Le succès est un menteur. Le menteur aime le succès
Pour prendre le pouvoir, pas besoin d'arme ou d'être nombreux, Il suffit juste de faire, se que le camps d'en face N’ose pas Faire † Masta Pi
« Sex, Drugs & Rock'n'Roll »
C’était bien rare de voir du mauvais temps en cette saison qui était plutôt d’un froid sec et terriblement ensoleillé. Il s’averrait que les nuages devaient être d’une tristesse commune, les quantités d’eau qui tombaient du ciel étaient dignes des pluies tropicale d'Hi no Kuni avec peut être cette notion de "pluie chaud" en moins. C’était comme une seconde vague de gel sous un aspect différent. A cela ajouter le vent en colère et vous obteniez à peu près ce qu’il se tramait sur les terres du pays du feux.
Par un temps pareil, mieux valait être au chaud sous un bon toit plutôt qu’affronter la nature déchaînée, cependant, quand les moyens vous en empêchent, cette opportunité n’est pas immédiate. Cela faisait des semaines entieres que je n'avait pas posé pied sur les pavés froids d’une ville et à peu près autant de temps que je n’avais eut la chance, ou pas de croisé une serrait se q'un seul individu. Ne pouvant rester dans la forêt pour cette nuit, j'avais besoin de manger quelque chose de consistant et de dormir au sec. Ces semaines d’isolement m'avaient complètement changé physiquement : nettement amaigri, mes traits renforcés me dégoûtaient désormais et je n’osais plus me regarder dans les reflets de l’eau tant je m'effrayai moi-même. Cela avait fait de moi, en apparence quelqu’un de sévère et qui inspirait la crainte. Ce devait être ça qui me poussait à m’écarter d'une quelconque trace de civilisation.
Quoi qu’il en soit, je me dirigeait désormais vers le petit village de la feuille, vers Konoha, pour quelqu’un qui n’aime pas la population c’était raté, mais j'y était forcée par tout ces signes apparents. je marchait depuis l’aube à travers la forêt dense d'Hi no Kuni pour laquelle je m'étais éprit de par sa beauté et sa tranquillité. Je m’y sentait chez moi. Mais il me fallait la quitter pour au moins la soirée ainsi que la nuit, j'aviserai au lendemain. La terre était devenue boue, les chemins rivières et les arbres abris de fortune, c’était un déluge digne des premières semaines du printemps.
Emmitouflé dans ma toge comme je le pouvais, bien que celle-ci ne me protégeait qu’en apparence ( qu’est-ce qui aurait pu repousser le vent et la pluie à la fois ? ), avec ces passages difficile je progressait rapidement vers le village. Les arbres semblaient vouloir s’arrêter net comme s’ils encerclaient un endroit précis, la coupure entre la prairie inondée et la forêt était à la limite du naturel, les jeunes arbres devant les grands formaient un dégradé de couleur d’un vert clair révélateur d’une ramure jeune jusqu’au vert sombre et pur montrant l’age avancé des centenaires. Comme pour se tenir à distance, par respect, comme s’ils ne se hissaient pas à la hauteur de ce qu’ils protégeaient, là, au centre de cette immense clairière : Konoha. Jamais éteint, toujours éclairée d’une lumière tamisée et douce, architecture soignée et parfaite. Là était le modele d’un village caché shinobi, parfait. Rien ne m’empêchait de sm tenir là, contemplatif devant une telle beauté même par cette soirée, le vent me battait, la pluie me fouettait, et pourtant, je ne me rabattit pas vers l’entrée de la cité qui pourtant m'attirait tant. Le silence qui en ressortait était presque anormal, aucun chant, aucune musique. Je repris ma marche en direction de la porte ouverte sur les rues du village avec ses résidences.
La pluie avait doublé de puissance et son débit également, il était tant d’aller trouver un toit. La plupart des villageois fuyaient se mettre à l'abris, comme s’ils venaient tout juste de se rendre compte de la situation. Quand à moi, je me rendis à ce fameux restaurant cabaret des 3 délices que je n’eut d'ailleurs aucun mal à trouver. Des gens entraient et sortaient en masse et la bonne humeur régnait. Je me profita d’un couple pour me faufiler à l’intérieur et passer ainsi inaperçu. j'étais trempé et absolument pas présentable, mais j'avais confiance en moi. et cela m'avait jusqu'à maintenant toujours porter à bien. Marchant doucement vers le comptoir du restaurant remplie d’un brouhaha gargantuesque, une fois à distance respectable du serveur, je prit la parole :
Bonsoir, je me nome Zenko, j'ai entendu dire que vous recherchez comment dire... Quelqu'un qui se chargerait de la sécurité ? Je pense être la personne qu'il vous faut, pourrais je m'entretenir avec le gérant ?, Lui demandais-je aimablement... Je m'étais passer de lui tendre la main, de crainte de paraitre impoli.
- Bonsoir, veuillez patienter un petit instant, je vais appeler la patronne, je vous en prie... prenez place à cette table le temps qu'elle vous rejoignes, D'une main il m'intima de m’installer.
Je l'en remercia et prit place sur un petit banc dont la table était éclairée d’une bougie. Ôtant ma capuche détrempée, je déposa mon katana sur le bord de la banquette où je m'étais assit, A présent j'avais ainsi une vue imprenable sur l’ensemble de la salle et commença à détailler tour à tour chaque personne qui obstruait mon champ de vision.
< Donc... le gérant, est en fait une dame, j'adore. >
Le vent souffla vraiment très fort en ce jour, et la pluie n'était pas en reste. Le ciel pleurait depuis plusieurs jours, le temps de la mousson était venu. Nézumi n'aimait pas être mouillé et ressentir le froid lui déplaisait profondément. Voilà pourquoi, il choisissait l'endroit le plus doux au monde, et le concernant cela ne pouvait être que parmi les seins divins de son ange. Il se pelotonna confortablement en ayant pris soin de bien tâter la fermeté de la poitrine comme on tâte un duvet. Ainsi préparé, il pouvait s'endormir sereinement sans que rien ne le perturba. Saori avait le nez plongé dans la paperasse en ce jour de repos. Et oui, ainsi est la vie d'un commerçant. Miyu sama n'avait pas besoin de ses compétences de médecin, et la jeune femme exerçait son second métier de gérante d'un établissement. Il fonctionnait bien, le bouche à oreille faisait affluer les clients de plus en plus. Parmi ça clientèle, des personnes landa tout comme des ninjas. Voilà pourquoi elle recherchais un vigile. Il devait être physionomiste, avoir une bonne relation sociale avec les gens, ainsi que gérer les conflits en douceur tout en usant de la force s'il le fallait.
On frappa doucement à la porte de son bureau qui s'ouvrit pour laisser passer une tête toute ronde et chauve.
"Un jeune homme se présente à l'instant pour votre annonce Saori Sama. Je l'ai fait patienter"
Il attendit la réponse de sa maitresse qui sourie. D'ailleurs elle souriait tout le temps. Une bonne humeur craquant et envahissant les cœurs les plus tristes. Elle se leva avec grace, toute pimpante dans son kimono rose parme, les cheveux en un chignon raffiné, la gérante suivit son majordome qui l'amena vers peut être son futur chargé de sécurité.
Ouvrant la porte accompagnée par une employée, elle le vit assit sur un banc tout dégoulinant. Elle le trouva beau sans conteste. Un visage avenant qui ne devait laisser indifférents les femmes et faire jalouser les hommes. Un regard assez vif et fort plaisant. Saori l'imagina dans son costume d'apparat. La jeune femme leva la main dans un geste et une serviette apparut suivit d'un plateau ou trônait une tasse de thé bien chaud. Il était parfait pour le rôle !
"Pourquoi souhaitez vous vous charger de la sécurité ? Il me semble que vous pourriez avoir un meilleur avenir que celui-ci ?"
Saori observait la scène, le discours échangé et attendit la réponse du jeune homme. Elle souhaitait voir sa réaction et comment il réagirait sachant qu'elle n'était pas une servante. Beaucoup de gens n'avaient pas assez de prestance pour comprendre que l'habit ne faisait pas le moine, on ne vous parle pas de la même manière selon votre appartenance à une caste précise. Chaque client devait être traité avec égard et on ne devait pas faire cas de son habillement, ni de sa diction. D'un autre côté, était assez physionomiste pour reconnaitre la différence sociale, car malgré tout, des gens aisés aiment à être soignés avec emphase.
Cela faisait à présent un bon quart d'heure que j'étai assit là, à cette table, la gérante se faisant attendre... j’avais prit le soin de me servir une modeste coupe de saké, chaude, elle avait fait naître en moi un sentiment de plénitude au quel je m'abandonna sans résistance. Malgré ce brouhaha irritant, l'endroit était plus tôt chaleureux et la température agréable... La porte battante qui reliait les locaux privés à la salle de réception s'ouvrit et par celle-ci apparut deux serveuses, du moins c'est se que j'estima au premier abord... Mais quelques pas après, je révisa mon jugement... toute deux habillée très classe, elles s'avancèrent dans ma direction. L'une d'entre elle déposa un plateau face à moi sur lequel était disposé: une serviette ainsi qu'une tasse de se qui semblait être remplit à moitié de Thé... Je suppose qu'il s'agissait la d'une formalité, mais j’appréciai le geste. L'autre quand à elle se glissa sur le banc qui me faisait face et sans autre forme de politesse entama alors se qui semblait être, une demande quand à mes motivations...
- Pourquoi souhaitez vous vous charger de la sécurité ? Il me semble que vous pourriez avoir un meilleur avenir que celui-ci ?
C'était une question pourtant simple, dont il était souvent coutume lors d'un entretient d'embauche, alors pourquoi résonnait elle encore en mes songes... Comment l'expliquer... Même pour moi, c'était encore un mystère, tout se dont j'étais conscient c'était que protéger les plus faibles était plus qu'un devoir, c'était une passion... un moyen de me guérir à travers de bonne action... Restant muet un instant, mon regard se perdu sur la serveuse qui était resté à nos côtés... d'ailleurs pourquoi était elle encore la, n'avait elle pas accomplit sa tache auprès de nous ? Après tout, peut être servait elle de témoin à sa patronne qui sait... mes paroles en accord avec mes pensées, je tenta de lui répondre d'une manière aussi explicite dont j'en étai capable:
Certes, je vous l'accordes je pourrais en effet, mais pourquoi devrais je faire quelque chose que je ne souhaite pas ? Pour l'argent... Pour le succès ? Se qui m'importe le plus est que mes actions soient toujours en accord avec mes principes......, Mon regard se détourna de la demoiselle qui me faisait face pour se poser sur le tien... La seul chose qui m'importe c'est que ton affaire tourne, laisses moi protéger ceux qui par peur ou par faiblesse ne peuvent le faire eux même.
D'une main... je glissa mes doigts autour de la petite tacette, apporta celle-ci à mes lèvres que j'humecta d'arôme fin que je n'eut d'ailleurs aucun mal à distinguer : Cerise - Fraise - Framboise & Groseille... un thé au 4fruits rouges, l'un de mes préférés... Mais Comment aurai je pu voire à travers cette mascarade, alors qu'aucun indice ne laissait sous entendre une tromperie ? Quel genre de serveuse dont le salaire est dit moyen arriverait à se payer des vêtements de marque, à première vue fait main pour aller travailler ? En tant que pratiquant chevronné de genjutsu... Je me devais d'être plus susceptible à ce genre de petits détails... Tu as voulu me tester, malgré moi j'ai accepté d'y jouer... et à ce défis, je suis sortit vainqueur. Et comme si tout ce-si ne suffisais pas je pourrais aussi me justifier par ta chevelure si soigné ou bien encore par ce maquillage de qualité, dont j'étais sure que ce fart à paupière de marque ne sortait pas d'une modeste boutique, tout chez toi sentait la luxure... se qui s’harmonisait gracieusement avec ton regard incendier.
Je t'en prie... Viens t'asseoir que l'on fasse connaissance..., Je reposa la tasse et d'un sourire me servit de la serviette pour me rendre un peu plus présentable Disons... un peu plus en Privé.
Mes narines avaient flairé de la bonne nourriture. Je marchais lentement, hypnosé par ces odeurs de nourriture. Je ne comprenais pas pourquoi je n'avais pas encore localisé ce restaurant, tellement l'odeur était délicieuse. Une légère bave s’installait au coin de ma bouche, un noeud s'installait dans mon ventre, je commençais à avoir la dalle quoi. Tapotant ma veste, aucun paquet de chips sur moi, il fallait dès maintenant que je trouve rapidement ce restaurant. La bave commençait à se propager lentement sur ma bouche, passant rapidement la main. Un filet de bave se trouvait dès maintenant sur ma main. Je commençais à m'approcher de l'enseigne, l'odeur commençait à devenir de plus en plus intense. Mes yeux s'écarquillaient, je me trouvais devant l'enseigne " Onsen ". Un restaurant inconnu à mes yeux, il avait sans doute été construit lorsque je dormais paisiblement dans ma chambre ou peut-être lorsque je fricotais avec la jeune Nezumi, je ne savais pas. Cet Nezumi m'avait donné une sacré envie de la revoir, sans déconné, ces petites oranges bien formé et sa pêche délicieuse. Bien sur, Mon petit soldat avait adoré pour une fois. Les autres expériences de ma vie avec cet akimichi n'avaient pas été fameuse pour mon soldat. Cela me dégoûtait un peu d'y repenser.
Mon estomac grogna famine, je poussais la porte rapidement pour y entrer. L'odeur omniprésente dans ce restaurant, j'étais comme heureux. Tapotant mes poches, un visage complètement différent se dressa. Plus d'argent, je ne pouvais pas manger ... La grosse merde quoi. Il fallait que je trouve une façon de manger ici, je ne pourrais pas me retenir si je ne mangeais pas dans les cinq minutes qui venaient. Frappant de ma main sur le comptoir, une jeune femme s'approcha de moi. Un teint bronzé, une chevelure ténébreuse, je la connaissais cet jeune femme. Je l'avais vu lorsque j'avais rendu service à notre hokage pour porter le corps de feu Teichirô. Les larmes s'échappaient de mes yeux, j'avais trop faim. Je me mettais à genoux devant elle. Avant de rentrer dans ce restaurant, j'avais aperçu une pancarte qui soulignait la recherche d'un vigil. Voilà pourquoi je faisais mon petit comédien. Pas mal l'idée.
J'ai trop faim, je ferais n'importe quoi pour manger dans cet enseigne dont l'odeur est merveilleuse. Je surveillerais nuit et jour pour la protection de ton restaurant juste pour un repas ... S'il tôt plait !
Quand la faim était présent, il y avait peu de solution pour pouvoir manger.