Enfin la guerre est finit ! C’est dans cette pensée que ce nouveau shinobi de Kiri se balladait dans les rue du village caché, un livre sur le spiritisme à la main.
*Pourquoi tu lis ca ? Tu sais pourtant que la plupart des choses inscrites dans ce livre sont fausses !*
-La plupart, Alice, ce n’est pas la totalité.
*[Sourire] Et puis heureusement que je te fais le tri des informations ! Comme si on pouvait lire l’avenir dans le foie humain ! Ca se saurait !*
Le Rouge se permit un rire, il leva la tête de son livre et vit les regards fixé sur lui, tous ces regards… Qu’est ce qu’ils avaient tous a le fixer comme ca ! Apres tout, lui et ses amis avaient, comme tout le monde, aidé a terminé cette guerre, eux qui étaient si content de le voir arrivée accompagnée d’Alice sur le champ de bataille, pourquoi avaient ils soudain céssé ne serait ce que de lui parler ?
*Rouge…*
-T’occupes.
Il l’avait coupé. Ca ne lui ressemblait pas, mais l’esprit allait sans doute essayer de le consoler, de le calmer et ca il ne le voulait pas. Il voulait leur prouver sa valeur, et pour ca, il devrait lui aussi marquer l’histoire des shinobi au fer rouge, si nécessaire et pour ca… Il lui fallait plus de savoir. La vengeance est un plat qui se mange froid après tout. Il changea néanmoins de direction pour s’installer dans un lieu ou il aurait la paix, la ou les gens n’allaient que rarement. Au cimetière ! Une fois sur place sa tête fut envahis de salutations en tout genre, il put les observer, certains jouait aux cartes, d’autres discutaient des préoccupations des vivants… Bref, ils menaient leur petite vie de morts. Il put voir Alice se manifester également, pour aller discuter avec deux personnes sans doutes mortes de vieillesse, ceci lui remis du baume au cœur. Au moins, ceux de son monde l’acceptait, quelque part, il l’enviait un peu. C’est dans cet état d’esprit que Meiyo partit trouver un banc, ou il put s’installer et reprendre sa lecture. Les morts le saluaient sur son passage et à leurs grandes surprises, il leur répondait. Mais durant sa lecture, personne ne vint le déranger.