The raid Ft Kongo [C]

Ordre de mission a écrit:: Dentô Kongoh & "On ne sait pas vraiment trop qui" :

Un groupe de brigands sème la terreur non loin du village, dans les montagnes. Il est inadmissible qu'une chose pareille puisse être tolérée. Allez montrer à ces malfrats ce que vous pensez de leur mode de vie, et ce qu'est un ninja par rapport à un simple hors-la-loi civil.

Kuroba se rend au bureau pour prendre une mission. Il sait qu'il en effectue beaucoup, mais il y en aura jamais trop. Il faut qu'il s'active pour être dans le collimateur du boss. Il cible la vision du Raikage Seki Zennosuke, il veut être dans son collimateur. Il veut monté en grade dans la hiérarchie Kumojin. Il décide donc d'effectuer le plus de missions possible. Une machine à mission qui ne va pas s’arrêté la. Il ne prend pas le temps de faire de pause. Il s'active et entre chaque mission. Le temps n'existe pas. Il en finit une et en recommence une autre. C'est son train de vie quotidien. Aujourd'hui il a trouvé une mission qui va lui plaire particulièrement.

"Des hors la loi ? Ils ne sont pas prêt de l'outrepassé à nouveau après m'avoir rencontré."

Une autre mission. Encore, mais choses bizarre. Encore en coopération cette mission. Kuroba n'arrive pas à trouvé de temps pour en faire une en solo. Pas que ça le dérange qu'il soit en équipe avec quelqu'un, mais plutôt le fait qu'il ne cherche que des missions solo et qu'il trouve que des missions de groupe. Il commence à croire que les missions solo n'existe plus. Pour cette mission, il sera en duo avec un genin qu'il a déjà vu dans le village. Il s'appel Dento Kongoh. C'est un shinobi assez discret malgré son gabarit. Très très timide. Le contraire de Kuroba. Cette rencontre peut être fortement intéressante.

Il se dirige vers le domicile du gars en question afin de lui donné l'ordre de mission qu'il a reçu pour lui et Kuroba. Il arrive près de la porte du Dento puis sonne à la porte en attendant la réponse. Il s'est levé très tôt et espère ne pas le réveiller, mais si c'est le cas, ce sera tant pis car étant donnée l'intitulé de la mission. Il ne faut pas trop perdre de temps. Les malfrats pourraient faire de gros dégâts avec le temps, s'ils prennent trop la confiance.

Les journées dans le pays des nuages font leur cycle sans problème. Se laissant s’éloigner par le vent, je marche dans un coin de rue. Je me suis levé tôt. Revenant d’une mission humanitaire, je me dois de récolter un grand nombre de jouets pour l’orphelinat du village voisin. Une réussite du tonner tellement qu’ils ont dû refusée plusieurs jouets. Un refus dont je profite en leur proposant de les garder pour les donner à un autre orphelinat dont je connais. Celui de Kumo. C’est donc avec deux femmes étant venus récupérer ses fameux jouets que je me mets à rentrer chez moi.
Timide comme dans mes habitudes je garde mes distances par rapport à ses jeunes demoiselles qui comprirent rapidement le pourquoi du comment. La porte de ma maison est là, juste devant nous, laissant entrer ses dames en premier, j’entre puits leur montre la direction de la chambre. L’endroit où je dors, mais aussi ou j’ai entreposé les jouets. D’un signe de main je les invite à me suivre et ce n’est pas sans une ou deux blagues salaces qu’elles lancent que ses dames rigolent en s’amusant à me faire rougir.

Plusieurs aller-retour furent fait et nous arrivions vers la fin. Toujours timide voir même plus qu’au début au vue du jeu que ses dames entreprennent j’entends un bruit à la porte d’entrer. Une personne tape. Ma première idée de la provenance est que l’on fasse trop de bruit. Pourtant nous avions fait attention d’en faire le moins possible. L’une des femmes se met à se proposer pour ouvrir la porte. Elle ouvre et voit un homme. Elle le regarde puis laisse un sourire se voir puis dit :

Sakura, Konjon, un Ninja de kumo frape à la porte.

Un ninja ? Ha le travail semble venir. Prenant les trois derniers jouets qui traînent mes pommettes reprenant de la couleur, je me mets à dire :

J’a… J’arrive.

D’une voix plus basse je me mets à parler à Sakura :

Désolé, mais il semble que le travail m’appelle, je.. Je vais devoir y aller.

Ne t’en fais pas, de toute manière on vient de finir.

Cette femme partant à la porte, s’avançant pour sortir nous étions donc tousses dehors. Ses deux femmes disant de manière synchro au revoir tout en faisant un signe de smiller qui n’arrange pas la couleur coloré de ma peau. Après quelque seconde de tétanie provoquée par la timidité. Je me mets à regarder mon partenaire qui tient depuis le début une fiche de mission. Je le regarde puis dit :

Il s’agit que quel genre de mission ?

Une feinte permettant à mon partenaire de me décrire la mission sans que je n’aie à montrer mon handicap flagrant.

L'attente de Kuroba fut écourté par une dame qui ouvre la porte. Il s'est peut-être trompé de porte. Pourtant il est sur de ne pas se trompé. Le plan indique cette maison. Il demande alors à cette dame si Kongoh était présent dans cette maison. Puis elle l'appelle ainsi qu'une autre femme. Ils arrivent et se retrouve ainsi devant la porte. Il ne s'était donc pas trompé comme rarement. Il a souvent raison. Toujours ? Presque. Kongoh demande l'intitulé de la mission et Kuroba lui répond par quelque chose qui n'a rien à voir.

"Je voie que tu ne fait pas dans la dentelle. Deux en même temps ? Je ne te croyais pas du tout comme ça... Alors cette façade timide c'est un leurre, hein ?"

Kuroba sait que ça n'a rien à voir avec ça la présence de ces deux dames. Il sait juste que ce genre de réplique va surement gêné le grand bonhomme. Il est très timide, alors ce genre de réflexion... Kuroba aime taquiné les autres.

"Bref passons. Voilà la mission. Il y a des brigands qui veulent faire leurs lois dans ce pays. Nous devons leur montré ce qu'il se passe lorsqu'on s’écarte du droit chemin et qu'on ne suit pas les lois imposé par le Raikage."

Kuroba ne laisse pas le temps à Kongoh de donné une réponse. Il lui fait signe de se mettre directement en route pour les montagnes.

"Ce genre de malfrat ne seront pas très difficile à trouvé. Ils sont du genre à faire beaucoup de boucan pour rien. Il faut juste tendre l'oreille et écouté pour les trouvé."

Il disait son plan tout en courant à une allure assez rapide. Il ne va pas finir cette mission demain. Il en aura fini avant le couché de soleil car il a l'intention d'en faire encore et encore. Il pense à en faire au moins une par jour. Oui. Au moins une par jour. Il en fait parfois plusieurs dans la même journée...

Deux, heu mais, c’est que, non. Enfin, c’est, ce n’est pas ce que tu crois.

Je vous laisse imaginer la couleur rougeâtre de mon vissage qui peut même laisser voir que les viennes de mon visage vont exploser aux vues de-là couleur que prend mon visage et encore j’ai de la chance, car même si l’on me prend pour un pervers il semble que ses deux femmes soit assez mignonne, au moins cela peut laisser croire que j’ai dû Goux. Regardant à côté de mon partenaire, oui ben vue la situation désolée, mais j’ai du mal à regarder en face maintenant. J’écoute les dires de celui m’ayant donné l’intitulé de la lettre partit tout en me faisant signe de le suivre. Courant derrière lui comme je peux, cet homme se met à dire son plant. Chercher là où le bouquant et le plus gros. De là on les trouvera car les méchants malfrats son fait toujours du bouquant.

Simple comme plan mais pourquoi pas. Puis cette idée n’est pas non plus idiote, elle est très simple comme ses bandits ce qui du coup passe facilement pour se genre d’idée. Puis bon, des hommes lambdas ne peuvent que peu longtemps se cacher des manieurs de chakra sans aide de ses mêmes manieurs. Cependant faire autant de tapage à côté d’un village ninja est plutôt très bête. Même pour des malfrats débiles à souhait. Oui, moi, je préfère les malfrats débiles, on a plus de chance d’éviter les casses.

Si certain prend la fuite, je pourrai les tracer sans problème. Cependant nous devons être d’accords. Nous les amenons devant la justice de Kumo et non notre propre justice ?

Je préfère demander, j’ai eu plusieurs fois des hommes prêts à outrepasser cette idée de loi sans se rendre compte de leur propre abus. Profiter de leur rang social pour se permettre des choses sans raison valable et pour moi un crime au même titre que les brigands qu’on arrête pour ça voir pire. Les hommes comme nous devrions avoir une éthique des plus blanches et pure, notre train de vie doit être parfait. Après tout à nous seul nous montrant la façade de ce que représente Kumo. Nous ne pouvions pas montrer un mauvais visage de ce que l’on représente :

Les arrêter est bien mais je pensais aussi que l’on devrait trouver les raisons de ces actes, en savoir plus sur eux. Même ne serrasse pour faciliter le travail du suivi de l’arrestation. Pour prouver de A à Z ce qui en ressort.

Je ne suis pas du genre à faire mes missions le plus vite possible, mais je ne suis pas le seul et il faut voir comment il prend mes manières de penser :

Il faut aussi trouver des informations sur ses hommes. Au moins pour combler les zones obscures non ? Tu en penses quoi ?

Cela n’empêche pas que l’on puisse les attraper avant et trouver après les informations. De toute manière on sait déjà que ce sont des malfrats.

Kongoh a accepté l'idée de Kuroba sans sourcillé. Il sait que cette idée est la meilleur. La mission n'est qu'une mission de rang C. Les malfrats doivent surement être des lascars tout bidon qui croient pouvoir faire ce qu'ils veulent car ils ont déjà jeté des craies sur leurs professeurs en maternelle. Ils sont dangereux ? Non, aucun danger pour Kuroba. C'est clair et net. Ils vont regretté leurs actes. Kongoh quant à lui, souhaite mettre les choses au claire avec son coéquipier. Il lui demande si il veut agir comme il le faut ou comme il le veut. C'est à dire Kumo's law ou Kuroba's law. Et bien Kuroba va pas le laissé en attente de réponse.

"Ne t'inquiète pas. Je vais faire appliqué ma loi qui est la loi de Kumo. En tant que Kumojin, il n'y a pas d'autre façon de voir les choses. Ca te va comme ça ?"

Kuroba lui souriait. Ensuite, il y avait un autre point à éclaircir pour Kongoh. Que faire d'eux une fois attrapé ?

"Et bien c'est simple mon ami. Je suis sur que tu dois savoir comment on agit. Lorsqu'on arrête un criminel. On le met en prison puis on lui pose des questions après pour en apprendre plus. C'est exactement ce que j'ai prévu de faire. Ne t'inquiète pas pour ça. C'est la méthode qu'il faut employé de toute façon. Non ?"

Kuroba lui fait un clin d'oeil et il aperçoit qu'ils sont arrivé. La discussion a fait en sorte que le chemin passe assez rapidement. Il se retourne vers Kongoh et lui dit :

"Très bien. Par ou veux-tu commencé ? Je te laisse dirigé les opérations pour le coup."

Kuroba observait en même temps le village. Pas très riche, mais pas pauvre non plus. C'est un endroit parfait pour les opérations des malfrats. Il n'y a pas de cible trop pauvre qui n'ont rien à se faire volé, ni de cible trop riche qui sont trop difficile à volé.

Voilà une chose qui me rassure. Mon partenaire semble plutôt raisonnable et surtout mis dans les règles et lois. Une chose qui me semble plutôt compliquée pour pas mal de monde dans les rangs de Kumo. Surtout avec deux hommes dont j’ai déjà fait équipe, l’un prêt à tuer juste pour éviter que ça cible soit de nouveau une menace et l’autre qui semble se prendre pour un dieu ou une chose du genre. Parole divine ou non j’ai du mal avec ce genre d’idée. Du coup, quand j’entends ce qu’il dit cela me rassure sur le fonctionnement de Kumo. Un signe de tête positif pour nos libertés d’action étant stoppé par les propres règles que régie nos lois.

La marche continue et la discussion que nous avons pris à fait passé le temps du trajet. Nous faisons face à ceux subissant le coup des vols. Même avec ma vue on peut voir que la pauvreté règne dans cet endroit. S’en est triste de voir une telle vision du monde et pourtant cela existe bien et beaucoup préfèrent l’ignorer que de voir en face la réalité. Voilà ce que le monde est réellement, voilà ce qui doit changer. Cependant là n’est pas ce que l’on doit régler. Pour le moment je ne peux rien, mais il est sûr qu’après ma mission je partirais du village pour aider ses hommes comme je peux.

Kuroba, le chef logique de notre groupe me laisse diriger cette mission. Cela est gênant, mais pourquoi pas. Même si je trouve que ce genre de manière me fait peur. Peur non pas pour ma timidité cette fois, mais que cela rend cette mission moins efficace. Après tout, lui il fut choisi par ses capacités à passer chunin, moi non. Je regarde ses bâtisses et dit :

La lumière protège l’homme de ses propres péchés celui qui ne voit pas la lumière est comme dit bannir des dieux. L’homme prend le bâton de lumière et l’utilise à sont grés, l’un choisit de s’appuyer dessus pendant que l’autre l’utilise pour faire tomber son voisin. Je vous remercie de votre confiance. Si je suis le bâton sur lequel vous voulez vous appuyer laissé vous aussi être mon baton pour cette mission s’il vous plaît.

Cependant je suis loin d’être un bâton lumineux au contraire je ressemble plus à l’homme perdue dans l’ombre et ça le clan Dento ma l’a souvent bien fait comprendre. Fermant les yeux comme une mimique de concentration cela ne changeais rien pour moi, mais j’aimais prendre l’apparence d’un homme lambda dans mes mouvement habitue. Des mimique et autre. Ré-ouvrants les yeux, je me mets à dire :

Je vais faire le tour du village à la recherche d’une quelconque présence, trouvez une personne pouvant témoigner des actes de nos cibles.

Kuroba laissait Kongoh prendre la suite des opérations en main. Pour remercier Kuroba de la confiance qu'il lui accorde. Le genin se lance dans un monologue qui n'était pas très compréhensible a première vue, mais que si on se concentrais bien jusqu'au bout sur ce qu'il disait, et bien, de un on comprenait au final, a la dernière phrase la ou il voulait en venir, et de deux, ce n'était pas faux et tout à fait logique ce qu'il disait. Il y avait plus de confiance dans cet homme que ce qu'il pouvait lui même imaginé. Le voile de la timidité qui l'entoure l'empêche de faire de grande chose. Kuroba pense que sans ça, il serait un chunin depuis très longtemps. C'est ainsi qu'il voit les choses.

Le sourire de Kuroba en disait long sur l'accord entre les propos de son interlocuteur et sa façon de pensé. Ils sont apparemment en parfait harmonie dans leurs manières de réfléchir. Sauf que pour la réponse que Kuroba attendait, il ne pensait pas a une façon aussi logique d'agir. Il pensait qu'il allait faire preuve d'imagination. D'un peu plus de folie dans sa manière d'opéré. C'est pour ça que Kuroba a décidé de le laissé dirigé la mission. Mais non, lui il a choisi le schéma classique de renseignement. Bah peu importe, ça peut être une bonne expérience de le suivre dans cette direction. Kuroba n'a pas l'habitude d'agir normalement. Cette mission ça va être une première pour lui depuis qu'il est chunin. Kuroba acquiesce donc la situation.

"Très bien. J'ai choisi de te laissé prendre le contrôle des opérations. Je vais donc te laissé faire et voir comment ta façon d'opéré paie. Je suis sur que tu vas faire ça bien."

Kuroba suivait donc Kongoh et le laissait faire ce qu'il avait à faire.

Il semble donc vouloir suivre les directives. Je regarde à droite, puis à gauche et cherche dans ma poche. Je sors du coup de ma poche un kit de micro afin qu’on puisse se parler à distance. Je lui en donne un puis pose le mien dans mon oreille.

Je fais le tour voir si je trouve une piste. Je te laisse chercher des informations auprès des citoyens.

Je ne suis pas fort pour la communication et je suis plutôt doué pour voir ce que d’autre le verront bien plus difficilement. Partant dans mon coin, je compte sur mon partenaire pour avoir plus d’information auprès des autres. Je répartis la tâche celons nos capacités respectives. Il ne semble pas gêné dans la communication et semble bien parler moi je suis un homme doté d’une vue thermique et sensoriel sur le coup. Donc pour voir ce qui n’est pas visible c’est bien plus simple. Je fis donc le tour du hameau à la recherche de la moindre chose suspecte. Gardant le regard droit devant, mes pupilles actifs de manière à me permettre de voir la chaleur même à travers la manière, et cela, en 360°. Marchant encore et toujours autour du village je remarque une chose après avoir déjà fait les deux tiers du tour. Une lame cassée et la carcasse d’un chien posé plus loin derrière une masse rocheuse. Je touche le morceau de lame cassé, je peux sentir au toucher que la lame est bien l’outil ayant tué le chien. Je pose les mains sur les dents de l’animal et sens une grande quantité de sang, suffisamment pour savoir que celui-ci n’est pas seulement dû à la suffocation de l’animal. J’appuie sur un bouton de mon micro et me mets à parler :

J’ai trouvé une piste un peu éloigné du village dernier un gros rochet, je suis au nord-est du village, je t’attends.

Me posant bien à vue, je me mets à attendre mon partenaire qui lui aussi aura surement eux des informations de son côté. L’homme étant parti doit avec du sang qui coule et donc on va pouvoir facilement le poursuivre. La chaleur de l’animal semble montrer que l’homme n’a qu’une dizaine de minutes sur nous. Le sang et encore suffisamment chaud pour que ma vision thermique nous facilite encore plus la tâche. Comme dans mon habitude, je me mets à évaluer toutes les possibilités. Le chien peut défendre une personne ou un objet, cela fait qu’il se peut qu’on ait un otage dans le territoire ennemie, il se peut aussi que le chien soit l’animal de l’ennemie qui a attaqué un homme en voulant défendre les voleurs. Qui sais s’ils n’ont pas embauché un ninja pour se défendre. Enfin un Nunkenin car je ne vois aucun village venir à Kaminari pour protéger un brigand au risque de mettre en péril leur relation avec Kumo.

Un kit de micro. Intéressant cet homme. Il est prévoyant. Il a prévu qu'ils pourraient avoir besoin de se séparé et donc il a ramené de quoi communiqué à distance. C'est vraiment un bon allié sur qui on peut compté. Il veut que Kuroba aille interrogé les gens tandis que lui enquête plus sur le terrain sans poser de question. Apparemment, sa timidité est un vrai handicap. Quoi qu'il en soit, Kuroba se met donc en route pour trouvé de nouvelles indications.

"Excusez moi ?"

"Laissez moi tranquille."

Tel est la réaction du dernier passant qui rentre chez lui en claquant la porte au nez de Kuroba. Au bout de 5 ou 6 portes et toute avec la même réponse qui était l'abstention de coopération avec lui. Il comprend très rapidement que la peur que ces types infliges à ses gens est bien plus évolué que la confiance que les kumojins peuvent leurs inspirés. Encore deux ou trois refus avant de recevoir un appel de Kongoh qui lui dit avoir trouvé une piste. Kuroba s'empresse de le rejoindre. Il en a déjà beaucoup appris sur la façon dont sont traité les citoyens de cette ville.

Arrivé au point de ralliement. Kuroba trouve Kongoh bien visible avec à ses côté le cadavre d'un chien. Du sang un peu partout et Kongoh qui fait signe à Kuroba de le rejoindre.

"Les gens ont peur de parlé de ce qui se passe avec ces brigands. Je ne vais pas te caché qu'ils ne m'ont rien dit. La seule chose que j'ai appris, c'est qu'ils ne sont peut-être pas si bête que je ne le pensais. Et il faut vite leur mettre la main dessus vu la terreur qu'ils imprègnent au gens. Allons-y."

Kuroba fait signe à Kongoh de se mettre en route vers sa piste et le laisse passé devant pour être sur que celui-ci puisse continué sur sa lancé sans que Kuroba lui vole ses indices. Les traces de sangs ont l'air assez fraîches. Le sang n'a pas eu le temps de séché, ça veut dire que Kongoh a du avoir quelque minutes de retard. Sa vision thermique va leurs permettre de retrouvé très rapidement l'auteur de ce crime.

Nous voilà de nouveau réuni. Après qu’il m’ait rejoint, je retourne derrière le rochet ou suis posé l’animal ensanglanté. Il le regarde et remarque aussi les traces de sang. Cependant ce qu’il vient de me dis m’étonne un peu. Du moins cela est plutôt intéressant. Il pense revenir les bras vides et sans réponse et pourtant ce manque de discussion et cette peur qu’aux villageois montre une chose. C’est que les brigands n’ont plus vraiment besoin d’user de la force pour avoir ce qu’ils veulent, c’est comme s’ils ont fait main basse des lieux et des occupants. Cependant pourquoi ne pas rester directement dans le village ? En plus ils peuvent se dissimuler dans le peuple lui-même.

Pour moi c’est clair, ils ont un moyen de persuasion fort pour leur faire aussi peur. Si je cumule ça avec l’information que j’ai de ses deux indices je pouvais y emmètre une hypothèse. Si le chien à attaquer une personne c’est surement pour protéger quelqu’un, si ce quelqu’un est une personne importante du village cela peut se laisser comprendre que les villageois ont peur de parler au risque que cela tombe sur l’homme kidnappé.

Cependant cela n’est qu’une hypothèse mise sur deux faits qui ne prouve rien. Je ne suis pas certain de mes dires et je ne peux me fier à cent pour-cent sur cette hypothèse. Cependant, même si je n’en suis pas certain j’ai du mal à voir ce que cela peut être d’autre :

Nan on ne sait pas suffisamment de chose sur eux et je n’en suis pas sûr mais j’ai l’impression qu’ils ont un otage.

Ma timidité quand une personne est en danger s’évanouis et là je crains que ce soit le cas. Je ne peux laisser des gens faire du mal à d’autre à des buts personnels. Je prends deux seconde et dit :

La sécurité l’emporte. On ne sait pas leur nombre s’ils ont un manieur de Chakra dans leur équipe ou qu’ils en embauchent un voir plusieurs. Sans compter que je suis presque sûr qu’ils ont un otage. Tu vas garder ton micro je vais simplement garder celle me permettant de parler sous mes vêtements et attacherais l’écouteur avec éteint vue que je ne pourrais me servir de l’écouteur, ainsi si je me fais attraper ils ne verront pas directement que l’on est plusieurs. Arrivé à leur camp je vais regarder le nombre qu’ils sont et toute information intéressante et te les donne le plus discrètement possible.

Je prends une respiration puis dit :

Mon but sera de récolter des informations, le tien sera de sécuriser les otages ou d’éliminer tous ceux que tu peux sans te montrer. Pour le reste on verra directement dans les lieux. Tu me laisses une distance de dix mètres j’arrêterais ma course dix secondes quand j’aurais à vu le camp.

Je ne pouvais pas tout prévoir, mais pour moi cela est la meilleure solution si l’un se fait prendre au moins nous aurons toujours l’autre libre de mouvement. Et niveau force de frappe je suis certain qu’il est bien plus fort que moi et je suis tout prédestiné à récolter les informations.

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