« Deux Lions parmi les Hyènes » Yutaka Eiji - Saama Zenko
Homme, n'as-tu jamais goûté de ton sang, Quand par hasard tu t'étais coupé le doigt ? Comme il est bon, n'est-ce pas.
Qui suis je ? Puis je me prétendre Homme...
Aussi loin que je me souvienne... j'ai toujours été ce jeune garçon plein d’entrain, pour qui ce sentiment de vengeance était resté jusqu'alors inconnue... Étant petit déjà, je craignais d'être seul, sans attache, sans famille... J'ai toujours été différent, je le savais ou plus tôt "Je le ressentais" . Vous aimeriez en savoir un peu plus sur ma famille ? Et bien mes parents sont mort en héros, leur sacrifice avait servit à mettre la plus part des jeunes disciples à l’abri de cette guerre ou plus tôt de ce massacre... Quand à mon précepteur, c'était un brave homme de fois foie, il n'avait malheureusement pas survécut à ses blessures et n'avait laisser derrière lui que des souvenirs sur les quels méditer.
« Trois années plus tôt »
Quel triste spectacle n'est-se pas ? Appréciez le comme s'il s'agissait d'une expérience à vivre, qui vous rendra bien plus fort que se que nous n'étiez avant... il le faut ! d'ailleurs il ne vous restes à présent plus que ça pour vous prouvez que vous êtes encore en vie, que vous avez encore tellement à souffrir, mais sur tout tellement à haïr ! Avent d'obtenir ce salut éternel que vous convoitez tant... vous pouvez sentir la délicieuse odeur de cadavre en pleine décomposition, des mures peignés du sang encore chaud des martyres de cette guerre shinobi. Mais non ! il ne faut pas avoir peur... La mort est compréhensive et apaisante, Pourquoi ne pas vous laissez aller ? C'est l'occasion de pouvoir vous reposez, ne serrait se pas plus facile d'arrêter de luter. En fin de compte vous saviez que ce jour arriverait... peut être arrive t'il plus tôt que vous le pensiez et c'est cela qui vous fait peur ?
Des marches pavés de sang... et des souvenirs rien que des souvenirs, sans aucun espoir de voire ses envies se réaliser, ne demandant qu'une chose à ce monde cruel qui lui avait enlevé tant d'être chère, le pourquoi ? Ces sacrifices avaient ils servit à quelqu'un ou quelque chose de plus grand ? ou n'était se qu'un acte égocentrique et de folie, comme aurait pu le perpétrer un enfant de 4ans ? Comment oublié cette longue année ou l'orphelin avait dût luter pour la soit disant paix tant convoité et ou toute trace d'humanité en lui avait totalement disparut.... ne restait qu'un soldat vêtu d'habits sales, boueux et ensanglantés, abîmé par le temps et un funeste passé, le jeune homme était assis tors nu en posture de tailleur, comme pour défié les puissances divines un regard étrange et mystérieux dominait son visage, une cruel envie de se venger lui rongeait les entrailles. Contrairement à celui qu'il était avant, il aimait à présent la mort et répandre le sang, d'ailleurs c'était la seul chose qui lui restait vraiment et sur tout qu'il savait parfaitement faire... des cheveux long et sale, un visage fin aux trait délicat, il paraissait inoffensif, comme on juge un alcoolo à son apparence, on peut en faire de même d'un shinobi.
Cependant quelques choses tenait encore Zenko sur ses jambes, il n'était pas là pour l'argent ni pour la réputation, mais bien pour le savoir... Aucune explication rationnel ne pouvait expliquer sa venue, hormis peut être cette sensation de brulure incandescente qu'on appelle Vengeance. Le Saama n'était que très peu diplomate, il préférait nettement combattre sur le front plus tôt que s'occuper d'administration... autrefois gamin à très bonne humeur, ne restait de lui qu'un jeune homme sombre qui attisait la peur et la curiosité des foules. Les cheveux blancs recouvrant la moitié de son visage il posa sur ses genoux un guitare acoustique de couleur noire portant encore de nombreuses coup de lame et autre cicatrice, l'atmosphère qui se dégageait du campement n'avait rien d'accueillant, hier soire dans la journée, ils avaient essuyé de nombreuses perte, bien qu'il avait remporté la manche, il ne s'agissait pas vraiment d'une victoire. Zen ne connaissait pas la terreur, il était devenu la terreur lui même et s'affairait à la propager dans l'esprit de ses ennemis. Ainsi pour chercher des réponses à ses questions, il s'était engager dans la lutte contre les Uchiha et le clan des Senju. Le guerrier se mua alors en artiste et entama alors une mélodie en arpège composé d'une suite de 4 accords (Am, Dm, F, G)... Le feux de campement semblait s’enivrer de sa musique et à chaque note on avait l'impression que celui-ci dansait.
Quelques hommes vint se rassembler autour de lui pour apprécier ses talents, mais Zenko n'y prêta aucune attention... Dans son cœur il ne jouait pas de la musique, non... il y faisait pleuvoir ses larmes à travers ses notes. A présent orphelin le jeune n'était pas un soldat ! Il maitrisait le genjutsu grasse à l'enseignement de ses précepteurs, selon ceux-si qui conque était maitre de lui même, s'avérait être encore plus grand que le maitre du monde, c'était bien beau mais en tant de crise, seul les plus fort survivent. Ses talents avaient été mit à profit dans une guerre qui le dépassait, parfois il avait l'impression d'être un petit mouton à qui on donne un morceaux de foin en échange de lait.
Bien qu'il n’attendait personne, un homme prit place à ses côtés, et même s'il ne le connaissait pas, il le savait... tout deux ne s’arrêteraient pas à leur première rencontre.
Dernière édition par Saama Zenko le Mar 31 Jan 2012 - 23:04, édité 13 fois
Cela faisait quatre mois que le jeune Yutaka venait d’entrer dans le conflit. Quatre mois qu’il venait de quitter sa mère pour rejoindre son père sur le front ne se trouvant pas à sa place en compagnie des femmes et des jeunes enfants protégé hors des zones de conflit. Ce n’était pas facile pour lui de laisser sa mère derrière lui comme il n’était pas facile pour son père de le savoir à ses côtés à risquer sa vie et sachant sa propre femme seul avec l’inquiétude de le perdre ainsi que leur fils. Eiji était épuisé, membre d’un équipe d’alerte tout la journée il eu l’occasion de se reposer alliant sommeil profond et tour de garde pendant deux heures. Le camp était caché par un Genjutsu d’une puissance extraordinaire d’un des chefs de celui-ci. Aucun bruits et aucune odeur n’en sortait. Le camp était assez grand et presque surpeuplé. Il était impossible de connaître tout le monde mais facile de mémoriser les lieux. Certains dormaient à la belle étoile tandis que la plupart des habitants du clan vivaient dans des cabanes de fortune. Eiji et son père avaient pour habitude de vivre dans le confort et c’est pour cela qu’ils avaient prit soin de créer une petite cabane en essayant au maximum d’empêcher l’humidité de passer ainsi que le froid lorsque l’hiver tombe.
Durant ces quatre mois de conflit, Eiji avait vu bon nombre de ses compatriotes mourir sous ses yeux. Des membres de sa famille, des nouveaux amis ou même des jeunes de son âge qui avaient prit la même décision que lui. A plusieurs reprises, malgré la tristesse des pertes, le jeune shinobi prouvait un énorme courage et une rage de combattre pour trouver la paix que tout le monde cherchait. Il était difficile d’affronter des ninjas tels que les Uchiha ou les Senju (principal adversaire de son camp). Cependant, Eiji n’avait pas peur. Son père lui avait apprit à ne pas ressentir la peur, bien entendu cela lui arrivé parfois car chacun des êtres humains dans ce monde ressentent la peur, c’est un sentiment normal. Malgré la guerre et le désespoir de beaucoup, Eiji continuait à croire en ce monde, il espérait, il rêvait de paix et de respect entre tout les ninjas. Pourtant… cette guerre, ces morts, ses propres blessures mais aussi celles de son père ne faisait que réveiller en lui son côté le plus sombre laissant alors une part d’ombre naître dans son cœur et dans son âme.
Alors que le jeune combattant circulait dans le camp d’un pas lourd et épuisé il ressentit le besoin de manger et de s’asseoir quelque secondes. Cette nuit devrait être paisible, il n’était demandé sur aucun front, il devrait profiter d’une courte perme lui permettant de récupéré le plus de chakra possible et de soigner ses blessures. En s’approchant du feu principal du camp où beaucoup se regroupait il sortit de son sac un bol de ramen à emporté puis à l’aide d’un homme manipulant l’eau il fit bouillir de l’eau pour sa nourriture. L’odeur enivrant des nouilles au bœuf le rendit fou de joie et de plaisir laissant son sourire prendre le dessus sur son visage fatigué. Il sépara ses baguettes d’un geste vif et mangea d’un trait ses nouilles. Deux jours qu’il n’avait pas mangé, ou seulement très peu… sur le front, difficile de se nourrir mise à part avec du pain de guerre et de l’eau à peine potable. Soudain, le jeune Eiji se laissa emporter par un son connu, celui de la musique. Il n’avait jamais entendu une telle mélodie auparavant ici. Cette personne avait un don, un don aussi bon qu’une personne qui allié ses jutsus à la musique comme lui ou son père. Il se laissa guider par la musique puis aperçu alors plusieurs ninjas autour d’un homme aux cheveux long jouant de la guitare. Il avait bien reconnu le son, une guitare… ce n’était pas son instrument favoris mais il appréciait écouter. Toujours les mains dans ses poches il s’approcha du jeune homme aussi fatigué et sale que lui (comme la plupart des gens de ce camp) puis s’assit à ses côtés sans le regarder et retirer ses mains de ses poches de pantalon. Il écouta, il laissa ses oreilles apprécier. « Tu as du talent. » pensa-t-il les yeux fermé. De sa cape, il sorti une flute traversière et entama quelques note de musique puis continua à suivre le rythme de son confrère. Ils ne se connaissaient pas mais leurs sons s’accordaient. Peut-être était-ce ici une nouvelle rencontre qui allait réchauffer les cœurs en cette période de guerre ?
La musique s’arrêta, les yeux de Eiji s’ouvrit puis chaque personnes autours d’eux applaudirent. Sans le regarder il s’adresse à Zenko.
« Je n’avais pas entendu une aussi belle musique depuis mon départ de chez moi. Tu as osé faire ce que je n’ai jamais pu. Mettre un peu de gaîté et de rêve en chacun de nous. »
Il sourit puis tapa son nouvel ami sur l’épaule.
« Tu as du talent, c’est évident. Dommage que tu es trouvé meilleurs que toi aujourd’hui : Yutaka Eiji. »
Il se mit à rire tout bas. Zenko découvrait pour la première fois le plaisir d’Eiji à provoquer les gens, ami ou non. C’était aussi, à ce moment là, une manière de se présenter. Le jeune Yutaka se mit à tousser assez violemment puis prit un caché avant de resserrer le bandage pour sa blessure à la main.
« Je pense que nous pourrions continuer à deux comme nous venons de le faire. Peut-être aiderions-nous certain à retrouver le courage de combattre et trouver la paix. Et qui sait, peut-être allons-nous nous aider mutuellement par cette musique à trouver la force de continuer. »
Eiji aperçu son père au loin qui le regardait laissant apparaître sur son visage une certaine fierté. Le jeune shinobi sourit à son père puis en mettant sa part d’ombre de côté il s’adressa de nouveau à Zenko en montrant sa flute traversière.
Plus il jouait et plus la nostalgie d'un passé plus serein prenait place en lui. Dans sa tête, ses souvenirs étaient net, c'était comme si tout ca c'était passé hier, mais à présent cela faisait presque 9mois... La vérité était cruel et tel un innocent condamnée à la guillotine. l'épée de Damoclès lui avait balafré son âme et avait emportée avec elle toute la pureté qui habitait le jeune Zenko. Tous ces cris et toute cette rage avaient laissé place à l'obscurité, tant de personnes chère à son cœur était tombé au combat pour une cause dont il doutait. Le pouvoir était tel qu'il aveuglait la plus part de ceux qui le possédait, c'était un bel exemple que nous présentais en ces jours sombres les 2 clans rivaux : Uchiwa et Senju... Le Saama était perdu dans ses songes, mais une douce mélodie vint alors l'en sortir... d'ailleurs elle était trop belle pour être tiré du peu de talent d'un artiste traditionnel... C'était une flute au tonalité douce, mais son possesseur, lui en était bien plus intriguant.
Une sourire se dessina sur les lèvres de Zenko, étrange... Cette homme, lui aussi... il est comme moi. Le Genin poussa un long soupire sans trop savoir pourquoi, il le laissa l'accompagné dans cette danse aux mile note; lui qui était pourtant si solitaire sentait une joie précédemment inconnue naitre en lui... Ce fût comme un duel, mais à la fois comme une alliance. Tout deux s'affrontaient, tentait de comprendre l'autre, mais à chaque l'un d'eux s'interposait, cela donnait quelques choses d’inquiétant mais à la fois sublime ! de plus en plus de personnes se rassemblaient autour d'eux, comme on disait si bien, la musique rassemble les masses de toute sorte. Le temps passa, quelques minutes, quelques heures ? il n’aurait pas su dire, c'était comme si tout s'était arrêter autour de lui et qu'il ne restait plus qu'une sentiment de plénitude, en douceur ils cessèrent alors de jouer...
Le jeune moine s’aperçut que ses bras étaient encore tremblant et que les pulsations de son cœur battaient bon train... < Cela fait si longtemps.... que je n'avais ressentit cette sensation > Il sentit alors un tape sur son épaule, Zenko se retourna et remarqua la joie contagieuse de son camarade, à première vue il devait avoir le même age ou presque que lui, mais il ne put le jurer.
Merci... je... Il s’apprêtait à commenter le jeux de son condisciple, mais celui si le coupa et se désigna lui-même du doigt avent de se le venter lui même, se qui fît presque rire le genin... Puis il se présenta et lui proposa de nouveau de pousser la chansonnette. Très bien Eiji, moi c'est Zenko... mais mes amis m’appelle Z'en, c'est plus court et plus facile à retenir... Je suis d’accord avec toi, la musique apaise les cœurs, mais est aussi curative... nous gagnerons cette guerre non pas par les armes, mais par nos rêves !
« Quelques morceaux plus tard »
Zenko et son nouveau camarade avait prit place au comptoir d'un barre improvisé qu'un des membres avaient dresser sous une tente du campement, l'alcool semblait coulé à flot se qui réchauffait quelque peu l'ambiance... le saama avait rangé révoqué sa guitare et se tenait à présent côte à côte à Eiji, ils avaient tout deux un verre de saké à la main se souhaitèrent une bonne santé puis burent leur contenu d'un trait... C'était le quantième ? non... non, ce n'était que le début !
Dit moi Eiji... Pourquoi as tu prit part à cette guerre, c'est vrai un type si pacifiste que toi... je ne comprend pas.
« Z’en, hein ? Alors laisse moi t’appeler ainsi et prouvons que l’amitié peu se créer même en temps de guerre. »
Eiji avait vu la gêne de Zenko lorsqu’il l’avait complimenté. Ce fût rapidement dissipé lorsque le jeune Yutaka décida de se vanter comme toujours. La musique serait curative ? Oui… elle a souvent le pouvoir d’apaiser les douleurs mais pourtant elle est tout aussi capable d’attiser la douleur et de la rendre bien plus difficile à gérer. C’est d’ailleurs là-dessus qu’Eiji base son ninjutsu, une musique douloureuse qui ne cherche qu’à accroître la douleur à chaque instant.
Le monde afflué et ils demandaient sans cesse un rappel. A croire que personne ne les entendaient dire que se serait la dernière. Il faut dire que l’argent qu’attirait la musique poussait sans arrêt les deux shinobis à jouer encore et encore. Alors que tout le monde en demandait encore jetant des pièces devant eux, Z’en et Eiji décidère de s’installer à un bar improvisé dans le camp en prenant soin de ramasser l’argent jeté par terre. Eiji remercia tout le monde puis en croisant son père sur la route du bar il lui mentit sur sa véritable direction. En effet son père ne se doutait pas qu’il allait au bar boire quelque verre de saké. Une fois assis sur un tabouret côte à côte devant le comptoir en bois, ils trinquèrent à leur santé et à la fin de cette guerre. Z’en lui demanda alors ce que tout le monde se demandait sur chacun d’entre eux…
« Pourquoi ? J’imagine que je pourrais répondre comme la plupart des ninjas ici. Je n’ai jamais demandé à participer à cette guerre. J’étais reculé, caché de cette guerre avec ma mère. Je n’en pouvais plus de rester à rien faire pendant que mon père risquait sa vie. »
Le mot pacifiste le fit sourire.
« Pacifiste, hein ? Je le suis à une certaine limite. Je pense que la guerre c’est déclaré pour de bonne raison. Mon grand-père l’a toujours dit : « Un jour le clan Uchiha et Senju s’affronteront pour le pouvoir et si nous n’agissons pas se sera la fin de la liberté pour nous puis pour l’un de ces deux clans. » Je ne donne raison à personne, je suis ici pour aider mon père et pour croire en une nouvelle paix. »
Après son explication, Eiji bu d’un trait son second verre de saké. Si seulement son grand-père était encore là pour voir ça, il dirait comme toujours qu’il le savait. Mais au final, avait-il réellement répondu à la question de Zenko ? Connaissait-il la vraie raison de sa présence ici ? Aider son père ne justifie pas entièrement qu’il soit entré dans le conflit. Peut-être n’était-il pas si pacifiste que le disait son nouvel ami.
« Et toi, Z’en, pourquoi participer à cette guerre en solitaire ? »
Il sourit comme fier d’avoir deviné la situation de celui-ci.
« Les solitaires dans ton genre, je les repère très rapidement. Mais crois moi, parfois la compagnie à ses mérites quelques soit les raisons de ta solitude. »
Si il le savait... Mon cœur était engrainé d'une rage qui me consommait à petit peu, depuis cette nuit ou tous les êtres qui comptaient pour moi furent tout simplement abattus entre les mures d'une cité sainte... Bien qu’étant une homme de foie, je ne pouvais pas rester indifférent à cette injustice... Je devais... les... venger... Je ferrais couler le sang jusqu'à se que ma soiffe soit assouvie, il le fallait... Du moins je le pensais. En guise de réponse à sa question, je porta la coupe de saké à mes lèvres et y déversa un fin filet, je remarqua qu'il m'observait toujours, décidément je ne pourrais pas aussi facilement esquiver sa requête.
As tu... déjà..., Les mots étaient comme des lames qu'on enfonçait à travers mon corps ...Ressentit une si grande souffrance, qu'en une seconde, tu as changer du tout au tout ? Moi chaque jour qui passe... chaque heures, chaque minutes je revois leur visage.
Mon camarade ne pouvait pas savoir de quoi se que je parlais, pourtant il semblait me comprendre... sur le petit établis qui me faisait face, je posa une petite feuille à rouler, y plaça du tabac et roula le tout... Je répéta alors l'opération et offrit la deuxième à Eiji... Était se l'alcool qui me rendait si bavard ? je n’aurais su le dire... mais sans le vouloir réellement, j'avais pu libérer mon cœur d'un fardeau qui le consommait à petit feux... Je porta la clope à mes lèvres, sortit un zippo et alluma l'extrémité tout en tirant une bouffée constante... le bout se consuma rapidement, et l'envie de nicotine se dissipa rapidement... Combien de journée avais je passé sans fumé ? Je n’aurais su le dire... la seul chose dont j'étais sure était que cette putain de saloperie agissait sur moi comme un anti-dépresseur. D'ailleurs chacun compensait comme il le pouvait... Certains forniquait, d'autres jouait aux jeux, et nous... bin nous nous pratiquons l'art de la musique... Cette idée me fît sourire, et redressant mon manteau je me redressa, empoigna Eiji par le colle et l’entraina avec moi...
Un conseil mon pote... me fait pas chier !, Première provocation d'un longue rivalité, A partir d'aujourd'hui t'as intérêt à gérer... Essaies de protéger mes arrières aussi bien que je protégerais les tiennes... Je te déclare en ce jour... Mon éternel Rival ! Trinquons ! Cette fois je ne porta pas mon verre, mais la bouteille toute entière à ma bouche et y fait un cul sec... Qui me mit royalement KO
« The End »
HRP: Je Clôture ce RP par cette première cuite ! On s'arrange par mp pour la suite