Marchant rapidement dans les ruelles du pays de la pluie, il fait plutôt froid, la pluie descend encore plus la température ambiante. Vêtu d'un énorme manteau en fourrure, je détiens un message important pour un mafieux important de la zone. Je fais mon métier de messager, j'avais repris du service depuis quelques mois. Séjournant à Tori no Kuni, je me permets de faire quelques boulots afin de satisfaire mes goûts de luxe en terme d'alcool. Les bonnes bouteilles de saké ou de vin, ça coûte plutôt cher si on veut de la qualité. Mon odorat détecte directement ses breuvages à peine buvable. Le problème quand je transporte une chose importante sur moi, ma paranoïa s’amplifie et je commence à regarder derrière moi. Mon regard est fuyant, plus je deviens paranoïaque, plus je deviens coupable avec mes actions chelous. Buvant une gorgée de mon élixir contre ma peur - un bon saké vingt d'âge -, je continue mon chemin à travers les rues malfamés d'Amegakure no Kuni. Je stoppe mon avancée pour me payer à manger, tout en observant si quelqu'un est entrain de me suivre. Une bonne façon de vérifier, je commande deux brochettes de poissons grillés et n'identifie aucune menace à l'horizon. Attrapant mon repas, je dépose quelques billets au marchant et reprend ma route tout en dégustant mon repas.

À peine arrivé à mi-chemin, je remarque qu'un homme me suit depuis une dizaine minute. Cela fait deux jours que je tourne ma tête et que je remarque sa présence. En plus, il est mystique cette inconnu, une allure ténébreuse. Des lunettes noires et des piercings sur les oreilles, faut toujours que j'ai les plus fous de la zone à mes trousses. Je reste calme tout en buvant ma breuvage et accélère ma cadence tout en faussant le chemin de ma destination. Quelques changement de ruelles, il continue à me suivre, il ne faut pas commencer à user de mon potentiel. Je suis un messager avec beaucoup d’expérience, je vais fuir cette légère menace. Je cours à travers les ruelles, sautant ou esquivant les gens afin de donner de la difficulté à cet inconnu. Après cinq bonnes minutes de course, je me rend compte que l'homme n'est plus à mes trousses. Reprenant le boulot, je vais chercher mon argent et je me barre de ce pays de fous. Arrivant devant la demeure, des gardes me stoppent et me demande ce que je désire. Le simple fait d'avoir montrer le message, ils m'ont laissé passé et m'ont montré le chemin.

Rentrant dans la dite demeure, le mafieux m'attend à l'entrée et me conduit dans un bureau. Quatre personnes sont présentes dans la salle mais je n'ai pas le temps d'identifier leur visage. Manque de temps, le mafieux me montre la chaise et je m'assoie directement sans broncher. Avant de donner le message, je regarde l'homme et lui fait un signe d'argent avec ma main libre.


Alors que je fini ma phrase, l'un des inconnu m'arrache la lettre et commence à lire le message. Le problème dans l'histoire, c'est que Shippei ne sait ce qu'il y a écrit. Deux traitres étaient dans cette salle, le papier confirmait les inquiétudes du boss sur deux éléments de l'équipe.