Quelque temps après ma libération des griffes de l'Empire grâce aux membres de l'organisation, j'avais sollicité le réseau d'information du Jouhokokan avec lequel Seria aka Oniri avait passé des accords, pour leur demander des informations sur l'être nommé III du Kaiho-sha que j'avais combattu lors de l'attaque sur Suna au moment de l'examen Chunin international. Il avait été aperçu à Ta no Kuni et plus précisément dans le village de Entei, dans les rizières.

Mon sang n'avait fait qu'un tour face à cette nouvelle et je m'étais empressée de rejoindre Oniri pour le lui communiquer et surtout pour lui demander de m'y accompagner.
Je n'étais pas folle. J'avais bien vu sa puissance lors de notre affrontement aussi court fut-il. Monjara Shinji et moi même avions dû nous focalisé sur cet énergumène au chakra impressionnant au détriment des shinobis présents sur les lieux causant quelques dommages collatéraux.

Quelque chose clochait avec cet « homme » … C'était le sentiment que j'avais eu. Il était parvenu a faire en sorte que son sang ne se mêle pas au mien tout en le contrôlant. S'il était sans doute Ketsueki il n'y avait malgré tout pas que cela, j'en avais été persuadée et en eu la confirmation suite à la révélation des « gênes » dont étaient en possession les membres du Kaiho-sha.

III possédait donc un gêne lié probablement à sa maîtrise du sang pour le moins étonnante et il me le fallait ! En plus de pouvoir prendre ma revanche sur cette humiliation cinglante.
Je n'avais aucune idée des conséquences de cette chose une fois implantée dans mon propre corps mais je m'en moquais bien tant qu'elle m'octroyait davantage de puissance tout comme je n'avais pas rechignée au remplacement de mon cœur par le cœur Eternel malgré ses effets secondaires pour le moins... pesant à vivre. Certes il me conférait l'immortalité, mais je devais composer avec les souvenirs et presque présence de ses prédécesseurs... Tout ne pouvait être parfait. Au moins n'avais-je plus à me soucier de la maladie et de ma mort inévitable.

Cela dit, Oniri avait accepté de m'assister dans cette chasse à l'homme. Au nord, proche du village où il avait été repéré se trouvait un village portuaire du nom de Tahori qui me laissait penser qu'il s'y dirigeait ou qu'il en venait. Je préférais la deuxième option car qui sait où il pouvait être désormais s'il avait pris un bateau... Rien ne nous disait qu'il était toujours au Pays des Rizières mais nous devions nous contenter de cela pour le moment et glaner des informations supplémentaires pour le trouver.

Arrivées à Tahori et comme pour tout début de quête, nous pensions qu'il était judicieux de se rendre à la taverne la plus proche pour écouter les ragots et questionner la populace sur ce qui nous intéressait : c'était là le meilleur moyen de se renseigner, tous les voyageurs et commères du coin ne manqueraient pas de parler du phénomène s'ils l'avaient vu, tant il disposait, je le reconnaissais, d'une aura impressionnante qu'on ne croisait que très rarement.

Les discussions allaient bon train mais rien sur notre cible ne s'ébruitait. Peut-être n'était-il pas aux abords de ce village portuaire mais ailleurs ?

J’avais accepté de suivre Yami dans cette quête que j’aurai très certainement jugé personnel s’il n’impliquait cette fameuse histoire de gènes. De ce que j’avais cru comprendre ils conféraient à leur porteur d’immenses pouvoirs et l’idée de renforcer les troupes du Kyomu avec s’avérait plus qu’alléchante. De la description qu’avait pu m’en faire Yami, notre adversaire humblement nommé Trois était d’un niveau largement au-dessus de la norme. Nous ne serions pas trop de deux pour l’arrêter. Nous avions passé la totalité de nos carrières de Kunoichi à combattre côte à côte, aussi formions nous un duo particulièrement soudé et expérimenté dans l’art du combat en équipe. Notre adversaire ne s’attendrait certainement pas à cela. Aussi m’étais-je grandement améliorée depuis mon dernier combat contre Kakeshuou.

Il m’avait fallu déserter mon village pour finir par prendre pleinement conscience de l’importance de s’entraîner régulièrement. Pour autant, j’espérai réellement parvenir à vaincre notre cible sans avoir à combattre en la prenant par surprise, bien qu’au fond je doutai que cela soit possible. Mais avant toute chose il nous fallait remonter sa trace. Nos informateurs avaient effectivement par le retrouver à Ta, pays repère du Patriarche, ce formidable personnage non joueur ayant réalisé l’exploit de pulvériser un semi dieu supra-cosmique à coup d’uppercut. Tout simplement merveilleux !

En attendant nous écrivions notre histoire. Et au comble de l’ironie elle nous conduisit jusque dans une taverne dans l’espoir d’y receler quelques infos quant à l’éventuelle présence dans les environs de notre gibier sous stéroïde. Naturellement le personnage semblait se faire discret contrairement à ce que j’aurais cru à la vue de la description que m’en avait fait Yami. L’individu semblait apprécier combattre et perpétrer de nombreux massacres, en soit il s’agissait d’un parfait Ketsueki dans l’âme sans les brides de la civilisation pour le maintenir en place ce qui le rendait d’autant plus dangereux. Depuis la taverne j’essayai d’étendre mon champ de perception à travers toute la région. Le problème étant que je n’avais jamais eu l’occasion de ressentir le chakra de ce fameux Trois tout en ignorant s’il était de type sensoriel ou non. Naturellement je ne remarquai rien de particulier. Autant dire que la tâche de le retrouver se révèlerait assez fastidieuse ; informateur ou pas. Hors une idée me vint. Je la murmurais à l’oreille de ma coéquipière qui sembla acquiescer. Fidèle à elle-même, rien ne l’effrayait et était prête à tout pour obtenir ce qu’elle désirait.

Après avoir une nouvelle fois jouée avec nos réseaux d’informations, distribués quelques pièces d’ors, l’information se propagea assez rapidement dans le pays. Loin de devenir une annonce de renommée nationale les raclures relatives à ce genre de concept finiraient certainement par savoir qu’une Ketsueki cherchait des hommes assez valeureux pour oser la défier et mourir de sa main. Les coordonnés avaient été toute transmises. En n’en point douter, si Trois était bel et bien détenteur de cet orgueil meurtrier et de cette soif de combat, il ne manquerait pas de répondre à l’appel, quitte à éliminer les autres participants en cours de route. Fort de son arrogance l’idée de tomber dans un piège dont il ne pourrait ressortir lui serait inconcevable. Il ne resterait plus qu’à attendre que les jours passent afin de voir si nous étions parvenues à cerner le personnage.

Cette idée proposée par la Saibogu était aussi inattendue que brillante ! Il nous serait probablement impossible de retrouver le dénommé III avec les maigres informations dont nous disposions et il était bien plus judicieux de le faire venir directement à moi.

Je l'avais déjà combattu, bien que brièvement, lors de l'attentat à l'encontre de Suna. Je savais qu'il appartenait très certainement à mon clan et sa puissance m'intriguait autant que je la jalousais. Il n'avait pas manqué de me remarquer parmi la brochette que nous constituions face à lui : peut-être justement parce qu'il savait que j'étais moi même une Ketsueki et possiblement à sa mesure en tant que Cheffe du clan et détentrice du cœur éternel...
Tout comme la plupart des miens et moi même, nous possédions un ego sans pareil : nul doute qu'il viendrait défier celle qui se revendiquait la plus puissante des Ketsueki pour un combat de démonstration à mort !

Pour le peu que je savais de lui, j'avais connaissance de sa soif de défi surtout lorsqu'il s'agissait de remise en question de sa puissance : il n'avait eu de cesse d'en faire étalage.
J'étais certaine qu'une fois cette information diffusée largement il viendrait. Il n'y avait plus qu'à attendre que le poisson morde à l'hameçon...

Je m'étais attendue à accueillir tout un tas de prétentieux souhaitant rivaliser et se mesurer à moi. S'ils espéraient triompher ils avaient sans doute été déçus de trépasser de la main d'une femme et de ses Kuchiyose, gisant désormais parmi un monticule de cadavres qui ne cessait d'augmenter quelque peu au fil du temps qui passait.
Malgré tout cela, notre homme n'était toujours pas venu se présenter sur le terrain plat que j'avais spécialement préparé à cette occasion non loin des rizières de Ta no Kuni. Ma maîtrise du doton avait suffit pour restructurer totalement la zone à ma convenance.

Oniri n'était pas présente sur les lieux avec moi car il s'agissait de mon combat mais surtout de mon piège... Elle saurait se montrer utile dans sa spécialité de sniper le moment venu mais pour l'heure, elle n'interférait aucunement avec les badauds qui venaient me trouver.

Aastet et Hotep, mes deux félidés ayant pris part à la bataille de Yuki no Kuni, jouaient là leurs premiers combats depuis leur défaite au port de l'Empire. Leurs blessures profondes avaient été longues à cicatriser et je leur avais laissé le répit nécessaire pour se remettre d'aplomb tout en usant de mon chakra pour leur apporter des soins nécessaires à la rapidité de cette remise en forme. Bien plus que des alliés, mes Kuchiyoses s'apparentaient à un prolongement de moi même : nous allions de pair dans notre stratégie. Je n'étais pas taillée pour le combat rapproché et leur soutien à distance en plus de leur dons sensoriels s'avéraient bien utiles pour asseoir notre dominance du nombre et de puissance.

Le temps passait, tout comme les journées, mais toujours pas notre homme à l'horizon. Je commençais à perdre espoir de le voir relever ce défi ouvert mais me cantonnais au fait qu'il allait forcément venir. Je ne pouvais pourtant pas l'affirmer avec certitude mais mon instinct me le dictait, à moins que ce ne soit notre sang commun qui m'en informait... Il était présent sur les terres de Ta no Kuni... Il allait venir...

Le climat était gris. L'air respirable, mais amer. La ville d'Entei se trouvait au beau milieu des rizières, faisant d'elle une attraction pour les avides de ce bas monde. Un homme arpentait les routes terreuses de cette bourgade, comme parmi tant d'autres. Encapuchonné, les passants lui jetaient un regard rempli d'inquiétude et d'incompréhension. La tête haute, le torse bombé, l'homme en question ignorait totalement ces risibles insectes qu'il devait côtoyer. Sa route était toute tracée et ce ne sont pas quelques péquenauds qui le retarderont dans son entreprise.

Néanmoins, en écoutant par hasard une conversation, l’inconnu s’arrêta brusquement.

« Vous avez entendu parler de la jeune femme ? On dit qu’elle défie n’importe quel homme de la combattre ! Elle prétend que personne ne peut la tuer et elle propose des combats à morts. On dit qu’il y a déjà une montagne de cadavres à ses pieds ! »

« Ce n’est pas possible. Une petite ville tranquille comme Entei serait la source de combat à mort… Le monde est de plus en plus fou. Tu sais comment elle s’appelle cette femme ? »

« Elle se nomme Ketsueki Yamo ? Yamu ? Je ne sais plus ! »

Serrant son poing et ses dents, l’encapuchonné rectifia les deux cafards d’un ton froid et angoissant.

« Yami. Ketsueki Yami. »

L'homme ne perdit pas de temps et fit demi-tour. L'odeur du sang était devenue le point de repère du sombre homme qui se laissait guider par son instinct et ses nasaux. L'endroit était facile à localiser. Une puanteur à des mètres à la ronde. Calmement, il se dirigea à cette arène improvisée pour y voir ce qu'il attendait. Ketsueki Yami, accompagné de ses animaux de compagnie. L'inconnu était encore loin de la scène, mais lentement, il s'approchait. Arrivant à mi-distance, il continua son approche tout en interpellant la jeune femme.

« Ton impertinence et ta vantardise m'obligent à venir te quérir. Toi et ton pathétique discours méritez d'être annihilés une bonne fois pour toute. »

Terminant sa phrase, le Démon enleva son long manteau noir pour révéler un corps musclé et surtout, le numéro « III » marqué sur le front.

« Le temps était contre moi la dernière fois, mais pas aujourd'hui. Montre-moi donc que personne ne peut te terrasser ! Laisse-moi regarder tes yeux lorsque ton arrogance aura laissé place au désespoir. Viens donc m'affronter de nouveau, Ketsueki Yami ! »

Spoiler:

« Il faudra un jour que tu m'expliques pourquoi toutes vos histoires de familles se terminent ainsi... » Ironisais-je d'un message télépathique directement adressé à Yami.

J'étais présentement en planque depuis maintenant plusieurs jours. Les imbéciles avaient comme prévu répondu à l'appel et les cadavres s'étaient empilés sur les bords de la zone de combat. Hors comme cela n'était pas prévu III restait absent. Autant dire que je perdais facilement patience dans ce genre de cas, d'autant plus que malgré mon idée, sommes toutes viables, nous ne pouvions êtres totalement certaines que la proie mordrait à l'hameçon. La chasse était aussi un sport de patience, mais depuis quelques temps cette qualité me faisait défaut. La présence lunaire proche, quand bien le jour fut présent, surexcitait les cellules de mon organisme d'Akuma. Tenir en place m'était donc difficile.

« Je te le dis tout de suite. Nous n'attendrons pas deux jours de plus qu'il vienne. Autant l'idée de nous emparer de ses tripes pour t'en faire un beau manteau me semblait séduisante aux premiers abords, autant j'estime que nous avons plus urgent à faire avec le Kyomu »

Dis-je cette fois-ci en m'allumant une cigarette, adossée que je fus contre les formations rocheuses qui me masquait à la vue de tous ceux qui se trouvaient dans l'arène en contrebas. D'ici je disposai d'un parfait angle de tire pour atteindre ma cible où quelle fut, seulement « cible » il n'y en avait pas. Et je me retrouvais à observer le temps défiler en même temps que je m'arrêtai à faire semblant de suivre la course du soleil de midi du regard. Imiter des yeux vivant n'étaient pas aussi facile que cela en avait l'air. Fermant finalement les paupières après plus d'une heure, je m'occupai comme je pus en flânant, laissant dès lors toute ma sensorialité vagabonder à travers la région pour y débusquer la moindre forme de vie primitive ou civilisée. J'y trouvais à l'avance notre futur repas qui me serait possible d'abattre d'une balle dans la tête à cette distance. Alors que je m'amusai à compter chacune des foulées du gibier sur le parterre de feuille automnal je fus soudainement arrachée à ma rêverie par l'apparition d'une incroyable source de chakra dans la région.

« Il arrive... »

Annonçais-je cette fois-ci avec davantage de gravité. Sur ma personne reprirent leur droit la Kunoichi ainsi que la soldate qui l'accompagnai. J'écrasai le mégot de ma cigarette sous ma semelle puis dégainait mon sniper avant de me mettre en position face au vent comme j'avais l'habitude de le faire. Quelques minutes plus tard je pus ressentir très distinctement la présence de notre invité qui à présent faisait face à sa cheffe de clan. Mon ouïe affûtée me permit de suivre leur conversation malgré la distance. III s’enorgueillit par quelques menaces ont ne peut plus classique qui ne tardèrent pas à en trouver écho en la personne de Yami.

« Je coupe la communication. On suit le plan comme prévu. » Et d'un geste évasif je passai un index pardessus ma bague pour la désactiver.

De ce qu'avait pu m'en dire Yami, j'en étais venue à la conclusion que le gène de III lui permettait de ne pas ressentir les blessures, voir même de ne pas en subir les conséquences. Autant dire qu'il était en quelques sortes immortels et que mille balle in-suffiraient pour l'abattre. Ce faisant il ne restait qu'une seule solution pour espérer le vaincre. Nous allions devoir l'éparpiller et ce au sens littéral. Au fond et j'aurais été incapable de l'expliquer sur l'instant, mais cette idée me plaisait énormément. J'en venais presque à regretter mon rôle de tireuse d'élite. Mais comme je l'avais si bien précisé il s'agissait en quelque sorte d'une histoire de famille et Yami désirait certainement porter le coup fatal. Pour autant je n'en venais pas à sous estimer cette « créature » qui avait su tenir en respect la Ketsueki ainsi qu'un haut dignitaire de Kaminari. Ce fut donc avec un méthodismes avisé que j'activai mon camouflage tout en terminant les derniers réglages de mon arme en y greffant le module de silencieux ainsi qu'en chargeant les balles « spécialement prévue pour l'éparpiller ».



Ps : Let's battle ^^

Cela faisait maintenant plusieurs jours que nous attendions et Oniri commençait à s'impatienter depuis sa planque comme le traduisait ses messages télépathiques de plus en plus véhéments. La situation m'agaçait aussi car rien ne laissait croire que notre cible viendrait vraiment... Cela dit, il y avait toujours des imbéciles, parfois coriaces, venant prendre part aux festivités, ne me laissant pas vraiment le temps de m'ennuyer bien longtemps.

De ce fait, le charnier prenait de l'ampleur tout comme l'odeur infecte sous le soleil heureusement moins radieux qu'a Kaze. La mort attirerait notre homme : je me rappelais de la façon dont il avait traîné tous ces cadavres le long de sa chaîne sinistre lors de l'attaque du Kaiho-sha.

« Calme toi. Tu seras bien contente pour le Kyomu une fois que j'aurais récupéré cette puissance... »

A vrai dire, je n'avais aucune idée des effets que cela procurait à III même si j'avais le sentiment qu'il lui était possible d'être blessé sans même qu'il ne ressente la douleur à en croire la manière donc il avait ignoré nos assauts lors de notre dernière rencontre... Est-ce que cela aurait les mêmes effets sur moi ? Rien était moins sûr... Mais j'étais prête à prendre le risque !

Plus tard, la communication reprenait mais dans un discours beaucoup plus sérieux... Mes félidés l'avaient aussi senti : il arrivait. Oniri coupait alors le canal de notre discussion tout en me rappelant de m'en tenir à notre plan : elle était mon élément de surprise et je ne craignais pas son échec : elle était la tireuse d'élite la plus hors pair que je connaissais. 

Cette présence... J'avais du mal à y croire et pourtant, malgré ce capuchon recouvrant son visage, j'étais certaine qu'il s'agissait de lui : ne serait-ce que par sa démarche pleine de suffisance. Le voir s'approcher et dévoiler sa face marqué d'un III sur le front me faisait étirer un sourire, tout comme ses propos dédaigneux.

« Trois... trois minutes... c'est le temps qu'il me faudra pour te démembrer. »

Lui glissais-je avec amusement.
Sans perdre un instant, je rendais le terrain extrêmement boueux et glissant autour de moi et mes kuchiyoses sur une large zone. Je savais qu'il utilisait le taijutsu et je ne comptais pas le laisser arriver à ma hauteur si facilement. D'un geste habile, j'entaillais mon avant bras avec ma bague à pointe et laissais des filaments de mon sang en lévitation autour de moi.

«  Approche... »

Mon sourire redoublait d'arrogance. J'allais l'étriper. J'allais récupérer ce qu'il dissimulait au plus profond de ses entrailles et me l'approprier...