter ne serait-ce qu'une parole de plus ou je lui arrachais moi-même ses deux yeux. Dans cette pièce, j'étais le maître celui qui commandait, et lui la vermine qui devait agoniser devant moi à me supplier pour sa misérable vie. L'envie de lui écraser cette face si laide, si envoûtante, si perturbante me prenait peu à peu, mais je conservais mon calme comme tout bon général qui ne se laisserait jamais atteindre par les paroles d'un insecte. Je reculai de quelques pas et je saisis une chaise dans les environs avant de m'installer dessus dans une posture confortable avec les deux jambes croisées. Ses paroles résonnaient si faussement qu'elles me brisaient les oreilles. Je ne l'avais à peine chatouillé qu'il me déballait toute son histoire sans rien me cacher, en passant par les moindres détails même ceux que je n'avais rien demandé. Je me fichais pas mal de ce qu'il me racontait là, qu'il soit un tordu de jashiniste, un clochard ou même un prince d'une contrée lointaine, tout ce qui m'intéressait c'était sa relation avec le village des nuages, son commanditaire et ce qu'il voulait au Pays du Givre. Son monologue qu'il me récitait là, ressemblait plus à un écrit qu'il prépare depuis plusieurs jours dans sa cellule. Intérieurement, je poussais un profond soupire, avant d'adopter un léger sourire qui se transforma peu à peu en un visage menaçant.
    " À quoi ressemblait votre première petite amie ? Comment s'est passé votre première nuit à deux dans un même lit ? Croyez-vous vraiment que les détails m'intéressent ? Je ne connais rien de votre famille et c'était sans nul doute une bande d'ordures, si peu connus qu'ils ne méritent aucune attention, si peu fier pour se soumettre aux pieds d'un village caché sans même hésiter à leurs lécher les bottes. Vous avez accepté de travailler pour eux, alors il est tout à fait normal pour vous d'accepter les conséquences qui s'ensuivent. J'imagine que vos n'avez aucun regret si jamais vous mourrez dans votre cellule, Mizu Akiharu ? "
Aux dernières paroles, lorsque je prononçai son nom, j'attendais une réaction même infime comme n'importe qui réagissant à son propre nom. Je laissais mon homme de main prendre la relève. Il saisit l'un de ses orteils avec une pince, le menaçant de casser l'os si jamais il osait répondre par un mensonge. Je vis une peur plus grande sur son visage, mais toujours pas assez pour le faire supplier, il continuait sur sa lancé et affirmait ses paroles avec une certaine lueur visible dans son regard. Un regard qui étrangement me picotait sans cesse les nerfs, comme si je l'avais déjà vu quelque part dans un mauvais souvenir. Un regard déterminé, des pupilles bruns foncées, je voyais là le regard de nôtre Daimyo bien incompétente. Je posais mon coude sur l'accoudoir de mon siège, avant de reposer ma tête sur mon poignet qui me maintenait confortable dans mon trône. J'envoyais un regard un Rogenasu, qui d'apparence ne disait rien, mais qui par instinct devait lui faire comprendre ce que j'attendais de lui. Je voulais entendre un cris, une souffrance, s'échapper de la bouche de ce prisonnier. Il s'agissait d'un interrogatoire où la torture faisait parler. Que ses paroles soient vraies ou fausses, la douleur viendra le confirmer. Quelques instants s'écoulèrent, avant que je ne reprenne sur mes raisons toujours aussi calmement, tant dans mon comportement que dans le ton de ma voix.
    " Ce regard m'insuporte. Akiharu, vous n'êtes pas là pour me tenir tête, cette volonté que je lis dans votre regard est destinée à être réduite à cendre, je veillerais à l'effacer de votre visage. "
Une mise en garde et je continuerais jusqu'à effacer cette flamme à travers ces yeux si agaçants. Je croisais les mains, toujours aussi calmement.
    " Bien, admettons que vous dites vrai concernant le village de Kiri, votre famille, votre amnésie ridicule, vous dites que vous vivez actuellement dans un village nommé Hyôgo. Un trou inconnu de tous à peine indiqué sur la carte, un petit village insignifiant, pourquoi votre commanditaire viendrait-il vous proposer du travail ? Il m'a l'air bien intelligent votre supérieur, pour envoyer un imbécile à sa place subir les risques, alors il n'aurait personne d'autre de plus compétent ? Kumo de ce que je sache, n'est pas lamentable pour engager des mercenaires alors qu'il détient lui-même des shinobis, et des bien plus puissant que votre personne inutile. Vous n'aviez pas su garder votre sang froid à l'entrée, une preuve de votre incompétence et des raisons pour lesquelles vous êtes ici. Qui est ce "Kyo" que vous appelez ? Lorsque l'on accepte un travail, on prend le soin de se renseigner et de connaître les causes, les risques, les conséquences... Rogenasu, que portait-il comme vêtements ? Il y avait quoi dans ses vêtements ? "
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Kinzoku Tadashi
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Message(#) Sujet: Re: J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs J'ai pas l'teeeeemps, mon espriiiiit, vire ailleuuuuuurs  EmptyDim 20 Nov 2016 - 20:00



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Les bruits de chacun de mes pas, marchant à une allure régulière, n’était pas la seule chose que l’on pouvait entendre au travers de cette prison. Non, il y avait également les cris agonisants de douleur émise par de certains de nos plus anciens pensionnaires. Certains mêmes plus que d’autre avaient l’immense honneur de recevoir de petite visite discrète en pleine nuit. Non, je vous arrête tout de suite, ce n’est pas ce que vous pouvez penser ! Vous savez, la vie que l’on mène est parfois difficile et nous avons tous une rage au plus profond de nous-mêmes. Ces visites nocturnes nous permettent de, non seulement, donner une leçon à certain un peu trop téméraire, mais au passage cela nous permet de nous défouler aussi. Cela n’est pas vraiment autorisé, mais bon qui va plaindre des minables pareils ? En plus avec cette rébellion à nos portes, nos supérieurs ont d’autre chose plus importante à faire que le bien-être de nos locataires. En tout cas, c’est très divertissant, je vous assure ! Vous devriez essayer à l’occasion.


Une cigarette à la bouche, une odeur forte de tabac se dégageait de ma personne, attirant l’envie de certaines personnes derrière leur cellule. Un sourire sadique s’était dessiné sur mes lèvres alors que j’approchais doucement des barreaux de l’une ses cellules. L’occupant de cette dernière ressentait clairement un manque venant de cette petite chose au coin de ma bouche. Je pinçais doucement celle-ci avant d’avoir pris une petite bouffée. Je lui avais donné l’impression d’avoir l’intention de la lui offrir. Approchant lentement celle-ci de sa bouche. Puis, je fis marche arrière en reculant ma cigarette, jetant au passage dans sa tronche la fumée de ma dernière taffe. Suite à sa déception, je n’avais pu m’empêcher de rire devant ma tentative réussie. Non, mais comment on peut être aussi con. Genre, je vais lui refiler ma clope ? Il ne rêve pas un peu trop celui-là !


Bon, je pourrais faire ce genre de chose toute la journée, mais j’avais un message important à délivrer au plus vite à Nao-sama. Celui-ci était venu pour interroger une personne récemment capturée et détenue ici. Lorsque je fus arrivé à destination, j’avais l’immense joie d’apercevoir que les choses sérieuses avaient déjà commencé. J’avais une certaine envie de participer au spectacle, mais j’avais d’autre chose à faire en plus de délivrer ce message.


- Excusez-moi ! Je suis désolé de vous déranger en plein travail Nao-sama, mais j’ai un message à vous délivrer.


Une fois qu’il m’avait autorisé à approcher. Je parcourais la distance que nous séparait afin de lui donner mon message via son oreille. Nous étions devant un prisonnier toute de même, ces informations étaient classées confidentielles après tout. Une fois celui-ci en sa possession mon visage, c’était tourné vers le jeune homme en pleine séance de torture.


- Je vois qu’on s’amuse bien ici en tout cas. Je serais bien resté pour admirer le spectacle voir même vous donnez un coup de main avec plaisir, mais j’ai d’autre tâche qui m’attente. Enfin, nous nous reverrons peut-être bientôt, ce ne sont pas les occasions qui manquent ici.


Dis-je avant de prendre la direction de la sortie afin de reprendre mon chemin et reprendre mes activités.


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