Les portes du Shukai. Voilà un endroit où je ne pense pas que Goren aurait pensé venir d’une telle manière. Sans aucune intention de destruction ou du moins de mauvais coup et de plant pour détruire ce qu’il pense être le lieu le plus gênant qu’il puisse connaitre. Si l’on peut mettre en un mot dire ce que Goren pense du Shukai le mot « Calamité » serais propice. Qu’importe cela par chance il n’aura pas vraiment à se tenir, moi par contre je vais devoir bien faire attention à ne rien faire qui pourrait leur faire penser que je suis un ennemie et cela malgré le fait que cette ennemie dont la plupart doivent répugner ici c’est logé dans mon crane. Cela est aussi une bonne manière de voir jusqu’où cette emprise est efficace. Cette sensation de risque me fait frissonner l’obligation de continuer et cette adrénaline me plait, j’aimais cette sensation mon envie d’écrire se met à s’accroitre. Comme cette autre fois.

HHaaa inspiration quand tu nous tiens.

Voilà que je me mets à parler à voix haute comme si j’étais seul sur la route. Non effectivement j’ai pris avec moi un homme, le genre à être plutôt discret en tout cas pour le moment. Masquant son visage et silencieux cela ne me dérange pas, après tout je n’ai pas besoin de discussion et la compagnie d’une personne suffit à se sentir accompagné. Commençant à claquer des doigts regardant à l’horizon, je me met à voir les Murailles du Shukai.

*Te voilà proche de l’objectif mon ami. Maintenant pas de mauvais pas.

*Ne soit pas si rabajois, ils ne bouffent pas chaque personnes qui leur rend visite et je te rappel que maintenant Mizu no Kuni est affilier à leur organisation. Dit tu penses qu’on dit toujours organisation maintenant ?

*Va savoir ses larves seraient capables de se donner le titre de capitale mondiale.

Bon, ce n’est pas tout, mais nous étions donc devant la grande porte l’endroit dont mon travaille demande de me rendre. Baillant tout en pensant à cette porte qui permet d’entrer de l’autre côté du mur les protégeant :

Fiou, comment on doit trop se sentir en sécurité la dedans. Ca me donne bien envie de donner un petit coup de poing dans le mur pour voir si c’est aussi solide que ça en ai l’air. (Je me met à dire en voyant les regard se poser sur moi) Hahahah je rigole, je rigole.

Hé ben ils ne semblent pas aimer les plaisanteries ici. Je sens déjà la mauvaise aura de Goren venir me reprendre à l’ordre. Déprime totale. Ho mais, prenant mon stylo je me mets à écrire tout en disant :

Je vais intituler ça «Les mur porteur »

Passée la folie des grandeurs
L'envie de jouer les grands seigneur
Passée l'ivresse, passée l'ardeur
Dont les fruits n'ont plus de saveur

Tout en écrivant un des soldats se met à m’interrompre dans mon inspiration pointant la mine du crayon vers ca direction, je me met à le regarder puis à dire :

Ne vous a ton donc jamais appris à ne jamais interrompre l’inspiration d’un écrivain ? Deux minutes je vous prie.

Tout en écrivant la suite en le disant oralement, je note les notes de musique qui me vient à l’esprits, un brouillon dont les intonations devront demander quelques modifications, mais même déjà comme cela je peux déjà sentir que cela vat faire un tube. Peut-être pas mon meilleur écris, mais cela vat se faire connaitre :

Revenu de sept ans de malheur
D'un accouchement dans la douleur
Lassé de mentir, de faire l'acteur
Quand on n'est plus à la hauteur

Restent les murs porteurs
Des amis en béton
Un frère, une petite sœur
Pour voir à l'horizon

Comme cela est excitant. Ne trouvez-vous pas ? Je suis Suzurane Ebiko, je viens pour le travail.

D’autre question ? Quoi qu’il en soit, je n’ai rien à cacher et je sais déjà qu’ils ne vont surement pas me laisser passer sans un petit comité d’accueil digne des grands villages de ce monde après tout ils doivent bien faire signe d’ordre. Un petit bâillement tout en me disant dans ma tête :

*Je sens que ma visite va être très plaisante.

Hrp:

- Au-delà de ce que pensent ces têtes de cons.

Sorti de nulle part, en vérité rentrant chez lui après avoir déposé son rapport de mission au Shozaichi, Mikami se surprit à écouter le manant réciter son écrit au fil de son inspiration, puis, innocemment, à le poursuivre. D'abord ayant senti la puissance de son aura malgré ses capacités nulles dans le domaine, il avait choisi de laisser l'affaire entre les mains des habitués, habitués aussi à recevoir ce genre d'invité. Savaient-ils que l'un d'eux avait attaqué le shûkai à deux reprises ? Leur réaction serait attendue ; Mikami, lui, n'en savait rien et ne pourrait reconnaître le visage du Golem déjà aperçu dans le bingo book. ¹ Au final il s'était laissé entrainé par la musique et s'était rapproché de la loge d'accueil.

- " Au-delà de ce que pensent ces têtes de cons " je me suis dit que ça ferait bien, à la suite de votre poème. Après j'ai pas beaucoup de répartie pour la rime...

Il sentit tout de même qu'on le regardait comme un extra-terrestre, ce de toutes parts. Était venu le temps des explications...

- Ben oui, si comme un frère ou une sœur, ces murs permettent aussi de voir plus loin que notre horizon habituel, c'est pour voir les disparités au sein d'un environnement donné, non ? Pour que ceux de l’extérieur puissent voir celles inhérentes à la capitale malgré ce qu'en pensent ces dites "têtes de cons", et vice versa pour que ceux qui restent trop enfermés à Shozaichi puissent se faire une meilleure idée du monde extérieur. Sortant ainsi de cette situation de tête de con...

Silence, rencontre du troisième type. Les regards passent de l'un à l'autre et s'échangent leurs idées sans qu'un mot ne s'échappe.

- J'avoue que ça sonne pas très poétique à côté de ce que vous venez de nous pondre, mais ces murs ne devaient pas devenir une frontière entre la capitale et le monde extérieur, alors votre truc de voir plus loin que l'horizon, je me suis dit que les Murs Porteurs pourraient nous faire passer au-delà des idées reçues et généralités faites sur le camp dit "adverse". Sortant ainsi de cette situation de tête de con...

Oui, il s'est répété. Parce que dans cette situation, il pense avoir joint les deux bouts pour que l'étincelle jaillisse dans l'esprit de ses interlocuteurs. Mais en levant les yeux il s'aperçoit que ça reste le flou, voire le noir total... Bon, au pire, s'ils comprenaient pas, c'était tant pis pour eux. L'amnésique avait émis son idée, il était temps de passer à autre chose. Et qu'importe, son rire viendrait du cœur.

- Hahaha ! Enchanté Ebiko-san ! Je suis Mikami. Autant que je vous prévienne de suite, je ne suis pas celui qui peut vous permettre d'entrer à la capitale, simplement celui qui va vous tenir la bavette le temps qu'on vous conduise à l'examen médical. Oui, examen médical, c'est comme ça qu'on fait chez nous. Il y a déjà des légendes urbaines qui disent que cet examen permet de mettre à nu la douceur des hommes les plus durs en pénétrant leur corps mieux que leur esprit... Comme quoi, même les murs les plus solides ont leur point faible, pas toujours atteignable par la force.

Le shûkaijin tourna son regard vers la deuxième personne.

- Bienvenue à vous aussi. Vous dites être là pour le travail ? Vous avez un contrat à exécuter dans nos murs ? Si c'est ça, je trouve votre stratégie maligne si on la compare à cette histoire de toucher rectal. HAHAHA hahaha haa... Veuillez m'excuser, j'aime me faire rire, on sourit plus souvent.

Effectivement il arborait un grand sourire, loin de se douter des réels tenants de cette venue. Enfin, il allait les soumettre un temps aux procédures d'usage avant qu'on ne prenne le relais. Le surlendemain, il devrait rejoindre la frontière du pays du vent pour accompagner les Heishi à l'examen chûnin...

- Voilà enfin la partie chiante : nous allons avoir besoin de vos noms et prénoms, écrit ici. À l'oral, on en a qu'un sur deux. Ensuite : vos origines, votre fonction au sein de l'origine (à adapter à votre situation bien sûr, je dis ça parce que vous avez plus l'air de voyageurs que de sédentaires de villages ninjas), et les raisons de votre visite avec autant de précisions que vous pouvez vous permettre de nous donner. Si vous avez une invitation spéciale c'est le moment d'en faire part, ainsi que la durée prévue de votre séjour.

Et voilà, un sourire pour souhaiter du courage. C'est pas parce que l'un d'eux avait l'air super-puissant voire menaçant qu'il faut être antipathique. Ça crée encore plus de problème parait-il.

- Ensuite ce sera prise de sang et analyse médicale, et je crains que ce ne soit pas négociable.

___________
¹ En fait j'ai pas compris si tu viens avec Ebiko et la tierce personne/Shin, ou s'il faut aussi compter Goren dans le lot. Ou s'il est dans la tête d'Ebiko ? C'est un transfert de corps ? Au secours :'(

Spoiler:

hrp:

Finissant la partit du texte je peux remarquer un homme venir à moi pour tenter de donner la phrase suivante. Je le regarde silencieusement non pas par interrogation, mais par pure réflexion. Non cette phrase ne me convient pas. Non pas qu’elle soit mauvaise au contraire je trouve qu’elle a tout son sens avec le reste du texte, comme si elle permet une suite logique cependant cela ne reflète pas ce que je souhaite mettre en avant. Même si ce qu’il dit est totalement vrais ou du moins dans l’idée que j’ai moi-même. Les explications fusent permettant de justifier cette phrase, il se met à expliquer deux fois ce qu’il se met à dire, je le regarde puis rigole :

T’inquiète t’inquiète pas la peine de stresser, la music est faite pour libérer l’âme, l’apaiser ou même l’inverse, elle demande à qu’on fasse exploser un sentiment ou simplement l’effleurer, fort ou non cela dépend de ce que l’on souhaite faire ressentir. Bien trouvé, mais non, je pense réfréner sur une phrase déjà existante comme amener celui qui l’écoute à sentir un refrain comme une pause douce. Pour ce qui est de la phrase en elle-même elle est bien trouvé, elle donne un font allant avec le reste, mais sa position et ce qu’elle dégage n’est pas dans le fond que je souhaite donner.

A vrais dire il n’est pas très loin pour être dans le contexte que je souhaite. C’est simplement l’emplacement que prend cette phrase. Elle prenait la place d’un homme ayant déjà compris tout cela ayant déjà vécue depuis longtemps cela, moi je compte prendre le rôle de l’homme étant juste en train de comprendre cela. Donner une lueur d’espoir tout en restant dans un fond dramatique. Je ne souhaite pas donner une grande sensation, juste un fil. T’elle est mon inspiration du moment. Faisant tourner le crayon, je me mets à écrire. Rayant puis remettre certaine phrase à la place de d’autre puis à la fin je me mets à réécrire :

Restent les murs porteurs
Pour tenir la maison
Pour surmonter ses peurs
Ou vaincre ses démons

Des promesses la main sur le cœur
Plus fort que d'être le meilleur
Perdu dans le collimateur
Qu'on soit soldat ou déserteur

Le chanteur pourrait monter l’intonation à la fin de ses phrases. Ouai pas mal. Mhh, il faudrait une voix masculine et forte, mais sans qu’elle soit roque. HHhaaa, comme la mienne, enfin avec en plus le talent pour chanter.

Je revenais sur ses derniers mots. Cela avait plain de sens cependant cela allait tellement à l’encontre de ce que fait l’organisation dont il fait partit que cela devient gênant. Goren s’existait à me crier dans ma tête. Il profite de ça non présence pour ne pas avoir à se tenir cependant cela est vraiment embêtant au point que j’ai due lui dire :

*Arrête sérieux, comment veux-tu que je me concentre et qu’on me prenne pas pour un fous si tu m’empêche d’avoir un dialogue normal ?

Revenant à mon interlocuteur je me mets à dire.

Pardon désolé j’étais partit loin dans l’idée de la suite de ma musique. Vous savez j’ai tendance à trop me concentrer dessus des fois. Sinon je dois vous appeler comment ?

De là il se met à rire après tout vue la situation ou nous nous étions mis on pourrait croire qu’on est deux personnes ayant perdu un grain. Il se nomme Mikami, pas de nom quelle dommage après tout donner son nom aurait était un simple échange normal, je l’ai bien fait malgré le fait que cela désigne mon sang de Suzurane. Qu’importe après tout je ne peux taper à la porte de la maison d’une personne et les reprendre. La suite se met à se baser sur l’explication des formalités. Papier à remplir et un teste médicale. Hé ben ca je n’étais pas vraiment au courant. Outch, es que vraiment tout le monde l’accepte ça ? Surtout si le touché rectale dont il parlait ultérieurement était dans le pack prémium du teste médical. Bon après tout je n’ai rien à cacher à un teste médicale, cependant malgré tout, j’aurais aimé éviter d’avoir d’écris dans leur petit papier toute les caractéristiques de ma forme physique sur un papier :

Un papier et un teste médicale ? Je suis pas très papier et bon ce que je vais écrire va surement vous paraitre peut être flou, pour le teste médical je n’ai rien contre, tant que c’est une joli femme qui me le fait. Hahahaha. Enfin, par curiosité, par prise de sang et teste médicale vous allez chercher quoi ? La prise de sang peu permettre d’être certain qu’à une deuxième rencontre on sache qui je suis vraiment, mais l’autre consiste en quoi, ce n’est pas que je m’y oppose, mais je ne souhaiterai pas qu’on examine mes capacité Ninja juste pour prouver de ma bonne volonté. Je suis un Suzurane et mon corps est mon arme vous pouvez comprendre? Je suppose que pour les Aburame ou les Akimishi cela aussi doit être gênant. Enfin Avant d’effrayer vos médecins je préfère vous prévenir que j’ai tatoué tous mes sceaux Suzurane.

Je le regarde puis lui faisant signe de tendre l’oreil je me met à lui dire :

T’imagine même pas l’intérêt dans une partit de jambe en l’aire masochiste comment c’est efficace.

En soit se que je souhaite savoir c’est si leur teste est plus un test de sécurité basé pour savoir mes véritable intention ou es qu’il cherche plus comme nos capacités. Tout en attendant la réponce je me met à remplir le questionnaire.



La feuille remplis je me mets à la tendre à celui en face de moi. Puis dis :

J’ai les crocs, quand je serais dans le village vous ne connaitriez pas un bon resto ?

Bon, à vrais dire ce teste médicale est vraiment curieux. Ne pas savoir ce que j’allais subir est vraiment vexant, je trouve ça très impersonnel, mais quoi qu’il en soit je dois bien m’y résoudre, les questions que je pose semblent venir me donner des réponses, même si cela semble s’accentuer sur pas mal de doute ou d’incertitude. Ils nous envoi donc des personnes qui ne sont pas au courant du travail qui suit le leur, ils aurais au moin pue les informer du déroulement entier afin qu’ils puissent répondre au question :

Je voix, dommage que vous n’en sachiez pas plus, surtout dans ce genre de situation je ne dois surement pas être le seul à me poser des questions. Enfin si l’on peut discuter avec le médecin de la manière, ça me convient.

Pour se que j’ai dit cela vat tout être vérifier et vue mon cursus cela vat vraiment être possible à par le temps d’emprisonnement que j’ai eu entre Yuki no Kuni et Mizu No Kuni. Un long moment où personne n’a vraiment eux de nouvel de moi. Surement une chose dont je serais surement questionné. Qu’importe, après tout je n’ai pas vraiment grand-chose à cacher de mon passé, rien qui ne les intéresserais à par cette drôle de liaison mental. Je déteste parler de moi et encore moins de mon passer, mais bon si cela est obligatoire. Tien en l’écoutant mon interlocuteur se met à dire une bêtise :

Heu non, je n’arrive pas de Yuki no Kuni. Je suis originaire de Yuki, là je viens de Mizu no Kuni. Deux contré dont vous pourrez vérifier mes dires plutôt facilement.

Il mise aussi sur le fait que j’allais devoir manger mon premier repas dans une cellule de quarantaine, fiou tout ça n’est pas vraiment joyeux le tourisme doit en prendre un sacrée coup. Enfin ce n’est pas mon soucie. Le repas dans la cellule signifie que cela va prendre un moment, cependant moi et les repas à deux sous je n’y tient pas vraiment, je suis même sur que c’est de la nourriture militaire, qu’importe, je peux attendre une journée pour manger ce que je préfère faire que de manger une mauvaise nourriture. Evidement quand je suis obligé je le fait quand cela est demander pour récupérer des force ou même pour survivre. J’ai due même souvent le faire à Yuki no Kuni pour supporter la charge d’entrainement quotidien. Le temps d’attente est plutôt long, surement le temps de vérifier ce que j’ai écrit et le temps de me trouver un médecin, je me mets à croiser les doigts pour qu’elle soit de la gente féminine, mais surtout qu’elle soit plutôt canon. Bon j’aime bien ce mec qui est là pour me faire attendre, mais le temps passe et je le regarde en disant :

Près pour le second contrôle chef. Ha sinon je compte garder mon crayon et mon calepin, le temps de la quarantaine afin d’avoir une occupation et au cas ou si mon inspiration me donne de quoi écrire. Si c’est possible évidament.

Bon le rendez-vous commence à prendre ses fruits, il semble que mes informations furent vérifié et fut vrais. Dans un sens c’est ce qui arrive quand l’on dit la vérité. La suite fut plutôt aussi intéressante, je vais avoir un chaperon pour mon séjour. La class non ? Purée si je reste six mois, le mec va se faire blinder de tune. Vous imaginez les heures supplémentaires quand il devra me regarder dormir. Bon j’espère tout de même avoir un peu d’intimité quand je choperais une ou deux Shukaijin. Cependant je ne put m’empêcher de répondre après qu’il ait fini sa phrase :

Merci pour le compliment, j’ai cette force après une longue vie d’entrainement. Sinon mon amis, un Suzurane n’a pas besoin d’un crayon pour forcer une porte, il n’a juste qu’à la brusquer un peu pour l’ouvrir. Enfin c’est juste pour information cela n’est nullement mon intention.

Mon cher camarade de discussion se met à quitter le lieu le saluant je me mets à lever la main tout en faisant un signe positif à ça demande. Qu’importe il semble qu’on m’accorde le droit de faire leur seconde teste. Celle du médecin, haa jamais je ne vais voir de médecin moi. J’ai déjà mes soigneurs personnels. Les autres derrières moi rigolant tout en se chuchotant des choses qui ne présage rien de bon, je me mets à avancer jusqu’à voir la chose. Y regardant de fois, je me mets à me demander si elle ne cache pas son second dans sa blouse, la docteure est loin d’être la personne que j’aurais désiré avoir, enfin après nous ne pouvons pas avoir toujours ce que l’on souhaite. La médecin veut donc vérifier si je n’ai pas d’os déplacé ou d’autre hématome. J’étais un Suzurane donc ce genre de vérification d’ordinaire pourrait durer une éternité car notre corps est le jouet des blessures de combat cependant mon corps à moi est parfaitement entretenus de toute blessure ou cicatrice. Je la regarde puis dis :

Si vous voulez perdre votre temps allez-y, cependant je vous avertis que je veux savoir ce que vous cherchez avant de le chercher, je tiens à garder mes dons secrets.

La suite des opérations se fit tranquillement, mais quand même sous mes yeux vérifiant qu’elle ne me cache rien de ce qu’elle fait. La confiance et moi ça fait deux.